International
Argentine: le Congrès adopte la loi légalisant l'avortement
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Le Congrès argentin a adopté mercredi la loi légalisant l'avortement. Cela après un vote des sénateurs en faveur du texte, après plus de douze heures de débat, a annoncé la présidente du Sénat Cristina Fernandez de Kirchner.
Déjà approuvé par les députés le 11 décembre, le texte, qui autorise l'interruption volontaire de grossesse jusqu'à 14 semaines de grossesse, a été adopté avec 38 voix pour, 29 contre et une abstention. Des milliers de partisans du "oui" ont manifesté leur joie devant le Sénat à l'issue du vote.
Le pape François, qui est argentin, avait exprimé son opposition à la loi. "Tout rejeté est un enfant de Dieu", avait-il commenté mardi sur Twitter.
Jusqu'à présent, les avortements en Argentine n'étaient autorisés que dans des cas bien spécifiques, par exemple en cas de viol ou si la vie de la mère était en danger.
Nombreux avortements clandestins
Cette prohibition générait entre 370'000 et 520'000 avortements clandestins chaque année dans le pays, avec souvent des complications et des décès.
L'ancienne législation, qui datait de 1921, plaçait l'avortement dans le giron du droit pénal, punissant autant les médecins le pratiquant que la femme enceinte.
En 2018, une première libéralisation de loi sur l'avortement avait été tentée mais elle avait finalement été repoussée par le Parlement.
International
Japon: un incendie géant ravage la ville d'Oita
Une personne est portée disparue et 175 autres ont été évacuées en raison d'un feu de grande envergure, qui a touché au moins 170 bâtiments dans une zone résidentielle du Japon, ont rapporté mercredi les autorités locales.
Selon la NHK, le radiodiffuseur public du pays, les pompiers se battaient toujours mercredi pour éteindre l'incendie situé dans la ville de Oita, sur l'île de Kyushu au sud de l'archipel, pendant qu'il se propageait dans la forêt toute proche.
Des vidéos filmées mardi soir ont montré des pompiers arrosant des flammes géantes ravageant des maisons, tandis que des personnes étaient conduites vers un centre d'évacuation improvisé.
"Les flammes montaient haut, teintant le ciel en rouge. Le vent soufflait fort. Je n'aurais jamais pensé que cela se propagerait autant," a décrit un homme à la NHK.
"La montagne brûlait" a rapporté une autre personne. "J'ai pris avec moi mon permis de conduire et mon smartphone".
L'incendie s'est déclaré tard mardi, entraînant l'évacuation de 115 foyers, soit 175 personnes, a indiqué le gouvernement régional dans un communiqué.
Au moins 170 bâtiments sont touchés par les flammes.
Le gouverneur de la préfecture d'Oita a échangé avec l'armée pour un éventuel soutien, selon le communiqué.
Une personne reste portée disparue et 300 maisons dans une partie d'Oita sont privées d'électricité, ajoute encore la même source.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump s'en prend violemment à deux journalistes
"Tais-toi la truie!" à l'une, "vous êtes une personne horrible" à l'autre: Donald Trump s'en est pris violemment à deux journalistes à quelques jours d'écart. Il a menacé mardi d'interdire de diffusion la chaîne ABC News à cause de questions qui l'ont rendu furieux.
A bord de l'avion présidentiel Air Force One vendredi dernier, Donald Trump a été interrogé sur l'affaire Epstein, dans laquelle son gouvernement se trouve empêtré depuis plusieurs mois.
Il a alors répondu, passablement agacé, ne rien savoir des crimes sexuels du financier qu'il avait côtoyé de nombreuses années. Et lorsque la journaliste Catherine Lucey, de l'agence de presse américaine Bloomberg, tente de poser une question sur son refus de publier les documents d'enquête, le président américain l'interrompt, se penche vers elle, la pointe du doigt et lui lance: "Tais-toi. Tais-toi la truie!"
