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International

2023 a été la deuxième année la plus chaude, juste après 2022

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L'Espagne est confrontée à des épisodes de chaleur de plus en plus nombreux et rapprochés, parfois en dehors des mois d'été, qui inquiètent les scientifiques. (photo symbolique) (© KEYSTONE/AP/MANU FERNANDEZ)

L'Espagne a connu en 2023 sa deuxième année la plus chaude depuis le début des relevés, juste après 2022 qui avait représenté un record, a annoncé jeudi l'agence météorologique nationale.

La température moyenne a atteint 15,2°C (soit 1,2°C au-dessus de la normale) en 2023, année qui a connu 44 jours de records absolus de chaleur, a indiqué Rubén del Campo, porte-parole de l'Aemet lors d'une conférence de présentation du rapport annuel sur le climat dans le pays.

"Il s'agit de la deuxième année la plus chaude de la série" statistique entamée en 1961, après 2022, a-t-il insisté.

"1,2 degré au-dessus de la normale, ça peut sembler peu, mais (...) sur une année entière, c'est beaucoup, c'est beaucoup", a-t-il insisté.

En 2022, la température moyenne annuelle avait pour la première fois dépassé le seuil des 15 degrés avec près de 15,5°C.

"La température moyenne a augmenté de plus d'1,5°C en Espagne depuis 1961, début des relevés" et les dix années les plus chaudes de la série ont toutes été au XXIe siècle, a encore précisé l'agence météorologique.

Rubén del Campo a souligné le rôle "fondamental" joué dans ce réchauffement par les "émissions de gaz à effet de serre".

2024 semble suivre la même tendance : le pays a connu cette année son mois de janvier le plus chaud jamais enregistré avec une température moyenne en Espagne continentale de 8,4 degrés et un mercure ayant avoisiné les 30°C dans certaines régions lors d'une vague de chaleur digne du début de l'été et qualifiée d'"anomalie" par l'Aemet.

Habituée aux fortes températures, l'Espagne est confrontée à des épisodes de chaleur de plus en plus nombreux et rapprochés, parfois en dehors des mois d'été, qui inquiètent les scientifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Tadej Pogacar fait coup double à Hautacam

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Tadej Pogacar simplement beaucoup trop fort (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Tadej Pogacar a sorti un grand numéro lors de la 12e étape du Tour de France entre Auch et Hautacam. Le Slovène a profité de cette première étape de montagne pyrénéenne pour marquer les esprits.

En mode revanche, le triple vainqueur du Tour! Battu de plus d'une minute sur ces mêmes routes par Vingegaard en 2022, Tadej Pogacar a frappé très fort sur cette étape de 180,6 km. Et le pire, c'est que le Slovène n'a même pas eu besoin de placer une attaque d'extraterrestre. "Pogi" a profité du soutien de ses équipiers d'UAE pour isoler son principal adversaire et lâcher tout le monde au train.

Maillot arc-en-ciel de champion du monde sur le dos, le Slovène n'a pas souffert de sa chute de la veille. Il a prouvé qu'il était bien le maître incontesté du cyclisme en mettant 2'10 à Vingegaard, 2e de l'étape, et 2'23 à l'Allemand Florian Lipowitz. Il remporte sa 20e victoire sur le Tour de France et déjà sa troisième étape sur cette édition 2025.

Au général, Pogacar compte désormais 3'31 d'avance sur un Jonas Vingegaard, 2e de l'étape et auteur malgré tout d'une très belle montée. Le Danois possède de son côté 1'14 de bonus sur le 3e, Remco Evenepoel.

Vendredi, la 13e étape sera probablement à nouveau le théâtre d'un duel entre les hommes forts de ce Tour avec un contre-la-montre individuel en côte de 10,9 km entre Loudenvielle et l'altiport de Peyragudes, là où s'était tournée la scène d'ouverture du 18e James Bond, "Demain ne meurt jamais".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

"Dernier bonsoir" à Thierry Ardisson

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Amis et personnalités se sont réunis jeudi en fin d'après-midi pour les obsèques de Thierry Ardisson (photo d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Les obsèques de Thierry Ardisson, en forme de "dernier bonsoir", ont débuté jeudi à Paris, en présence d'un millier de personnes souvent vêtues de noir selon le "dress code" de la star du petit écran.

Des chansons qu'il avait choisies, de George Harrison, John Lennon, David Bowie ou encore Jean-Louis Aubert ("Voilà c'est fini"), sont prévues durant la cérémonie en l'église Saint-Roch, la paroisse des artistes, avant une inhumation dans la plus stricte intimité.

Audrey Crespo-Mara, l'épouse de l'ancien producteur et animateur décédé lundi à 76 ans, a accueilli les invités, à qui il a été demandé de respecter le "dress code Ardisson", c'est-à-dire le costume noir.

Ont été aperçus des amis comme Laurent Baffie, Philippe Corti, Léa Salamé, des personnalités tels Michel Drucker, Arthur, Alex Vizorek, Florent Pagny, Marc Lavoine, Patrick Timsit, Guillaume Durand, et également Brigitte Macron, Gabriel Attal et la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte Cunci.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

USA: les ventes au détail reprennent des couleurs en juin

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L'économie américaine est traditionnellement tirée par la consommation des ménages et ces derniers avaient reporté leurs achats après l'annonce de forts droits de douane. (© KEYSTONE/EPA/JOHN G. MABANGLO)

Les ventes au détail aux États-Unis sont reparties à la hausse au mois de juin, faisant même mieux qu'anticipé par les marchés, tirées par l'automobile, le bâtiment et les achats en boutiques, selon les données publiées jeudi par le département du Commerce.

