International
Biden veut établir des "garde-fous" lors de sa rencontre avec Xi
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Le président américain Joe Biden veut rouvrir le dialogue au cours de sa rencontre lundi avec son homologue chinois Xi Jinping, selon la Maison-Blanche. Il entend toutefois établir des "garde-fous" dans un contexte de tensions croissantes entre Washington et Pékin.
Les deux dirigeants doivent avoir un long entretien pour la première fois dans leurs rôles présidentiels lundi sur l'île indonésienne de Bali, à la veille du sommet du G20 qui rassemble les plus grandes économies mondiales.
"Nous sommes en concurrence. Le président Biden reconnaît cela, mais il vaut s'assurer que la concurrence ait des limites, que nous construisions des garde-fous, que nous ayons un code de la route clair et que nous fassions tout cela pour s'assurer que la concurrence ne devienne pas un conflit", a indiqué la Maison-Blanche. Le président américain a le soutien de ses "alliés et partenaires" pour cette politique, a indiqué un responsable américain à des journalistes.
Du commerce à la Corée du Nord
"Il y a un large soutien à nos intentions de construire un terrain favorable pour notre relation et augmenter les communications de façon responsable", a-t-il ajouté. De forts enjeux pèsent sur l'entretien pour stabiliser la relation entre Pékin et Washington, mais les attentes sont relativement basses.
Les deux dirigeants se sont entretenus par téléphone ou vidéo à cinq reprises depuis que Joe Biden est entré à la Maison-Blanche en 2021, mais ils se connaissent depuis 2017.
Outre le refus de la Chine de condamner l'invasion russe, Washington et Pékin sont à couteaux tirés sur des questions allant du commerce aux droits fondamentaux dans la région chinoise du Xinjiang, en passant par le statut de Taïwan.
Joe Biden veut notamment presser Pékin de jouer de son influence pour modérer la Corée du Nord qui vient de procéder à une série record de tirs de missiles, semblant se préparer à conduire le 7e essai nucléaire de son histoire.
"Le monde s'attend" à ce que les deux pays travaillent ensemble sur certains sujets et "nous, en tant que nation responsable, certainement nous croyons que nous devons le faire", a poursuivi le responsable.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Filippo Inzaghi quitte Pise malgré la montée en Serie A
L'Italien Filippo Inzaghi, ex-attaquant international reconverti entraîneur, quitte Pise un mois après une montée historique en Serie A. Le club l'a annoncé vendredi.
Le contrat de "Super Pippo", qui courait encore pour deux années supplémentaires, a été résilié d'un commun accord, a indiqué la formation toscane dans un communiqué.
L'ancien avant-centre de l'Italie, de l'AC Milan et de la Juventus, âgé de 51 ans, devrait rester en deuxième division en rejoignant Palerme, selon les médias italiens.
Palerme aurait versé près d'un million d'euros à Pise pour s'attacher les services d'Inzaghi. Le club sicilien, propriété de City Football Group (qui détient également Manchester City), vise lui aussi un retour en Serie A, selon la presse transalpine.
Pise a terminé deuxième de Serie B sous les ordres d'Inzaghi, décrochant ainsi une montée en première division pour la première fois en 34 ans.
Le club toscan, dont le stade Arena Garibaldi se trouve à l'ombre de la célèbre tour penchée de Pise, rejoint la Serie A en compagnie de Sassuolo et de Cremonese.
Alberto Gilardino, qui comme Inzaghi a remporté la Coupe du monde 2006 avec l'Italie, fait partie des candidats à sa succession à Pise, tout comme Marco Giampaolo, récemment limogé de Lecce.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une Convention contre les dangers biologiques approuvée à l'OIT
Les membres de l'Organisation internationale du travail (OIT) ont approuvé une nouvelle Convention contre les dangers biologiques au travail. L'accord, validé vendredi à Genève, prévoit des réparations pour les malades, blessés ou décès en lien avec ce problème.
Après deux ans de discussions, il a été voté au terme des deux semaines de la Conférence internationale du travail par 406 voix, contre 12 oppositions et 13 abstentions. Il faudra au moins deux ratifications parmi les 187 membres pour qu'il entre en vigueur.
