International
L'Ukraine va recevoir des chars Leopard 1
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Trois pays européens ont annoncé mardi la fourniture "dans les prochains mois" d'une centaine de chars lourds à l'armée ukrainienne pour l'aider à repousser les forces russes. Celles-ci affirment mener avec "succès" une offensive dans l'est de l'Ukraine.
Cette annonce est intervenue au moment où le nouveau ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, est en visite surprise à Kiev et où l'Ukraine exhorte ses alliés occidentaux à accélérer l'envoi des chars lourds qui lui ont été promis. "Au moins 100 chars Leopard 1 A5" seront livrés "dans les prochains mois", ont déclaré les ministres de la Défense de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Danemark dans un communiqué commun.
Le président Volodymyr Zelensky, dans la soirée, a "remercié" ces trois pays de "leur soutien pertinent", à l'issue d'un entretien avec M. Pistorius, dont c'est le premier déplacement en Ukraine depuis sa nomination mi-janvier. Les Leopard 1 qui seront envoyés, plus vieux que les Leopard 2, proviennent de stocks et seront remis à neuf.
Sur Twitter, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, a quant à lui affirmé ironiquement que "le 'premier' Leopard 2" était "arrivé à Kiev", en postant une photo le montrant en compagnie de M. Pistorius en train de tenir un modèle réduit du char allemand. Le calendrier des livraisons occidentales reste toutefois flou, à l'heure où Kiev s'inquiète de ne pas recevoir les blindés à temps pour faire face à une éventuelle nouvelle attaque russe de grande envergure.
"Succès"
Mardi, la Russie a même revendiqué le "succès" de sa récente offensive dans l'est de l'Ukraine. Depuis janvier, son armée, épaulée par les paramilitaires du groupe Wagner et renforcée par des centaines de milliers de civils mobilisés, est repassée à l'attaque, en particulier dans le Donbass, une région de l'est dont Moscou revendique l'annexion.
"Actuellement, les combats évoluent avec succès dans les zones" de Bakhmout et de Vougledar, a affirmé le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, selon un communiqué diffusé à l'issue d'une réunion avec les cadres de l'armée et de son ministère. Il a cité les récentes conquêtes de sept localités dont Soledar, une bourgade voisine de Bakhmout que les forces ukrainiennes ont cédée en janvier après des combats meurtriers pour les deux camps.
M. Choïgou a en outre mis en garde les Occidentaux contre un accroissement de leur aide militaire à l'Ukraine. "De telles mesures entraînent les pays de l'Otan dans le conflit et peuvent conduire à un niveau imprévisible d'escalade", a-t-il dit.
Les observateurs s'accordent à prédire que la Russie prépare une offensive majeure pour la fin de l'hiver ou le début du printemps, avec au minimum comme objectif de conquérir tout le Donbass, qu'elle ne contrôle que partiellement.
"Nous gardons une attention maximale sur ce que les occupants préparent", a souligné mardi soir Volodymyr Zelensky, rappelant que "la région de Donetsk - et l'est en général - est le point le plus chaud" actuellement des hostilités.
"Situation plus ou moins stable"
Près de Bakhmout, l'artillerie a continué mardi de pilonner les positions russes, selon des journalistes de l'AFP qui pouvaient entendre de fréquentes détonations. Plus loin du front, Iaroslav, un capitaine dans une unité armée d'un lance-roquettes multiple Grad, se prépare à ordonner le tir d'une salve d'une quarantaine de projectiles quand l'attaque est finalement annulée.
"Si on n'a pas besoin de nous, c'est que la situation est plus ou moins stable" sur le front, veut croire le militaire de 35 ans, le visage fouetté par un vent glacial. La chute de Bakhmout, théâtre depuis plusieurs mois de combats très meurtriers, ouvrirait la voie à un assaut russe vers Kramatorsk, la principale ville du Donbass sous contrôle ukrainien.
"Je mentionne moins souvent le sud (du pays), mais il n'en a pas moins une signification stratégique", a par ailleurs relevé mardi Volodymyr Zelensky, tandis que les Russes sont également à l'offensive sur Vougledar, à quelque 150 kilomètres plus au sud, à proximité d'un noeud ferroviaire desservant l'est et le sud occupés de l'Ukraine. Dans le nord du Donbass, ils sont également en train de faire pression sur leur adversaire, dans une zone reconquise par Kiev en septembre.
