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International

Brésil: le président Lula atteint de labyrinthite

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Lula, 79 ans, n'exclut pas de briguer un nouveau mandat présidentiel (archives). (© KEYSTONE/EPA/Andre Borges)

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, 79 ans, souffre de labyrinthite, une infection de l'oreille interne, a annoncé lundi le gouvernement. Il s'est vu prescrire le repos.

Le chef de l'Etat, qui avait été opéré à la fin décembre pour drainer un hématome près du cerveau, a réalisé lundi des examens médicaux dans un hôpital de Brasilia après s'être plaint de vertiges.

Les médecins ont diagnostiqué une labyrinthite et ont demandé à Lula de rester au repos. Le président est retourné dans sa résidence et a "annulé une partie de son agenda", selon une source de la présidence qui a requis l'anonymat.

La labyrinthite est une inflammation du labyrinthe, une structure de l'oreille interne qui joue un rôle-clé dans l'audition et l'équilibre. La guérison survient la plupart du temps en quelques semaines.

Le président de gauche, qui a souffert d'un cancer du larynx en 2011 et a subi une opération de la hanche en 2023, n'a pas exclu de briguer un nouveau mandat lors de la présidentielle de 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

A l'approche des côtes du Mexique, l'ouragan Erick se renforce

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Les vagues précédant l'ouragan Erick étaient déjà impressionnantes à Salina Cruz de Oaxaca, vers 2h00 (heure suisse). (© KEYSTONE/EPA/Luis Villalobos)

L'ouragan Erick dans le Pacifique s'est renforcé en catégorie 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte 5, à l'approche des côtes du Mexique, a indiqué mercredi le Centre national des ouragans de Miami (NHC).

Devenu un ouragan majeur, Erick accompagné "de vents potentiellement destructeurs" pourrait provoquer "des inondations soudaines potentiellement mortelles dans certaines parties du sud du Mexique". Il se trouvait à 02h00 à quelque 90 kilomètres de Port Angel (sud), selon le NHC.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Poutine affirme que le réarmement de l'Otan n'est pas une "menace"

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Le président russe Vladimir Poutine s'est exprimé devant la presse internationale à Saint-Petersbourg. (© KEYSTONE/AP/Vyacheslav Prokofyev)

Vladimir Poutine a affirmé jeudi que le réarmement de l'Otan n'était pas une "menace" pour la Russie car son pays a, selon lui, les "capacités de défense" nécessaires pour y faire face, après plus de trois ans de conflit en Ukraine qui a militarisé l'Etat russe.

En parallèle, le président russe s'est félicité que son armée progresse "tous les jours" sur la ligne de front, face à une armée ukrainienne moins nombreuse et en difficulté.

L'Alliance atlantique, qui doit se réunir en sommet la semaine prochaine à La Haye (Pays-Bas), pousse ses membres à accroître leurs dépenses de sécurité, dans le contexte brûlant du conflit en Ukraine, déclenchée par l'assaut russe de 2022 contre son voisin.

Mais, selon M.Poutine, "nous ne considérons aucun réarmement de l'Otan comme une menace pour la Fédération de Russie, car nous sommes autosuffisants en matière de sécurité".

"Nous améliorons constamment nos forces armées et nos capacités de défense", a-t-il encore affirmé lors d'un échange avec des représentants d'agences de presse étrangères, dont l'AFP, à Saint-Pétersbourg.

Une augmentation des dépenses des pays membres de l'Otan à 5% de leur PIB créerait des défis "spécifiques" pour la Russie, a admis Vladimir Poutine, jugeant toutefois que cette hausse des dépenses n'avait "aucun sens" pour les membres de l'Alliance eux-mêmes.

"Nous contrerons toutes les menaces qui se dresseront. Cela ne fait aucun doute", a-t-il lancé.

Le chef de l'Etat russe présente l'offensive russe à grande échelle lancée en Ukraine en 2022 comme faisant partie d'un conflit plus large entre la Russie et l'Otan, qu'il considère comme une menace "existentielle" aux frontières de son pays.

