Suisse
SBL: tous à la poursuite de Fribourg Olympic
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Le championnat de SBL reprend ses droits aujourd'hui avec pour l'heure neuf équipes et un grand favori. Comme chaque année, une question s'impose: qui peut battre Fribourg Olympic?
Sextuple champion de Suisse en titre, Fribourg Olympic aborde l'exercice 2024-25 avec une certaine marge sur la concurrence. Après avoir réussi le triplé la saison passée, les joueurs de Thibaut Petit repartent pour un tour avec la ferme intention de dominer les compétitions nationales.
Bouté de la Ligue des Champions, Olympic va tout de même disputer l'Europe Cup comme lot de consolation. Jouer l'Europe demandera logiquement davantage aux Fribourgeois, mais ceux-ci ont l'habitude de jouer sur plusieurs tableaux.
Genève en contradicteur?
Agent et fin connaisseur du basketball helvétique, Sevag Keucheyan n'entrevoit pas de faille dans la cuirasse fribourgeoise. Selon lui, il faudra savoir gérer les énergies et bien sûr éviter les blessures. "L'équipe est bien coachée, le club est bien structuré et tout est intelligemment construit", précise-t-il.
Si sur la longueur d'une saison, battre Olympic tient de l'exploit, l'agent estime que sur un match, les Fribourgeois sont prenables: "On a vu d'autres équipes gagner la Coupe de Suisse ou la Coupe de la Ligue. Et je pense que des clubs comme Les Lions de Genève, Massagno, Monthey ou Union Neuchâtel peuvent créer la surprise sur un match."
Avec leur nouveau coach Patrick Pembelé, ancien de la maison Olympic, Les Lions de Genève vont peut-être avoir un peu de la recette fribourgeoise du succès dans leurs rangs. Ils ont récupéré Isaiah Williams, passé par Lugano, Union Neuchâtel et Massagno lors des quatre dernières saisons. Arrivé en cours de saison la saison passée, Boris Mbala aura sans doute un peu plus d'impact dans le jeu.
Jamal George en progression
Sevag Keucheyan n'oublie pas non plus de mentionner deux autres clubs lémaniques: Nyon et Pully-Lausanne. "A Nyon, le nouvel entraîneur Maleye N'doye a un bon groupe pour travailler, précise-t-il. Et à Pully-Lausanne, Randoald Dessarzin sait comment coacher. Je trouve l'effectif très bien pensé et construit."
Avec Florian Steinmann et surtout Bryan Colon, le club de la capitale olympique peut compter sur deux joueurs qui ont l'habitude du championnat de Suisse. Et avec Jamal George, frère de Kyshawn drafté par les Washington Wizards, c'est un meneur en pleine progression sur lequel l'équipe peut s'appuyer. Même si les Vaudois ont perdu en play-off 3-0 face à Massagno, George a sorti deux gros matches complets de 15 et 17 points.
Vevey: l'incertitude
Comme mentionné plus haut, le championnat va commencer avec neuf équipes au lieu de dix. Vevey Riviera n'a en effet pas reçu sa licence, tant en première qu'en deuxième instance. Le club des Galeries du Rivage attend maintenant la décision du Tribunal arbitral du sport. Au cas où le TAS accepterait le recours des Veveysans, ceux-ci seraient réintégrés et le championnat se tiendrait avec dix équipes. La ligue a prévu un calendrier au besoin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Les tpg dévoilent leur premier e-bus de nouvelle génération
Les Transports publics genevois (tpg) ont présenté jeudi leur premier e-bus 100% électrique de nouvelle génération. Son arrivée marque le début du remplacement progressif, d'ici 2030, de l'ensemble des véhicules thermiques exploités par l'entreprise.
Ce premier modèle, un e-bus articulé de 18,75 mètres, est arrivé au début de la semaine au centre de maintenance du Bachet-de-Pesay. Il fera l'objet ces prochains jours de différents tests et de marches à blanc. Il sera ensuite utilisé pour la formation des conducteurs et des conductrices, écrivent jeudi les tpg dans un communiqué.
Sa mise en service est prévue lors de l'Etape du 14 décembre 2025, sur la ligne 5 du réseau des tpg entre les arrêts "Genève-Aéroport -Terminal" et "Thônex, Vallard", soit la première des six lignes du réseau des tpg appelées à fonctionner entièrement de manière électrique. "Plus silencieux, plus confortables et plus respectueux de l'environnement, ces e-bus incarnent l'avenir des transports publics", a déclaré Lionel Brasier, directeur général des tpg, cité dans le communiqué.
Grosse subvention cantonale
Développé par le constructeur suisse HESS en partenariat avec Hitachi Energy, société basée à Zimeysa à Genève, ce nouvel e-bus s'appuie sur la technologie dite de recharge par opportunité, mise en oeuvre dans le cadre du projet de bus électrique TOSA. Cette technologie innovante permet une recharge rapide à certains arrêts et aux terminus, optimisant ainsi l’autonomie tout en réduisant la taille et l'usure des batteries.
Cette technique, appliquée depuis 2018 sur la ligne 23 du réseau des tpg, permettra à l'opérateur de déployer une "solution éprouvée, fiable et optimisée".
