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Ascenseur émotionnel en fin de match à la Tuilière
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Le Lausanne-Sport recevait St-Gall à la Tuilière ce jeudi. Dans une fin de match à 100 à l'heure, les deux clubs ont signé un match nul 3-3.
Dans cette confrontation, il y avait d'un côté ceux qui veulent maintenir leur place dans le Top 6, St-Gall. Et de l’autre, ceux qui veulent accéder à ce Top 6, Lausanne. Le duel s'annonçait donc intense.
Si les premières minutes ont été un peu plates, les St-Gallois ont commencé à se montrer dangereux à la 6e. Willem Geubbels qui a pu remonter sur la gauche du but, presque tout seul. Mais Karlo Leticia s'est jeté dans ses pieds pour arrêter le ballon.
Les visiteurs ont pris l'avantage une minute plus tard. Le tir est signé Chadrac Akolo, en face du but. Le ballon est passé tout droit. Le gardien lausannois, masqué par des joueurs, n’a rien pu faire.
Donat Rrudhani a tenté d'aller chercher l'égalisation à la 21e en s'échappant seul en direction du but. Mais il a finalement été contré. C'est finalement St-Gall qui confortera son avantage avec un shoot depuis la ligne des 16m de Jordi Quintilla (24e). Il y avait pourtant du monde devant la cage, mais le ballon a pris sa plus belle diagonale pour aller se loger au fond des filets.
Les hommes de Ludovic Magnin répondront à la 34e grâce à un bon centre de Morgan Poaty. Noë Dussene s'est élevé dans les airs pour aller chercher le ballon de la tête et tromper Lawrence Ati Zigi.
Une deuxième mi-temps de feu
Au retour des vestiaires, c’est le LS qui a pris les manettes de la rencontre. Dans les 15 premières minutes, c’était devant le but de Lawrence Ati Zigi que ce sont déroulées les actions. Mais c’est à partir de la 79e minute que le match est devenu un vrai spectacle pour les 7’160 spectateurs présents à la Tuilière. Donat Rrudhani a récupéré un ballon arrivé du milieu de terrain et s’est tant bien que mal replacé en face du but. Son tir, à ras de la pelouse, a traversé cinq paires de jambes st-galloises avant d’aller se loger dans les filets. Pas question pourtant pour le milieu de terrain de célébrer. Il est directement reparti au centre de la pelouse pour reprendre le jeu.
La joie, si l’on peut parler de joie, n’aura été que de courte durée puisque quelques secondes plus tard, St-Gall a repris l’avantage sur une réussite de Jovan Milosevic, du bout de la jambe. Lausanne n’allait cependant pas s’avouer vaincu et a mis la pression. Jusqu’à la 83e. Kaly Sene était parti tout seul face au but, coursé par Patrick Sutter et Abdoulaye Diaby qui a fini par le tacler alors qu’ils arrivaient tous sur le gardien. Résultat: Sene tordu de douleur au sol et l’arbitre rappelé par la VAR. Puis le penalty. Et c’est Donat Rrudhani qui a transformé et qui a, encore, offert l’égalisation à son équipe. Qu’a-t-il ressenti sur ces deux buts égalisateurs?
Donat Rrudhani est par deux fois allé chercher l'égalisation, ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)
Les Lausannois ont mis toute leur énergie pour aller chercher un quatrième but. Mais le football en a décidé autrement. Les deux équipes sont donc rentrées avec un point.
Gérer les louanges
Un point, c’est mieux que rien. L’équipe le prend volontiers, même s’il y a un peu de frustration.
La faute à des Lausannois qui n'ont pas réussi à bien se mettre dans le match dès le début.
“C’est une équipe qui joue très bien depuis des semaines, avec quelque chose de nouveau pour eux: des louanges, explique Ludovic Magnin. Et les louanges, c’est comme les critiques, faut apprendre à les digérer.” Ce qui a eu un impact sur la première mi-temps selon le coach lausannois. “On a vu qu’on a eu de la peine à digérer les dernières bonnes performances. Il m’a manqué cette agressivité dans les duels, sur les deuxièmes ballons, cette compacité.”
En revanche, le coach a apprécié l’attitude de ses joueurs. “On a montré du caractère après le 2-0. Il y a quelques semaines, quelques mois, on l’aurait pas fait”, analyse-t-il. Mais il est vrai que cette victoire semblait au bout des crampons pour les Vaudois.
