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Culture

Plus de 55'000 personnes pour la 13e édition d'Antigel

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La traditionnelle Roller Skate Party a lancé les festivités de cette 13e édition d'Antigel, le 3 février dernier. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Plus de 55'000 personnes ont afflué pour la 13e édition d'Antigel qui a démarré le 3 février et s'achève ce dimanche. Une fréquentation historique pour le festival pluridisciplinaire genevois.

Après deux éditions marquées par la pandémie, plus de la moitié des quelque 120 événements programmés ont affiché complet, se réjouissent les organisateurs dans un communiqué diffusé dimanche après-midi.

Ils se disent "subjugués par la motivation et les déplacements de la foule jusqu’aux confins du canton" pour découvrir une offre des plus éclectiques. Pas moins de 23 communes ont participé cette année au festival, mêlant musique, arts vivants, performances, mais aussi sport et clubbing.

Evénements signature du festival, les six expériences immersives Made in Antigel ont été parmi les premiers événements à afficher complet. Parmi elles, "Je suis un cerf", retraçant le destin tragique d’un cerf durant le confinement en 2020 à travers une balade sonore partant des tréfonds de la forêt genevoise et emmenant le badaud jusqu'au coeur de la ville.

QG dans l'ancien centre de vaccination

L'an dernier, Antigel avait attiré 27'000 personnes et sa programmation avait été marquée par plusieurs annulations de concerts en raison du variant Omicron qui sévissait alors.

Comme un clin d'oeil teinté d'ironie, le festival a cette année investi l'ancien centre de vaccination des Eaux-Vives pour y établir son lieu central aménagé en bar éphémère. Le site était relié par le Leman express au Motel Campo, haut lieu des nuits genevoises situé dans le quartier de Lancy-Pont-Rouge.

Des concerts au printemps et à l'automne

Le festival s'achève ce dimanche, mais invite son public pour deux dates de concert ce printemps les 28 mars et 16 avril. Ainsi qu'un mini festival le temps de 3 soirées du 28 au 30 septembre prochains.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Théâtre du Jorat: fréquentation en hausse de 30% en 2024

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Ariane Moret, directrice du Théâtre du Jorat, annonce une hausse du nombre de spectacteurs de 30% pour la saison 2024 (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Théâtre du Jorat tire un bilan positif de sa saison 2024 qui s'est déroulée du 24 mai au 22 septembre à Mézières (VD). Au cours de cette période, la "Grange sublime" a attiré un total de 12'000 spectateurs pour 15 spectacles, remplissant 70% de ses places. La hausse est de 13% par rapport à l’année précédente.

Au total, le théâtre a présenté quinze productions suisses et européennes. Plusieurs ont été particulièrement acclamées, à l'instar de "20 000 lieues sous les mers" de Christian Hecq et sa complice Valérie Lesort ou d'"Inri", création romande d’André Hahne et d'ADN Dialect, se réjouit l'équipe de la Grange sublime mardi dans un communiqué.

"Nos efforts pour déployer une palette artistique diversifiée ont porté leurs fruits, avec des initiatives novatrices telles que des lectures d’acteur-trices renommé-es, un atelier d’écriture et des bals qui ont conquis un public enthousiaste", a souligné Ariane Moret, directrice générale et artistique du Théâtre du Jorat, citée dans le communiqué.

Commencés en 2023, les travaux de restauration se poursuivent jusqu'en 2025. Un pavillon chauffé accueillera la buvette dans le jardin. Il est actuellement en construction, tout comme l’annexe qui servira de backstage scénique adapté aux normes actuelles et qui permettra d’accueillir des productions répondant aux exigences contemporaines.

La saison prochaine de ce théâtre d'été entièrement construit en bois débutera en juin 2025. Elle sera suivie d’une inauguration officielle des nouveaux espaces en automne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le poète et autonomiste jurassien Alexandre Voisard n'est plus

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Alexandre Voisard, ici en 1998, est une figure de la Question jurassienne. Membre du Mouvement séparatiste jurassien, puis du Rassemblement jurassien, dès 1947, il est l'auteur du populaire poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir". (© Keystone)

Le poète, écrivain et autonomiste jurassien Alexandre Voisard est décédé mardi à l'âge de 94 ans, a indiqué mardi sa famille. Auteur du poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir", il avait contribué à l’éveil culturel du canton.

Le décès annoncé par le Quotidien jurassien a été confirmé par la famille d'Alexandre Voisard. Résidant en France de longue date, l'écrivain ajoulot était hospitalisé à Porrentruy (JU). Selon son v½u, il sera inhumé à Fontenais, où il a longtemps vécu, d’où il est originaire et citoyen d’honneur, précise sa famille dans un courriel transmis à l'agence Keystone-ATS.

Outre ses activités littéraires et artistiques, Alexandre Voisard était une figure importante de la Question jurassienne.

