Économie
Adidas: chute du résultat après la rupture avec Kanye West
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L'équipementier sportif allemand Adidas a accusé une lourde chute en 2022 de son résultat net, subissant de plein fouet la fin de sa collaboration avec Kanye West, a indiqué le groupe jeudi.
Le résultat net d'Adidas a chuté à 254 millions d'euros, contre 1,49 milliard d'euros dégagés en 2021. La fin de la collaboration avec le rappeur américain Kanye West après les propos à caractère antisémite proférés par ce dernier, devrait se solder en 2023 par une perte d'exploitation chiffrée à 700 millions d'euros, a indiqué Adidas.
"Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Nous n'avons pas les résultats que nous aurions dû avoir", a indiqué le nouveau patron d'Adidas Bjorn Gulden, arrivé à ce poste en janvier.
"Adidas a tout ce qu'il faut pour réussir... Nous avons besoin de remettre tout ceci en ordre mais je suis convaincu qu'avec le temps Adidas sera en mesure de briller à nouveau", a-t-il ajouté, tout en précisant qu'il faudra du temps.
Adidas a mis fin à sa collaboration avec Kanye West - désormais connu sous le nom de Ye - en octobre et à sa collection "Yeezy" conçue avec West, et qui était très profitable.
Au rebond
Pour 2023, Adidas souligne que l'impact de cette rupture va continuer à se faire sentir. Le chiffre d'affaires devrait baisser de quelque 1,2 milliard d'euros et le résultat d'exploitation d'environ 500 millions d'euros.
Adidas prévoit, en cas de dépréciation totale du stock de baskets Yeezy, une charge supplémentaire de 500 millions d'euros. Le groupe prévoit en outre des coûts de 200 millions pour revoir sa stratégie et préparer le rebond de 2024.
En octobre 2022 après des remarques à caractère antisémite de Kayne West, Adidas avait annoncé dans un communiqué "la décision de mettre fin immédiatement au partenariat avec Ye".
"Adidas ne tolère pas l'antisémitisme ou toute autre forme de discours haineux", avait indiqué le groupe ajoutant qu'il mettait ainsi fin à la fabrication des produits de la marque Yeezy du rappeur.
La collaboration entre la marque aux trois bandes et la star américaine a longtemps été l'une des plus fructueuses du monde de la mode.
Développée depuis 2014, la collection de baskets Yeezy du rappeur a connu un succès phénoménal qui a contribué à rendre Kanye West milliardaire.
Les relations entre les deux partenaires s'étaient notablement dégradées l'an dernier en lien avec les diverses frasques de la star.
Ye a été suspendu de Twitter après avoir tweeté qu'il allait s'attaquer aux juifs dans une publication depuis supprimée par le réseau social car enfreignant ses règles.
Il a aussi été suspendu d'Instagram.
Auparavant, le rappeur avait critiqué des initiatives commerciales d'Adidas prises, selon lui, sans son accord.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Moody's relève la perspective de l'Italie, sans changer sa note
L'agence de notation Moody's a relevé vendredi la perspective de la note de l'Italie, de stable à positive, et a maintenu la note de sa dette à long terme à Baa3, un cran au-dessus de la catégorie spéculative.
Dans son communiqué, Moody's a expliqué que les perspectives économiques de l'Italie se sont améliorées grâce à une "performance budgétaire meilleure que prévue en 2024" et un "environnement politique national stable".
L'agence met également en avant "un marché du travail robuste", des budgets équilibrés à la fois chez les ménages et les entreprises, "un secteur bancaire sain" et "l'efficacité de ses institutions et de sa gouvernance".
Elle note cependant que la charge de la dette de l'Italie reste élevée. L'institution maintient donc la note de la dette souveraine italienne à Baa3, car "l'affaiblissement progressif de l'accessibilité de la dette" et les "défis structurels liés au vieillissement de la population" pèsent sur son avenir.
L'Italie est dirigée depuis 2022 par le gouvernement ultraconservateur de Giorgia Meloni.
Au premier trimestre 2025, son produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 0,3% par rapport au précédent, grâce à une progression de tous les secteurs à l'exception de celui des services, d'après l'Institut national des statistiques (Istat).