L'incident a été relayé mardi par les médias américains.
Mardi, il s'en est pris cette fois-ci à Mary Bruce, d'ABC News.
"Vous êtes une personne horrible", a asséné Donald Trump, qualifiant sa chaîne de "fake news".
La journaliste venait de lui poser des questions sur les affaires de la famille Trump en Arabie saoudite et sur le scandale Jeffrey Epstein, au moment où le président américain recevait dans le Bureau ovale le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane.
"Est-ce approprié, Monsieur le président, que votre famille fasse des affaires en Arabie saoudite pendant que vous êtes président? Est-ce un conflit d'intérêts?", a commencé la journaliste.
Le promoteur saoudien Dar Global a annoncé lundi un nouveau partenariat aux Maldives avec la Trump Organization. Le conglomérat est dirigé depuis 2016 par Donald Junior et Eric Trump, deux des fils du président américain, qui est resté actionnaire à travers un trust.
"Terrible journaliste"
"Et Votre Altesse royale, les renseignements américains ont conclu que vous avez orchestré le meurtre brutal d'un journaliste, les familles des victimes du 11-Septembre sont furieuses que vous soyez ici dans le Bureau ovale. Pourquoi les Américains devraient-ils vous faire confiance?", a ajouté Mary Bruce.
La responsabilité de "MBS" avait été pointée du doigt par les services de renseignement américains dans l'assassinat en 2018 du journaliste du Washington Post Jamal Khashoggi, tandis que les attentats du 11 septembre 2001 avaient été orchestrés par Oussama Ben Laden, lui-même saoudien.
Le président américain a nié tout conflit d'intérêts. "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela", a-t-il assuré, avant de défendre son invité au sujet de Jamal Khashoggi, disant que le prince "n'était au courant de rien".
"Vous n'avez pas besoin de mettre notre invité dans l'embarras en lui posant une telle question", a-t-il ajouté.
La journaliste d'ABC News n'a toutefois pas été désarçonnée par l'échange. Elle est revenue à la charge quelques minutes plus tard, cette fois-ci sur le dossier Epstein.
"Vous savez, ce n'est pas la question qui me dérange. C'est votre attitude. Je pense que vous êtes une terrible journaliste", a rétorqué M. Trump, furibond.
"Je vais vous dire quelque chose. Je pense que la licence (de diffusion) devrait être retirée à ABC, parce que vos infos sont tellement fausses et erronées", a-t-il repris.
Il a exhorté le patron du régulateur américain de l'audiovisuel (FCC), qui a déjà par le passé menacé ABC de sanctions, à "regarder ça".
Avant d'asséner à la journaliste: "Plus de questions de votre part".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Négociations nocturnes à la COP30 avant le retour de Lula à Belem
Le Brésil veut que sa COP, la première en Amazonie, soit un succès. Ses diplomates font désormais travailler les négociateurs nuit et jour dans l'espoir - jugé optimiste - d'un premier consensus dès mercredi en présence du président Lula.
Il est rare que les chefs d'Etat, après avoir ouvert les COP, reviennent dans la dernière ligne droite de la conférence. François Hollande en 2015 pour l'accord de Paris et Boris Johnson en 2021 à Glasgow étaient revenus ajouter de la pression sur les délégués dans les derniers jours. La COP30 est censée se terminer vendredi soir après deux semaines.
Mais Luiz Inacio Lula da Silva a investi un capital politique important pour la réussite de cette 30e conférence de l'ONU sur le changement climatique, avec un objectif: "infliger une nouvelle défaite aux négationnistes" du climat, et démontrer en Amazonie que le monde n'a pas abandonné la coopération climatique, malgré les turbulences géopolitiques et économiques.
Il rencontrera les groupes de négociation mercredi, a confirmé le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago.
Les pays, aussi désireux soit-ils de lui offrir un succès, n'en ont cependant pas abandonné leurs lignes rouges. Les portes ne claquent pas encore, mais les ministres restent loin du consensus.
