Économie
Les firmes suisses ont continué à rapatrier des milliards en 2022
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Les sociétés domiciliées en Suisse et au Liechtenstein ont continué en 2022 à rapatrier des milliards depuis leurs filiales à l'étranger. Ce montant a atteint 71 milliards de francs, contre près de 116 milliards en 2021, 34 milliards en 2020 et 54 milliards en 2019.
Le phénomène s'est une nouvelle fois concentré dans le domaine des services, où les désinvestissements se sont élevés à 68 milliards, indique la Banque nationale suisse (BNS) vendredi dans son relevé périodique. Naguère exclusivité des sociétés financières et holdings (26 milliards en 2022), ils se sont désormais propagés aux branches des transports et de la communication (29 milliards) et aux banques (19 milliards).
Les investissements nets à l'étranger des assurances (6 milliards), du commerce (4 milliards) ou encore de la métallurgie et la construction de machines (5 milliards) n'ont de loin pas suffi à équilibrer le solde.
En fin d'année dernière, les stocks d'investissements directs suisses à l'étranger représentaient 1319 milliards, dont 1293 milliards sous la forme de participation et 26 milliards sous celle de prêts. Les revenus de ces investissements se sont élevés à 110 milliards de francs, soit 10 milliards de plus qu'en 2021.
La tendance au rapatriement s'est également montrée persistante dans l'autre direction, les sociétés non résidentes ayant elles aussi retiré plus de capitaux de Suisse qu'elles n'en ont injecté. Le désinvestissement net a toutefois été modéré à 58 milliards, contre 133 milliards un an plus tôt.
Le retrait de 70 milliards de francs du fait de sociétés financières et holding a été partiellement contrebalancé par des investissements nets dans le commerce (11 milliards), ainsi que dans l'industrie chimique et plastique (8 milliards). Les stocks d'investissements directs étrangers en Suisse s'établissaient fin décembre à 1055 milliards, là encore pour l'essentiel sous la forme de participation. Les revenus de ces investissements ont grappillé 1% pour atteindre 102 milliards.
Les entreprises en mains suisses interrogées par la BNS contrôlaient en 2022 20'300 milliards à l'étranger, employant près de 2,28 millions de personnes hors frontières en plus d'un gros demi-million dans le pays et générant un chiffre d'affaires de 887 milliards (+8%)
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La BC de St-Gall s'est enrobée tous azimuts au premier semestre
Revenus, rentabilité, prêts ou encore avoirs sous gestion, la Banque cantonale de St-Gall (SGKB) a progressé dans toutes les directions sur les six premiers mois de l'année. L'établissement a notamment étoffé son bénéfice net de 13,6% à 114,1 millions de francs.
Le produit d'exploitation a enflé de 9,8% à 301,8 millions de francs, porté par un résultat brut des opérations d'intérêt amélioré de 10,3% à 184,9 millions. Commissions et prestations de services ont livré une contribution élargie de 9,0% à 89,4 millions. Le résultat du négoce a bondi de 16,7% à 26,0 millions, égraine le compte-rendu intermédiaire diffusé mercredi.
Les dépenses d'exploitations ont aussi pris l'ascenseur, mais dans une moindre mesure que les recettes. La facture a été alourdie de 6,8% à 159,8 millions. Il en ressort un résultat d'exploitation en hausse de 11,2% à 133,9 millions.
L'afflux net d'argent frais sur la période a atteint 2,0 milliards et la masse sous gestion a enflé de 3,7% à 66,9 milliards. Le volume de prêts aux clients a grappillé 1,1% pour s'établir à 34,1 milliards.
La direction laisse augurer pour l'ensemble de l'exercice en cours un bénéfice net comparable aux quelque 215 millions dégagés l'an dernier, mais préfère ne pas s'aventurer sinon sur le terrain des perspectives quantifiées en raison des incertitudes non négligeables planant actuellement sur la situation économique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La Banque cantonale bernoise (BCBE) a progressé sur six mois
La Banque cantonale bernoise (BCBE) a dévoilé mercredi un bénéfice net en hausse sur six mois. La direction se dit prudemment optimiste pour la suite des opérations, après un début d'année difficile entre volatilité, conflits géopolitiques et taux bas persistants.
