International
Zelensky: pourparlers avec Moscou "dépendant" de l'élection aux USA
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La possibilité d'entamer des négociations avec la Russie "dépendra" du résultat de la présidentielle aux Etats-Unis, a estimé Volodymyr Zelensky. Le 1er ministre indien Narendra Modi a lui plaidé en Russie devant Vladimir Poutine pour un retour rapide de la paix.
"À mon avis, cela dépend en premier ordre des élections aux États-Unis", allié clé de Kiev face à la Russie, a-t-il déclaré lors d'une rencontre lundi avec un groupe de journalistes, dont l'AFP, qui était sous embargo jusqu'à mardi.
Les Russes "observeront la politique des États-Unis sur cette question. Et les États-Unis feront connaître leur politique très rapidement, après l'élection, à mon avis", a-t-il poursuivi, estimant qu'"ils n'attendront pas janvier", quand le nouveau président américain prendra ses fonctions.
Crainte d'un retour de Trump
L'Ukraine craint qu'une victoire de l'ex-président républicain Donald Trump, qui a critiqué l'aide militaire versée à Kiev depuis le début de l'invasion russe de ce pays en février 2022, n'entraîne un assèchement de ces fonds.
M. Zelensky n'a pas souhaité aborder ce sujet épineux tout en assurant avoir eu de "bonnes" réunions tant avec M. Trump et qu'avec sa rivale démocrate Kamala Harris lors de sa visite aux Etats-Unis en septembre.
"J'ai eu une bonne rencontre avec Trump. Elle a été aussi positive que possible. Et j'en suis content", a-t-il dit se félicitant également d'une "très bonne réunion avec Harris".
Entrée dans l'Otan
Le président ukrainien a par ailleurs espéré que Washington pourrait donner son accord à l'invitation officielle de l'Ukraine dans l'Otan malgré sa guerre avec la Russie, un projet crucial de Kiev auquel les États-Unis restent opposés.
"Après les élections, nous espérons une réaction plus positive de la part des États-Unis" qui "ne veulent pas" faire de changements de position importants pendant la campagne électorale, a-t-il estimé.
Un éventuel soutien américain devrait également pousser l'Allemagne à faire de même, a déclaré le chef de l'État ukrainien. À ce jour, "la partie allemande est sceptique quant à notre adhésion à l'Otan", a constaté M. Zelensky, estimant qu'"ils ont peur" de la "réaction russe".
"Nous allons devoir tous travailler dur avec la partie allemande. Mais il n'en reste pas moins que les États-Unis auront une influence sur ce dossier", a-t-il dit.
L'Ukraine veut obtenir une invitation dans l'Otan aussi vite que possible, bien qu'environ 20% de son territoire soit occupé par la Russie, et intégrer officiellement l'Alliance après la fin de la guerre, a expliqué M. Zelensky.
"Aujourd'hui, nous voyons un consensus de la majorité des alliés" au sujet d'une telle invitation, a assuré le chef de l'État en citant la Hongrie et la Slovaquie parmi les autres pays réticents, dont la position pourrait selon lui changer après celle de Washington.
Modi pour un retour de la paix
Le Premier ministre indien Narendra Modi a de son côté plaidé mardi en Russie devant Vladimir Poutine pour un retour rapide de la paix en Ukraine, avant leur entretien en marge du sommet des Brics à Kazan.
"Nous croyons que les conflits ont vocation à être résolus uniquement pacifiquement. Nous soutenons totalement les efforts pour restaurer rapidement la paix et la stabilité", a déclaré le dirigeant indien face au président russe.
M. Modi a expliqué être "en contact permanent" avec Vladimir Poutine, lequel a salué "le partenariat stratégique" entre les deux pays à l'occasion de ce sommet où le maître du Kremlin entend démontrer l'échec de la politique occidentale d'isolation et de sanctions contre son pays.
Equilibre délicat
Narendra Modi tente d'entretenir un équilibre délicat entre les liens historiquement solides de son pays avec Moscou et sa volonté de se rapprocher des Occidentaux pour contrer son grand rival régional chinois.
Depuis 2022, le dirigeant indien s'est gardé de condamner l'assaut russe en Ukraine, et prône le dialogue entre les deux pays et s'est même proposé en médiateur.
