International
Alstom: revenus et commandes en hausse au 3e trimestre
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Le constructeur ferroviaire Alstom a vu son chiffre d'affaires et ses prises de commandes progresser au 3e trimestre de son exercice décalé 2022/23. A la faveur d'une peformance jugé "positive", le géant français du rail confirme ses prévisions.
Le chiffre d'affaires a progressé de 8% à 4,22 milliards d'euros (environ autant en francs) d'octobre à décembre 2022 et les prises de commandes de 13% à 5,51 milliards, selon un communiqué publié mercredi. Le groupe français a notamment vendu des trains en Espagne et en Irlande, des locomotives au Kazakhstan et des métros en Inde, de même qu'il a comptabilisé pour 1,1 milliard d'euros de commandes pour la maintenance de l'Elizabeth Line, le nouveau RER de Londres.
"Le troisième trimestre d'Alstom a été positif. Nous avons constaté une dynamique commerciale soutenue", s'est félicité le directeur général Henri Poupart-Lafarge, cité dans le communiqué. "L'environnement de marché reste positif, les clients confirmant leurs plans d'investissement dans toutes les régions", a-t-il ajouté.
Sur les neuf premiers mois de son exercice (avril-décembre), le chiffre d'affaires d'Alstom a progressé de 8% à 12,27 milliards d'euros et les prises de commandes de 6% à 15,22 milliards. L'Europe a généré 60% du chiffre d'affaires et 62% des commandes, une proportion en légère baisse. Le matériel roulant représente un peu plus de la moitié des ventes.
Forte visibilité
Le carnet de commandes, qui atteignait régulièrement des niveaux record ces derniers trimestres, s'est très légèrement dégonflé à 84,6 milliards d'euros au 31 décembre. Il "offre une forte visibilité sur le chiffre d'affaires à venir", selon la direction. "Le fait d'avoir mis la priorité sur l'exécution porte ses fruits avec un chiffre d'affaires en hausse, en ligne avec la trajectoire que nous avions annoncée", a expliqué M. Poupart-Lafarge.
Le dirigeant a en effet porté ses efforts ces derniers mois sur les contrats difficiles à honorer dont Alstom a hérité en rachetant son concurrent Bombardier Transport, en difficulté, début 2021. Sur l'ensemble de l'exercice 2022/23, Alstom prévoit un ratio commandes sur chiffre d'affaires supérieur à 1, une progression des ventes d'au moins 5%, une marge d'exploitation ajustée comprise en 5,1 et 5,3%, et des flux de trésorerie redevenus positifs.
Les perspectives à moyen terme exposées en juillet sont également confirmées, avec notamment la conquête de 5 points de part de marché entre 2020/21 et 2024/25, un taux de croissance annuel moyen du chiffre d'affaires supérieur à 5% d'ici 2024/25, puis une marge opérationnelle ajustée comprise entre 8 et 10% à partir de cette échéance.
En outre, Alstom s'engage toujours "à livrer une rentabilité soutenue à ses actionnaires", avec un taux de distribution de dividendes compris entre 25 et 35% du résultat net ajusté (hors éléments exceptionnels).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Pour Moscou, la menace de Trump poussera Kiev à continuer la guerre
Le Kremlin a affirmé mardi que l'ultimatum qui lui a été adressé la veille par Donald Trump, ainsi que les nouvelles livraisons d'armes promises à l'Ukraine, pousseraient Kiev à "prolonger la guerre".
Lundi, le président américain s'est engagé à fournir des équipements militaires supplémentaires à l'Ukraine et a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à son offensive dans ce pays, déclenchée en février 2022, sous peine de sanctions sévères.
"Il semble que cette décision prise à Washington, dans les pays de l'Otan et directement à Bruxelles sera perçue par Kiev non comme un signal en faveur de la paix mais comme un signal pour la poursuite de la guerre", a répondu mardi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
"Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et quand le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera", a-t-il dit au cours de son briefing quotidien, auquel participait l'AFP.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a essayé de pousser Moscou et Kiev à mettre fin au conflit, notamment en se rapprochant de Vladimir Poutine dont il se dit désormais "déçu".
Sanctions financières
"Je pensais que nous aurions un accord il y a deux mois mais ça ne semble pas se concrétiser", a-t-il regretté lundi à la Maison Blanche, au côté du secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.
Sans accord d'ici à 50 jours, les Etats-Unis mettront en place des "droits de douane secondaires", c'est-à-dire contre les alliés de Moscou, a averti le président américain.
L'an dernier, les principaux partenaires commerciaux de la Russie étaient la Chine, pour quelque 34% du total des échanges, ainsi que, dans une moindre mesure, l'Inde, la Turquie et le Bélarus, selon les Douanes russes. Pékin a fustigé mardi une "coercition qui ne mène nulle part".
Reprise des livraisons
Donald Trump a par ailleurs annoncé lundi que des équipements militaires "d'une valeur de plusieurs milliards de dollars", en particulier des systèmes de défense antiaérienne Patriot, seraient envoyés à l'Ukraine.