Le Lausanne-Sport pointe toujours au 8e rang du classement de Super League, à 7 unités de la 6e place tenue par… St-Gall. Le club a encore quatre matchs pour tenter d’intégrer ce Top 6. “C’est votre job (ndlr: aux journalistes), c’est aussi le job des supporters, de rêver, lâche cependant Ludovic Magnin. On l’a dit en février qu’on allait se battre contre la relégation jusqu’à la fin du championnat.” Mais est-ce que les bonnes performances de ces dernières semaines ne donne pas envie de voir ses ambitions à la hausse?
Le prochain match pour le LS, ce sera ce dimanche à Lucerne. L’entraîneur espère continuer sur cette bonne lancée mais devra composer avec des “pépins physiques” qui ne seront, il l’espère, pas trop graves. Des joueurs blessés ont néanmoins pu revenir au jeu dernièrement.
“J’entends souvent les gens demander pourquoi on fait des changements tard. Et bien quand on a l’effectif au complet, ça fait trois, quatre matchs qu’on change très vite, rassure-t-il. Tout simplement. On s’adapte à l’effectif à disposition.” Ludovic Magnin n’est cependant pas totalement serein pour dimanche. “Je pense qu’à Lucerne, sur un terrain en herbe, après deux matchs très difficiles, il va falloir mettre du sang frais. Et je me vois déjà compter les joueurs qui vont pas être là ce weekend, comme Gábor Szalai aujourd’hui. Il faut changer sa défense, jouer avec deux droitiers dans l’axe, ce que je n’aime pas trop. On a vu que c’est pas l’idéal, donc y a du boulot”, conclut le coach.
Football
La Suisse veut plus qu'un point face à la Finlande
Un nul lui suffirait pour disputer le premier quart de finale de son histoire dans un Euro. Mais l'équipe de Suisse veut battre la Finlande jeudi à Genève (21h) dans la troisième journée du groupe A.
En pleine confiance après leur probante victoire obtenue contre l'Islande dimanche à Berne (2-0), les Suissesses sont proches d'atteindre ce qui constitue, paradoxalement, autant un objectif presque minimal qu'un jalon historique. Le statut de tête de série réservé au pays-hôte a, en effet, offert à la Suisse un avantage non négligeable en lui permettant d'éviter un mastodonte européen au premier tour.
Une élimination jeudi en cas de défaite face à la Finlande, un adversaire largement à la portée des joueuses de Pia Sundhage, serait donc synonyme de désillusion pour une équipe qui n'a cessé de gagner la sympathie du public helvétique depuis le début de la compétition.
Attention à la Finlande
Certes, le deuxième but marqué par Alayah Pilgrim dimanche au Wankdorf place la Suisse en pole position avant ce véritable 8e de finale, dont le vainqueur affrontera l'Espagne ou l'Italie vendredi 18 juillet à Berne. Mais Lia Wälti et ses coéquipières ne comptent pas prendre les Finlandaises à la légère devant le public romand.
"Elles m'impressionnent depuis le début de la compétition", a lâché la capitaine de l'équipe de Suisse dimanche soir. "C'est une équipe incroyablement forte qu'on n'avait pas forcément à l'oeil au départ." Mardi en conférence de presse, sa jeune coéquipière Noemi Ivelj lui a emboîté le pas: "Selon moi, elles ont proposé un meilleur football que la Norvège et l'Islande pour l'instant".
Dimanche à Sion, il n'a manqué qu'un soupçon de réussite à la Finlande, à qui la Norvège a fait le même coup qu'aux Suissesses lors du match d'ouverture (2-1). Pas abattues par ce cruel revers, les "Chouettes boréales" savent que la pression reposera sur les épaules helvétiques jeudi à Genève.
Un engouement inimaginable
Mais depuis le début de l'Euro, les joueuses de Pia Sundhage semblent avoir fait de cette pression leur meilleure alliée. Le soutien des 30'000 spectateurs et plus présents à Bâle et à Berne n'est vraiment pas étranger à leur remarquable débauche d'énergie. Le travail physique imposé par la sélectionneuse au cours de la longue préparation du mois de juin porte ses fruits.
La Suédoise de 65 ans, qui en a pourtant vu, des publics euphoriques, tout au long de sa carrière, a avoué elle-même sa surprise quant à l'engouement suscité par son équipe. "Je n'aurais jamais imaginé voir des Suisses créer une telle ambiance", a-t-elle lancé, hilare, dimanche après la victoire contre l'Islande. "J'espère qu'on aura droit au même soutien lors du troisième match."
