International
Commerce: Washington et Pékin d'accord sur un "cadre général"
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/06/le-cycle-de-discussions-a-londres-entre-washington-et-pekin-visait-a-prolonger-la-treve-commerciale-arrachee-il-y-a-un-mois-a-geneve-archives-1000x600.jpg&description=Commerce: Washington et Pékin d'accord sur un "cadre général"', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Après deux jours de discussions à Londres, les Etats-Unis et la Chine se sont mis d'accord mardi sur un "cadre général" pour lisser leurs différends commerciaux. Les présidents américain Donald Trump et chinois Xi Jinping doivent désormais valider l'accord.
"Les deux parties sont parvenues à un accord de principe sur un cadre général [...] et vont rendre compte de ce cadre général à leurs dirigeants respectifs", a déclaré le représentant chinois au commerce international Li Chenggang, vers minuit heure locale (01h00 mercredi en Suisse).
"L'idée, c'est que nous allons rentrer, parler avec le président [américain Donald] Trump et nous assurer qu'il approuve. Ils [les Chinois, ndlr] vont rentrer et parler au président Xi [Jinping] pour s'assurer qu'il approuve", a décrit de son côté le ministre américain du commerce Howard Lutnick. "Et si c'est le cas, nous allons mettre en oeuvre ce cadre général sur lequel nous avons durement travaillé ces deux derniers jours", a-t-il ajouté.
Terres rares
M. Lutnick s'est aussi dit convaincu que les tensions autour des exportations chinoises de terres rares seront "résolues" dans le cadre de cet accord.
Les terres rares chinoises constituent un enjeu clef des négociations, les Etats-Unis souhaitant rétablir le rythme des expéditions de ces métaux stratégiques, actuellement bien plus bas "que celui considéré comme optimal par les entreprises", a souligné sur CNBC Kevin Hasset, principal conseiller économique de M. Trump.
Ces matières premières sont cruciales pour les batteries électriques, les éoliennes ou encore les systèmes de défense (missiles, radars, satellites).
Le cycle de discussions de Londres visait à prolonger la trêve arrachée un mois plus tôt à Genève. Courant jusqu'en août, celle-ci avait amené les deux premières puissances économiques à réduire substantiellement leurs droits de douane respectifs pour une durée de 90 jours.
Mais un nouvel accès de fièvre avait menacé à nouveau, après que Donald Trump a accusé Pékin de ne pas respecter les termes de l'accord de désescalade signé à Genève. Puis le président américain et son homologue chinois Xi Jinping se sont entretenus par téléphone la semaine dernière, un échange jugé positif par le locataire de la Maison-Blanche.
"Aussi vite que possible"
Le négociateur chinois Li Chenggang a affirmé que les échanges à Londres avaient été "très professionnels, rationnels, approfondis et francs".
"Nous avançons aussi vite que possible", avait dit de son côté le représentant au commerce de la Maison-Blanche (USTR) Jamieson Greer, qui s'est montré "positif" en dépit d'une relation avec la Chine qualifiée de "compliquée".
En Suisse, Washington avait accepté de ramener les droits de douane sur les produits chinois de 145% à 30%, en échange d'un mouvement similaire par Pékin de 125% à 10% sur les produits américains, pour 90 jours.
Les conséquences de la guerre commerciale sont déjà tangibles, avec une baisse de 12,7% des exportations chinoises vers les Etats-Unis en mai par rapport à avril, selon les statistiques officielles de Pékin.
Tout en travaillant à la normalisation des relations avec Washington, le gouvernement chinois s'est lancé dans des discussions avec ses autres partenaires pour constituer un front commun face aux Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Procès confirmé pour Renault dans le cadre du Dieselgate
Le parquet de Paris a requis le 25 juin un troisième procès pour tromperie aggravée dans le scandale du Dieselgate contre le constructeur français Renault. Il intervient après ceux déjà demandés contre Volkswagen et Peugeot-Citroën.