Ce matériel sera acheté par les membres européens de l'Otan. Mark Rutte a précisé que l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Finlande, le Canada, la Norvège, la Suède et le Danemark feraient partie des acheteurs.
Le Danemark et les Pays-Bas ont annoncé mardi à Bruxelles être prêts à participer au plan de Donald Trump. Mais reste à savoir combien de temps il faudra aux pays européens pour expédier ces armes en Ukraine, cible chaque jour par de frappes russes.
Offensives russes
Mardi, le ministère russe de la Défense a encore revendiqué la prise de deux villages dans la région de Donetsk (est). Les attaques aériennes russes se sont aussi intensifiées ces dernières semaines.
Dmitri Peskov a affirmé que la Russie restait prête à négocier mais attendait "des propositions de la partie ukrainienne" concernant un troisième cycle de négociations, après deux récentes sessions peu fructueuses à Istanbul. La Russie a rejeté toute trêve prolongée, qui permettrait selon elle aux forces ukrainiennes de se réarmer.
Moscou exige, entre autres, que l'Ukraine lui cède quatre régions, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce à rejoindre l'Alliance atlantique.
Inacceptable pour Kiev qui réclame, avec ses alliés européens, un cessez-le-feu sans conditions de 30 jours avant des négociations de paix et veut que l'armée russe se retire entièrement du territoire ukrainien.
Promesses et réalité
De leur côté, des moscovites interrogés par l'AFP considèrent les déclarations de Donald Trump comme un jeu politique. "C'est une partie d'échecs", commente ainsi Svetlana, une ingénieure dans l'aéronautique.
"Les négociations vont se poursuivre", juge cette femme de 47 ans, peu impressionnée. Donald Trump "a donné 50 jours, et puis ensuite ce sera prolongé", ajoute-t-elle, soulignant attendre "le prochain coup" de Vladimir Poutine.
Dans l'est de l'Ukraine, des soldats ukrainiens se disent quant à eux reconnaissants, sans nourrir trop d'illusions. Un militaire de 44 ans, qui se fait appeler Shah, dit ainsi ne pas croire aux paroles de Donald Trump, dénonçant un "fossé entre les promesses (des Etats-Unis) et la réalité".
Un autre soldat, Master, juge que les systèmes Patriot, très efficaces contre les frappes aériennes russes, "auraient pu être envoyés plus tôt" et sauver des vies. Avec sa longue barbe rousse, Rouslan, 29 ans, est plus positif. "Mieux vaut tard que jamais", soupire-t-il
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Lamine Yamal fustigé pour avoir embauché des artistes nains
La star du Barça Lamine Yamal fait l'objet d'une demande d'enquête. Ceci pour avoir embauché des personnes atteintes de nanisme pour fêter ses 18 ans.
Il s'agit d'un fait susceptible de porter atteinte à la dignité des personnes concernées, a appris l'AFP mardi auprès du gouvernement espagnol. Le ministère des Droits sociaux "a demandé au parquet d'enquêter pour voir si la loi a été enfreinte et, par conséquent, s'il y a eu une atteinte aux droits des personnes handicapées", a indiqué un porte-parole du ministère.
Cette demande suit un dépôt de plainte par une association de défense des personnes en situation de handicap, qui a accusé l'attaquant du FC Barcelone d'avoir embauché un groupe d'artistes atteints de nanisme pour fêter son anniversaire samedi soir, a-t-il précisé.
Plusieurs coéquipiers ont assisté à cette fête aux côtés de célébrités du monde de la musique, comme Bizarrap et Bad Gyal. Les invités n'étaient pas autorisés à filmer l'événement, mais une vidéo a émergé sur les réseaux sociaux qui montre des personnes atteintes de nanisme arrivant à la fête.
Dans un communiqué, l'Association des personnes atteintes de dysplasies squelettiques avec nanisme (ADEE) a "condamné" et "dénoncé publiquement l'embauche" de ce groupe de personnes, en promettant des "actions légales" pour défendre "la dignité des personnes en situation de handicap".
"Il est inacceptable qu'au 21e siècle, on continue d'utiliser des personnes atteintes de nanisme comme divertissement lors de fêtes privées, encore plus lorsque ces faits impliquent des figures publiques comme Lamine Yamal", a justifié la présidente de l'association, Carolina Puente.
Interrogé par la radio catalane RAC1, l'une des personnes embauchées pour cet anniversaire a dénoncé, sous le couvert de l'anonymat, la démarche de cette association, assurant que personne ne leur avait "manqué de respect" lors de cette soirée.
"Nous sommes des personnes normales qui se consacrent à ce qu'elles aiment faire de manière absolument légale", a-t-elle assuré, en précisant avoir été recrutée avec trois autres personnes souffrant de nanisme pour animer la soirée avec des danses et des tours de magie.
"Depuis quelques années, ces gens (l'ADEE) veulent nous nuire, ils veulent nous empêcher de faire ce que nous aimons, mais ils n'ont proposé ni travail ni formation aux personnes concernées (...) Tout ce bruit est uniquement dû au fait que c'était la fête de Lamine Yamal", a-t-elle ajouté.
