Rejoignez-nous

Culture

Des photos de la Genevoise Dany Gignoux pour une immersion musicale

Publié

,

le

La photographe Dany Gignoux a immortalisé le pianiste Sammy Price au Montreux Jazz Festival en 1976. Ses clichés sont à découvrir à la Bibliothèque de Genève (archives). (© KEYSTONE/DANY GIGNOUX)

La Bibliothèque de Genève propose jusqu'en juillet "Pure Gignoux!", une exposition qui rassemble une soixantaine d'images de la Genevoise Dany Gignoux. Cette photographe a immortalisé les plus grandes légendes de la musique sur scène ou dans les coulisses de leurs tournées.

Une soixantaine d’images composent cette exposition. Dany Gignoux a photographié de grandes stars: Ella Fitzgerald, Leonard Cohen, Nina Simone ou Tina Turner à Montreux, Chuck Berry, Chet Baker ou Elvis Costello à Genève mais aussi The Cure, Joan Baez, Joe Cocker ou Bob Dylan à Nyon.

Née en 1944 à Genève, Dany Gignoux achète son premier appareil à 23 ans. Très vite, elle apprend à développer ses images. Elle travaille comme pigiste pour des agences de presse. Dans les années 1980, elle part en mission pour le CICR. En parallèle, elle s’intéresse à sa ville et y documente les mouvements sociaux.

Mais elle est avant tout passionnée de musique. En 1976, elle est la photographe attitrée du premier Nyon Folk Festival, qui deviendra le Paléo Festival. Elle poursuit à Genève avec le Festival de la Bâtie, des Cropettes, la Jazz Parade du Grand-Lancy, le Jazz Estival. Habituée des scènes musicales, elle devient proche des artistes.

L'exposition à la Bibliothèque de Genève propose une sélection d’images parmi les plus caractéristiques de son style. Ces photographies ont été choisies dans les quelque 15'000 tirages se trouvant au Centre d’iconographie de la Bibliothèque de Genève. Une playlist est disponible pour accompagner la visite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

David McCallum, le médecin légiste de "NCIS", est mort à 90 ans

Publié

le

David McCallum a notamment joué dans la série l'Homme invisible diffusée dans les années 1970 (archives). (© KEYSTONE/AP/Richard Drew)

L'acteur britannique David McCallum, qui joua pendant 20 saisons le rôle du médecin légiste "Ducky" dans "NCIS", est mort à l'âge de 90 ans. C'est ce qu'ont rapporté plusieurs médias américains lundi.

Celui qui s'était d'abord fait connaître du grand public dans les années 1960 en interprétant le charmeur Illya Kouriakine dans la série "Des agents très spéciaux", est mort lundi entouré de sa famille dans un hôpital de New York, a indiqué la chaîne CBS.

"Il fut le père le plus gentil, le plus cool, le plus patient et aimant", a déclaré son fils Peter, selon la chaîne. "Il était fasciné par la science et la culture et transformait ces passions en connaissances", a-t-il ajouté, précisant que son père aurait même été capable d'effectuer une autopsie "sur la base de ses recherches de plusieurs décennies pour son rôle dans NCIS".

Etudiant à la prestigieuse Académie royale des arts dramatiques de Londres, David McCallum fait l'une de ses premières apparitions au cinéma en 1963 dans "La grande évasion", aux côtés notamment de Steve McQueen. Mais c'est lorsqu'il est choisi l'année d'après pour interpréter l'énigmatique agent secret soviétique Illya Kouriakine dans "Des agents très spéciaux" que sa carrière connaît un véritable essor.

Véritable carton

Doté d'une luxuriante chevelure blonde et de cols roulés, David McCallum représentait alors une certaine icône du charme. La série "Des agents très spéciaux" n'a duré que quatre années, mais son personnage l'a suivi à vie. "Cela fait plus de 30 ans mais je n'arrive pas à m'en échapper", avait-il déclaré au New York Times en 1998.

A partir de 2003, il débute son rôle du Dr Donald "Ducky" Mallard, médecin légiste du service d'enquête criminelle de la marine américaine, le NCIS, dans la série du même nom. Véritable carton, elle sera suivie par des millions de spectateurs aux Etats-Unis et à travers le monde, continuant à travers ses 20 saisons d'être diffusée à la télévision américaine.

Avec ses noeuds papillon caractéristiques, il apparaîtra dans tous les épisodes des 15 premières saisons, à l'exception d'un seul, avant de faire des apparitions plus sporadiques à partir de la saison 16.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Nouvelles accusations d'agression sexuelle contre Russell Brand

Publié

le

La police a reçu plusieurs accusations d'agression sexuelle contre Russell Brand. (© KEYSTONE/AP Invision/JOEL RYAN)

La police londonienne a déclaré lundi avoir reçu "un certain nombre d'accusations" d'agression sexuelle concernant l'acteur britannique Russell Brand depuis que plusieurs femmes l'ont accusé de viol et d'agressions sexuelles dans une enquête publiée mi-septembre.

Ces accusations portent sur des faits "non récents", a précisé la police qui ajoute poursuivre son enquête et qu'aucune arrestation n'a pour l'instant eu lieu.

Le comédien provocateur de 48 ans, devenu influenceur anti-establishment sur les réseaux sociaux où des millions d'abonnés le suivent, a rejeté les révélations de l'enquête conjointe du Times, du Sunday Times et de la chaîne de télévision Channel 4 rendue publique le 16 septembre.

