Lausanne
Le TF met fin à l'activité de la Sablière du Cannelet à Avusy (GE)
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La société exploitante de la Sablière du Cannelet, à Avusy (GE), voit son ultime recours rejeté par le Tribunal fédéral. Ce dernier confirme la décision du Conseil d'Etat qui prévoit un démantèlement des installations et la remise des terrains à l'agriculture d'ici la fin 2026.
Annoncée par Léman Bleu mardi, la décision du Tribunal fédéral met fin à une saga de plus de 30 ans. L'autorisation d'exploiter la gravière avait été accordée par le canton en 1983 avec obligation de remettre les terrains en culture dès 1990.
L'exploitant avait obtenu plusieurs prolongations débouchant sur la délivrance en 1996 d'une autorisation de construire une installation fixe de recyclage, de concassage et de lavage de matériaux. Dès 2014, la commune d'Avusy s'est efforcée d'obtenir la cessation de ces activités et une remise en conformité à la zone agricole. De son côté, le canton avait tenté de légaliser la situation par le biais d'une loi, laquelle a été rejetée par le peuple en novembre 2020.
Autorisation limitée
Dans son arrêt, le Tribunal fédéral rappelle, comme la Cour de justice du canton de Genève avant lui, que l'exploitation d'une gravière est subordonnée à une autorisation. Cette dernière doit mentionner une durée maximale et une remise en état.
Le fait que la société ait bénéficié d'une tolérance de 37 ans ne lui permet pas se prévaloir de la prescription de 30 ans concernant le rétablissement des lieux. En effet, une intervention de l'autorité avant l'expiration de ce délai a pour effet de briser la prescription, soulignent les juges de Mon Repos. (arrêt 1C_452/2023 du 31 mai 2024)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Sylvain Freymond seul candidat pour la présidence de l'UDC Vaud
Le conseiller national Sylvain Freymond est le seul candidat pour le siège de président de l'UDC Vaud, laissé vacant après la démission de Kevin Grangier annoncée il y a un an. Sauf surprise, cet exploitant d'un domaine agricole à Montricher (VD) et actuel vice-président de la branche vaudoise du parti devrait être élu le 25 juin prochain, lors du congrès cantonal à Bursins.
"Engagé au sein de notre parti depuis plusieurs années, M. Freymond bénéficie d'une expérience solide à la fois au niveau cantonal et fédéral", a indiqué mardi le secrétariat général de l'UDC Vaud dans un communiqué. Cette double expérience fait de lui "le candidat idéal pour diriger notre parti cantonal", s'est-il félicité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud pourrait avoir une semaine annuelle de tri des médicaments
Le Grand Conseil vaudois souhaite l'instauration d'une semaine annuelle cantonale de tri des médicaments. Objectif: inciter les ménages à trier les médicaments stockés dans leur pharmacie personnelle.
Un tel tri permettrait de limiter le gaspillage en évitant une accumulation inutile de médicaments. L'idée consiste aussi à se débarrasser des médicaments périmés ou inutilisés, de les éliminer de manière appropriée à la déchetterie, dans certaines pharmacies ou dans des lieux temporaires installés pour l'occasion.
"Le tri des médicaments stockés dans les ménages vaudois est un véritable défi, autant sur le plan de la santé publique que sur le plan environnemental", a affirmé l'auteur du postulat, le Vert'libéral et médecin Blaise Vionnet.
Le député a précisé que son postulat était "complémentaire" à un autre texte sur le sujet, déposé par la Verte Claude Nicole Grin et renvoyé au Conseil d'Etat l'an dernier. Cet autre postulat vise à trouver des mesures pour éliminer correctement les médicaments, via notamment des partenariats avec les pharmacies.
Le postulat Vionnet n'a pas été contesté mardi après-midi et, hormis quelques abstentions, renvoyé à l'unanimité au Conseil d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Administration vaudoise: feu vert à l'achat d'un bâtiment à Renens
L'acquisition du centre administratif des Baumettes à Renens a été validée mardi par le Grand Conseil vaudois. Cet investissement à 78 millions de francs vise à regrouper plusieurs services cantonaux sur ce site à l'horizon 2030.
En achetant ce bâtiment, vaste de 19'000 m2, l'Etat de Vaud souhaite faire des économies de loyers et renforcer les synergies entre plusieurs services. L'idée consiste notamment à quitter les locaux actuels de Longemalle, également à Renens, dont les conditions ne sont pas adaptées aux besoins actuels et représentent un coût jugé excessif par le Canton.