L'Ukraine sera également au menu jeudi avec une rencontre annoncée par le Kremlin entre Vladimir Poutine et Antonio Guterres, le secrétaire général de l'ONU.
L'ONU n'a toutefois pas confirmé cette rencontre, la première en Russie entre les deux hommes depuis avril 2022, dans la foulée du début de l'attaque russe contre l'Ukraine.
Après le Premier ministre indien et dans la ligne de sa volonté affichée de concurrencer "l'hégémonie" occidentale, Vladimir Poutine doit rencontrer le président chinois Xi Jinping à l'occasion de ce sommet décrit par le Kremlin comme "l'événement diplomatique le plus important jamais organisé en Russie".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Les Pacers enfoncent le clou face aux Knicks
Les Pacers ont pris une option sur une place dans les Finales NBA.
Indiana est allé s'imposer une deuxième fois sur le parquet des New York Knicks vendredi (114-109) pour mener 2-0 en finale de la Conférence Est. Les deux prochains matches auront lieu à Indianapolis.
Battus en prolongation dans un acte I où ils comptaient 14 points d'avance à 2'51 de la fin du temps réglementaire, les Knicks n'ont pas réussi à relever la tête. La franchise new-yorkaise a craqué à l'entame du quatrième quart vendredi, concédant un partiel de 13-4 pour accuser 9 longueurs de retard à 9'17 du "buzzer" (94-85).
Un 9-0 a permis aux Knicks d'entretenir l'espoir et de revenir à 1 point (110-109) avec 14 secondes à jouer. Mais les Pacers ont rentré leurs quatre derniers lancers-francs, alors que Jalen Brunson a manqué la cible à 3 points à 8''1 de la fin alors qu'il pouvait permettre à New York d'égaliser à 112-112.
Brunson a pourtant livré la marchandise, cumulant 36 points (à 5/12 derrière l'arc) et 11 rebonds pour un différentiel de +4. Mais l'homme du match fut l'ailier fort d'Indiana Pascal Siakam. Le Camerounais, champion NBA avec Toronto en 2019, a réussi 39 points, 5 rebonds et 3 passes décisives.
Les Pacers, toujours en quête d'un premier titre NBA, sont donc à deux succès d'une deuxième "grande" finale après celle disputée en 2000. Ils s'étaient alors inclinés en six matches face aux Lakers du duo Kobe Bryant/Shaquille O'Neal, après avoir vaincu... les Knicks (4-2) en finale de Conférence.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Manifestations au Panama contre des arrestations de syndicalistes
Des milliers de personnes sont descendues dans la rue vendredi au Panama pour protester contre l'arrestation de deux syndicalistes ayant mené des manifestations contre le gouvernement de droite du président José Raúl Mulino.
Deux dirigeants du syndicat de la construction Suntracs sont actuellement détenus pour des accusations de blanchiment d'argent, et le chef de cette organisation de gauche, Saúl Méndez, a demandé l'asile à l'ambassade de Bolivie pour éviter d'être arrêté à son tour. Les syndicalistes rejettent les accusations dont ils font l'objet et dénoncent une persécution politique.
Vendredi, les manifestants ont défilé pacifiquement le long de l'avenue côtière de la capitale en direction du siège du gouvernement, brandissant des drapeaux panaméens, sous la surveillance de la police.
"Nos dirigeants ont été brutalement réprimés par le gouvernement parce qu'il ne tolère pas que nous élevions la voix contre toute cette politique néolibérale", a déclaré à l'AFP le syndicaliste Héctor Hurtado.
Genaro López, dirigeant historique du Suntracs, a été arrêté jeudi, une semaine après un autre membre du syndicat, Jaime Caballero. Les locaux du syndicat ont été perquisitionnés, et le parquet a annoncé des mandats d'arrêt contre d'autres de ses dirigeants, sans préciser leurs noms. Saúl Méndez s'est réfugié mercredi à l'ambassade de Bolivie.
Le gouvernement panaméen est confronté depuis près d'un mois à une grève des travailleurs de la construction et des ouvriers bananiers ponctuée de manifestations. Des enseignants des écoles publiques ont également observé des arrêts de travail.