Pour emballer le public du Stade de Genève, la Suisse sait qu'elle ne doit pas se satisfaire du match nul et qu'elle doit continuer à se montrer à la fois solide et offensive pour se mettre rapidement à l'abri. "On veut gagner ce match. Et je suis très confiante dans notre capacité à y parvenir", a assuré lundi Sydney Schertenleib, avec l'ambition de prolonger un peu plus la fièvre qui s'est emparée du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le PSG sans pitié
Il n’y a vraiment rien à faire contre le PSG ! A son tour, le Real Madrid a été désarmé devant la force collective des nouveaux Champions d’Europe.
A New York, le PSG a battu 4-0 le Real dans la demi-finale de la Coupe du monde des clubs qui opposait les deux derniers vainqueurs de la Ligue des Champions. Avec Ousmane Dembélé titularisé pour la première fois dans cette Coupe du monde, les Parisiens ont forcé la décision d’entrée de jeu grâce à des réussites de Fabian Ruiz (6e) et de Dembélé (9e) justement consécutives à deux grossières erreurs de Raul Asensio et d’Antonio Rüdiger.
La messe était dite. Malgré ses individualités, jamais le Real Madrid n’a pu caresser un espoir d’une remontada face à une telle équipe qui a salé l'addition par Ruiz (24e) et Gonçalo Ramos (87e). Pour ses retrouvailles avec le PSG, Kylian Mbappé a traversé la rencontre comme une âme en peine. Le constat vaut également pour Vinicius.
Dimanche toujours à New York, le PSG entend couronner sa saison avec un titre mondial. Les Parisiens aborderont la finale contre Chelsea avec, bien sûr, les faveurs du pronostic. Aujourd’hui, aucune équipe ne peut résister à la formidable formation bâtie par Luis Enrique qui ne cesse de stupéfier tous les observateurs à chacune de ses sorties.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
L'Angleterre déclasse les Pays-Bas
Championne d'Europe en titre, l'Angleterre est revenue dans le jeu. Quatre jours après sa défaite contre la France, elle a battu 4-0 les Pays-Bas à Zurich.
La star des Lionesses Lauren James a signé un doublé (22e, 60e), accompagnée de Georgia Stanway (45e) et Ella Toone (67e). A la faveur de ce large succès, les Anglaises ont sans doute fait un pas décisif vers la qualification pour les quarts de finale. Un succès contre le Pays de Galles lors de leur dernier match devrait largement suffire.
Victorieux 3-0 du Pays de Galles, les Pays-Bas ont déçu, incapables de rivaliser vraiment contre leurs adversaires. On les voit mal inquiéter la France dimanche. Victorieuses 4-1 du Pays de Galles à Saint-Gall, les Bleues ont confirmé qu'elles possédaient vraiment un potentiel offensif de premier ordre. Pour, pourquoi pas, aller chercher un premier grand titre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Ana-Maria Crnogorcevic mesure tout le chemin parcouru
Recordwoman de sélections en équipe de Suisse, Ana-Maria Crnogorcevic est prête à vivre un nouveau moment fort face à la Finlande jeudi. "On veut écrire l'histoire", lance la Bernoise.
"J'ai joué mon premier match international il y a 16 ans devant 200 ou 300 spectateurs. Je me disais que c'était improbable de jouer un jour devant 30'000 personnes en Suisse, et pourtant nous y voilà", a déclaré la joueuse aux 171 capes internationales mercredi en conférence de presse d'avant-match.
"On veut écrire l'histoire et se qualifier pour les quarts de finale", a poursuivi Crnogorcevic, qui n'a pas encore été titularisée dans cet Euro. La meilleure buteuse de l'histoire de l'équipe de Suisse (74 buts) est sortie du banc à deux reprises dans le rôle plus défensif que lui réserve désormais Pia Sundhage.
Face à la Finlande, la joueuse du Seattle Reign espère voir la Suisse poursuivre sur sa lancée. "Il faudrait reproduire la première mi-temps qu'on a réussi contre la Norvège et la deuxième mi-temps du match contre l'Islande", a-t-elle suggéré.
Conserver le ballon
Présente à ses côtés en conférence de presse, sa sélectionneuse a relevé les principales forces de la Finlande. "Elles savent combiner dans l'axe du terrain pour se créer des situations de but", a expliqué Sundhage. "Espérons que l'on puisse avoir la possession du ballon, ça nous évitera de devoir trop défendre."
La Suédoise, qui a promis "quelques pas de danse" en cas de qualification, est bien au courant qu'un match nul suffirait à ses joueuses pour passer l'écueil. "Cela ne changera pas grand-chose au déroulement du match", a-t-elle toutefois estimé. "Mais évidemment, si l'on se retrouve à 2-2 ou 3-3 à dix minutes de la fin, cela influencera notre façon de défendre et les changements qui seront effectués."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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