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"Partygate": Boris Johnson s'apprête à agir pour garder son poste

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En pleine bourrasque, Boris Johnson s'apprête à annoncer des mesures pour réagir à la "Partygate" (Archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Boris Johnson va s'attaquer à la "culture sous-jacente" à Downing Street ayant permis plusieurs fêtes en plein confinement, a déclaré dimanche un de ses ministres, le chef du gouvernement britannique cherchant à redresser la barre après avoir vu sa popularité plonger.

Accusé par l'opposition d'avoir "enfreint la loi", Boris Johnson s'apprête à annoncer des mesures parmi lesquelles l'interdiction de l'alcool dans les bureaux de Downing Street et le renvoi de plusieurs de ses collaborateurs, selon le Sunday Times.

"Je peux vous assurer que le Premier ministre est contrit et profondément désolé de ce qui s'est passé", a déclaré à la BBC Oliver Dowden, président du Parti conservateur et ministre sans portefeuille, interrogé sur ces fêtes.

"Mais, plus important encore, il est déterminé à faire en sorte que cela ne puisse pas se produire et que nous nous attaquions à la culture sous-jacente à Downing Street", a-t-il poursuivi.

Une haute fonctionnaire, Sue Gray, enquête actuellement sur cette série d'événements festifs organisés dans la résidence du Premier ministre, qui est aussi son lieu de travail.

"Apéros du vendredi"

Mercredi, le chef du gouvernement a présenté ses excuses devant les députés à la Chambre des communes mais de nouvelles révélations ont continué depuis de surgir, comme le maintien d'"apéros du vendredi" à Downing Street pendant la pandémie, malgré les restrictions interdisant ce type de rassemblements.

Dimanche, le Telegraph a publié en Une une photo de l'épouse du Premier ministre, Carrie Johnson, serrant dans ses bras une amie lors d'une fête en septembre 2020, en violation apparente des règles de distanciation à l'époque. Mme Johnson a exprimé ses regrets par la voix d'un porte-parole.

Oliver Dowden a assuré qu'une fois le rapport de Sue Gray rendu, Boris Johnson assumera la "pleine responsabilité".

Lorsqu'il s'était excusé au Parlement mercredi, Boris Johnson avait confirmé sa présence à l'une de ces fêtes en mai 2020, tout en affirmant qu'il avait pensé qu'il s'agissait d'une réunion de travail.

Position "intenable"

Le dirigeant conservateur lutte pour sa survie politique. Au moins six députés de son camp ont demandé publiquement son départ dont Tim Loughton qui a déclaré sur Twitter que sa position était "intenable".

"Sa démission est le seul moyen de mettre fin à tout cet épisode malheureux et je travaille avec des collègues pour bien faire comprendre ce point de vue à Downing Street", a-t-il écrit sur le réseau social.

Pour déclencher un vote de défiance et déloger Boris Johnson, il faudrait qu'ils soient au moins 54 députés tories.

Tandis qu'Oliver Dowden a reconnu des "erreurs", le dirigeant du parti travailliste, Keir Starmer, est allé plus loin, accusant Boris Johnson d'avoir "enfreint la loi".

Pour M. Starmer, "le Premier ministre a dégradé la fonction de Premier ministre et il a perdu toute autorité non seulement dans son propre parti, mais dans le pays". Il exige sa démission.

Le "partygate" profite à son parti travailliste qui a une avance de dix points sur les conservateurs selon plusieurs sondages d'opinion publiés cette semaine.

Le scandale a entamé la popularité de Boris Johnson dans son électorat, qui mêle conservateurs traditionnels et classes ouvrières pro Brexit.

Selon un sondage Opinium pour le journal The Observer publié dimanche, 46% des électeurs pro Brexit qui ont voté pour les conservateurs en 2019 pensent que M. Johnson devrait démissionner, contre 39% qui souhaitent qu'il reste.

La cote de popularité de Boris Johnson est au plus bas avec 64 % d'opinions défavorables.

Pour la faire remonter, le Premier ministre pourrait, outre les mesures touchant Downing Street, annoncer la levée des restrictions liées au Covid le 26 janvier en Angleterre à la faveur d'un nombre d'infections en baisse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le divorce entre Trump et Musk étalé en place publique

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Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi. Ici, une photo d'octobre 2024. (archives) (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Les Américains s'interrogent vendredi sur les conséquences de la rupture publique spectaculaire entre Donald Trump et Elon Musk, le président ayant notamment menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l'homme le plus riche du monde.

