International
Iran: Israël poursuit ses attaques contre l'Iran et menace
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Israël a averti samedi que "Téhéran brûlera" si l'Iran continuait de lancer des missiles contre son territoire, après le tir de dizaines de ces projectiles en riposte à une attaque israélienne d'une ampleur sans précédent sur le sol iranien.
L'armée de l'air israélienne a poursuivi ses frappes samedi en Iran, ciblant les défenses aériennes et des lanceurs de missiles, avec l'objectif de démanteler les capacités militaires de son ennemi juré.
Disant disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a lancé vendredi son opération contre l'Iran, touchant plus de 200 sites militaires et nucléaires et tuant les plus hauts gradés du pays.
L'Iran, qui dément fabriquer l'arme nucléaire, a affirmé qu'Israël avait "lancé une guerre" qui mènera à "sa ruine" selon les termes du guide suprême Ali Khamenei vendredi.
"Le dictateur iranien transforme les citoyens iraniens en otages et crée une réalité dans laquelle ils, en particulier les habitants de Téhéran, paieront un lourd tribut en raison des dommages criminels causés aux civils israéliens", a prévenu le ministre de la Défense Israël Katz. "Si Khamenei continue de tirer des missiles sur le front intérieur israélien, Téhéran brûlera."
Trois morts en Israël
La plupart des missiles iraniens tirés vendredi et samedi ont été interceptés, selon l'armée israélienne. Les Etats-Unis ont aidé à les abattre, d'après un responsable américain.
Mais il y a eu d'importants dégâts à des habitations et des destructions dans la région de Tel-Aviv, où les secouristes ont fait état de trois morts et de dizaines de blessés. L'armée israélienne fait en outre état de sept soldats blessés dans les frappes iraniennes de la nuit.
Le représentant iranien à l'ONU Amir Saeid Iravani, a quant à lui fait état de 78 morts et plus de 320 blessés dont une "large majorité de civils" dans l'attaque israélienne.
Allié d'Israël, le président américain Donald Trump a appelé vendredi l'Iran à "conclure un accord" sur son programme nucléaire et prévenu que les "prochaines attaques" israéliennes seraient "encore plus brutales".
Suspension des vols
Samedi, l'armée israélienne a indiqué avoir ciblé des systèmes de défense aérienne dans la région de Téhéran et "des dizaines" de lanceurs de missiles sol-sol en Iran.
Des médias iraniens ont fait état de frappes sur la ville de Tabriz (nord), et sur des parties des provinces de Lorestan, Hamedan et Kermanshah (ouest), qui abritent toutes des bases militaires clés.
L'espace aérien de l'Iran est fermé "jusqu'à nouvel ordre", a annoncé l'agence officielle IRNA.
En Israël, le principal aéroport international, celui de Ben Gourion près de Tel-Aviv, est fermé jusqu'à nouvel ordre.
L'escalade militaire entre l'Iran et Israël, distants de plus de 1500 km, fait craindre un conflit prolongé qui engloutirait la région, selon des experts. Plusieurs compagnies aériennes ont supprimé ou dérouté des vols et les cours du brut ont flambé.
"Il faut une riposte radicale. Combien de temps encore devons-nous vivre dans la peur? (...) Que signifie vraiment négocier à ce stade?", a indiqué un habitant de Téhéran, Ahmad Moadi.
L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, de vouloir se doter de l'arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.
Un nouveau cycle de négociations indirectes est prévu dimanche à Oman entre Téhéran et Washington pour tenter de trouver un accord sur le programme nucléaire iranien. Mais la participation de Téhéran est "incertaine" selon un média d'Etat.
"Un petit nombre de semaines"
Malgré les appels internationaux à cesser les attaques, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti qu'il y en aurait "plus à venir".
L'opération durera "un petit nombre de semaines", a dit l'ambassadeur d'Israël en France Joshua Zarka sur France Info.