Dans le cadre des discussions de paix sur l'Ukraine, il souhaite ainsi discuter --notamment avec le dirigeant américain Donald Trump-- de l'architecture sécuritaire sur le Vieux Continent.

Kiev, de son côté, cherche à obtenir des garanties de sécurité de l'Alliance atlantique dans la perspective de tout accord visant à mettre fin aux combats.

"Trouver une solution"

A ce stade, les pourparlers de paix entre les deux belligérants, engagés sous la pression de Donald Trump, sont bloqués, ceux-ci campant sur leurs positions, très éloignées.

La Russie a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par l'Ukraine, qui a pour sa part qualifié d'"ultimatums" les exigences russes.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé Vladimir Poutine à se rencontrer en personne pour trouver une issue au conflit, une option rejetée par le président russe, tout comme les demandes de Kiev pour un cessez-le-feu inconditionnel.

Jeudi, celui-ci a dit être ouvert à un tel sommet, mais uniquement dans le cadre de la "dernière étape" des négociations.

"Je suis même prêt à rencontrer (M.Zelensky), mais seulement si c'est la dernière étape" des pourparlers, a affirmé le président russe face aux représentants des agences de presse étrangères.

Il a toutefois de nouveau mis en doute la légitimité du dirigeant ukrainien, dont le mandat présidentiel a officiellement expiré en mai 2024.

Kiev n'a pas pu organiser d'élection présidentielle du fait de l'assaut russe et la mise en place de la loi martiale.

"Je suis prêt à rencontrer tout le monde, même Zelensky. Là n'est pas la question. Si l'Etat ukrainien fait confiance à une personne en particulier pour mener des négociations, mon Dieu, cela peut être Zelensky", a dit le chef de l'Etat russe lors de cette table ronde.

"Peu importe qui négocie, même si c'est le chef actuel du régime", a-t-il abondé.

Il a également estimé qu'il fallait "trouver une solution qui, non seulement mette fin au conflit actuel, mais qui crée également les conditions nécessaires pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à long terme".

Deux rounds de pourparlers entre Russes et Ukrainiens ont eu lieu à Istanbul, mais n'ont débouché sur aucun progrès vers une trêve dans ce conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés.

Moscou, dont l'armée occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien, demande notamment à Kiev le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.

Sur le terrain, les forces russes continuent de pilonner chaque jour les villes et villages d'Ukraine. Elles ont mené tôt mercredi une série d'attaques contre Kiev, faisant au moins 28 morts, selon les autorités ukrainiennes, l'un des pires bilans dans la capitale depuis 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Poutine dit qu'une rencontre avec Zelensky est possible

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Le président russe Vladimir Poutine (au centre) a répondu aux questions de journalistes étrangers, à Saint-Petersbourg. (© KEYSTONE/AP/Alexander Demyanchuk)

Vladimir Poutine a déclaré jeudi être "prêt" à rencontrer son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky uniquement dans le cadre de la "dernière étape" des négociations entre Moscou et Kiev, après plus de trois ans de guerre.

"Je suis même prêt à rencontrer (Volodymyr Zelensky), mais seulement si c'est la dernière étape" des pourparlers, a dit le président russe lors d'un échange avec des représentants d'agences de presse étrangères, dont l'AFP.

Mais il a de nouveau mis en doute la légitimité de Volodymyr Zelensky, dont le mandat a officiellement expiré en mai 2024.

Kiev n'a pas pu organiser d'élection présidentielle du fait de l'assaut russe et la mise en place de la loi martiale.

"Je suis prêt à rencontrer tout le monde, même Zelensky. Là n'est pas la question. Si l'Etat ukrainien fait confiance à une personne en particulier pour mener des négociations, mon Dieu, cela peut être Zelensky", a dit le chef de l'Etat russe lors de cette table ronde organisée à Saint-Pétersbourg.

"Peu importe qui négocie, même si c'est le chef actuel du régime".

Il a également estimé qu'il fallait "trouver une solution qui, non seulement mettre fin au conflit actuel, mais qui crée également les conditions nécessaires pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à long terme".

Deux rounds de pourparlers entre Russes et Ukrainiens ont eu lieu à Istanbul, mais n'ont débouché sur aucun progrès vers un cessez-le-feu dans ce conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés.

