International
Indonésie: naissance d'un rhinocéros de Sumatra, espèce menacée d'extinction
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Un rhinocéros de Sumatra vient de voir le jour dans une réserve de l'ouest de l'Indonésie. Cela dans le cadre d'un programme visant à sauver une espèce dont il reste moins de 80 individus, ont annoncé lundi les autorités.
Une femelle dénommée Delilah a donné naissance ce week-end à un rhinocéros mâle au sein du Parc national Way Kambas à Sumatra. L'animal, dont le père se nomme Harapan, pesait 25 kilos à la naissance. Plus petit de tous les rhinocéros, le rhinocéros de Sumatra peut atteindre un poids d'1,5 tonne à l'âge adulte.
Il s'agit de la cinquième naissance dans le cadre de ce programme, a indiqué Siti Nurbaya Bakar, ministre de l'Environnement et de la Forêt. Une autre naissance était intervenue en septembre.
Le Fonds mondial pour la nature (WWF) estime qu'il reste moins de 80 rhinocéros de Sumatra dans le monde, vivant principalement sur l'île indonésienne de Sumatra et à Bornéo, île que se partagent l'Indonésie, la Malaisie et le sultanat de Brunei.
Braconnage et réchauffement
"C'est la deuxième naissance d'un rhinocéros de Sumatra en 2023. Cela renforce encore l'engagement du gouvernement en faveur de la conservation des rhinocéros en Indonésie", a déclaré la ministre.
De multiples menaces ont amené le rhinocéros de Sumatra au bord de l'extinction, notamment le braconnage et le changement climatique.
L'Indonésie tente aussi de sauver une autre espèce en grand danger, le rhinocéros de Java dont il ne subsiste que 80 spécimens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une enquête ouverte en France contre X (ex-Twitter)
La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert le 9 juillet une enquête visant le réseau social X et ses dirigeants, suspectés d'avoir biaisé l'algorithme de la plateforme à des fins d'ingérence étrangère, a annoncé la procureure de Paris.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie nationale contre le réseau X, en tant que personne morale, et contre les "personnes physiques" qui la dirigent, indique vendredi Laure Beccuau dans un communiqué, sans citer le nom de son patron, Elon Musk, multimilliardaire également patron de Tesla.
Cela intervient après deux signalements reçus le 12 janvier, qui "faisaient état de l'utilisation supposée de l'algorithme de X (ex-Twitter) à des fins d'ingérence étrangère", détaille le ministère public.
Le premier provenait du député macroniste des Côtes-d'Armor spécialiste de ces questions, Eric Bothorel. Il alertait le parquet sur "les récents changements d'algorithme de X, ainsi que les ingérences apparentes dans sa gestion depuis son acquisition par Elon Musk" en 2022.
Il soulignait une "réduction de la diversité des voix et des options", une plateforme qui s'éloigne d'un objectif de "garantir un environnement sûr et respectueux à tous", un "manque de clarté quant aux critères qui ont conduit aux changements d'algorithmes et aux décisions de modération", ainsi que des "interventions personnelles d'Elon Musk dans la gestion de sa plateforme", soit "un véritable danger et une menace pour nos démocraties".
Contenus haineux
Selon les informations du Canard enchaîné en février, le second signalement provenait d'un directeur de cybersécurité dans la fonction publique qui avait de son côté signalé "une modification majeure dans l'algorithme utilisé par la plateforme X qui propose aujourd'hui énormément de contenus politique haineux, racistes, anti-LGBT+, homophobes et qui visent donc à biaiser le débat démocratique en France".
Le parquet, qui avait confirmé début février étudier ces signalements, a indiqué vendredi dans son communiqué avoir ouvert cette procédure "sur le fondement de vérifications, de contributions de chercheurs français et d'éléments apportés par différentes institutions publiques".
L'enquête a été confiée à la Direction générale de la gendarmerie nationale, et porte "notamment" sur les infractions suivantes : altération du fonctionnement d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée, ainsi qu'extraction frauduleuse de données d'un système de traitement automatisé de données en bande organisée.
Le patron de X France, Laurent Buanec, avait assuré le 22 janvier sur son réseau social que "X a des règles strictes, claires et publiques visant à protéger la plateforme des discours de haine", "lutte contre la désinformation" et que son algorithme "est construit de manière à éviter de vous proposer des contenus de type haineux."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La France veut faire reculer les 200'000 abandons annuels de chiens et chats
Le ministère de l'Agriculture a lancé vendredi une campagne de communication pour lutter contre l'abandon de chiens et de chats en France. Au moins 200.000 d'entre eux sont concernés chaque année.
La lutte contre la maltraitance animale, "qui se manifeste particulièrement l'été", "constitue une priorité pour le gouvernement", a assuré le ministère dans un communiqué.
Il lance vendredi "#StopAbandon", une "campagne de communication (...) diffusée sur l'ensemble de ses comptes sociaux: Facebook, Instagram, X".
Le ministère de l'Agriculture espère par ce biais "dissuader les abandons" et "valoriser les solutions alternatives."
"Un animal, c'est une responsabilité, ce n'est pas un jouet" et l'abandonner "c'est un délit qui est puni d'une amende et très sévèrement", a déclaré vendredi matin la ministre de l'Agriculture, Annie Genevard, sur France 2, confirmant que "200.000 animaux sont abandonnées chaque année au moment des congés".
