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Angleterre - Suisse: l'histoire se répète...
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Le rêve est passé pour la Suisse. Comme il y a trois ans, elle a été éliminée en quart de finale de l'Euro à l’issue de la séance des tirs au but remportée 5-3 par l’Angleterre à Düsseldorf.
Manuel Akanji a été le seul ne pas transformer son penalty. Premier frappeur de l’équipe de Suisse, le Zurichois a armé un tir qui manquait tout de même de conviction pour permettre à Jordan Pickford de réaliser l’arrêt décisif. Pour sa part, Yann Sommer ne s'est pas transformé en Super Héros pour permettre à ses couleurs de revenir dans cette séance.
Davantage encore qu’à St. Petersburg il y a trois ans face à l’Espagne, la Suisse peut nourrir une montagne de regrets. C’est elle, en effet, qui a signé le 1-0 à la 75e minute par Breel Embolo. Mais l’égalisation anglaise devait tomber cinq minutes plus tard alors que l’on croyait les Three Lions au tapis pour le compte. Et dans la seconde prolongation, la Suisse a bénéficié de deux chances pour forcer la décision grâce à l’entrée de Xherdan Shaqiri qui ne fut pas loin de ressembler au coup du siècle...
Une fastidieuse partie d'échecs
A la pause, la Suisse, avec le même onze de départ que contre l'Italie une semaine plus tôt, était menée aux points. Mais fort heureusement, le score n’avait pas bougé lors d’une première période très fermée sans aucune véritable occasion pour l’une des deux équipes. Face au 3-4-2-1 adverse qui voyait Phil Foden se tenir le plus souvent sur la droite, les Suisses ont accepté de subir de longues séquences de possession. Mais malgré les difficultés rencontrées par Michel Aebischer dans son marquage sur Bukayo Saka, les Anglais ne sont jamais parvenus à inquiéter Yann Sommer. Dans le dos du portier, le kop suisse n’a, ainsi, pas frissonné une seule fois de peur, de voir son équipe concéder l’ouverture du score.
L’impression que l’équipe qui inscrira le 1-0 aura match gagné grandissait au fil des minutes. Les deux équipes n’accordaient aucun espace. Dans son expression offensive, la Suisse existait seulement par une accélération de Dan Ndoye et par un centre de Ruben Vargas. Mais comme Yann Sommer, Jordan Pickford n’avait pas eu un arrêt à effectuer dans cette première mi-temps qui a ressemblé à une fastidieuse partie d’échecs.
Deux buts en cinq minutes
A la 64e minute alors que la Suisse commençait à éteindre gentiment les Anglais, Murat Yakin arrêtait un choix fort. Il lançait Silvan Widmer et Steven Zuber pour Fabian Rieder et Vargas. Avec l’introduction de Widmer, Ndoye pouvait évoluer un cran plus haut. Le temps de bousculer des Three Lions devenus agneaux était venu. Murat Yakin avait vu juste une fois de plus puisque Dan Ndoye a été ô combien décisif sur l'ouverture du score de la 75e minute. Servi par Fabian Schär, le Vaudois armait un centre-tir que Breel Embolo pouvait dévier victorieusement.
Le 15e but en sélection du Bâlois aurait dû, dans un monde idéal, sceller ce quart de finale. Mais à la 80e, Saka réveillait l'Angleterre avec une frappe enroulée qui ne laissait aucune chance à Sommer. Sur cette action, Aebischer a trop tardé pour sortir sur le joueur d'Arsenal.
Sommer décisif
Dans la première prolongation qui a vu les débuts dans cet Euro de Denis Zakaria, qui a relayé Ndoye à la 98e, Sommer a rappelé pourquoi il était bien l’un des meilleurs gardiens au monde. Sa parade sur la frappe de Declan Rice à la 95e fut magnifique. Décisive surtout.