"Un moment historique", alors que "le monde est confronté à un avenir de pandémies", a affirmé à la presse une sous-directrice générale de l'OIT, Mia Seppo. La Convention et les recommandations qui l'accompagnent, votée elles par 390 voix contre 20 oppositions et 21 abstentions, ont été validées "non seulement à un moment adapté mais elles sont indispensables", a-t-elle aussi dit.
Les employeurs devront garantir "raisonnablement" une prévention et une protection pour que l'exposition aux dangers biologiques soit menée sans menace pour la sécurité et la santé. Des évaluations devront être établies avec les travailleurs et leurs représentants. Des équipements de protection adaptés devront être offerts aux employés.
Le groupe des employeurs s'est toutefois dit "inquiet" de certaines recommandations qui accompagnent la Convention. Il a déploré un manque de "flexibilité" dans les discussions.
Droit de se retirer donné aux travailleurs
De leur côté, les travailleurs devront être consultés à toutes les étapes du dispositif, de la prévention aux investigations en cas de problèmes. Ils pourront faire valoir un droit à se retirer de leur activité si leur santé est menacée.
Leur groupe a salué le premier instrument international, établi après la pandémie, à aborder la question des dangers biologiques au travail. Il a ajouté que le changement climatique va exposer davantage les employés à ceux-ci. La Convention protégera davantage les personnes les plus vulnérables. Elle va "améliorer la sécurité et la santé de millions de travailleurs dans le monde", ajoute l'un de ses représentants.
Parmi les autres discussions à la Conférence internationale du travail, la Palestine aura obtenu davantage de droits dans les réunions de l'organisation. Un financement stable de l'institution a aussi été validé.
Les milliers de délégués ont décidé qu'une Convention et des recommandations sur l'économie des plateformes numériques devraient être établies. Des "tensions significatives" ont été observées, a admis une sous-directrice générale de l'OIT, Manuela Tomei. Les discussions vont se poursuivre l'année prochaine lors de la Conférence internationale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Kazakhstan: morts de phoques protégés - activités humaines en cause
Les autorités du Kazakhstan ont mis en cause vendredi les activités humaines et le réchauffement dans la mort massive d'une espèce protégée de phoques en mer Caspienne. Ce phoque, seul mammifère présent dans cette mer, est sur la liste rouge des espèces menacées.
Selon le ministère de l'Agriculture, "les principales causes de mortalité des phoques sur les côtes kazakhes de la mer Caspienne entre 2022 et 2024 sont la toxicose chronique, la peste des carnivores, la pneumonie aiguë et l'asphyxie due à la libération de gaz naturel des fonds marins".
Le phoque de la Caspienne, seul mammifère présent dans cette mer, a été inscrit par le Kazakhstan sur sa liste rouge des espèces menacées.
Accumulation de polluants
La toxicose chronique s'explique d'après diverses études scientifiques par une accumulation de polluants dans le corps des phoques, ce qui perturbe leur système immunitaire.
"La baisse du nombre de phoques est due à une diminution de l'immunité des animaux et à leur sensibilité à diverses maladies, comme la toxicose chronique et la peste des carnivores", explique le ministère de l'Agriculture.
Baisse du niveau de l'eau
Par ailleurs, les autorités notent des "facteurs climatiques défavorables, comme la baisse du niveau de la Caspienne", ainsi que "la réduction de la durée de l'hiver et le réchauffement", parmi les autres "principales menaces pesant sur l'espèce".
De plus, les autorités kazakhes citent des activités humaines mettant en péril la reproduction des phoques, dont "la navigation hivernale et les filets de pêche".
Vagues de décès depuis 2022
Rien que depuis novembre 2024, environ 2200 phoques ont été retrouvés morts sur les côtes de cet immense pays centrasiatique et plusieurs vagues de décès ont eu lieu depuis 2022.
La Caspienne est une mer fermée, aussi considérée comme le plus grand lac au monde avec ses 371'000 kilomètres carrés - une superficie supérieure à celle de l'Allemagne. Elle borde cinq pays (Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Russie, Turkménistan).