"Nous avons éliminé les principaux commandants militaires, des scientifiques nucléaires, l'installation d'enrichissement (d'uranium) la plus importante du régime islamique et une grande partie de son arsenal de missiles balistiques", a affirmé M. Netanyahu vendredi.
Son armée a affirmé avoir "démantelé" une usine de conversion d'uranium à Ispahan (centre) et la base militaire de Tabriz (nord-ouest).
L'Iran a affirmé que les dégâts à Ispahan et sur le site de Fordo, au sud de Téhéran, étaient mineurs. Le centre pilote d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre) a été visé, selon Téhéran.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a déclaré que la partie en surface avait été "détruite", citant des informations iraniennes. Mais "aucune augmentation des niveaux de radiation" n'a été observée.
Commandants et scientifiques tués
Dans les frappes israéliennes, le chef des Gardiens de la Révolution, armée idéologique d'Iran, le général Hossein Salami, le commandant de la force aérospatiale des Gardiens, Amirali Hajizadeh, ainsi que d'autres responsables militaires ont été tués, selon Téhéran. De même que le chef d'état-major, le général Mohammad Bagheri, et neuf scientifiques du programme nucléaire iranien.
Samedi, la télévision d'Etat iranienne a fait état de la mort de deux généraux de l'armée, Gholamreza Mehrabi et Mehdi Rabbani.
En octobre 2024, Israël a mené des frappes sur des cibles militaires en représailles au tir de quelque 200 missiles iraniens vers son territoire. Les tirs iraniens étaient en riposte à une attaque imputée à Israël qui a ciblé le consulat d'Iran à Damas.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Fanny Smith 3e, victoire de Näslund à Val Thorens
Fanny Smith a décroché la 3e place de la 2e épreuve de Coupe du monde à Val Thorens. Nouvelle victoire de la Suédoise Sandra Näslund.
Pas forcément au top physiquement, la Vaudoise s'est bien battue. En quarts et en demi-finales, elle a effectué des remontées pour aller chercher sa qualification. En finale, la skieuse de Villars a tapé le haut d'un roller et elle a dû s'employer pour monter sur la boîte. Devant, Sandra Näslund n'a connu aucun problème pour signer sa 41e victoire en Coupe du monde, un jour après son 40e triomphe. Entre les deux grandes dames du ski-cross, on retrouve la Française Marielle Berger Sabbatel.
Jolie 5e place pour Saksja Lack. La Zurichoise avait mal négocié le négatif en demi-finales, mais elle s'est bien reprise lors de la petite finale grâce aussi à une excellente glisse.
Déception chez les messieurs avec seulement deux hommes en quarts de finale: Alex Fiva et Thomas Baur. Mais les deux athlètes ont terminé 3e de leur série et leur route s'est arrêtée là. Romain Détraz n'a pas pris le départ, alors que Jonas Lenherr, Gil Martin, et Ryan Regez ont été éliminés en huitièmes de finale. Victoire pour le Canadien Kevin Drury devant Simone Deromedis et Tristan Takats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence
L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.
"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.
Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
France: agriculteurs mécontents de la stratégie face à la DNC
Dans le sud de la France, un troupeau de vaches doit être abattu vendredi en raison d'un cas de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Les agriculteurs se mobilisent depuis deux jours contre la stratégie du gouvernement pour contrer la maladie.
Faisant usage de gaz lacrymogène, les gendarmes ont pris jeudi en fin de soirée le contrôle de cette exploitation, située dans le village des Bordes-sur-Arize en Ariège, près de la frontière espagnole. Plusieurs centaines d'agriculteurs y étaient rassemblés depuis mercredi matin pour s'opposer à l'euthanasie des 207 bovins et bloquer l'accès aux services vétérinaires.
Parmi les manifestants figuraient notamment des membres de la Coordination rurale (deuxième syndicat agricole ndlr) et de la Confédération paysanne (troisième syndicat ndlr), qui critiquent depuis plusieurs jours la gestion de l'épizootie par les autorités.