Membre du Mouvement séparatiste jurassien, puis du Rassemblement jurassien, dès 1947, l'auteur du populaire poème "Ode au pays qui ne veut pas mourir" deviendra le premier délégué aux affaires culturelles du canton en 1979. Il a aussi été député socialiste au Parlement jurassien de 1979 à 1983.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Pas d'oeuvres spoliées au sein du Musée d'art du Valais

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Le Musée d'art du Valais n'a pas trouvé de traces de spoliation pour l'instant dans ses collections (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Musée du Valais n'a pour l'instant pas trouvé de traces d'oeuvres d'art spoliées dans ses collections. L'institution a mené des recherches sur 125 oeuvres créées avant 1945.

Bénéficiant d'une aide financière de l'Office fédéral de la culture, le Musée d'art du Valais a pu mettre sur pied un projet de recherche de provenance au sein de sa collection. Entre 2023 et 2024, il a clarifié les origines d'une sélection de 125 ½uvres créées avant 1945 et signées par des artistes très recherchés en Suisse et à l'étranger, à l'approche et durant la Seconde Guerre mondiale, comme Félix Valloton, Marguerite Burnat-Provins ou Cuno Amiet.

L'objectif était de déterminer si certaines de ces ½uvres auraient pu être acquises de manière contestable par des acteurs du marché de l'art sous le régime national-socialiste. Les recherches n'ont, à ce stade, pas révélé de traces de spoliation, annonce le canton du Valais dans un communiqué publié mardi.

Dans le détail, la provenance de 31 ½uvres a pu être entièrement retracée; celle de 91 ½uvres n'a pu être que partiellement établie, mais sans qu’il n'y ait d'indice de spoliation.

Enfin, la provenance de trois ½uvres du peintre suisse Caspar Wolf (1735-1787) présente des lacunes qui n'ont pas pu être comblées en raison de changements de propriété durant la guerre, constate le Musée. La recherche demeure toutefois ouverte, notamment pour ces trois toiles du paysagiste alpin. Les recherches ont été menées par Lange & Schmutz, entité spécialisée dans ces questions, sous la direction du musée.

Exposition temporaire

Le rapport final et les résultats de cette recherche sont rendus publics et publiés en ligne sur le site Internet de l'institution. Une exposition temporaire expliquant la démarche sera présentée au Musée du 18 octobre 2024 au 26 janvier 2025.

Des polémiques éclatent régulièrement autour de la provenance des biens culturels détenus par les musées suisses. La collection Gurlitt à Berne ou celle du marchand d'armes Emil Georg Bührle, au Kunsthaus de Zurich, ont notamment fait couler beaucoup d'encre. Ces dernières années, l'attention du public s'est également portée sur les biens culturels confisqués dans un contexte colonial.

A la demande du Parlement, le Conseil fédéral a décidé en 2023 de créer une commission indépendante pour répondre aux questions soulevées par la restitution de patrimoine culturel au passé problématique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Nouvelles plaintes pour agression sexuelle contre Diddy

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Des plaignantes ont décrit P. Diddy comme un violent prédateur sexuel qui utilisait alcool et drogues pour obtenir leur soumission (archives). (© KEYSTONE/AP/Mark Von Holden)

Des nouvelles plaintes ont été déposées contre Sean "Diddy" Combs, dont l'une accusant le rappeur américain d'agression sexuelle sur mineur, a déclaré lundi un avocat. Ces six plaintes civiles font partie de la série de procédures impliquant plus de 100 victimes.

Accusé au pénal d'avoir dirigé pendant des années un système violent de trafic sexuel et d'extorsions, le chanteur et influent producteur, de son vrai nom Sean Combs, a été inculpé et incarcéré en septembre.

"Nous prévoyons de déposer de nombreuses autres plaintes dans les semaines qui viennent contre M. Combs et d'autres mis en cause", a prévenu lundi dans un communiqué l'avocat.

Ces plaintes déposées par deux femmes et quatre hommes dont l'identité n'est pas révélée couvrent une période allant de 1995 à 2021, selon l'avocat. Un plaignant assure que l'artiste l'a agressé sexuellement quand il avait 16 ans, lui touchant les parties génitales, en 1998 près de New York, lors d'une soirée organisée par le producteur, aussi appelé P. Diddy ou Puff Daddy et aujourd'hui âgé de 54 ans.

"Violent prédateur sexuel"

A l'époque, Combs aurait expliqué à l'adolescent qu'il lui fallait accepter ce type de comportement "pour percer dans l'industrie" de la musique.

En parallèle, le producteur devra répondre en mai 2025 lors d'un procès pénal au niveau fédéral d'avoir, selon l'accusation, mis son "empire" musical au service d'un système violent de trafic à des fins d'exploitation sexuelle et d'extorsion. Sean Combs, qui se dit innocent, a plaidé non coupable.

Figure incontournable et bling-bling du hip-hop de la côte est américaine, Diddy a vu son étoile pâlir depuis la révélation à l'automne 2023 de plusieurs plaintes, notamment des accusations de viol de la chanteuse de R&B Cassie, une procédure qui s'est finalement réglée à l'amiable.

Des plaignantes l'ont décrit comme un violent prédateur sexuel qui utilisait alcool et drogues pour obtenir leur soumission. Le rappeur a nié ces accusations.

Avec son label Bad Boy Records, fondé en 1993, Sean Combs a contribué à l'inscription du hip-hop dans la culture populaire mondiale en faisant émerger Mary J. Blige ou Notorious B.I.G, mort en 1997.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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