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Siegenthaler prêt à frapper un grand coup avec les Devils
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Jonas Siegenthaler s'est établi comme l'un des meilleurs défenseurs de la NHL depuis son arrivée chez les New Jersey Devils.
Le Zurichois espère maintenant frapper un grand coup au sein d'un effectif au fort accent suisse alémanique.
Jusqu'à ses débuts en Amérique du Nord, la carrière de Siegenthaler a connu une ascension constante. Le 15 décembre 2013, il a fait ses débuts dans la plus haute ligue suisse avec les Zurich Lions, à l'âge de 16 ans. En 2015, il a été drafté en 57e position par Washington. Mais il s'est retrouvé en bout de banc chez les Capitals lors de la saison 2020/21 qui n'a débuté qu'en janvier.
Dès lors, le transfert en avril 2021 chez les Devils a été une délivrance. Jonas Siegenthaler ne veut toutefois pas regretter son passage à Washington, ni les 127 matches joués en AHL avec Hershey: "Bien sûr, je n'ai pas aimé la façon dont les choses se sont passées. Mais c'était une très bonne expérience pour moi, sans laquelle je ne serais pas le joueur que je suis aujourd'hui", déclare-t-il dans un entretien accordé à Keystone-ATS.
Après son transfert de Zurich à Hershey, il avait d'abord été choqué. "En AHL, tout le monde se regarde, car tout le monde veut aller en NHL", raconte-t-il. De ce point de vue, il a abordé la chose selon la devise "Fermer les yeux et aller jusqu'au bout". Abandonner n'a jamais été une option pour lui.
D'excellentes perspectives
Sa persévérance a porté ses fruits. Les Devils étaient pour lui une destination de rêve, notamment parce qu'il pouvait y jouer avec son ami Nico Hischier. Et la colonie helvétique de Newark comprend désormais quatre noms. Le gardien Akira Schmid s'est battu pour intégrer l'équipe la saison dernière, et Timo Meier - qui a entre-temps signé jusqu'en 2031 - l'a rejointe fin février. Pour le plus grand plaisir de Siegenthaler.
De plus, les perspectives avec les Devils sont excellentes. L'équipe dispose de beaucoup de talent et a été habilement renforcée. Lors de la dernière saison, les Devils étaient la troisième meilleure équipe de la ligue en saison régulière, avec 49 points de plus (112) que la saison précédente. "Cela montre à quel point les choses peuvent aller vite dans le hockey sur glace", dit Siegenthaler.
Le Zurichois attribue aussi l'élimination en quarts de finale contre les Carolina Hurricanes (1-4) au manque d'expérience en play-off, phase décisive du championnat à laquelle New Jersey n'avait plus participé depuis 2018. Selon lui, l'intensité est nettement plus élevée en play-off, et il est décisif de savoir maîtriser ses émotions.
Jonas Siegenthaler n'est cependant pas du genre à ressasser longtemps un échec. "Je me tourne très vite vers l'avenir", lâche le Zurichois, serein sur et en dehors de la glace. Un trait de caractère dû selon lui à ses racines thaïlandaises, le pays d'origine de sa mère.
"Là-bas, tout le monde a généralement le sourire. Les gens apprécient le peu qu'ils ont, ils sont serviables. Nous autres Suisses pourrions en prendre de la graine", souligne Siegenthaler, qui essaie de se rendre une fois par an en Thaïlande, où vivent désormais ses parents.
Un rôle qui le satisfait
Devenu un pilier indispensable et fiable des Devils, le Zurichois a passé en moyenne plus de 20 minutes sur la glace la saison dernière. Il est sous contrat avec New Jersey jusqu'en 2028, avec un salaire annuel moyen de 3,4 millions de dollars. Un salaire modeste comparé à celui des stars de son équipe.
Un joueur comme lui, qui fait le "sale boulot", est énormément apprécié au sein de l'équipe. "Vu de l'extérieur, je ne bénéficie pas d'autant de crédit. Mais je m'en suis accommodé. Pour moi, c'est juste. Tant que je peux aider l'équipe, je suis heureux de mon rôle", assure-t-il.
Et s'il espère avoir l'occasion d'effacer l'échec connu avec l'équipe de Suisse lors du dernier Mondial (défaite en quart face à l'Allemagne), Jonas Siegenthaler préférerait ne pas être sélectionnable au printemps prochain. Les Devils sont bâtis pour conquérir la Coupe Stanley. "Si tout se passe bien, nous devrions être un candidat au titre dans un à quatre ans", conclut-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
René Fasel: "J'aime servir de trait d’union"
Après plusieurs années de mutisme, René Fasel est sorti de son silence. Dans "La Liberté", l'ancien président de l'IIHF regrette d'avoir été traîné dans la boue pour ses relations avec la Russie.
Président pendant 27 ans de la fédération internationale de hockey sur glace, René Fasel a quitté son poste en 2021, remplacé par le Franco-Canadien Luc Tardif. Mais le Fribourgeois n'a pas mis longtemps à se trouver une activité puisqu'il a accepté une offre de la KHL russe pour être président d'un groupe d'experts sur l'arbitrage, lui qui fut arbitre avant de présider aux destinées du hockey mondial. Pour rappel, en mars 2022, Fasel avait dit à Keystone-ATS n'avoir accepté aucune tâche en Russie.
"Mes amis russes avaient besoin d’aide, c’était prévu de longue date que je m’engage auprès d’eux, explique-t-il. Par esprit de loyauté, je ne me voyais pas les laisser tomber." Même en pleine tempête, le Fribourgeois n'a jamais tourné le dos à ses amis de l'Est.