Le ministre italien de l'Economie Giancarlo Giorgetti s'est félicité fin avril d'une telle progression, "meilleure que dans d'autres pays européens".
C'est "un signal important qui démontre la justesse de nos prévisions et l'efficacité des politiques économiques du gouvernement", a-t-il ajouté.
Quatrième exportateur mondial, l'Italie est cependant l'un des pays de l'Union européenne les plus touchés par la hausse des droits de douane appliqués par les Etats-Unis aux produits européens.
Ces taxes s'élèvent actuellement à 12,5% en moyenne, 2,5% correspondant au niveau avant le retour de Donald Trump au pouvoir en janvier et 10% aux surtaxes annoncées début avril.
Vendredi, Donald Trump a menacé d'assommer l'UE avec des droits de douane de 50% dès le 1er juin. L'excédent commercial de l'Italie vis-à-vis des Etats-Unis a atteint 38,9 milliards d'euros en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Helvetia: feu vert des actionnaires à la fusion avec Baloise
La fusion entre Bâloise et Helvetia franchit une 1ère étape. Réunis en assemblée générale extraordinaire, les actionnaires de l'assureur Helvetia ont approuvé toutes les demandes concernant l'opération. Les propriétaires de Baloise doivent encore se prononcer .
A l'image de l'ensemble des six autres propositions soumises par le conseil d'administration, le contrat de fusion a été accepté à plus 97% des voix représentées lors de la réunion tenue à St-Gall, a indiqué vendredi à AWP un porte-parole d'Helvetia. Son approbation nécessitait une majorité des deux tiers.
Les propriétaires de l'assureur de Suisse orientale ont également validé l'ensemble des autres propositions liées à la naissance du futur numéro deux helvétique de la branche, à savoir le changement de raison sociale du groupe en Helvetia Baloise Holding ainsi que le transfert du siège de la nouvelle entreprise de St-Gall à Bâle.
Les actionnaires ont en outre désigné le conseil d'administration de la nouvelle société. Actuel président de l'organe de surveillance de Baloise, Thomas von Planta, a été élu en tant qu'administrateur d'Helvetia Baloise et à la présidence.
La conclusion de cette première étape n'a guère laissé place au suspense, l'actionnaire principal d'Helvetia, la coopérative Patria, laquelle détient aussi une participation importante dans Baloise, ayant apporté son soutien au projet dès son annonce le 22 avril dernier. Les actionnaires du groupe de bancassurance rhénan se prononceront dès 16h00, l'unique point à l'ordre du jour étant le contrat de fusion entre les deux partenaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Des actionnaires de Credit suisse ne seront pas indemnisés
Le Tribunal fédéral rejette la plainte contre la Confédération d'un couple qui avait acheté 38'000 actions de Credit suisse entre le 10 et le 15 mars 2023. Les actionnaires s'étaient fiés aux propos rassurants du Conseil fédéral quelques jours auparavant.
A l'issue des plaidoiries et de la délibération, la 2e Cour de droit public a annoncé le rejet de la plainte. La présidente a précisé que la décision était valable pour ce cas d'espèce uniquement.
Le couple réclamait une indemnité de 54'601 francs, plus intérêts, pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, les plaignants avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral ait affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte qu'ils ont subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Bonus chez Credit Suisse: la Confédération fait recours
Les bonus des ex-cadres de Credit Suisse ne doivent pas être maintenus. Le Département fédéral des finances (DFF) fait recours auprès du Tribunal fédéral contre la décision du Tribunal administratif fédéral (TAF) d'il y a dix jours, indique-t-il vendredi.
Statuant sur le recours déposé conjointement par douze intéressés, le TAF avait jugé que la réduction, voire la suppression, des bonus encore dus - appelés rémunérations variables - des trois plus hauts niveaux de direction de Credit Suisse, était illicite. Après que la Confédération a accordé des prêts au Credit Suisse en mars 2023 pour garantir ses liquidités, le DFF avait ordonné cette mesure, qui touchait un millier de personnes.
Le DFF conteste le jugement du TAF. Le Tribunal fédéral devra trancher en dernière instance. Le DFF estime que le TAF n'a pas tenu compte d'éléments essentiels dans son interprétation des bases légales. Il n'a notamment pas pris en compte les circonstances exceptionnelles qui ont conduit à la reprise de Credit Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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