International
L'ONU parle de six camions d'aide vers le Darfour pillés
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Le chef des affaires humanitaires de l'ONU Martin Griffiths a déploré le pillage mercredi de six camions d'aide qui se dirigeaient vers le Darfour, au Soudan. Il a appelé à garantir la sécurité pour l'acheminement d'aide. Et veut un "tête-à-tête" avec les généraux.
"Je suis confiant sur le fait que les organisations humanitaires restent et réussissent" à faire leur travail, a dit à la presse à Genève depuis Port-Soudan le secrétaire général adjoint, arrivé le même jour dans le pays. Mais "nous devons être sûrs d'avoir un engagement" des parties à pouvoir garantir en toute sécurité un acheminement de l'aide.
Or, malgré des promesses, plusieurs camions du Programme alimentaire mondial (PAM) qui se dirigeaient vers le Darfour ont été pillés. D'autres violations similaires ont été observées ces dernières semaines.
Il faut que les humanitaires puissent se déplacer librement. Des difficultés bureaucratiques doivent aussi être levées, affirme M. Griffiths. Pour le moment, l'assistance qui arrive se limite à des cargaisons notamment de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de Médecins Sans Frontières (MSF).
Appel pour plusieurs accords
"Nous avons clairement un plan pour déployer du personnel" à Khartoum et dans d'autres régions du pays affectées par les violences, insiste le chef des affaires humanitaires de l'ONU. De même que pour acheminer de l'approvisionnement en nourriture, en eau ou en médicaments. Mais il faut des garanties de sécurité, notamment pour faire entrer du matériel depuis le Tchad.
Le dialogue avec les parties a déjà démarré. Mais il doit s'intensifier dans les prochains jours, selon M. Griffiths. Il faut des accords avec les dirigeants des deux parties, mais aussi "des arrangements locaux".
Il veut désormais que l'ONU puisse avoir un "tête-à-tête" séparé avec le chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhane et son numéro deux, Mohamed Hamdane Daglo, à la tête des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), qui s'opposent depuis trois semaines. Ce dialogue doit avoir lieu "dès que possible pour leur expliquer nos exigences", ajoute-t-il.
Centaines de victimes au moins
Il faut qu'"il soit clair pour eux et pour nous, quels types d'arrangements nous pouvons obtenir de manière réaliste et ce qu'ils peuvent attendre de manière réaliste de nous comme soutien humanitaire". Mais pour le moment, M. Griffiths admet que la question sécuritaire, plutôt que celle de l'humanitaire, est davantage une préoccupation des parties.
Malgré une possible trêve qui pourrait être arrachée par les autorités sud-soudanaises, il se dit convaincu que les déplacements de populations vont se poursuivre. "Je ne pense pas que nous ayons vu la fin de personnes cherchant davantage de sécurité au Soudan et dans les pays voisins".
Plus de 330'000 personnes sont déplacées internes après trois semaines de violences. Plus de 100'000 ont elles rejoint d'autres pays de la région. Et le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) a estimé que jusqu'à 800'000 personnes pourraient fuir le Soudan. Les affrontements ont fait plusieurs centaines de victimes et des milliers de blessés, des chiffres probablement sous-estimés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Sanofi acquiert l'américain Vigil Neuroscience
Le géant français pharmaceutique Sanofi va acquérir Vigil Neuroscience, Inc., une société de biotechnologie spécialisée dans le développement de médicaments innovants pour le traitement de maladies neurodégénératives.
Sanofi déboursera 470 millions de dollars (387 millions de francs) pour acquérir Vigil Neuroscience, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.
Le groupe compte ainsi "ajouter un nouveau médicament expérimental pour le traitement de la maladie d'Alzheimer à son portefeuille en neurologie", assure-t-il.
Les activités de la biotech, basée aux Etats-Unis, sont "actuellement au stade clinique". Son portefeuille de médicaments inclut notamment "le VG-3927, qui fera l'objet d'une étude clinique de phase II pour le traitement de la maladie d'Alzheimer", précise Sanofi.
En vertu de l'accord, "Sanofi se portera acquéreur de toutes les actions en circulation de Vigil au prix de 8 dollars l'action à la clôture, ce qui représente une transaction en numéraire valorisée à approximativement 470 millions de dollars (sur une base entièrement diluée)", soit environ 415 millions d'euros, souligne le communiqué.
"Cette acquisition s'inscrit pleinement dans le droit fil des orientations stratégiques de Sanofi en neurologie et de son ambition de faire avancer la science", a commenté le Dr Houman Ashrafian, responsable, Recherche et Développement de Sanofi, cité dans le communiqué.
"Nous sommes impatients d'unir nos forces avec les équipes de Sanofi (...) afin de libérer tout le potentiel du VG-3927 et accélérer son développement pour le traitement potentiel de la maladie d'Alzheimer", a de son côté déclaré Ivana Magovcevic-Liebisch, docteure en droit, présidente et directrice générale de Vigil.