Une tentative assez avancée de compromis par la présidence brésilienne de la COP30 a été publiée à la surprise générale dès mardi matin. Elle ne tranche pas entre des options extrêmes sur les engagements financiers des pays développés, les "mesures commerciales unilatérales" et la sortie des énergies fossiles.
Un front de dizaines de pays européens, latino-américains et insulaires réclament une décision qui engagerait les pays à réellement mettre en place la sortie progressive des énergies fossiles adoptée sur le principe à Dubaï en 2023. Il s'oppose aux pays producteurs de pétrole, largement silencieux à Belem.
Une nouvelle version du texte est attendue mercredi et le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago, a prévenu dans un sourire qu'en cas de séance plénière mercredi, "cela pourrait finir tard".
L'UE se fait entendre
"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.
"Ce n'est pas particulièrement équilibré mais c'est une première ébauche", a dit à des journalistes l'émissaire pour le climat du Royaume-Uni, Rachel Kyte. "Les Brésiliens ont un calendrier très ambitieux. Je pense que ça met beaucoup de pression aux délégués mais il y a une alchimie propre à chaque COP", a-t-elle ajouté.
Wopke Hoekstra a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et a aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".
M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.
"Mutirão"
Le texte brésilien est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone désignant une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.
Selon les règles de la convention de l'ONU sur le climat, le consensus entre les 194 pays membres de l'accord de Paris, et l'Union européenne, est nécessaire pour l'adoption de toute décision.
Le texte suggère aussi de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud - un objectif totalement irréaliste, répondent les Européens en privé.
Sans décision financière sur l'adaptation "tout ce dont on discute ici n'est que symbolique", juge Lina Yassin, chercheuse et déléguée du Soudan. "On repartira à la maison et demain rien n'aura changé."
L'habileté brésilienne permettra-t-elle de dégager un point d'équilibre entre les demandes de la Chine, de l'Inde, des Occidentaux, des pays africains...?
"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
USA: le pape dénonce le traitement des migrants
Le pape Léon XIV a critiqué à nouveau mardi la politique du président américain Donald Trump à l'égard des migrants. Le souverain pontif a dénoncé le traitement "extrêmement irrespectueux" qui leur est réservé.
"Il faut trouver le moyen de traiter les gens avec humanité", a dit le pape américain en anglais à des journalistes devant sa résidence de Castel Gandolfo près de Rome.
"Tout pays a le droit de déterminer qui peut entrer, quand et comment", a-t-il admis. Mais il y a des gens "qui avaient une bonne vie, pour beaucoup d'entre eux depuis 10, 15, 20 ans", et qui ont été traités d'une manière "qui est extrêmement irrespectueuse", a-t-il ajouté.
Il a appelé "tout le monde aux Etats-Unis" à écouter le message de la conférence américaine du clergé catholique, qui dans un communiqué a appelé la semaine dernière à mettre fin au "climat de peur".
Pape depuis mai dernier, Léon XIV, natif de Chicago, est devenu de plus en plus critique à l'égard de la politique de l'administration Trump.
Il a également évoqué la situation au Nigeria, où le président américain a menacé d'une intervention militaire pour défendre la communauté chrétienne.
Le Nigeria, partagé à peu près également entre un nord majoritairement musulman et un sud à prédominance chrétienne, est en proie à de multiples conflits qui, selon les experts, ont fait des victimes parmi les chrétiens comme parmi les musulmans.
Il y a dans ce pays non seulement "un danger pour les chrétiens, mais pour tout le monde", a dit le pape. "Des chrétiens et des musulmans ont été massacrés", a-t-il souligné.
Il a enfin indiqué aux journalistes s'attacher lors de ses séjours dans cette résidence à faire "un peu de sport, un peu de lecture, un peu de travail". "Le corps et l'âme", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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