International
Attaque au couteau au centre de Jérusalem, l'assaillant abattu
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Un Palestinien a mené samedi une attaque au couteau, ayant blessé au moins une personne dans le centre de Jérusalem. Il a été tué par les forces de l'ordre israéliennes, ont indiqué les secouristes et la police israélienne.
"Vers 16h30, un assaillant (...) a poignardé un passant près de la porte de Damas, à Jérusalem-Est, puis a tenté de poignarder un officier de la police des frontières", a indiqué la police israélienne disant avoir "neutralisé" l'homme en question.
Ce dernier est décédé, a précisé le Croissant-Rouge palestinien. Un photographe de l'AFP sur place a vu le corps inerte du jeune homme au sol près de la porte de Damas, juste à la sortie de la Vieille Ville de Jérusalem.
Ultra-orthodoxe attaqué
Selon le Magen David Adom, l'équivalent israélien de la Croix-Rouge, la personne blessée est un juif de 20 ans, hospitalisé "dans un état oscillant entre modéré et grave".
L'agence de presse officielle palestinienne Wafa a identifié l'auteur de l'attaque comme étant Mohammed Chawkat Ahmed Salima, 25 ans, originaire de la ville de Salfit, dans le nord de la Cisjordanie occupée illégalement par Israël depuis 1967.
Samedi soir, la police israélienne a diffusé une vidéo qui montre l'assaillant attaquant un homme vêtu de l'habit traditionnel ultra-orthodoxe, puis courant en direction d'un policier avant d'être abattu.
Blessé et à terre, mais abattu
Des images de témoins diffusées sur les réseaux sociaux montrent de leur côté le Palestinien étendu au sol, blessé, sur lequel un membre des forces de l'ordre israélien ouvre le feu à au moins deux reprises et à une distance de quelques mètres.
"J'apporte mon plein soutien aux forces qui ont répondu comme il le fallait à cet incident, ont neutralisé le terroriste et ont empêché d'autres atteintes contre les forces de l'ordre et les civils dans la zone", a commenté le commandant de police Amir Cohen.
Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a lui salué la police pour avoir agi de manière "rapide et décisive (...) contre un terroriste qui a tenté de tuer un citoyen israélien".
"Exécution"
Côté palestinien, le ministère des Affaires étrangères a accusé la police israélienne d'avoir "exécuté" Salima, évoquant un "crime contre l'humanité".
A Jérusalem, Mohammed Hamadeh, un porte-parole du mouvement islamiste armé Hamas -au pouvoir dans la bande de Gaza-, a accusé dans un bref communiqué la police israélienne "d'avoir délibérément ouvert le feu sur un Palestinien blessé gisant au sol (....) ce qui est une preuve de brutalité".
"Un crime horrible"
La police israélienne a également été critiquée par plusieurs hommes politiques et organisations de défense de droits humains israéliens. "L'exécution d'une personne qui ne représente plus une menace est un crime horrible", a réagi sur Twitter la députée arabe israélienne Aida Touma Sliman. "L'assaillant n'a pas été 'neutralisé', il a été sommairement exécuté", a tweeté l'ONG B'Tselem.
Jérusalem, la Cisjordanie occupée et Israël ont été le théâtre à partir d'octobre 2015 et pendant des mois d'attaques contre l'occupant commises le plus souvent par de jeunes Palestiniens isolés. Ces violences ont depuis diminué d'intensité, mais persistent de manière sporadique.
Un Israélien originaire d'Afrique du Sud, Eliyahu Kay, 25 ans, avait a été tué le 22 novembre dernier lors d'une rare attaque à l'arme à feu menée par un Palestinien membre du Hamas dans la Vieille Ville de Jérusalem.
Dans la foulée, les forces israéliennes avaient mené une opération dans un camp de réfugiés de Jérusalem-Est où vivait l'assaillant, prélude à des heurts sur place avec des Palestiniens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: les attaques israéliennes font 6 nouveaux morts
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé samedi matin la mort de six personnes, dont deux mineurs, dans des frappes aériennes nocturnes dans le centre et le sud du territoire palestinien assiégé où Israël intensifie son offensive.
"Nos équipes ont transporté au moins 6 morts", a déclaré à l'AFP Mahmoud Bassal, porte-parole de cet organisme de premiers secours.