Fasel le pacificateur
Lorsqu'en 2021 les actions du président biélorusse Loukachenko ont eu pour conséquence la suppression d'une partie du Championnat du monde à Minsk pour avoir la totalité de la compétition à Riga en Lettonie, René Fasel avait dû se résoudre à accepter la décision de l'IIHF. Une semaine plus tôt, le président de la fédération internationale avait été filmé en train de faire une accolade à Loukachenko, ce qui avait grandement écorné son image.
Il avoue sans détour sa passion pour le hockey russe et reconnaît n'avoir jamais pensé rendre son passeport après l'agression des troupes de Vladimir Poutine en Ukraine: "De très bons amis m’ont conseillé de rendre mon passeport russe. Jamais je ne ferai ça. Je l’ai demandé et je l’ai reçu, voilà tout." Le Fribourgeois explique que d'être russe facilite tout là-bas.
Celui qui s'est mué en pèlerin pour amener la NHL aux JO apprécie plus que tout être une main tendue pendant les conflits. L'une de ses plus grandes fiertés sera d'avoir réussi à réunir sous un même drapeau les joueuses de hockey des deux Corées en 2018 pour les Jeux à Pyeongchang. "Le sport sert à rapprocher, pas à éloigner, martèle-t-il depuis toujours. J'aime servir de trait d’union entre deux oppositions. J’en ai fait mon cheval de bataille lors de mes 27 ans à l’IIHF."
Avec Poutine, le sport et rien d'autre
Concernant ses relations avec Vladimir Poutine, René Fasel fait remonter les origines de leur amitié à 1999. "Nos discussions se résumaient au hockey et à son développement, précise-t-il. On a joué au hockey ensemble et beaucoup rigolé. Une relation existe et je ne change pas mon idée à son sujet."
De nombreuses voix se sont élevées contre René Fasel lorsque la Russie a agressé l'Ukraine en affirmant que ses liens avec la KHL signifiaient indirectement qu'il cautionnait la guerre. "S’investir dans le sport, ça ne revient pas à cautionner quelqu’un ou quelque chose, se défend le Fribourgeois. Je ne nie pas que la politique sportive existe. Mais je n’accepte pas qu’on me mette dans une case sous prétexte que j’½uvre au sein de la KHL. Vous savez, je suis contre toutes les guerres et pour la paix. Ce qui se passe en Palestine, en Ukraine et ailleurs dans le monde, c’est horrible."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Leon Draisaitl délivre les Oilers
Finaliste l’an dernier devant Florida, Edmonton est en passe de réussir à nouveau un parcours de choix lors des séries finales. Les Oilers mènent 2-0 dans leur demi-finale de Conference face à Vegas.
Edmonton a cueilli une deuxième victoire dans le Nevada. Les Oilers se sont imposés 5-4 sur une réussite de Leon Draisaitl après 15’20’’ de jeu dans la prolongation. L’Allemand a bénéficié d’un service en or de Connor McDavid pour ne laisser aucune chance au portier Adin Hill.
A l’Est, Washington a égalisé à 1-1 face à Carolina. Sur leur glace, les Capitals ont remporté 3-1 l’Acte II grâce principalement aux 27 arrêts de leur gardien Logan Thompson.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Un contrat de cinq ans au Lausanne HC pour Connor Hughes
Connor Hughes est de retour au Lausanne HC ! Après une année dans l’organisation du Canadien de Montréal, le portier international s’est engagé jusqu’en juin 2030 avec le club vaudois.
Agé de 28 ans, Connor Hughes avait été le grand artisan de la qualification du Lausanne HC pour la finale des play-off 2024. Ses performances avaient suscité l’intérêt du Canadien. Il évolue cette saison avec les Rockets de Laval en AHL, le club ferme de Montréal, avec lequel il est actuellement engagé dans les séries finales.
La saison prochaine, Connor Hughes formera un duo avec Kevin Pasche, lequel sort d’une première saison aboutie dans le rôle de no 1. "C’est une nécessité pour nous d’avoir un tel duo de gardiens, se félicite le directeur sportif du LHC John Fust dans un communiqué. Nous aurons besoin de profondeur pour disputer le championnat et la Ligue des Champions, deux compétitions dans lesquelles nous voulons être ambitieux."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Nico Hischier en... attendant Kevin Fiala
Patrick Fischer a actualisé sa sélection pour le Championnat du monde à Herning. Quatre joueurs de NHL seront de la partie, dont Nico Hischier.
Après avoir terminé sa préparation par deux belles victoires contre la Finlande et la République tchèque, la Suisse va donc rejoindre le Danemark avec une formation au potentiel certain, grâce notamment à la participation de ce quatuor venant d'Amérique du Nord. Il est formé du défenseur de Tampa Bay Janis Moser et des trois joueurs de New Jersey, Nico Hischier, Jonas Siegenthaler et Timo Meier. La semaine dernière, Patrick Fischer avait laissé entendre que Nico Hischier pouvait faire l'impasse sur ce championnat du monde. Mais celui qui a comptabilisé cette saison 73 points sera bien le leader de sa sélection.
Afin de faire de la place pour permettre l'arrivée de ces nouveaux joueurs, Roger Karrer (Genève-Servette), Fabian Ritzmann (Berne), Sven Senteler (Zoug) et Samuel Walser (Fribourg-Gottéron) ont été écartés. Swiss Ice Hockey précise que de nouveaux ajustements seront communiqués au fur et à mesure. Patrick Fischer n'écarte pas la possibilité que Kevin Fiala renforce l'équipe. La présence de l'attaquant de Los Angeles apporterait un plus énorme à la sélection.
La Suisse disputera entrera en lice vendredi à Herning face à la République tchèque pour la revanche de la finale de l'an dernier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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