Serguiï Solomon, un ouvrier du bâtiment ukrainien de 31 ans devenu soldat, confirme que les forces de Kiev risquent de manquer de moyens face à celles de Moscou. "Les Russes ont des chars, des (véhicules de) transport de troupes blindés, des (roquettes) Grad, tout ce que l'on peut imaginer", dit-il. "Nous avons de l'équipement, mais pas beaucoup de munitions".
Envoi de chars
Face aux demandes répétées de Kiev et après avoir longtemps tergiversé de peur de provoquer une escalade, Américains et Européens ont récemment décidé d'envoyer des dizaines de chars lourds pour que l'Ukraine puisse mieux s'opposer à une offensive russe et organiser la sienne. Leur nombre reste cependant en-deçà des attentes de Kiev. Et les Occidentaux continuent de refuser de fournir des avions de combat.
Les Etats-Unis ont en revanche promis des armements dotés d'une portée allant jusqu'à 150 km, que l'Ukraine réclamait pour pouvoir frapper loin derrière le front les dépôts de munitions et les lignes d'approvisionnement russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Super-G de Val d'Isère: Suissesses aux fraises, Goggia "se venge"
Les Suissesses ont conclu leur week-end à Val d'Isère comme elles l'ont commencé. Malorie Blanc (20e) fut la meilleure représentante helvétique d'un Super-G gagné par Sofia Goggia.
Le passage en Haute-Tarentaise n'a pas souri à une équipe de vitesse décimée. Encore en phase d'apprentissage, Malorie Blanc a manqué deux secteurs pour se classer à 1''39. Jasmina Suter est pour l'heure 22e, Joana Hählen suit au 23e rang et Jasmine Flury occupe la 26e place.
Coupable d'une grosse erreur la veille en descente, Sofia Goggia s'est bien rattrapée. La Bergamasque de 33 ans a réussi une excellente partie technique pour s'adjuger le 8e Super-G de sa carrière.
Derrière la Transalpine, on retrouve une Alice Robinson qui est décidément de plus en plus à l'aise en vitesse, surtout sur des tracés moins tournants. La Néo-Zélandaise a échoué à 0''15 de Goggia.
Et sur la troisième marche du podium, qui d'autre que Lindsey Vonn? L'Américaine de 41 ans fait clairement partie des favorites à chaque course de vitesse et son chemin vers les JO de Cortina ressemble à une route pavée de métal. Sans une partie technique moyenne, elle aurait pu challenger Goggia (à 0''36).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Suisses très moyens à Alta Badia, Schwarz mène largement
Il faudra une sacrée remontée des Suisses lors du géant d'Alta Badia. A l'issue de la 1re manche, Aerni, Meillard et Odermatt sont 6e, 7e et 11e, alors que Schwarz mène le bal.
Quintuple vainqueur sur la Gran Risa, Marco Odermatt avait l'air perplexe en voyant son chrono dans l'aire d'arrivée. Il faut dire que voir le Nidwaldien relégué à 1''51 en géant ne correspond pas à la norme. On repense à 2022 lorsque le patron du ski mondial avait bouclé sa première manche à 1''42 de Zan Kranjec et qu'il avait effectué une impressionnante remontada pour finalement échouer au 3e rang à 0''10 du vainqueur Lucas Braathen, qui courait alors pour la Norvège.
Comme en 2022, Odermatt voit deux coéquipiers mieux classés que lui. Sixième à 1''14, c'est Luca Aerni qui défend le mieux les couleurs de Swiss-Ski. Sa 2e place à Val d'Isère lui donne visiblement des ailes. Juste derrière le skieur des Barzettes, on retrouve Loïc Meillard à 1''14. Thomas Tumler occupe lui le 15e rang à 1''70 de Marco Schwarz.
L'Autrichien a réalisé la manche parfaite. Un run "à la Odermatt" pour repousser ses rivaux River Radamus à 0''64 et Stefan Brennsteiner à 0''67. Le coureur de Villach aura-t-il les nerfs assez solides pour décrocher un deuxième succès dans la discipline après sa victoire sous la neige de Palisades Tahoe en 2023? Réponse dès 13h30 pour la seconde manche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'Australie se recueille une semaine après l'attentat de Sydney
De nombreux Australiens ont observé une minute de silence et ont allumé des bougies dimanche, une semaine après la tuerie antisémite commise par deux hommes contre les participants à une fête juive sur une plage emblématique de Sydney.