La marque au losange est suspectée d'avoir "spécialement calibré" des véhicules de normes Euro 5 et Euro 6 commercialisés entre 2009 et 2017 pour qu'ils respectent les paramètres réglementaires lors des tests d'homologation mais pas en situation normale, d'après les réquisitions dont l'AFP a eu connaissance ce vendredi.
Cette tromperie alléguée est aggravée par le fait que ce calibrage a pu favoriser de la pollution atmosphérique aux oxydes d'azote, "favorisant notamment l'apparition chez l'homme de maladies respiratoires".
La décision finale sur un procès appartient au juge d'instruction, dans ce dossier qui a fait l'objet d'abondants échanges techniques et de plusieurs expertises.
Lors de sa mise en examen, en juin 2021, Renault avait contesté toute tromperie aggravée et avait assuré s'être toujours conformée aux normes en vigueur.
"Une stratégie assumée" de Renault
Pour la procureure chargée de ce dossier, toutefois, "l'ensemble des déclarations des équipes travaillant sur la conception des moteurs diesel au sein de la SAS Renault tendait à démontrer que l'objectif en matière de dépollution était de 'passer la norme', en limitant de facto 'la norme' au protocole d'homologation" alors que "cette norme devait trouver à s'appliquer aussi dans des conditions d'utilisation normale du véhicule".
Cette "stratégie assumée d'optimisation du fonctionnement des organes de dépollution et au long cours" a été prise de manière "collégiale", assure le ministère public.
A ce stade, il y a 381 parties civiles dans la procédure, des particuliers, des associations, des personnes publiques, parmi lesquelles les villes de Paris, Lyon, Montpellier ou Grenoble ainsi que des entreprises privées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Culture
Le 17e Prix Lumière est décerné à Michael Mann pour l'ensemble de sa carrière
Le cinéaste Michael Mann recevra le 17e Prix Lumière en octobre à Lyon. Ce prix célèbre les personnalités les plus importantes du 7e art, et l'Américain succède à notamment Clint Eastwood ou Quentin Tarantino.
Originaire de Chicago, Michael Mann, 82 ans, a marqué ces 40 dernières années avec douze longs-métrages dont son film policier emblématique "Heat" (1995), avec le duo de stars Al Pacino et Robert de Niro.
"Tout droit venu de la mythologie hollywoodienne, c'est un artiste majeur dont la trace dans le cinéma est là pour toujours", souligne vendredi dans un communiqué Thierry Frémaux, le directeur du festival, qui avait déjà accueilli le réalisateur et homme de télévision en 2017.
Producteur de "Miami Vice"
Il a également dirigé Daniel Day-Lewis dans "Le Dernier des Mohicans" (1992), Tom Cruise dans "Collatéral" (2004) ou encore Colin Farrell et Jamie Foxx dans l'adaptation de la série télévisée culte "Miami Vice" (2006) dont il était le producteur exécutif.
Il adaptera notamment la vie de la légende de la boxe américaine, Mohamed Ali, dans "Ali" (2001) avec Will Smith mais aussi celle du fondateur italien de la marque de bolides Enzo Ferrari, avec Adam Driver dans "Ferrari" (2023) en compagnie de Pénélope Cruz.
Révélé dès son premier long-métrage
Il a été récompensé par un Emmy et un DGA Award pour son téléfilm "The Jericho Mile - Comme un homme libre" (1979). Son premier film "Le Solitaire" (1981) avec James Caan, sera sélectionné au Festival de Cannes et son long-métrage "Révélations" (1999), un film politique majeur où brille Russell Crowe, nommé sept fois aux Oscars.
Créé par le directeur général de l'Institut Lumière, Thierry Frémaux, également à la tête du Festival de Cannes, le Prix Lumière entend "célébrer une personnalité pour l'ensemble de son oeuvre et le lien qu'elle entretient avec l'histoire du cinéma".