Les syndicats protestent contre une récente réforme de la sécurité sociale et d'autres mesures prises par M. Mulino, dont un accord avec Washington permettant le déploiement de troupes américaines dans le pays pour contribuer à la protection du canal de Panama.
Le président refuse de dialoguer avec le Suntracs, qu'il qualifie de "mafia".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Les Stars perdent l'avantage de la glace face aux Oilers
Dallas a perdu l'avantage de la glace en finale de la Conférence Ouest de NHL face à Edmonton.
Les Stars de Lian Bichsel se sont inclinés 3-0 vendredi au Texas face aux Oilers, qui ont ainsi égalisé à 1-1 dans la série. Les deux prochains matches auront lieu dans la métropole canadienne.
La belle série des Stars, qui avaient gagné leurs sept précédents matches disputés à domicile, a pris fin de manière abrupte. Les Oilers ont ouvert la marque après 5'51 en supériorité numérique et ont classé l'affaire en fin de deuxième période avec deux buts inscrits en l'espace de 73 secondes de jeu.
L'homme du match fut Ryan Nugent-Hopkins. Le centre canadien de 32 ans, no 1 de la draft 2011, s'est fait l'auteur du 1-0 en déviant un puissant tir armé de la ligne bleue par Evan Bouchard. Et il a signé la passe décisive sur le 3-0 à 37e, son tir du poignet étant alors redirigé par Connor Brown.
La deuxième étoile du match est revenue au gardien d'Edmonton Stuart Skinner, qui a réussi 25 arrêts pour s'offrir son troisième blanchissage dans ces play-off 2025. Son vis-à-vis Jake Oettinger a également fait face à 25 tirs cadrés dans cette partie, mais il a capitulé à trois reprises.
Le "rookie" Lian Bichsel n'a pas grand-chose à se reprocher. Aligné durant 12'50, le défenseur soleurois de 21 ans affiche un bilan équilibré au terme de cette rencontre. Auteur de 4 charges, il a écopé d'une pénalité sans conséquence à la 51e, alors que les Stars étaient déjà menés 3-0.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Moody's relève la perspective de l'Italie, sans changer sa note
L'agence de notation Moody's a relevé vendredi la perspective de la note de l'Italie, de stable à positive, et a maintenu la note de sa dette à long terme à Baa3, un cran au-dessus de la catégorie spéculative.
Dans son communiqué, Moody's a expliqué que les perspectives économiques de l'Italie se sont améliorées grâce à une "performance budgétaire meilleure que prévue en 2024" et un "environnement politique national stable".
L'agence met également en avant "un marché du travail robuste", des budgets équilibrés à la fois chez les ménages et les entreprises, "un secteur bancaire sain" et "l'efficacité de ses institutions et de sa gouvernance".
Elle note cependant que la charge de la dette de l'Italie reste élevée. L'institution maintient donc la note de la dette souveraine italienne à Baa3, car "l'affaiblissement progressif de l'accessibilité de la dette" et les "défis structurels liés au vieillissement de la population" pèsent sur son avenir.
L'Italie est dirigée depuis 2022 par le gouvernement ultraconservateur de Giorgia Meloni.
Au premier trimestre 2025, son produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 0,3% par rapport au précédent, grâce à une progression de tous les secteurs à l'exception de celui des services, d'après l'Institut national des statistiques (Istat).
Le ministre italien de l'Economie Giancarlo Giorgetti s'est félicité fin avril d'une telle progression, "meilleure que dans d'autres pays européens".
C'est "un signal important qui démontre la justesse de nos prévisions et l'efficacité des politiques économiques du gouvernement", a-t-il ajouté.
Quatrième exportateur mondial, l'Italie est cependant l'un des pays de l'Union européenne les plus touchés par la hausse des droits de douane appliqués par les Etats-Unis aux produits européens.
Ces taxes s'élèvent actuellement à 12,5% en moyenne, 2,5% correspondant au niveau avant le retour de Donald Trump au pouvoir en janvier et 10% aux surtaxes annoncées début avril.
Vendredi, Donald Trump a menacé d'assommer l'UE avec des droits de douane de 50% dès le 1er juin. L'excédent commercial de l'Italie vis-à-vis des Etats-Unis a atteint 38,9 milliards d'euros en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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