Le rappeur dominicain Chimbala a publié une vidéo sur Instagram où on le voit chanter avec Lamine Yamal, tandis que ses coéquipiers du Barça Gavi et Alejandro Balde dansent en arrière-plan. "Le meilleur joueur du monde chantant ma chanson "Abusadora". Merci de m'avoir invité", a-t-il écrit.
Les représentants de l'international espagnol, candidat au Ballon d'Or, n'ont pas donné suite à une demande de réaction de l'AFP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
L'inflation accélère en juin aux USA
L'inflation a poursuivi sa remontée au mois de juin aux Etats-Unis pour s'établir à 2,7% sur un an, après un premier rebond un mois plus tôt, alors que les experts anticipaient un impact des droits de douane imposés par Donald Trump sur les prix à la consommation.
En juin, l'indice CPI a progressé de 2,7% en rythme annuel, contre 2,4% en mai, en ligne avec les attentes des analystes, selon le consensus publié par MarketWatch. L'accélération est également marquée sur un mois, avec des prix en hausse de 0,3% en juin (contre 0,1% en mai), sous l'effet des prix de l'énergie, là encore conforme aux anticipations des analystes.
Hors prix de l'alimentation et de l'énergie, toujours volatils, l'indice a progressé de 0,2% sur un mois et 2,9% sur un an, soit une légère hausse dans les deux cas par rapport à mai. Juin a été marqué par le conflit entre Israël et l'Iran, qui avait entraîné une forte hausse des prix du pétrole, restés depuis à des nouveaux plus élevés que ce qu'ils étaient avant les douze jours d'échanges de tirs de missiles.
La hausse de l'énergie concerne également les prix de l'électricité et du gaz, qui ont connu une forte hausse d'un mois sur l'autre. Les Américains sont par ailleurs confrontés à une légère remontée des prix alimentaires ainsi que de ceux des services de santé, alors que les coûts du logement, qui a été l'un des principaux moteurs de l'inflation persistante ces derniers mois, marquent légèrement le pas.
Le président américain Donald Trump a imposé début avril 10% de droits de douane sur la quasi-totalité des produits entrant aux Etats-Unis, avec une taxe douanière pouvant monter à 25% sur l'automobile et les pièces auto et même 50% sur l'acier et l'aluminium. Les économistes ont insisté sur le risque que ces droits de douane allaient représenter en matière d'inflation. Le gouvernement américain, qui avait assuré dans un premier temps qu'il n'y aurait aucun effet, souligne désormais que l'effet devrait être mesuré et ne se faire ressentir que pour un temps limité.
La reprise de l'inflation devrait cependant pousser la banque centrale américaine (Fed) à continuer à faire preuve de prudence, alors qu'elle a maintenu ses taux inchangés depuis le début de l'année. Les analystes anticipent que cette tendance devrait se poursuivre lors de la prochaine réunion, prévue à la fin du mois, si l'on en croit l'outil de veille de CME, FedWatch.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
JPMorgan fait mieux qu'attendu au 2e trimestre
La banque américaine JPMorgan Chase a annoncé mardi des résultats meilleurs qu'attendu au deuxième trimestre, malgré un recul du bénéfice net de 17% du fait de gains exceptionnels sur la même période de l'année précédente.
Le bénéfice net par action à données comparables - valeur privilégiée par les marchés - ressort à 4,96 dollars quand le consensus des analystes de FactSet anticipait 4,49 dollars.
Entre avril et juin, le groupe a engrangé un chiffre d'affaires de 44,91 milliards de dollars (35,8 milliards de francs), en recul de 11% sur un an, et le bénéfice net ressort à 14,99 milliards de dollars contre 18,15 milliards au deuxième trimestre de l'année précédente.
Le consensus avait tablé respectivement sur 43,90 milliards et 12,61 milliards.
Au deuxième trimestre 2024, JPMorgan avait notamment empoché un gain net de 7,9 milliards de dollars lié à la vente d'actions de l'émetteur de cartes de crédit Visa.
"Toutes nos lignes de métier ont réalisé de bonnes performances", a noté Jamie Dimon, patron de la banque, cité dans un communiqué, mentionnant la contrainte des clients à "naviguer dans des conditions de marchés volatiles au début du trimestre".
Dérégulation positive
L'économie américaine "reste résiliente" mais des "risques importants persistent", a ajouté celui qui est considéré comme l'un des plus puissants dirigeants au monde.
"La finalisation de la réforme fiscale et la potentielle dérégulation sont positives pour les perspectives économiques cependant, des risques importants persistent", a-t-il asséné, citant en exemple "l'incertitude liée aux droits de douane et au commerce, l'aggravation des conditions géopolitiques, les déficits budgétaires élevés et le prix élevé des actifs".
Il a assuré préparer la banque pour affronter "un grand nombre de scénarios".
Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, l'action JPMorgan cédait 0,38%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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