Les deux assaillants, Sajid Akram, 50 ans, un Indien entré sur visa en Australie en 1998 et son fils Naveed Akram, né dans le pays il y a 24 ans, ont ouvert le feu dimanche dernier contre un rassemblement pour la fête juive de Hanouka sur la plage de Bondi.
Des pubs bruyants des grandes villes aux bourgades rurales tranquilles, l'Australie s'est recueillie une semaine exactement après le premier signalement des tirs à 18h47 (08h47 en Suisse) dimanche 14 décembre.
D'innombrables foyers ont placé des bougies sur leurs rebords de fenêtre, invités par les autorités à faire place à "la lumière contre les ténèbres".
"Ensemble"
"Nous sommes ici ensemble", a déclaré Roslyn Fishall, membre de la communauté juive de Sydney.
"Tournez-vous vers des inconnus et prenez-les dans vos bras. Faisons la paix ensemble", a-t-elle lancé, depuis un mémorial improvisé sur la plage endeuillée de Bondi.
Les drapeaux ont été mis en berne à travers le pays, y compris sur le pont du port de Sydney, ont observé des journalistes de l'AFP.
Un petit avion est passé au-dessus de la plage de Bondi avec un message de solidarité avec "notre communauté juive".
"Il est toujours vraiment difficile de comprendre ce qui s'est passé", a confié Leona Pemberton lors de la cérémonie commémorative sur la plage dimanche.
Si la dernière génération d'Australiens avait grandi avec la conviction que les fusillades ne concernaient pas le pays, cette illusion s'est fracassée lorsque les assaillants présumés ont pointé leurs armes sur la plage la plus connue du pays.
Idéologie islamiste
Selon les autorités, l'attentat dont sont suspectés le père, abattu sur place, et le fils était motivé par l'idéologie du groupe djihadiste État islamique.
Naveed Akram, grièvement blessé par la police, est hospitalisé sous forte surveillance policière et a été inculpé pour terrorisme et 15 meurtres.
Beaucoup d'Australiens ont déjà rendu hommage aux victimes à leur façon.
Vendredi, des centaines de surfeurs et nageurs se sont rassemblés pour un hommage sur la plage de Bondi, formant un cercle géant dans les vagues. Samedi, des sauveteurs en mer ont à leur tour observé trois minutes de silence.
Audit sur la sécurité
Le Premier ministre a annoncé dimanche avoir ordonné un audit du fonctionnement de la police et du renseignement après l'attentat "pour protéger les Australiens".
"L'atrocité inspirée par l'Etat islamique (EI) dimanche dernier montre l'évolution rapide du contexte de sécurité dans notre pays", a-t-il déclaré. "Nos agences de sécurité doivent être en mesure d'y répondre de la meilleure façon possible."
Naveed Akram, le fils, avait été interrogé par le renseignement australien en 2019 pour potentielle radicalisation, mais les autorités ont jugé alors qu'il ne constituait pas une menace. Son père a également été interrogé, mais a réussi à obtenir un permis de port d'armes lui permettant de posséder six fusils.
Le gouvernement a annoncé un renforcement des lois contre l'extrémisme et sur la détention d'armes.
La tuerie a plus généralement forcé le pays à remettre en question sa politique de lutte contre l'antisémitisme, et à constater son échec à protéger les juifs australiens.
Cri d'alarme
De nombreux membres de la communauté juive ont critiqué le gouvernement travailliste, estimant que leur cri d'alarme face à la montée de l'antisémitisme depuis le 7-Octobre n'a pas été pris en compte.
Pour le rabbin Yossi Friedman, "le message était clair depuis un peu plus de deux ans". "Est-ce que nous nous sentons en sécurité? Pour être honnête, pas vraiment".
Une série d'obsèques ont été organisées cette semaine par les familles, dont celles, particulièrement poignantes, de la petite Matilda, 10 ans.
Une équipe d'enquêteurs de la police et des renseignements se penche à présent sur les déplacements et les contacts des deux suspects, notamment un voyage qu'ils ont effectué dans le sud des Philippines quelques semaines avant l'attaque.
"Nous allons identifier les méthodes, les moyens et les connexions de ces criminels présumés afin de déterminer avec qui ils ont communiqué avant l'attaque", a déclaré Krissy Barrett, la cheffe de la police fédérale australienne.
