Économie
Allemagne: ralentissement de l'inflation confirmé en novembre
L'inflation en Allemagne a bien ralenti à 3,2% sur un an en novembre, son plus bas niveau depuis juin 2021, confirmant la probabilité d'une baisse des taux l'an prochain par la BCE.
La hausse des prix à la consommation a cédé 0,6 point de pourcentage par rapport au mois d'octobre, qui avait déjà été marqué par un net tassement à 3,8%, a indiqué vendredi l'institut de statistiques Destatis dans un communiqué.
Servant de référence à la Banque centrale européenne (BCE), l'indice des prix harmonisé a lui aussi baissé en novembre, à 2,3% sur un an, proche de l'objectif de 2% visé à moyen terme.
Le recul de l'inflation en Allemagne est spectaculaire depuis les valeurs proches de 9% au premier trimestre. Il intervient dans un contexte d'économie au ralenti, du fait de l'impact de la guerre russe en Ukraine.
Les prix de l'énergie ont fléchi de 4,5% sur un an, en raison d'un effet de base après leur flambée en 2022 dans le sillage de l'invasion russe en Ukraine.
La hausse des prix des services continue de ralentir, à 3,4%, notamment du fait d'un abonnement bon marché pour les usagers des trains et bus.
L'inflation alimentaire reflue pour le huitième mois de suite, mais reste élevée, à 5,5% sur un an.
Ces données augmentent la probabilité d'une première baisse des taux par la BCE en 2024, sur laquelle spéculent les marchés.
L'institution a maintenu ses taux à leur plus haut historique en octobre, à 4,0% pour celui sur les dépôts, en tenant compte d'un ralentissement marqué des prix en zone euro.
Ces niveaux devront être maintenus assez longtemps pour aider à faire durablement baisser l'inflation, répètent à l'envi les ténors de la BCE, qui ont l'oeil rivé sur l'évolution des salaires.
Les salaires nominaux en Allemagne ont progressé de 6,3% au troisième trimestre, sur un an, à rapporté Destatis la semaine dernière.
En termes réels, ils ont augmenté de 0,6%, le meilleur score depuis le 2ème trimestre 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Prêt de 35 milliards pour l'Ukraine, financé par les avoirs russes
L'UE envisage d'accorder un prêt de 35 milliards d'euros à l'Ukraine, financé par les profits exceptionnels dégagés par les avoirs russes gelés en Europe. C'est ce qu'a a annoncé vendredi à Kiev la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
"Je suis heureuse d'annoncer que la Commission a adopté les propositions qui vont permettre à l'Union européenne de prêter 35 milliards d'euros (33,2 milliards de francs)" à l'Ukraine, a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelensky. "C'est un énorme pas en avant", a-t-elle ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Excédent de 20 milliards pour les paiements au 2e trimestre
La Suisse a bouclé le deuxième trimestre sur un excédent de la balance de paiements de 20 milliards de francs, portée par les échanges de marchandises et du négoce d'or. Ce surplus est en augmentation, de 6 milliards, par rapport à la même période de 2023.
Alors que le solde des échanges de marchandises a progressé, l'excédent du commerce de transit (exportation de services) a reculé, indique vendredi la Banque nationale suisse (BNS) dans son point de situation trimestriel.
La balance des transactions courantes, qui regroupe toutes les opérations économiques de la Suisse avec le reste du monde, a également enregistré une hausse de son excédent, grâce au recul du déficit enregistré dans les revenus secondaires (prélèvements obligatoires).
La BNS a constaté une stabilité des échanges de services et des revenus primaires, donc tirés du travail.
En ce qui concerne le compte financier, un tassement net des transactions est apparu au 2e trimestre. Le solde s'est établi à 29 milliards.
La baisse a atteint 4 milliards de francs pour les actifs financiers, tirés vers le bas par les acquisitions nettes de participations et une diminution sur le marché interbancaire. Du côté des passifs, l'arrivée à échéance au deuxième trimestre d'obligations de la BNS détenues par des non-résidents a causé un recul de 35 milliards.