Parmi les artistes déjà distingués figurent Francis Ford Coppola, Wong Kar-wai, Clint Eastwood, Tim Burton, Quentin Tarantino, Martin Scorcese, Ken Loach ou encore Isabelle Huppert en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tour d'Autriche: chute et abandon pour Aleix Espargaro
L'ancien pilote MotoGP Aleix Espargaro (35 ans) n'est pas arrivé au terme de sa première course comme cycliste professionnel. Il a dû abandonner après une chute lors de la 3e étape du Tour d'Autriche.
Vainqueur de trois Grands Prix en MotoGP (Argentine 2022, Grande-Bretagne et Catalogne 2023), l'Espagnol avait mis fin à sa carrière sur les circuits en 2024. Il a depuis tenté une étonnante reconversion, toujours sur deux roues mais sans moteur.
Engagé par la formation Lidl-Trek, dont il est ambassadeur, Aleix Espargaro a entamé sa nouvelle carrière mercredi lors de la 1re étape du Tour d'Autriche, dans un rôle d'équipier. Mais il est tombé vendredi et, selon son équipe, il pourrait souffrir d'une fracture osseuse à une main.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Volkswagen a arrêté la production sur une usine chinoise
Volkswagen a indiqué vendredi avoir arrêté la production sur un site chinois, à Nankin, opéré avec son partenaire local SAIC. La mesure s'inscrit dans le contexte d'une concurrence redoublée sur le marché principal du constructeur allemand.
"L'usine SAIC Volkswagen de Nankin a cessé sa production " a indiqué à l'AFP un porte-parole de Volkswagen, confirmant des informations du quotidien économique allemand Handelsblatt.
Le journal ajoute que le site doit fermer, selon une décision qui sera finalisée au second semestre.
Le porte-parole n'a pas confirmé la fermeture du site, renvoyant à la stratégie de Volkswagen et de ses coentreprises en Chine visant à "accélérer la transformation" vers des véhicules électriques, intelligents et connectés, avec un réseau de production "aligné et optimisé" en conséquence.
Située dans la zone de développement économique et technologique de Nankin (est), cette usine avait été inaugurée en 2008 avec une capacité annuelle de 210'000 véhicules en employant 2500 personnes, selon une présentation sur le site chinois du Volkswagen.
La proximité immédiate du centre-ville rendait toute transformation vers la production de véhicules électriques coûteuse et inefficace, selon des sources proche du groupe.
La production sur ce site comprenait notamment la berline Volkswagen Passat à moteur thermique ainsi que la Skoda Superb. Leur production restante devrait être transférée sur le site voisin de Yizheng, écrit le Handelsblatt.
L'usine de Nankin est le premier site Volkswagen en Chine à être entièrement fermé.
Certes, le groupe s'est retiré en novembre 2024 de l'usine controversée de la province du Xinjiang, peuplée d'Ouïghours, mais celle-ci a été vendue.
Pionnier en Chine, son marché le plus important où il a établi son premier site de production dans les années 1980 et en compte plus d'une trentaine aujourd'hui, Volkswagen doit s'adapter au virage structurel du secteur automobile chinois.
Il est marqué par le recul des ventes de voitures thermiques, la montée en puissance des marques locales électriques et une concurrence accrue.
Le groupe Volkswagen entend accélérer sa transition vers l'électromobilité et vise un rebond de ses ventes grâce à une nouvelle génération de modèles électriques à partir de 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
-
VaudIl y a 2 jours
Nord vaudois: course poursuite après le vol d'une voiture de luxe
-
InternationalIl y a 3 jours
Incendies dans le sud de la France, le feu atteint Marseille
-
SuisseIl y a 2 jours
Un séisme fictif touchera la Suisse en octobre 2026
-
InternationalIl y a 3 jours
Etats-Unis: voie ouverte aux licenciements des fonctionnaires
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: un policier tire sur une voiture en délit de fuite
-
LausanneIl y a 2 jours
Vaud: SMS frauduleux faisant croire à une amende
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Les prix de l'immobilier ont nettement augmenté en juin
-
SuisseIl y a 3 jours
Martin Pfister souligne l'importance de la Swisscoy au Kosovo