Les deux entreprises prévoient de clôturer l'opération au troisième trimestre de 2025. "Cette acquisition n'aura aucun impact sur les prévisions financières de Sanofi pour 2025", assure le groupe.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Grèce: fort séisme de magnitude 6,1 au large de la Crète
Un fort séisme de magnitude 6,1 sur l'échelle de Richter s'est produit au large de l'île grecque de Crète jeudi matin, a indiqué l'Institut américain de géophysique (USGS). Il a été ressenti jusqu'à Athènes et en Egypte, selon l'AFP.
Ce tremblement de terre survenu à 06h19 fait suite à une secousse de la même puissance la semaine dernière en mer Egée méridionale, à 15 km de l'île de Kasos et ressenti jusqu'au Caire mais aussi en Crète, et à Rhodes notamment.
En Crète où la secousse de jeudi a été fortement ressentie, de nombreux habitants, qui dormaient au moment du séisme, ont quitté leurs maisons dans les régions de Réthymnon et celle de Lassithi, la plus orientale de Crète, a rapporté la télévision publique ERT.
La secousse tellurique "s'est produite à une grande profondeur et il n'y a pas de raison particulière pour que les habitants s'inquiètent", a souligné Athanassios Ganas, directeur général de recherches à l'Institut de Géodynamique de l'Observatoire National d'Athènes, sur ERT.
Les unités de sapeurs-pompiers de Crète sont en état d'alerte générale, selon l'agence de presse grecque ANA, avec des véhicules en patrouille afin d'évaluer la situation.
Mais aucun dégât majeur n'a été rapporté à ce stade, selon les médias.
Sur ERT, le maire du chef lieu de Crète, la ville d'Héraklion, Alexis Kalokerinos, s'est voulu rassurant, affirmant qu'il n'y avait pas de problèmes particuliers dans sa ville et excluant une fermeture des écoles ce jour.
L'épicentre du tremblement de terre a été localisé en mer à 87 kilomètres d'Héraklion, la capitale de la plus grande île de Grèce, à une profondeur de 68 kilomètres.
La région de l'île de Santorin en mer Egée, haut lieu touristique grec, avait connu une activité sismique exceptionnelle en janvier et février avec des milliers de secousses qui avaient fait fuir plusieurs milliers d'habitants, rentrés depuis chez eux.
Située sur plusieurs failles géologiques en Méditerranée sud-est, la Grèce est régulièrement touchée par des séismes.
Le dernier tremblement de terre meurtrier dans l'archipel a eu lieu en octobre 2020 sur l'île de Samos, en Egée, entre la Grèce et la Turquie. D'une magnitude 7, il avait fait deux morts à Samos et plus de 100 à Izmir, ville portuaire turque.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
L'incertitude règne toujours à Blatten (VS)
L'incertitude règne toujours jeudi matin dans la zone de l'éboulement de Blatten (VS). La question de savoir combien de temps le glacier de Birch va résister reste ouverte, a indiqué un porte-parole de l'état-major régional de conduite du Lötschental.
Plus les forces s'exercent sur le glacier, plus la question de savoir combien de temps cela va encore durer se pose, a déclaré le porte-parole à l'agence de presse Keystone-ATS tôt jeudi matin. Aucun dommage sur les habitations et aucun blessé n'est à déplorer pour l'instant.
De nombreux mouvements ont été observés dans la nuit de mercredi à jeudi et la situation est comparable à celle de la veille: des éboulements partiels au Petit Nesthorn ont fait grossir l'amas d'éboulis sur le glacier de Birch situé en contrebas.
Le porte-parole a laissé entrevoir de plus amples informations pour jeudi après-midi, sauf en cas d'événement majeur. Une conférence de presse est prévue à Ferden (VS) pour informer sur la situation actuelle et les derniers chiffres.
Des mois avant une stabilisation
Le mouvement du glacier s'est accéléré mercredi, passant de 0,5 à 0,8 mètre par jour. Le pan de montagne continue de s'effriter par parties. Environ 2 millions de mètres cubes sont tombés, soit un tiers de la masse totale qui menace de s'effondrer. Les experts se sont toutefois montrés prudemment satisfaits de l'évolution de la situation à Blatten au moment de faire le point mercredi après-midi.
La stabilisation de la montagne prendra des mois. Mais pour le village, des chutes ponctuelles de rochers sur le glacier ou de séracs ne sont pas à craindre grâce à la digue contre les avalanches. Le danger viendrait plutôt d'une lave torrentielle qui submergerait la digue, selon l'ingénieur Alban Brigger. Tant que le "sommet" n'est pas tombé, il est exclu d'envisager un retour des habitants.
Après une évacuation partielle samedi, 306 habitants et touristes ont dû quitter Blatten lundi, après un important éboulement. Plus de 200 animaux ont également été mis à l'abri.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
USA: deux personnes tuées à l'extérieur du musée juif de Washington
Deux employés de l'ambassade d'Israël aux Etats-Unis ont été tués mercredi soir aux abords du musée juif de la capitale américaine, Washington, a confirmé la ministre américaine de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, citée par la chaine CNN.
"Deux employés de l'ambassade d'Israël ont été tués de manière insensée ce soir près du musée juif de Washington DC", a déclaré Mme Noem. "Nous enquêtons activement et nous nous efforçons d'obtenir davantage d'informations à partager", a-t-elle ajouté.
Une source des forces de l'ordre a aussi confirmé à CNN que deux personnes ont été abattues.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / belga / afp
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