La position extérieure nette s'est accrue de 5 milliards de francs, pour s'établir à 894 milliards, précise le communiqué. Les actifs à l'étranger se sont repliés de 5 milliards à 5317 milliards, alors que les passifs envers l'étranger se sont contractés de 10 milliards à 4423 milliards.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Société Générale se sépare de sa filiale en Guinée
La banque Société Générale a annoncé vendredi la signature d'un accord prévoyant la cession de sa filiale en Guinée, poursuivant son désengagement du continent africain.
"Selon les engagements pris, Atlantic Financial Group", un groupe bancaire "panafricain", "reprendrait la totalité des activités opérées par cette filiale, ainsi que l'intégralité des portefeuilles clients et l'ensemble des collaborateurs de cette entité", précise Société Générale dans un communiqué.
Le montant prévu pour cette cession n'a pas été divulgué.
La banque au logo rouge et noir a déjà cédé sa filiale de banque de détail au Congo et au Tchad, et a engagé des processus similaires à Madagascar, au Bénin, au Togo, au Maroc, en Guinée Equatoriale, au Burkina Faso, au Mozambique et en Mauritanie.
Société Générale liquide ainsi un héritage souvent historique, notamment au Maroc où la banque était présente depuis plus d'un siècle.
La finalisation de la cession de la filiale en Guinée est attendue d'ici fin mars.
Une fois les cessions en cours réalisées, la banque ne sera plus active en banque de détail que dans quatre pays d'Afrique (Algérie, Côte d'Ivoire, Sénégal et Cameroun), sur les 17 début 2023.
Société Générale a fait part début août d'un bénéfice net de 1,1 milliard d'euros au deuxième trimestre (+23,7% sur un an), porté par la bonne santé de sa banque de financement et d'investissement. Des résultats mal accueillis en Bourse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Prolongation des suspensions de vols vers Beyrouth et Tel-Aviv
Plusieurs compagnies aériennes ont annoncé jeudi prolonger la suspension de leurs vols pour Tel-Aviv et Beyrouth, en raison des tensions dans la région. L'armée israélienne a indiqué avoir bombardé le même jour une centaine de positions du Hezbollah au Liban.
"En raison de la situation sécuritaire à destination, Air France suspend ses liaisons" entre Paris "et Beyrouth" et entre Paris "et Tel-Aviv jusqu'au 20 septembre", a fait savoir la compagnie à l'AFP.
Dans le même temps, Lufthansa a prolongé la suspension de ses vols pour Tel-Aviv, jusqu'au 24 septembre inclus, et jusqu'au 26 octobre pour Beyrouth. La compagnie allemande a également suspendu ses vols pour Téhéran en Iran, jusqu'au 24 septembre inclus.
De son côté, la compagnie américaine Delta Air Lines a indiqué jeudi prolonger jusqu'à la fin de l'année la suspension de sa desserte entre New York et Tel-Aviv, initialement prévue jusqu'à fin octobre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
SuisseIl y a 3 jours
Migros ferme les boutiques en ligne de ses filiales
-
InternationalIl y a 3 jours
Sept morts au Portugal, ravagé par les pires incendies de l'été
-
Double FaceIl y a 3 jours
Thomas Dutronc, invité de Double Face le dimanche du Jeune
-
PeopleIl y a 3 jours
Dolly Parton se confie sur son enfance difficile : "Je travaillais dur"
-
Grand ConseilIl y a 3 jours
Pas d'interdiction pour la fumée sur les terrasses des restaurants
-
PeopleIl y a 3 jours
Jodie Foster se confie sur la carrière de ses fils : "Je suis ravie pour eux"
-
HockeyIl y a 3 jours
Théo Rochette mène la meute de Lions vers la victoire
-
Grand ConseilIl y a 3 jours
Vaud: améliorer l'élimination des médicaments