Selon des chiffres du Centre national de référence pour le bien-être animal, relayés par le ministère, 207.000 chiens et chats ont été abandonnés en France en 2021.
Surveillance renforcée sur internet
"Tout ce qui est lié à l'activité autour des animaux va faire l'objet d'une réglementation renforcée, de sanctions renforcées", a poursuivi la ministre.
"Et puis on va contrôler aussi tout ce qui se passe sur internet en matière de vente d'animal pour évidemment mettre fin à des comportements qui sont préjudiciables aux animaux", a-t-elle ajouté vendredi.
Pour lutter contre la maltraitance animale, depuis le 1er janvier 2024, les animaleries ne sont plus autorisées à vendre des chiens ou des chats en magasin, mais la vente en ligne reste autorisée.
Une "pratique qui peut conduire à des dérives", a estimé vendredi le ministère de l'Agriculture.
Un domaine mieux réglementé
Le ministère a publié début juillet un arrêté ministériel encadrant les activités professionnelles liées aux animaux de compagnie, notamment les règles sanitaires et de protection animale.
Il prépare également un décret, avec en vue une publication d'ici la fin de l'année, permettant de sanctionner les animaleries qui poursuivraient la cession, à titre onéreux ou gratuit, de chiens et de chats dans leur établissement.
Selon un rapport en mars de la fondation 30 Millions d'amis, des "magasins ont simplement transformé leurs ventes en magasins en ventes en ligne, le client paie puis vient récupérer l'animal".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE "prête" à un accord commercial, attend Trump
"De notre côté, nous sommes prêts": la Commission européenne a affirmé vendredi être disposée à conclure un accord commercial avec les Etats-Unis, mais attendre le feu vert de l'administration Trump.
"Voyons ce qui se passe quand nos amis à Washington se réveillent dans quelques heures", a déclaré Olof Gill, porte-parole de l'exécutif européen, lors d'une conférence de presse.
"De notre côté, nous sommes prêts", a-t-il indiqué.
La Commission européenne, seule compétente pour négocier les accords commerciaux de l'UE, cherche à conclure un accord de principe avec les Etats-Unis, dont les détails suivraient ultérieurement.
Au cours des derniers jours, via des missives publiées sur son réseau Truth Social, le président Donald Trump a annoncé des droits de douane révisés pour le Canada ou le Brésil. Mais rien, pour l'heure, concernant l'UE.
Le dirigeant américain a menacé le bloc européen d'une surtaxe de 50%, bien supérieure à son projet d'avril de 20%.
Selon des sources diplomatiques, les grandes lignes de l'accord actuellement négocié porteraient sur des droits de douanes américains de 10% sur les importations européennes avec plusieurs exceptions.
Mesures de riposte
Actuellement, aucun nouvel appel ou réunion n'est toutefois prévu entre les négociateurs européens et américains, voire entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a fait savoir la Commission.
"Mais tout cela pourrait changer d'une minute à l'autre", a dit sa porte-parole, Paula Pinho.
L'Union européenne a également préparé des mesures de riposte à une autre salve de droits de douane américains, portant sur l'acier et l'automobile. Ces mesures avaient été suspendues jusqu'au 14 juillet, afin de laisser une chance aux négociations avec Washington.
La Commission n'a jusqu'ici pris aucune mesure pour prolonger la suspension, mais elle pourrait le faire rapidement si cela s'avérait nécessaire.
"Il n'y a aucune difficulté à le faire", a assuré Olof Gill.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Procès confirmé pour Renault dans le cadre du Dieselgate
Le parquet de Paris a requis le 25 juin un troisième procès pour tromperie aggravée dans le scandale du Dieselgate contre le constructeur français Renault. Il intervient après ceux déjà demandés contre Volkswagen et Peugeot-Citroën.
La marque au losange est suspectée d'avoir "spécialement calibré" des véhicules de normes Euro 5 et Euro 6 commercialisés entre 2009 et 2017 pour qu'ils respectent les paramètres réglementaires lors des tests d'homologation mais pas en situation normale, d'après les réquisitions dont l'AFP a eu connaissance ce vendredi.
Cette tromperie alléguée est aggravée par le fait que ce calibrage a pu favoriser de la pollution atmosphérique aux oxydes d'azote, "favorisant notamment l'apparition chez l'homme de maladies respiratoires".
La décision finale sur un procès appartient au juge d'instruction, dans ce dossier qui a fait l'objet d'abondants échanges techniques et de plusieurs expertises.
Lors de sa mise en examen, en juin 2021, Renault avait contesté toute tromperie aggravée et avait assuré s'être toujours conformée aux normes en vigueur.
"Une stratégie assumée" de Renault
Pour la procureure chargée de ce dossier, toutefois, "l'ensemble des déclarations des équipes travaillant sur la conception des moteurs diesel au sein de la SAS Renault tendait à démontrer que l'objectif en matière de dépollution était de 'passer la norme', en limitant de facto 'la norme' au protocole d'homologation" alors que "cette norme devait trouver à s'appliquer aussi dans des conditions d'utilisation normale du véhicule".
Cette "stratégie assumée d'optimisation du fonctionnement des organes de dépollution et au long cours" a été prise de manière "collégiale", assure le ministère public.
A ce stade, il y a 381 parties civiles dans la procédure, des particuliers, des associations, des personnes publiques, parmi lesquelles les villes de Paris, Lyon, Montpellier ou Grenoble ainsi que des entreprises privées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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