Dans cette enquête, quatre femmes l'ont accusé l'une de viol, les autres d'agression sexuelle et de violence psychologique.

Russell Brand affirme lui que ses relations ont toujours été "consenties", même pendant une période durant laquelle il a admis avoir été "très, très dévergondé".

Dans une vidéo publiée samedi sur ses différents comptes sur les réseaux sociaux, il a qualifié de "pénible" et d'"extraordinaire" la semaine écoulée, et remercié ses fans pour leur soutien.

Il a aussi critiqué le gouvernement britannique, affirmant qu'il avait demandé aux géants technologiques de le "censurer" en ligne. Il s'est insurgé contre "la collusion entre l'Etat profond et les entreprises" et "la corruption et la censure des médias".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Lausanne Méditerranées revient avec une édition consacrée au Liban

Publié

le

Le Théâtre Vidy-Lausanne s’associe à la 4e édition de Lausanne Méditerranées dédiée au Liban. Début octobre, il accueillera notamment cinq jours durant des artistes performeurs et musiciens du pays du Cèdre. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La 4e édition de Lausanne Méditerranées met à l’honneur le Liban. Dès samedi et jusqu'au 8 octobre, plus de 40 propositions attendent le public, du théâtre à la danse, en passant par la musique, le cinéma, la littérature et la photo. A l'agenda également, des soirées festives, des conférences, des ateliers et des rencontres.

Après le Maghreb, la Grèce et l’Albanie, Lausanne Méditerranées consacre cette nouvelle édition à un pays qui "fascine depuis toujours par son incroyable diversité", relève la Ville dans un communiqué. Il interroge aussi par sa complexité et les crises traversées depuis la guerre civile (1975-1990) et plus récemment l’explosion du port de Beyrouth.

Lausanne Méditerranées souhaite mettre en lumière la capacité remarquable des Libanais d’affronter les soubresauts de l’époque et la créativité foisonnante qui émane de ce petit territoire. Les associations libanaises présentes à Lausanne sont au coeur de la programmation. L'objectif est le mélange des publics, la promotion d’expressions culturelles multiples et de projets participatifs.

De nombreuses institutions culturelles se sont associées à la manifestation, à l'instar du Théâtre Vidy-Lausanne, des Docks, Pyxis, de la Maison de la culture et de l’innovation numérique ou encore de la Cinémathèque suisse.

Pour cette édition 2023, Lausanne Méditerranées propose en préambule des ateliers et des activités pour partir à la découverte de la culture libanaise dans plusieurs centres socioculturels de la ville ainsi qu’à la bibliothèque jeunesse. Contes, cuisine, danse orientale, films: le programme prévu jusqu'au 7 octobre a déjà débuté mercredi dernier.

www.lausanne.ch/lausannemediterrannées

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Le témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz, en BD

Publié

le

Ginette Kolinka est une des rares rescapées du camp d'Auschwitz Birkenau encore vivante. (© KEYSTONE/AP/MARKUS SCHREIBER)

Le témoignage de Ginette Kolinka, 98 ans et rescapée du camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau paraît mardi en bande dessinée. L'album raconte ce qui était prévu comme son dernier voyage dans le camp, en octobre 2020.

"Adieu Birkenau" est publié par les éditions Albin Michel, avec JDMorvan et Victor Matet pour le scénario, et trois Espagnols pour le dessin, Ricard Efa, Cesc F. Dalmases et Roger Surroca Sole.

L'album raconte ce qui était prévu comme le dernier voyage de Ginette Kolinka dans le camp, en octobre 2020.

Après avoir fui Paris en 1942, elle est arrêtée à Avignon (sud) en mars 1944, à l'âge de 19 ans, transférée vers Marseille, puis le camp de Drancy, en région parisienne, et enfin déportée vers Birkenau en avril.

Dans le camp, Ginette Kolinka a connu l'ex-ministre française et ancienne présidente du Parlement européen Simone Veil ainsi que la réalisatrice Marceline Loridan-Ivens, toutes trois étant restées proches jusqu'à la mort des deux autres. Elle passera par Bergen-Belsen puis Theresienstadt, avant de pouvoir rentrer à Paris en juin 1945. Ginette a alors perdu 40 kg, pour n'en peser que 26.

"Ne plus réfléchir, c'est peut-être ce qui m'a sauvé la vie", dit-elle dans l'album, à propos de sa captivité dans les camps nazis.

Devoir de transmission

Après le récit, deux historiens spécialistes de la Shoah, Tal Brutmann et Caroline François, éclairent le contexte historique du parcours de Ginette Kolinka, avec des documents, photos et dessins d'époque.

L'album est né de sa rencontre avec Victor Matet, journaliste qui faisait des recherches sur sa propre famille et qui a longuement relayé le témoignage de cette survivante.

Dans des propos rapportés par les éditions Albin Michel, Ginette Kolinka affirme avoir eu des réticences face au projet, parce qu'elle associait la bande dessinée à l'humour.

"Au début, je n'étais pas tellement d'accord (...) C'est une histoire triste. Mais j'ai changé d'avis", explique-t-elle.

Le récit de la visite du camp laisse voir la force de caractère de ce témoin qui, depuis qu'elle a décidé de transmettre son histoire aux jeunes générations il y a une vingtaine d'années, ne refuse aucune sollicitation pour parler aux collégiens ou lycéens.

"Quand je suis avec eux, j'ai leur âge. Moi, je ne me sens pas vieille", affirme-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Les Sujets à la Une

X