Dans la seconde prolongation, l’introduction de Xherdan Shaqiri pour Embolo à la 119e fut saluée par l’immense clameur du kop suisse, tout heureux de revoir sur la pelouse l’homme providentiel, qui a d'ailleurs failli marquer sur un corner direct à la 117e avant d'offrir à Zeki Amdouni, qui venait d'entrer, l'ultime occasion de ce quart de finale. Dans le camp adverse, Harry Kane et Foden étaient remplacés alors que Jude Bellingham ne semblait plus jouer que sur une jambe. Les feux repassaient un peu au vert pour la Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Conte reste à Naples avec "la même vision" que son président
Annoncé à la Juventus, Antonio Conte a finalement décidé de rester aux commandes de Naples qu'il vient de conduire au titre de champion d'Italie.
"Nous avons la même vision" avec le président-propriétaire, a-t-il déclaré jeudi soir.
"A chaque fin de saison, il y a toujours des discussions entre l'entraîneur et le club pour évaluer comment la saison s'est déroulée, s'il y a toujours une vision commune et si l'envie de poursuivre certains objectifs est partagée", a déclaré Conte à la chaîne Sky Sport en sortant d'un restaurant avec Aurelio De Laurentiis.
"Cela me semble une chose normale qui se produit dans tous les clubs, il y a un contrat et comme nous avons la même vision, il n'y a rien d'autre à dire. On continue parce que nous sommes des personnes sérieuses, on avance", a-t-il ajouté.
Arrivé l'été dernier à Naples, Antonio Conte a métamorphosé une équipe qui avait terminé la saison dernière à la 10e place en redoutable machine à gagner qui a devancé d'un point l'Inter Milan. Mais malgré la conquête d'un quatrième titre, l'ex-international italien semblait déjà prêt à faire ses valises, en raison notamment de différends avec De Laurentiis et de la pression quotidienne que subit dans cette ville passionnée de football tout entraîneur.
De Bruyne comme renfort ?
La Juventus Turin, club où il fait l'essentiel de sa carrière de joueur et qu'il a entraîné de 2011 à 2014, espérait le recruter pour se relancer après une saison 2024/25 sans titre. "Nous défendrons le titre. Il y a un contrat et il y a un désir de mon côté et de celui du club de continuer dans la même direction, en essayant de rendre les supporters aussi fiers que possible", a insisté Conte.
De Laurentiis a trouvé lors de longues discussions mercredi et jeudi les arguments pour le convaincre de rester. Il lui aurait ainsi promis une enveloppe de 150 millions d'euros pour renforcer son équipe, avec une première recrue de choix qui pourrait être le Belge Kevin De Bruyne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Trent Alexander-Arnold signe au Real Madrid
Le défenseur Trent Alexander-Arnold s'est engagé pour six ans avec le Real Madrid, a annoncé vendredi le club espagnol. L'international anglais était en fin de contrat à Liverpool.
Le contrat du latéral droit de 26 ans avec le Real débutera le 1er juin, ce qui lui permettra de disputer la Coupe du monde des clubs (14 juin - 13 juillet aux Etats-Unis) sous les couleurs madrilènes, a précisé le club.
Liverpool a de son côté indiqué dans un communiqué qu'il "recevra une indemnité pour ses services, la transaction devant être conclue dès l'ouverture de la fenêtre (des transferts) le 1er juin". Selon la presse anglaise, le Real aurait payé environ 12 millions d'euros à Liverpool pour s'attacher les services d'Alexander-Arnold avant la fin de son contrat avec les Reds.
Alexander-Arnold est considéré comme l'un des meilleurs latéraux au monde, grâce notamment à sa vitesse et sa technique de passe. Il a été l'un des piliers du Liverpool de Jürgen Klopp avec qui il a remporté la Ligue des champions en 2019.