Les sites américains Politico et Axios ont cru percevoir un signal d'apaisement dans la nuit de jeudi à vendredi, après un court entretien accordé par le président républicain au premier média.

"Oh, ce n'est pas grave", a déclaré Donald Trump à Politico qui l'a interrogé sur la dispute. Toujours selon le site, un appel est prévu vendredi entre les deux anciens amis pour tenter de faire la paix.

Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi.

Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu'Elon Musk était "devenu fou" à cause d'une décision défavorable aux véhicules électriques.

"Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d'annuler les subventions et contrats gouvernementaux" du patron de Tesla et SpaceX, a menacé le président, en difficultés sur un projet de vaste loi budgétaire.

Sur son réseau X, Elon Musk a déclaré en réponse que SpaceX "commencera immédiatement à mettre hors service son vaisseau spatial Dragon", utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS).

Il a semblé, quelques heures plus tard, faire marche arrière, écrivant: "Bon, nous n'allons pas mettre Dragon hors service."

Entre-temps, la capitalisation de Tesla a fondu de dizaines de milliards de dollars de capitalisation à Wall Street, l'action clôturant jeudi à -14,26%.

Depuis qu'Elon Musk a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre le projet de loi budgétaire au coeur du début de mandat de Donald Trump, ce n'était sans doute qu'une question de temps avant que le divorce ne soit consommé.

C'est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président a acté jeudi la rupture.

Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump s'est dit "très déçu". "Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c'est encore le cas", a-t-il lancé à propos de son ancien "conseiller spécial", qui a quitté vendredi dernier la mission de réduction des dépenses publiques qu'il menait à la Maison Blanche.

"N'importe quoi"

"N'importe quoi", écrit Elon Musk en commentaire d'une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.

"Faux", poste-t-il ensuite au-dessus d'un extrait dans lequel le président américain assure que l'entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une "grande et belle loi" selon Donald Trump, une "abomination" pour les finances publiques selon Elon Musk, dont l'adoption n'est pas garantie au Congrès.

Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne du républicain en 2024, assure que "Trump aurait perdu l'élection" sans lui et l'accuse d'"ingratitude".

Il a aussi affirmé, sans apporter de preuve, que le nom du président se trouvait dans le dossier Jeffrey Epstein, ce financier américain au coeur d'un vaste scandale de crimes et d'exploitation sexuels qui s'est suicidé en prison avant d'être jugé; des accusations "regrettables" pour la Maison Blanche.

Dans le Bureau ovale, Donald Trump a dépeint son ancien allié en amoureux éconduit: "Il disait les choses les plus belles à mon propos".

"Nouveau parti politique"

Dès l'entrée tonitruante d'Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l'an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de leur relation.

Donald Trump avait défendu son allié face aux critiques et a même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche. Elon Musk avait lui qualifié le président de "roi" le jour de son investiture.

Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire et l'entourage du président.

"Il faudrait lancer une enquête formelle sur son statut migratoire, car je crois fortement que c'est un étranger illégal et qu'il devrait être expulsé immédiatement", a déclaré jeudi soir au New York Times l'ex-conseiller de Donald Trump et idéologue d'extrême droite Steve Bannon. Elon Musk est né en Afrique du Sud et a été naturalisé américain.

Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d'Elon Musk ne s'est pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin, où il s'est fortement engagé, financièrement et personnellement, en faveur d'un juge conservateur candidat à la Cour suprême locale, qui a été battu.

Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, aurait suivi avec attention cette première aventure politique en solo d'Elon Musk.

Lequel n'a visiblement pas été dégoûté. Celui qui ne peut devenir président puisqu'il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s'il n'était pas "temps de créer un nouveau parti politique" aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie bombarde massivement l'Ukraine, trois morts à Kiev

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Attaques sur Kiev vendredi. (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

La Russie a massivement bombardé l'Ukraine avec des drones et des missiles balistiques dans la nuit de jeudi à vendredi, faisant au moins trois morts dans la capitale Kiev, quelques jours après l'attaque spectaculaire contre des aérodromes militaires russes.

