Suisse
Une initiative populaire s'attaque au lobbying sous la Coupole
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Le lobbying sous la Coupole fédérale se trouve dans le viseur d'une nouvelle initiative populaire. Les parlementaires ne devraient plus pouvoir intervenir dans les débats abordant des domaines dans lesquels ils ont des liens d'intérêts.
L'initiative populaire "Pour une politique au service du peuple (non au lobbying)" a été publiée mardi dans la Feuille fédérale. Elle est lancée par une dizaine de personnes domiciliées dans le canton de Lucerne, qui ont jusqu'au 25 septembre 2026 pour récolter les 100'000 signatures nécessaires à son aboutissement.
Alors qu'actuellement, les membres de l'Assemblée fédérale sont constitutionnellement tenus de voter sans instructions et de rendre publics les liens qu'ils ont avec des groupes d'intérêts, le comité d'initiative veut aller plus loin. Les élus "ayant des liens économiques ou politiques avérés avec des groupes d'intérêts" ne doivent plus pouvoir siéger dans des commissions dont le domaine de compétences a un rapport avec ces intérêts.
Lors des débats en commission ou en séance plénière, ils doivent aussi se récuser si les thèmes ont un rapport avec les intérêts concernés. Le texte demande encore la tenue d'un registre, qui publie non seulement les liens d'intérêts des parlementaires mais aussi leurs honoraires ou autres prestations pécuniaires.
Enfin, les projets législatifs doivent être élaborés par l'administration et sans le concours de tiers. Si l'initiative devait être acceptée par le peuple et les cantons, les dispositions légales pour sa mise en ½uvre devraient être édictées un an plus tard au maximum.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les élèves romands à la traîne dans l'apprentissage des langues
L'apprentissage des langues est bien en-dessous dans les écoles romandes. Moins de la moitié des élèves atteignent les objectifs en orthographe française, selon une étude présentée jeudi par la Conférence des directeurs cantonaux de l'instruction publique (CDIP).
Seulement 41% des élèves romands atteignent les compétences fondamentales requises pour l'apprentissage de l'orthographe en français, a indiqué Oliver Prosperi du Service de la recherche en éducation (SRED). Ce taux est de 84% pour l'allemand dans les écoles alémaniques et de 77% pour l'italien au Tessin.
Le résultat est particulièrement bas dans le canton de Neuchâtel, qui enregistre un taux de 36%. Viennent ensuite Berne (37%), Vaud et Genève (40%) et Fribourg (42%). Le canton du Jura enregistre le meilleur résultat avec un taux de 50%.
La qualité de l'enseignement et la motivation des professeurs ainsi que les plans d'études doivent être examinés, a déclaré M. Prosperi. Les motivations des élèves ainsi que la collaboration entre les cantons ont été citées comme d'autres pistes d'amélioration.
Le président de la CDIP, le conseiller d'Etat Christophe Darbellay, a lui relativisé la grande différence des résultats entre les régions linguistiques. La langue française est connue pour être plus difficile à apprendre, a-t-il déclaré. Le Valaisan a aussi indiqué que "depuis Platon", il est commun de penser que la qualité de la langue baisse.
L'étude, lancée par la CDIP, a été menée en 2023 auprès de 18'500 élèves de 1800 écoles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La réorganisation du SPAJ à Neuchâtel commence à porter ses fruits
La réorganisation du Service de la protection de l'adulte et de la jeunesse (SPAJ) à Neuchâtel, dans le viseur du Grand Conseil, commence à porter ses fruits. Un nouvel audit externe pointe toutefois des ressources insuffisantes.
"La réorganisation a été menée avec un soutien externe garantissant des bonnes pratiques méthodologiques et a impliqué les cadres et le personnel dans le contexte d’un processus participatif", peut-on lire dans le rapport de Godet Conseils, publié jeudi.
L’action du SPAJ est complexifiée et ralentie, en raison de contraintes légales, réglementaires et financières, ce qui peut "peser particulièrement sur la motivation et le moral des travailleurs sociaux", a indiqué l'auditeur.
Selon ce rapport, la nouvelle gouvernance ne résoudra pas certaines problématiques constatées, en particulier l’insatisfaction des parties prenantes, que si les ressources du SPAJ sont adaptées. Cette évolution doit "lui permettre de faire face aux enjeux croissants de la politique publique dont il a la charge".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Genève: les taxis Uber sont soumis à la loi sur les services
Le Tribunal fédéral déboute une société genevoise, partenaire de Uber, qui contestait son assujettissement à la loi sur la location de services. La position du gouvernement cantonal est ainsi confirmée.
Citée par la Tribune de Genève qui a publié l'information, la conseillère d'Etat Delphine Bachmann se félicite de cette décision. Celle-ci "va donner davantage de lisibilité à l'organisation de tout un secteur d'activités".
Dans son arrêt, le Tribunal fédéral estime que les chauffeurs de véhicule de transport avec chauffeur (VTC) travaillant avec l'application Uber sont soumis à la loi sur le service de l'emploi et la location de services (LSE). Il confirme ainsi la position du Département de l'économie et la décision rendue par la Cour de justice genevoise en mars 2024.
La société MITC, partenaire de Uber et utilisatrice de la plateforme, va devoir respecter les conditions de la LSE pour ses chauffeurs. Notamment en termes de contrat de travail et de planification des horaires.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La Suisse a besoin de quatre fois plus d'installations solaires
Pour décarboner le système énergétique suisse et de ne plus dépendre du nucléaire, il faudra nettement plus d'électricité issue de l'éolien et du solaire. C'est la conclusion d'un rapport d'un consortium réunissant plusieurs hautes écoles publié jeudi.
La Suisse prévoit de couvrir d'ici 2050 environ 60% de ses besoins en électricité avec de nouvelles sources d'énergie renouvelables telles que le photovoltaïque, l'éolien ou la biomasse. Le nouveau rapport a pour la première fois examiné en détail comment y parvenir, indique l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dans un communiqué.
Il en résulte que la capacité des installations solaires installées devrait être quadruplée par rapport à aujourd'hui et que la capacité des éoliennes devrait être multipliée par 80.
"Cette forte augmentation du photovoltaïque et de l'énergie éolienne d'ici 2050 est difficilement imaginable sans subventions efficaces", souligne Giovanni Sansavini, co-auteur de l'étude à l'EPF de Zurich, cité dans le communiqué.
https://www.research-collection.ethz.ch/handle/20.500.11850/735887
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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