Après la fièvre catarrhale ovine et alors que sévit toujours la grippe aviaire, la DNC est apparue en juin en France. Pour arrêter la maladie transmise via des insectes piqueurs mais qui n'atteint pas l'homme, les autorités ont imposé d'abattre toutes les bêtes d'un troupeau vivant ensemble dès qu'un cas était détecté.
Des "zones règlementées" doivent aussi être instaurées dans un rayon de 50 km autour du foyer avec des déplacements restreints et une vaccination des bêtes.
Protestations en hausse
Début décembre, la protestation a grandi après l'euthanasie très contestée de 83 vaches vaccinées contre la DNC dans une ferme du Doubs (est), où s'étaient là aussi mobilisés des manifestants, évacués avec des gaz lacrymogènes.
Les syndicats sont divisés. La Confédération paysanne et la Coordination rurale tentent de s'opposer aux euthanasies et plaident pour une vaccination préventive généralisée. La FNSEA (premier syndicat) en revanche soutient le protocole des autorités, redoutant qu'une vaccination large prive la France de son statut de pays "indemne" et donc de sa capacité d'export de bovins vivants pendant de longs mois.
Cette contestation se déroule dans un contexte de colère agricole alimentée par d'autres ressorts: un accord Union européenne-Mercosur sur le point d'être voté, une politique agricole commune (PAC) profondément remaniée... Une marche est prévue le 18 décembre à Bruxelles, où les organisateurs espèrent jusqu'à "10'000 manifestants", dont une bonne partie venue de France.
La première puissance agricole européenne souffre, doit importer toujours plus au point d'entrevoir un déficit commercial en 2025 pour la première fois depuis 50 ans. Ses fleurons, du blé aux vignes, traversent une crise inédite.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Royaume-Uni: recul surprise du PIB en octobre, à -0,1%
Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a reculé de 0,1% en octobre, a annoncé vendredi l'Office national des statistiques (ONS), une baisse inattendue, les analystes interrogés par Bloomberg tablant sur une légère progression de 0,1%.
Ce recul fait suite à un repli identique en septembre et une croissance nulle en août.
Il accentue encore la pression sur le gouvernement travailliste, qui peine depuis son retour au pouvoir en juillet 2024 à tenir sa promesse de retour de la croissance.
"Nous sommes déterminés à défier les prévisions de croissance et à créer des emplois de qualité, afin que chacun puisse bénéficier d'une meilleure situation", a réagi un porte-parole du ministère des Finances dans un communiqué.
Le mois d'octobre a notamment été marqué par la reprise des activités du constructeur Jaguar Land Rover, qui avait été contraint de mettre en pause sa production en septembre en raison d'une cyberattaque, avec un impact non négligeable sur l'économie britannique.
Mais ce regain d'activité n'a pas suffi au Royaume-Uni pour retrouver la croissance en octobre, relève Lindsay James, analyste chez Quilter, qui impute le recul du PIB aux inquiétudes en amont de la présentation du budget britannique le 26 novembre.
"Les entreprises et les consommateurs s'attendaient à des hausses d'impôts, et les spéculations et fuites incessantes ont de nouveau freiné l'économie britannique, comme l'an dernier", estime-t-elle.
Le gouvernement a finalement annoncé des hausses d'impôts dans ce budget, mais qui ne prendront effet que progressivement au fil des ans, ce qui semble avoir rassuré les marchés.
"En pratique, l'économie britannique recule", souligne cependant Lindsay James, ce qui rend selon elle "de plus en plus probable" une nouvelle baisse du taux d'intérêt par la Banque d'Angleterre lors de sa prochaine réunion le 18 décembre.
L'institution monétaire doit cependant composer avec inflation qui reste élevée par rapport aux pays de la zone euro, à 3,6% en octobre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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