Alors que le Kremlin avait laissé entendre qu'il préparait une riposte, des alertes aériennes ont été déclenchées dans la nuit sur tout le territoire ukrainien et plusieurs régions ont signalé des frappes notamment dans l'ouest, loin du front.

Selon l'armée de l'air ukrainienne, le pays a été attaqué par 407 drones d'attaque et drones leurres visant à saturer les défenses antiaériennes, ainsi que par 45 missiles russes.

Les défenses ukrainiennes ont neutralisé 199 de ces drones, et 36 missiles, poursuit cette source, précisant que 13 endroits en Ukraine avaient été atteints par les bombardements, et 19 autres touchés par des chutes de débris de cibles abattues.

Le bilan précis est pour l'heure incertain. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a évoqué la mort d'au moins trois personnes et 49 blessés.

Plus tôt, le maire de Kiev, Vitali Klitschko, avait annoncé quatre morts après ces frappes ayant touché plusieurs quartiers de la capitale.

"Arrêter ensemble cette guerre"

"La Russie doit être tenue responsable. Dès les premières minutes de cette guerre, ils ont bombardé des villes et villages pour détruire des vies", a fustigé Volodymyr Zelensky.

"Maintenant, c'est le moment où l'Amérique, l'Europe et le monde peuvent arrêter ensemble cette guerre en faisant pression sur la Russie", a-t-il ajouté, dans un message sur les réseaux sociaux.

Son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, a lui demandé des sanctions accrues "dès que possible" contre la Russie pour la contraindre à arrêter la guerre.

Depuis le début de l'invasion à grande échelle contre l'Ukraine, lancée en février 2022, des bombardements russes tuent des civils quasiment chaque jour.

Hors de la capitale, plusieurs régions ont fait état vendredi d'importantes frappes russes.

Selon M. Zelensky, elles ont touché neuf régions à travers tout le pays (Volyn, Lviv, Ternopil, Kiev, Soumy, Poltava, Tcherkassy, Tcherniguiv, Khmelnytsky).

Attaques contre des aérodromes russes

En riposte aux frappes russes qui endeuillent l'Ukraine depuis 2022, Kiev mène également, quasiment chaque jour, des attaques aériennes sur le territoire russe.

Le maire de Moscou Sergueï Sobianine a indiqué que la capitale avait été ciblée par 10 drones ukrainiens dans la nuit.

Trois aéroports desservant Moscou ont été fermés provisoirement, selon l'agence chargée du transport aérien, qui a ensuite levé les restrictions.

Malgré les appels de l'Ukraine et des Occidentaux au cessez-le-feu immédiat et la pression exercée par le président américain Donald Trump pour engager des pourparlers et mettre fin au conflit, les combats, sur le front et dans les airs, ne montrent aucun signe d'apaisement.

La Russie contrôle à l'heure actuelle environ 20% de ce pays voisin, dont la Crimée, péninsule annexée en 2014.

Ces derniers jours, la Russie avait fait savoir qu'elle comptait riposter à l'attaque audacieuse lancée le week-end dernier par l'Ukraine contre des bombardiers russes, jusqu'à des milliers de kilomètres de ses frontières.

Moins d'une semaine après cette attaque, l'armée ukrainienne a affirmé vendredi avoir bombardé pendant la nuit "avec succès" deux autres bases aériennes en Russie, dans les régions de Saratov et Riazan, assurant avoir touché des dépôts de carburant.

Moscou a également accusé mardi Kiev d'être à l'origine des explosions ayant provoqué le week-end dernier l'effondrement de deux ponts et des accidents de trains qui ont fait sept morts et plus de cent blessés, dont des enfants, dans les régions russes de Koursk et de Briansk, frontalières de l'Ukraine.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, une locomotive a déraillé dans la région russe de Belgorod, également frontalière de l'Ukraine, sans faire de victime, a indiqué la compagnie russe de chemin de fer. Selon le gouverneur régional, un engin explosif avait été placé sous les rails.

Sur le plan diplomatique, deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n'ont pas permis de rapprocher les positions.

Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev une liste de demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.

Des conditions qualifiées mercredi par Volodymyr Zelensky d'"ultimatums" inacceptables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Granit Xhaka face à "son plus grand défi"

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Manuel Akanji (à gauche) et Granit Xhaka: les patrons de l'équipe de Suisse. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Granit Xhaka fait face à "son plus grand défi" depuis son arrivée en équipe de Suisse. Le Bâlois n'a plus beaucoup de temps pour transmettre son leadership à la nouvelle génération.