De janvier à juin, le produit d'exploitation a augmenté de 2,4% à 277,0 millions de francs, indique un communiqué. Le résultat net des opérations d'intérêts a avancé de 1,4% à 191,4 millions. Celui des commissions et prestations de service a bondi de 11,1% à 62,6 millions.
Le résultat opérationnel a par contre reculé de 3,6%, à 113,8 millions de francs, alors que les charges d'exploitation ont augmenté de 4,4%. Le bénéfice net a finalement atteint 76,3 millions, soit 1,4% de plus.
Le volume des prêts à la clientèle a atteint 30,9 milliards (+1,3%) de francs, dont 29,2 milliards en créances hypothécaires (+3,0%). Les dépôts de la clientèle ont progressé de 1,7%, à 27,5 milliards. Quant à la masse sous gestion, elle est revendiquée en hausse de 1,7% à 43,6 milliards.
Pour 2025 dans sa globalité, l'établissement bernois souligne une situation économique mondiale qui "apporte son lot d'incertitudes", sans donner de précisions chiffrées. "La persistance des taux bas et la volatilité élevée des marchés financiers donneront du fil à retordre dans les mois à venir."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Trump pour une action en justice contre le président de la Fed
Le président américain Donald Trump a menacé mardi d'autoriser une "action en justice majeure" contre le président de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell. Il est mécontent des décisions de la banque centrale et du coût de la rénovation de son siège.
"J'envisage d'autoriser une action en justice majeure contre Powell en raison du travail horrible et manifestement incompétent qu'il a accompli dans la gestion" du chantier de rénovation de la Fed à Washington, a-t-il écrit sur Truth Social.
M. Trump met depuis des semaines en scène son impatience croissante face à la Fed. Il traite d'"abruti" M. Powell, qu'il a nommé à sa tête durant son premier mandat, appelle les autres banquiers centraux à le renverser et fait régulièrement mine de vouloir l'éjecter.
Il s'est même fendu fin juillet d'une visite surprise du chantier de rénovation du siège de l'institution à Washington, qu'il juge trop coûteux. L'épisode a donné lieu à une scène largement diffusée dans les médias: Donald Trump et Jerome Powell côte à côte, avec des casques de chantier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Le chômage reste au plus haut depuis quatre ans au Royaume-Uni
Le taux de chômage est resté stable au Royaume-Uni, à 4,7% lors des trois mois achevés en juin, son niveau le plus élevé depuis quatre ans, sur un marché du travail qui se refroidit, selon l'Office national des statistiques (ONS) mardi.
"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie et de la vente au détail.
"Les offres d'emploi, elles aussi, ont continué à diminuer, également en raison de la baisse des opportunités dans ces secteurs", ajoute-t-elle.
La croissance des salaires de base est restée stable et celle des salaires incluant les primes a légèrement ralenti, souligne aussi l'ONS.
Pour Richard Carter, analyste chez Quilter Cheviot, les données de l'ONS plaident plutôt en faveur d'"une nouvelle baisse des taux" d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE) "d'ici la fin de l'année".
"La Banque d'Angleterre est face à un équilibre délicat. L'inflation reste à 3,6 % (en juin), alimentée par les coûts du logement et des transports, mais les signes de faiblesse sur le marché du travail deviennent de plus en plus difficiles à ignorer", estime-t-il.
La BoE vient tout juste d'abaisser son taux directeur à 4%, à l'issue d'un vote serré, pour soutenir une économie à la peine --le PIB a reculé deux mois d'affilée en avril et en mai. Elle a appelé à la prudence pour la suite.
"Il est encore trop tôt pour dire s'il y aura une réduction en novembre", estime Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown, qui juge décembre "un peu plus probable".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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