Le bâtiment des Baumettes a l'avantage d'être suffisamment vaste pour héberger la Police cantonale, le Ministère public et la Justice de paix, "des entités ayant des exigences spécifiques en matière de circulation des flux et de sécurité", a expliqué le rapporteur de la commission Fabrice Tanner. Le député UDC a aussi souligné l'existence d'un auditorium d'une capacité de 300 personnes.
Cette acquisition répond finalement à la stratégie immobilière de l'Etat de Vaud, lequel cherche à privilégier la propriété à la location.
Hormis quatre abstentions, le crédit d'investissement de 78 millions a été soutenu à l'unanimité.
Déménagement vers 2030
Le centre administratif des Baumettes a été construit entre 1988 et 1992 par la Société de banque suisse (SBS), devenue ensuite UBS. Cette dernière est devenue propriétaire du complexe et y a localisé des services régionaux. UBS souhaite désormais relocaliser ces entités dans son immeuble de la place Saint-François à Lausanne, actuellement en travaux.
Après l'achat, UBS restera locataire des lieux en principe jusqu'en mars 2028, soit jusqu'à la fin des travaux de transformation à St-François. Ce délai laissera au Canton le temps de planifier et d'organiser les espaces nécessaires avant le déménagement des premières entités prévu vers 2030.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: rassemblement en mémoire du Nigérian décédé au poste
Un rassemblement en mémoire de Michael, ce Nigérian de 39 ans décédé il y a dix jours après son interpellation par la police municipale de Lausanne, a réuni une septantaine de personnes mardi devant le Tribunal de Montbenon. Ils ont réclamé justice et dénoncé les violences policières.
Les manifestants ont déposé des fleurs, des bougies et des photos de la victime sur les marches du tribunal de Montbenon. Certains d'entre eux arboraient un T-shirt à l'effigie de Michael et dénonçant "Swiss police killed again, enough!" (La police suisse a encore tué, assez!). Des pancartes proclamaient "Being black is not a crime" ("Etre noir n'est pas un crime") ou encore "Justice for Michael".
Le rassemblement s'est déroulé dans le calme, encadré par une présence policière discrète. Le silence a prévalu durant la première demi-heure, puis des prises de parole ont suivi, la plupart en anglais, entrecoupées par le slogan "No justice, no peace" ("Pas de justice, pas de paix"), repris en choeur par les manifestants.
"Nous sommes des êtres humains, pas des animaux", "Pas tous les hommes noirs ne sont des dealers", "Il y a eu trop de morts en Suisse, en particulier à Lausanne", ont notamment déclaré différents intervenants.
Transfert de l'enquête demandé
La manifestation faisait suite au décès, dimanche 25 mai dernier, d'un homme d'origine africaine dans les locaux de la Police municipale de Lausanne. Il avait été interpellé dans la rue de façon musclée pour des soupçons d'activité en lien avec les stupéfiants. Une fois à l'hôtel de police, il a été pris d'un malaise. Les secours ont tenté en vain de le réanimer.
Quatre policiers sont prévenus d'homicide par négligence dans le cadre de cette affaire. Une enquête a été ouverte et une autopsie ordonnée.
Le collectif lausannois Kiboko, créé à la suite du décès en 2018 du Nigérian Mike Ben Peter entre les mains de la police, ainsi que le parti Ensemble à Gauche ont demandé le transfert de l'enquête au Ministère public d'un autre canton "pour réduire les risques de collusion". Ils ont également réclamé la suspension des agents impliqués, la sauvegarde des enregistrements des caméras de surveillance, la nomination d'un expert médico-légal indépendant et la conduite d'une enquête de voisinage rigoureuse.
Père de famille, époux, ami
Michael était "un père de famille, un époux, un ami, un membre de la communauté large de Demeure/Canopy", un groupe luttant sur les thématiques du droit au logement et au travail et pour la régularisation des sans-papiers, a souligné le collectif Justice pour Michael dans un communiqué.
Ce tragique événement s'inscrit dans un contexte critique envers l'action de la police vaudoise. Quatre autres hommes noirs sont décédés des suites d'une intervention policière dans le canton, entre 2016 et 2021. Ils ont suscité de multiples rassemblements et manifestations dénonçant le racisme et les violences policières.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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