D'après l'Union internationale pour la conservation de la nature, le nombre de phoques a baissé de plus de 70% au siècle dernier, avant de remonter à environ 270'000 selon des estimations des autorités kazakhes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pour se relancer dans l'IA, Meta investit dans Scale AI
Meta va effectuer un investissement "significatif" au capital de la start-up d'intelligence artificielle (IA) Scale AI, opération qui la valorise à 29 milliards de dollars. La transaction reflète la volonté de la maison mère de Facebook d'accélérer dans l'IA.
Interrogé par l'AFP sur la taille de cette participation, chiffrée par plusieurs médias américains à 49%, Scale AI n'a pas donné suite dans l'immédiat, son communiqué publié jeudi évoquant seulement une part minoritaire du capital. Meta a également confirmé ce rapprochement, qualifié de "partenariat stratégique", selon un déclaration transmise à l'AFP.
Pour obtenir 49% des actions de Scale AI avec cette valorisation, Meta devrait débourser un peu plus de 14 milliards de dollars (11,3 milliards de francs). Cela en ferait le deuxième plus important investissement de la société derrière les 19 milliards déboursés pour l'acquisition de la plateforme de messagerie WhatsApp en 2014.
La transaction s'effectue sur la base d'une valorisation plus que doublée par rapport à la dernière levée de fonds de Scale AI, en mai 2024. Meta était déjà entré au capital à cette occasion, de même qu'Amazon, Intel ou le champion des puces IA Nvidia, la jeune pousse de San Francisco étant alors estimée à 13,8 milliards de dollars.
Scale AI est une société très peu connue du grand public, qui s'est spécialisée dans la mise en état de données utilisées pour développer les grands modèles d'IA générative. La qualité des données qui alimentent ces logiciels est souvent considérée comme au moins aussi importante que les modèles eux-mêmes, car elles sont déterminantes dans les résultats proposés par l'IA générative.
Cap sur la "superintelligence"
L'initiative de Meta, dont le bruit circulait depuis plusieurs jours déjà, vise à la relancer dans la course à l'IA, le groupe étant l'objet d'un certain scepticisme quant aux résultats obtenus jusqu'ici. La dernière version de son grand modèle (LLM), Llama 4, lancée début avril, a été mal accueillie, certains critiquant ses performances jugées décevantes dans plusieurs domaines, notamment l'écriture de code.
Pour ne rien arranger, l'entreprise de Menlo Park (Californie) a soumis à la plateforme d'évaluation d'IA générative LMArena une version de Llama 4 différente de celle disponible pour le grand public, afin d'obtenir de meilleurs résultats. La déconvenue est d'autant plus marquée que Meta a investi des milliards de dollars dans l'IA générative et en a fait l'une de ses priorités stratégiques.
Selon plusieurs médias américains, les grands concurrents de l'entreprise californienne dans l'IA ont même réussi à débaucher plusieurs de ses ingénieurs. Dans le cadre de l'accord annoncé jeudi, le patron de Scale AI, Alexandr Wang, va rejoindre Meta, "pour pour participer à nos travaux sur la superintelligence", selon le groupe dirigé par Mark Zuckerberg.
"Nous en dirons davantage dans les prochaines semaines sur ce projet et les gens formidables qui vont rejoindre l'équipe", a expliqué Meta. Selon le New York Times, l'empire des réseaux sociaux prévoit de créer un laboratoire de recherche dédié à la "superintelligence", considéré comme le stade où l'IA atteindra un niveau de réflexion et de compréhension supérieur à celui des humains.
L'actuel responsable de la stratégie de Scale AI, Jason Droege, va assurer le rôle de directeur général par intérim. Certains observateurs interprètent l'initiative de Meta comme une manière très onéreuse d'attirer plusieurs talents IA de premier plan, dont Alexandr Wang, qui a créé Scale AI en 2016 à 19 ans seulement.
Des médias rapportent que Mark Zuckerberg s'est personnellement impliqué dans le projet et a directement intercédé auprès du jeune dirigeant. Dans un message aux équipes de Scale AI, il a indiqué qu'il emmènerait avec lui d'autres ingénieurs chez Meta, des médias américains évoquant plusieurs dizaines de salariés.
Le patron de Scale AI a laissé entendre qu'il avait accepté la proposition de Meta en partie parce qu'elle permettait de racheter les actions détenues par les salariés, alors qu'il leur était difficile de les vendre jusqu'ici parce que la société n'est pas cotée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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