En juin, les ventes au détail ont progressé de 0,6% sur un mois, pour atteindre 720,1 milliards de dollars, après avoir trébuché de 0,9% le mois précédent (données inchangées).

C'est nettement mieux que ce qu'attendaient les analystes, dont les prévisions tablaient sur une reprise plus modeste, de l'ordre de 0,2%, selon le consensus publié par MarketWatch.

Sur un an, les ventes au détail sont en croissance de 3,9%.

"Le rapport ne montre aucun signe de faiblesse dans les dépenses des consommateurs. Après le vortex de mai, juin représente un retour à la normale", a estimé dans une note le chef économiste de HFE, Carl Weinberg.

Selon Michael Pearce, économiste pour Oxford Economics, la hausse cache cependant des variations avec "des dépenses discrétionnaires, comme le voyage ou l'hôtellerie, hésitantes" alors que les achats dans "les magasins d'électronique et d'ameublement, principalement concernés par les droits de douane, sont en recul".

L'économie américaine est traditionnellement tirée par la consommation des ménages et ces derniers avaient reporté leurs achats après l'annonce de forts droits de douane.

La pause sur l'ensemble des taxes douanières au-delà du seuil de 10% ont pu inciter les Américains à réaliser les achats importants avant de voir ces taxes se matérialiser de nouveau.

Surtout, le mois de juin avait marqué la détente des relations commerciales entre Pékin et Washington, après une hausse des tensions consécutives à la mise en place des droits de douane dits "réciproques" voulus par le président américain Donald Trump, début avril.

La Chine avait répliqué avec un niveau de droits de douane identique entraînant une surenchère entre les deux premières puissances économiques mondiales. Les produits chinois entrant aux États-Unis ont été, un temps, taxés à hauteur de 145%, avant de se voir ramenés à 30% mi-mai.

Dans le détail, le secteur automobile, qui avait fortement chuté en mai après l'entrée en vigueur des droits de douane sectoriels spécifiques, a repris des couleurs, en hausse de 1,2%. Une partie de ces droits de douane ont été provisoirement mis de côté concernant les véhicules provenant du Canada et du Mexique.

Le secteur des matériaux de construction, qui avaient également souffert le mois précédent, a récupéré une partie de ses pertes, avec une hausse des ventes de 0,9%, mais reste toujours orienté à la baisse sur un an (-1,1%).

Les ventes dans les magasins de proximité ont de leur côté poursuivi sur la tendance positive observée le mois précédent, à un rythme cependant moins marqué (+1,8%), les consommateurs profitant encore des inventaires constitués avant l'entrée en vigueur des droits de douane et la possible hausse des prix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

PepsiCo plombé par des charges au deuxième trimestre

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Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - valeur privilégiée par les marchés -, le bénéfice net s'établit à 2,12 dollars contre 3,59 dollars un an plus tôt. Le consensus tablait sur 2,79 dollars. (© KEYSTONE/AP/Ted Shaffrey)

Le géant américain des snacks et des boissons PepsiCo a publié jeudi des résultats inférieurs aux attentes au deuxième trimestre, amputés par plus de deux milliards de dollars de charges exceptionnelles, mais a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année.

Le chiffre d'affaires est resté quasi stable sur un an pour atteindre 22,76 milliards de dollars (17,6 milliards en francs), contre 22,50 milliards un an plus tôt. En revanche, son bénéfice net a sombré à 1,26 milliard, soit moins de la moitié des 3,08 milliards de la même période de l'année précédente.

Le consensus des analystes de FactSet anticipait respectivement 22,27 milliards et 2,79 milliards.

Le groupe a enregistré des charges exceptionnelles de 1,86 milliard d'euros pour dépréciation de plusieurs actifs liés aux marques Rockstar and Be&Cherry, ainsi que sur son investissement dans Tropicana Brands Group (TBG) pour lequel il a également provisionné un montant non divulgué pour couvrir des pertes associées à la vente des marques Tropicana et Naked en particulier, explique-t-il dans un communiqué.

A cela s'ajoute une charge de restructuration de 426 millions de dollars dans le cadre de son plan d'entreprise à 2030, présenté en 2019 pour améliorer sa productivité.

Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - valeur privilégiée par les marchés -, le bénéfice net s'établit à 2,12 dollars contre 3,59 dollars un an plus tôt. Le consensus tablait sur 2,79 dollars.

Malgré cela, la direction de PepsiCo a confirmé ses prévisions pour l'ensemble de l'année. Elles avaient été abaissées à l'issue du premier trimestre à cause de la "volatilité et d'incertitudes" liées à la guerre commerciale et à une consommation "modérée" dans certains marchés.

Le groupe s'attend à une hausse inférieure à 5% de son chiffre d'affaires hors éléments exceptionnels. Il avait prévenu en avril que ses revenus seraient affectés par des effets de change négatifs. Et son bénéfice net par action à données comparables et changes constants devrait être "environ équivalent" à celui de 2024.

En revanche, le communiqué ne mentionne par le bénéfice net à données comparables. En avril, PepsiCo prévoyait un recul de 3% par rapport aux 8,16 dollars de 2024, alors qu'il attendait auparavant une hausse "autour de 5%".

Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, l'action PepsiCo progressait de 1,75%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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