Enfant des Reds où il est arrivé à l'âge de six ans, Alexander-Arnold a passé deux décennies complètes au club avec lequel il a évolué à 354 reprises (23 buts). Sa décision de partir lui a valu des sifflets d'une partie du public d'Anfield, d'abord, avant des acclamations et une réconciliation à son ultime apparition.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
L'AC Milan s'en remet pour la deuxième fois à Allegri
L'AC Milan a confié vendredi pour la deuxième fois son poste d'entraîneur à Massimiliano Allegri. Celui-ci aura la lourde tâche de relancer un club qui sort d'une saison 2024/25 très décevante.
"L'AC Milan est heureux d'annoncer que Massimiliano Allegri a été désigné entraîneur en chef de son équipe première", a indiqué dans un communiqué le club lombard, huitième du dernier Championnat d'Italie.
Allegri, 57 ans, était libre depuis son départ en mai 2024 de la Juventus Turin qui l'avait limogé quelques jours après avoir remporté la Coupe d'Italie pour avoir insulté durant la finale des arbitres, un de ses dirigeants et le rédacteur en chef d'un quotidien sportif.
Lors de son premier passage au Milan, de 2010 à 2014, le technicien italien a remporté dès sa première saison le titre de champion d'Italie (2011). Il a terminé deuxième de la Serie A la saison suivante, puis 3e, avant d'être remercié en janvier 2014 alors que son équipe était 13e du championnat.
C'est avec la Juve, qu'il a entraîné de 2014 à 2019 puis de 2021 à 2024, qu'Allegri est devenu l'un des entraîneurs italiens en activité les plus respectés. Il y a collectionné les titres et trophées: cinq championnats d'Italie consécutifs (2015-2019), cinq Coupes d'Italie (2015, 2016, 2017, 2018 et 2024) et deux finales, perdues, de la Ligue des champions (2015, 2017).
Quatre entraîneurs en un an
En incluant Stefano Pioli, dont le contrat expirait en fin de saison dernière, Allegri est le quatrième entraîneur des Rossoneri en un an après le Portugais Paulo Fonseca, licencié fin décembre, et remplacé par son compatriote Sergio Conceiçao.
Si ce dernier, licencié jeudi soir cinq mois après son arrivée, a remporté dès son arrivée la Supercoupe d'Italie, le premier trophée du club lombard depuis son scudetto en 2022, il n'est pas parvenu à relancer une équipe qui a collectionné les désillusions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Di Maria de retour au pays pour la fin de sa carrière
Le champion du monde argentin Angel Di Maria revient à 37 ans dans son club formateur de Rosario Central, a officialisé jeudi le club de 1re division argentine.
Ce transfert avait avorté l'année dernière sur fond de menaces de racket.
"Notre histoire ensemble a encore des pages à écrire", s'est enthousiasmé Rosario Central sur ses réseaux sociaux, accompagnant l'annonce d'une vidéo du gaucher argentin sous ses nouvelles couleurs. "Pour voler, nous aurons besoin de tes ailes. Bienvenue Angel, nous t'attendions", est-il ajouté.
Né en février 1988 à Rosario, Di Maria a été couronné champion du monde au Qatar en 2022 avec l'Albiceleste. Il a également remporté deux Copa América ainsi qu'une médaille d'or olympique à Pékin 2008. Passé par le Real Madrid, Manchester United ou le PSG, il évoluait depuis deux ans au Benfica.
"El Fideo" retourne là où avait débuté sa carrière en 2005, avant deux saisons plus tard d'entamer une odyssée de 18 ans en Europe, au Benfica déjà. Il a simplement publié sur Instagram l'annonce de son arrivée par Rosario Central avec des emojis de coeurs bleu et jaune, les couleurs de l'équipe.
Di Maria renonce à des propositions dans le championnat d'Arabie Saoudite et a fait des adieux chargés de larmes à Benfica après la finale de la Coupe du Portugal perdue contre le Sporting de Lisbonne la semaine dernière. En club, l'ailier a remporté cinq titres avec Benfica, six avec le Real Madrid, dont une Ligue des champions 2014, et 19 trophées avec le PSG.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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