Les retraites internationales de Yann Sommer, Xherdan Shaqiri et Fabian Schär l'été dernier ont laissé un vide au sein du vestiaire de l'équipe de Suisse. Un vide que Granit Xhaka doit combler.

"C'est sans aucun doute le plus grand défi que j'ai eu à relever depuis mes débuts en équipe nationale", a lancé le capitaine jeudi en conférence de presse. "On a perdu de très grandes personnalités et c'est désormais à nous, avec Manu (réd: Akanji), Ricky (Rodriguez) et Remo (Freuler), les joueurs expérimentés, d'emmener cette nouvelle équipe."

"Montrer l'exemple"

Le milieu du Bayer Leverkusen, qui fêtera ses 33 ans en septembre, sait bien que la Coupe du monde 2026, si la Suisse devait y participer, devrait être sa quatrième et dernière. Il entend donc transmettre l'exigence et l'état d'esprit qu'il incarne depuis plus d'une décennie.

"Il s'agit de leur montrer ce que cela signifie de travailler, de se donner à fond, de ne pas perdre sa motivation et, bien entendu, de vouloir gagner", a expliqué Granit Xhaka.

Egalement présent en conférence de presse, Manuel Akanji a appuyé les propos de son capitaine. "C'est évidemment à nous de montrer l'exemple et de prendre les devants vis-à-vis de la nouvelle génération", a estimé le défenseur zurichois. "Et de la même façon que nous avons bien changé Granit et moi depuis notre arrivée en sélection, je suis sûr que les derniers arrivés prendront davantage de responsabilités au fil du temps."

Bâle? Pas tout de suite

Granit Xhaka a par ailleurs été interrogé sur sa promesse faite au public du FC Bâle de revenir un jour dans son club formateur, lors d'un hommage rendu à son frère Taulant au Parc Saint-Jacques. Dès cet été? "Non", a répondu le numéro 10 de l'équipe de Suisse.

En revanche, il n'a pas entièrement fermé la porte à un départ de Leverkusen, qu'il a rejoint en 2023 et mené au titre de champion d'Allemagne un an plus tard. "Toute ma famille est très heureuse là-bas, mais dans le football, on ne sait pas forcément ce que l'avenir nous réserve", a-t-il déclaré.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Indiana renverse Oklahoma City à la dernière seconde

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Tyrese Haliburton a climatisé la salle du Thunder en réussissant le dernier tir du match. (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Oklahoma City a été terrassé jeudi sur son parquet par Indiana à la dernière seconde. Tyrese Haliburton a marqué le panier décisif pour offrir l'acte I de la finale NBA aux Pacers (111-110).

Après avoir mené toute la partie, et notamment de 15 points à 9 minutes de la sirène, le Thunder a subi un retour improbable des Pacers et devra réagir dimanche lors du match 2, encore à domicile.

Spécialistes des renversements de situation, les Indiana Pacers ont réussi à éteindre une enceinte pourtant bouillante. Comme lors du premier match de la finale de conférence Est contre New York, Tyrese Haliburton a réussi le tir décisif.

Les Pacers ont pourtant longtemps fait croire qu'ils avaient raté leur match en perdant notamment 24 ballons (dont 19 avant la pause) face à la défense féroce du Thunder.

Surtout, le MVP de la saison régulière Shai Gilgeous-Alexander semblait sur un nuage, lui qui a compilé 38 points, 5 rebonds et 3 passes, et avait marqué le premier panier d'un match qui devait être le sien. Mais "SGA" a raté, comme cela lui arrive rarement, un tir à mi-distance qui aurait pu donner 3 points d'avance au Thunder à 11 secondes de la sirène.

Un collectif bien huilé

Malgré la tempête, les Pacers n'ont jamais laissé le Thunder s'échapper à plus de 15 points, restant en course grâce à leur adresse de loin (18 sur 39 à 46,2%).

Pascal Siakam (19 points, 10 rebonds), déjà champion avec Toronto en 2019, a aussi tenu le choc, avant que des tirs de loin de Obi Toppin (17 points), Myles Turner (15 points) et Andrew Nembhard (14 points) ne rapprochent Indiana avant le dernier tir d'Haliburton (14 points, 10 rebonds, 6 passes).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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