Interrogé dimanche sur la question de savoir si l'attaque aurait pu être évitée, Chris Minns, le Premier ministre des Nouvelle-Galles du Sud où se trouve Sydney, a répondu: "Je ne sais pas. C'est quelque chose qui m'empêche de dormir la nuit et qui me préoccupe beaucoup".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Afrique du Sud: neuf personnes tuées vers Johannesburg
Des hommes armés ont ouvert le feu dans un bar près de Johannesburg, tuant neuf personnes et faisant 10 blessés, a annoncé dimanche la police sud-africaine. Il s'agit de la seconde tuerie de ce genre dans le pays ce mois-ci.
La fusillade a eu lieu dimanche vers 01h00 (samedi vers minuit en Suisse) dans une "taverne" - un bar clandestin - puis en pleine rue à Bekkersdal, un township pauvre situé dans une zone minière aurifère à quelque 40 kilomètres au sud-ouest de Johannesburg, la capitale économique de l'Afrique du Sud.
Ce drame fait suite à une fusillade similaire le 6 décembre, lorsque des hommes armés avaient pris d'assaut un foyer de travailleurs à Pretoria, tuant 11 personnes dont un enfant de trois ans dans un lieu qui, selon la police, accueillait un autre bar informel.
A Bekkersdal, "certaines victimes ont été abattues au hasard dans la rue par des hommes armés non identifiés", a écrit dans un communiqué la police, qui a d'abord évoqué 10 personnes tuées avant de réviser son bilan à neuf morts.
La plupart des assaillants étaient armés de pistolets et l'un d'eux portait un fusil-mitrailleur AK-47, a déclaré sur les lieux le commissaire-adjoint de la police provinciale, Fred Kekana, à la chaîne de télévision SABC.
"Ils sont entrés dans le bar et ont ouvert le feu au hasard sur les clients", a-t-il précisé.
Tués puis volés
Trois personnes ont été tuées à l'intérieur de l'établissement et d'autres ont été blessées en tentant de s'échapper, les assaillants continuant de leur tirer dessus pendant qu'elles fuyaient, a-t-il ajouté.
"Il semblerait également qu'après avoir tiré sur les victimes, ils les aient fouillées. Ils leur ont volé leurs objets de valeur, notamment leurs téléphones portables", a précisé M. Kekana.
Parmi les tués figure un chauffeur de VTC qui passait en voiture devant le bar.
"C'est de la criminalité pure et simple", a déploré M. Kekana. La police a lancé une chasse à l'homme pour retrouver les agresseurs et demandé l'aide de la population.
L'Afrique du Sud, pays le plus industrialisé du continent, est aux prises avec une criminalité et une corruption endémiques, alimentées par des réseaux organisés et des gangs.
Le pays regorge d'armes à feu, légales et surtout illégales, et les fusillades sont fréquentes, souvent alimentées par la rivalité entre gangs et la concurrence entre entreprises informelles.
Tueries en série
Le bar visé par une attaque à Pretoria au début du mois était un établissement clandestin situé dans un foyer pour travailleurs migrants du township de Saulsville. Parmi les victimes figuraient des enfants âgés de 3, 12 et 16 ans.
Le pays a également été choqué par l'assassinat, le 16 décembre en plein jour, dans le centre de Johannesburg, d'un ancien animateur radio populaire, Warris Stock, connu sous le nom de DJ Warras, abattu devant un immeuble où il s'était rendu dans le cadre de son travail pour une société de sécurité privée.
Autre meurtre très médiatisé, un témoin dans une enquête pour corruption a été tué par balle devant sa famille le 5 décembre, quelques semaines après avoir témoigné contre un chef de police municipale.
Le meurtre de Marius Van der Merwe, 41 ans, a relancé un débat sur le ciblage des lanceurs d'alerte qui fournissent des informations sur la criminalité et la corruption, y compris dans le secteur public et les affaires impliquant des responsables gouvernementaux.
L'Afrique du Sud a un des taux d'homicides les plus élevés au monde. Entre avril et septembre, environ 63 personnes ont été tuées chaque jour dans le pays de 63 millions d'habitants, selon les données de la police sud-africaine.
En septembre 2024, dans une des fusillades récentes les plus meurtrières, 18 membres d'une même famille avaient été abattus dans une ferme isolée de la province du Cap-Oriental.
Les victimes, réunies pour une cérémonie traditionnelle, étaient âgées de 14 à 64 ans, dont 15 femmes. Plusieurs hommes ont été arrêtés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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