Selon lui, "quatre morts", un couple et deux enfants mineurs de la même famille, ainsi que "des dizaines de blessés", ont été transportés vers des hôpitaux après une frappe aérienne vers 01h30 sur une habitation dans le quartier Amal de Khan Younès, dans le sud du territoire palestinien.
Camp de réfugiés bombardé
M. Bassal a également fait état de "deux morts et plusieurs blessés, dont des enfants", dans une frappe une demi-heure plus tard sur une habitation dans le camp de réfugiés palestiniens de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza.
Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué ne pas être en mesure de commenter à moins qu'on lui fournisse "les coordonnées géographiques exactes" de ces frappes. L'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations de M. Bassal.
Depuis le début de la guerre, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien, déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas, Israël interdit l'accès de la bande de Gaza aux journalistes extérieurs.
Plus de 53'000 morts
Mettant fin à une trêve de deux mois ayant permis le retour d'une trentaine d'otages israéliens (dont huit morts) en échange de la libération de quelque 1800 Palestiniens détenus dans des prisons israéliennes, Israël a repris son offensive à la mi-mars sur la bande de Gaza, dévastée par la guerre et en proie à une situation humanitaire catastrophique.
Israël a intensifié cette offensive le 17 mai dans le but affiché d'anéantir le Hamas et de libérer les derniers otages restant. Sur 251 personnes enlevées le 7 octobre 2023, 57 restent retenues dans Gaza, dont au moins 34 sont mortes, selon les autorités israéliennes.
Plus de 53'822 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la bande de Gaza par les attaques israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Australie: le bilan des inondations porté à cinq morts
Le bilan des pluies torrentielles qui ont provoqué cette semaine de vastes inondations dans l'est de l'Australie a été porté à cinq morts, selon la police. Quelque 50'000 personnes restant samedi piégées par les eaux qui ont commencé à se retirer.
Les pluies ont frappé la Nouvelle-Galles du Sud, région fertile à quelque 400 kilomètres de Sydney.
Selon le service d'urgence de l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud, près de 10'000 propriétés ont été endommagées par les inondations causées par les pluies torrentielles, équivalentes à six mois de précipitations, qui se sont abattues sur la région en l'espace de trois jours.
50'000 personnes encore piégées
Samedi, quelque 50'000 personnes se trouvaient encore piégées par les eaux qui ont commencé à se retirer, selon le service d'urgence de Nouvelle-Galles du Sud.
"Nous continuerons d'approvisionner les habitants isolés par voie terrestre, maritime et aérienne", a assuré Paul McQueen, chef du service d'urgence de l'Etat.
Plus de 600 personnes ont été évacuées depuis le début de la semaine. Face à la montée des eaux, certaines ont dû grimper sur des voitures, des maisons et des ponts avant d'être hélitreuillées.
Six mois de pluie en trois jours
Les tempêtes ont déversé plus de six mois de pluie en seulement trois jours, a déclaré le bureau météorologique du gouvernement, battant des records de hauteur d'inondation dans certaines régions.
Le gouvernement a déclaré l'état de catastrophe naturelle, débloquant ainsi des ressources plus importantes pour les zones touchées.
De l'arrière-pays aride à la côte tropicale, des pans entiers de l'Australie ont été frappés par des conditions météorologiques extrêmes au cours des derniers mois.
Réchauffement en cause
La température moyenne à la surface de la mer autour du pays a été la plus élevée jamais enregistrée en 2024, selon l'Université nationale d'Australie.
Des eaux plus chaudes provoquent plus d'humidité dans l'atmosphère, ce qui mène à des pluies plus intenses. Le réchauffement climatique, causé principalement par la combustion du pétrole, du charbon et du gaz, accentue la violence et la fréquence des désastres climatiques.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La Syrie salue la levée formelle des sanctions américaines
Le pouvoir syrien a salué samedi la levée formelle des sanctions américaines imposées au pays, en proie à une grave crise économique après plus de 13 ans de guerre civile.
Le président Donald Trump a créé la surprise en annonçant lors d'une visite à Ryad le 13 mai la levée de sanctions américaines, disant vouloir "donner une chance de grandeur" aux nouvelles autorités de Damas.
Il a aussi rencontré le lendemain le président syrien par intérim, Ahmad al-Chareh, qui a dirigé la coalition de groupes rebelles islamistes radicaux ayant renversé en décembre le président syrien Bachar al-Assad.