Cette transition est rendue possible grâce à une subvention cantonale de 350 millions de francs. Elle permettra l'acquisition de matériel roulant, y compris de nouveaux trams nécessaires à l'extension du réseau, ainsi qu'un crédit d'investissement de 17 millions destiné à la réalisation des infrastructures de recharge aux arrêts.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Pacte migratoire: le mécanisme de solidarité ne passe pas
Le mécanisme de solidarité prévu dans le pacte migratoire européen n'a pas passé la rampe au National. Les députés ont rejeté de justesse l'un des paquets comprenant ce mécanisme jeudi, par 84 voix contre 81 et 20 abstentions. La position du PLR a été décisive.
La participation de la Suisse à ce système de solidarité avait pourtant été validée par 96 voix contre 89 quelques minutes plus tôt. Mais les libéraux-radicaux, qui n'en voulaient pas, sont arrivés à leurs fins en s'abstenant largement lors du vote d'ensemble. L'UDC a aussi voté contre en bloc.
Les trois autres projets sur la table ont eux été adoptés. Le Conseil des Etats doit encore se prononcer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Nestlé France revoit la recette de ses céréales les plus vendues
Nestlé, pour ne pas voir sa note trop abaissée avec les nouveaux critères du Nutri-Score, va encore changer la recette des Chocapic, ses céréales les plus vendues en France, régulièrement épinglées pour être trop sucrées.
"Les céréales ont souvent été prises en exemple de la raison pour laquelle l'algorithme du Nutri-Score a évolué pour renforcer la pénalité sur le sucre", explique à l'AFP Luc Denot, directeur général de CPF, filiale française de la coentreprise entre Nestlé et General Mills pour les céréales.
Pour Serge Hercberg, professeur de nutrition et cocréateur du système de notation, la démarche de Nestlé va "dans le sens de la vocation de la nouvelle version: pousser les industriels à reformuler les recettes en retirant sucre, gras, sel et en améliorant la teneur en fibres".
Un bol de Chocapic était classé A selon l'ancien algorithme du Nutri-Score, mais C avec le nouveau. Avec une réduction de sucre de 11% et de sel de 9% à partir de septembre, les céréales goût chocolat obtiendront un B.
Les Chocapic, au deuxième rang des marques de céréales les plus vendues en France derrière les Trésor du concurrent Kellog's, resteront "moins bien classés que certains mueslis et granolas, mais ils se différencient de leurs concurrents, plus riches, qui n'ont pas fait l'effort", ajoute Serge Hercberg auprès de l'AFP.
Danone a par exemple choisi de se retirer du Nutri-Score au lieu "d'améliorer" ses produits.
Pour Anne-Laure Laratte, diététicienne nutritionniste, la quantité de sucre reste importante et elle espère "que ce soit un début".
"Ce qui est surtout embêtant avec les céréales, c'est la quantité consommée. La portion recommandée est aux alentours de 30 grammes par bol et c'est bien souvent beaucoup plus qui est servi", ajoute-t-elle. Le Nutri-Score est basé sur une portion de 100 grammes.
Les Chocapic, qui représentent près de 30% des ventes de Nestlé en France et 40% de ses dépenses publicitaires, ont vu leur recette modifiée sept fois en vingt ans avec une réduction "progressive" de 48% du sucre, de 60% de sel mais aussi des acides gras saturés ainsi qu'une hausse des fibres.
La dernière en date avait permis de passer d'un Nutri-Score B à A. "On avait vu les effets positifs sur les ventes de Chocapic", affirme Sylvie Willemin, directrice nutrition de Nestlé Céréales France.
Toutes les céréales du groupe devraient afficher le nouveau Nutri-Score dans les pays européens qui l'utilisent d'ici 2026, ce que regrette Serge Hercberg qui plaide pour un changement "dès maintenant".
Seule une recette sera classée A, et plus de la moitié des produits encore en C ou en D, souligne Luc Denot, également président du syndicat des céréales du petit-déjeuner.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Lausanne
Récolte de paraphes rémunérés: Vaud contre une interdiction totale
Le Conseil d'Etat vaudois s'oppose à une interdiction totale de la récolte rémunérée des signatures, qui ne pourrait toucher que les initiatives et référendums cantonaux et communaux. Le gouvernement explore plutôt d'autres pistes, comme la soumission des entreprises de récolte de signatures à autorisation.
En réponse à une interpellation du député écologiste Alberto Mocchi relative à la récolte rémunérée des signatures, le Conseil d'Etat indique jeudi qu'"à sa connaissance, aucune initiative cantonale ne serait touchée par des fraudes dans la récolte de signatures". "Dès lors, une interdiction totale de la récolte rémunérée n'apparaît pas opportune", estime-t-il dans ses décisions hebdomadaires.
"Quant aux contrôles effectués par les communes, ils ne peuvent être renforcés, ces dernières n'ayant aucun moyen de vérifier si une signature apposée sur une liste est authentique et des contrôles plus étendus auprès des personnes signataires nécessiteraient des moyens considérables pour un résultat aléatoire", poursuit-il. En revanche, le Conseil d'Etat signale que le problème est désormais pris très au sérieux par la Chancellerie fédérale.
La récolte de signatures rémunérées a en effet régulièrement défrayé la chronique ces derniers mois en Suisse, en raison de divers soupçons de fraudes. Des mesures ont déjà été proposées, tant au niveau fédéral que dans plusieurs cantons. La justice a aussi été saisie, via des plaintes pénales déposées par la Chancellerie fédérale auprès du Ministère public de la Confédération.
En novembre dernier, les députés vaudois s'étaient prononcés pour mieux cadrer la récolte de signatures rémunérées pour des référendums ou des initiatives. Une motion avait été plébiscitée pour soumettre à autorisation les entreprises actives dans ce domaine et basées dans le canton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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