"La République arabe syrienne se félicite de la décision du gouvernement américain de lever les sanctions imposées à la Syrie et à son peuple depuis de longues années", a déclaré le ministère syrien des Affaires étrangères.
"Il s'agit d'un pas positif dans la bonne direction pour réduire les souffrances sur les plans économique et humanitaire", a-t-il ajouté.
Sanctions renforcées
La Syrie, dirigé par le clan Assad pendant plusieurs décennies, fait l'objet de sanctions internationales depuis 1979. Celles-ci ont été renforcées après la répression par le pouvoir de Bachar al-Assad de manifestations prodémocratie en 2011, élément déclencheur de la guerre.
Les sanctions internationales sont le principal obstacle à la relance de l'économie syrienne.
Et leur levée permettra le retour des investissements en Syrie, où le pouvoir syrien s'emploie à trouver le fonds pour la reconstruction du pays dévasté par la guerre.
Vendredi, le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent, a indiqué que le département du Trésor et le département d'Etat mettaient "en oeuvre des autorisations pour encourager de nouveaux investissements en Syrie".
En outre, le département d'Etat délivré une dérogation au titre de la "loi César" sur la protection des civils en Syrie "qui permettra à nos partenaires étrangers, à nos alliés et à la région d'exploiter davantage le potentiel (du pays)", ajoute le communiqué.
Cette loi de 2020 prévoyait des sanctions sévères contre toute entité ou entreprise coopérant avec le pouvoir déchu de Bachar al-Assad.
Cette exemption est valable pendant 180 jours, a précisé le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio dans un communiqué séparé.
Investissements
Ces mesures "s'inscrivent dans le cadre d'un effort plus large du gouvernement américain visant à supprimer l'ensemble des sanctions imposées à la Syrie en raison des abus commis par le régime Assad", a indiqué le Trésor.
La guerre en Syrie a fait plus d'un demi-million de morts, provoqué l'exil de millions d'habitants et détruit les infrastructures du pays.
La levée des sanctions américaines doit permettre de "réaliser des investissements favorables à la stabilité et à faire progresser les efforts de redressement et de reconstruction", selon M. Rubio.
Washington s'attend désormais à "une action rapide de la part du gouvernement syrien sur des priorités politiques importantes", a-t-il ajouté, en allusion au respect des droits des minorités et aux progrès sur le chemin de la démocratie.
Le 20 mai, l'Union européenne a annoncé la levée de toutes les sanctions économiques contre la Syrie mises en place sous le pouvoir Assad.
Cette levée des sanctions concerne essentiellement le système bancaire syrien, jusque-là interdit d'accès au marché international des capitaux. Elle prévoit également un dégel des avoirs de la banque centrale syrienne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Pacers enfoncent le clou face aux Knicks
Les Pacers ont pris une option sur une place dans les Finales NBA.
Indiana est allé s'imposer une deuxième fois sur le parquet des New York Knicks vendredi (114-109) pour mener 2-0 en finale de la Conférence Est. Les deux prochains matches auront lieu à Indianapolis.
Battus en prolongation dans un acte I où ils comptaient 14 points d'avance à 2'51 de la fin du temps réglementaire, les Knicks n'ont pas réussi à relever la tête. La franchise new-yorkaise a craqué à l'entame du quatrième quart vendredi, concédant un partiel de 13-4 pour accuser 9 longueurs de retard à 9'17 du "buzzer" (94-85).
Un 9-0 a permis aux Knicks d'entretenir l'espoir et de revenir à 1 point (110-109) avec 14 secondes à jouer. Mais les Pacers ont rentré leurs quatre derniers lancers-francs, alors que Jalen Brunson a manqué la cible à 3 points à 8''1 de la fin alors qu'il pouvait permettre à New York d'égaliser à 112-112.
Brunson a pourtant livré la marchandise, cumulant 36 points (à 5/12 derrière l'arc) et 11 rebonds pour un différentiel de +4. Mais l'homme du match fut l'ailier fort d'Indiana Pascal Siakam. Le Camerounais, champion NBA avec Toronto en 2019, a réussi 39 points, 5 rebonds et 3 passes décisives.
Les Pacers, toujours en quête d'un premier titre NBA, sont donc à deux succès d'une deuxième "grande" finale après celle disputée en 2000. Ils s'étaient alors inclinés en six matches face aux Lakers du duo Kobe Bryant/Shaquille O'Neal, après avoir vaincu... les Knicks (4-2) en finale de Conférence.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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