Moscou demande notamment à Kiev le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Changement climatique: une dizaine d'indicateurs dans le rouge

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Un arbre victime du changement climatique, notamment de la sécheresse et du manque d'eau dans une forêt jurassienne. (Image d'illustration) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Gaz à effet de serre, élévation du niveau de la mer, seuil de 1,5°C de réchauffement: une dizaine d'indicateurs climatiques clefs sont dans le rouge, alertent une soixantaine de chercheurs de renom dans une vaste étude mondiale parue jeudi.

"Le réchauffement d'origine humaine a augmenté à un rythme sans précédent dans les mesures instrumentales, atteignant 0,27°C par décennie sur 2015-2024", concluent les scientifiques issus d'institutions prestigieuses.

Les émissions de gaz à effet de serre, issus notamment de l'utilisation des énergies fossiles, ont en effet atteint un nouveau record en 2024, à 53 milliards de tonnes de CO2 chaque année en moyenne sur la dernière décennie. Les particules polluantes dans l'air, qui ont un effet refroidissant, ont par ailleurs diminué.

Ce constat, publié dans la revue Earth System Science Data, est le fruit du travail de chercheurs provenant de 17 pays, qui s'appuient sur les méthodes du Giec, le groupe d'experts du climat mandatés par l'ONU, auquel la plupart appartiennent ou ont appartenu.

L'intérêt de l'étude est de fournir des indicateurs mis à jour annuellement à partir du rapport du Giec, sans attendre le prochain dans plusieurs années.

Pour l'année 2024, le réchauffement observé par rapport à l'ère pré-industrielle a atteint 1,52°C, dont 1,36°C attribuable à la seule activité humaine. L'écart témoigne de la variabilité naturelle du climat, à commencer par le phénomène naturel El Niño.

"Mauvaise direction"

C'est un niveau record mais "attendu" compte tenu du réchauffement d'origine humaine, auquel s'ajoutent ponctuellement ces phénomènes naturels, souligne Christophe Cassou, du Centre national de la recherche scientifique français (CNRS). "Ce n'est pas une année exceptionnelle ou surprenante en tant que telle pour les climatologues", affirme-t-il.

Cela ne signifie pas que la planète a déjà franchi le seuil le plus ambitieux de l'accord de Paris (réchauffement limité à 1,5°C), qui s'entend sur une période de plusieurs décennies.

Mais la fenêtre se referme toujours plus. Le budget carbone résiduel - la marge de manoeuvre, exprimée en quantité totale de CO2 qui pourrait encore être émise tout en gardant 50% de chance de limiter le réchauffement de la planète à 1,5°C - est en train de fondre.

Ce "budget" n'est plus que de l'ordre de 130 milliards de tonnes au début de 2025, un peu plus de trois ans d'émissions au rythme actuel, contre encore quelque 200 milliards il y a un an.

"Le dépassement du seuil de 1,5°C est désormais inéluctable", juge l'un des auteurs, Pierre Friedlingstein, du CNRS.

"J'ai tendance à être une personne optimiste", affirme l'auteur principal de l'étude, Piers Forster, de l'université de Leeds. "Mais si on regarde la publication de cette année, tout va dans la mauvaise direction".

"Réduire les émissions"

Les auteurs ont inclus cette année deux nouveaux indicateurs, dont l'un concerne la montée du niveau de la mer, qui se dilate sous l'effet du réchauffement et reçoit des volumes d'eau douce avec la fonte des glaces. Le rythme a plus que doublé avec une hausse de quelque 26 mm entre 2019 et 2024, alors que la moyenne était de moins de 2 mm par an depuis le début du XXe siècle.

Au total, le niveau des océans est monté de 22,8 cm depuis le début du siècle dernier, de quoi renforcer le pouvoir destructeur des tempêtes et menacer l'existence de certains États insulaires.

Cette montée, qui obéit à des phénomènes complexes, est soumise à une forte inertie et se poursuivra même si les émissions cessaient immédiatement. Mais l'humanité n'est pas pour autant démunie.

"Que peut on faire pour limiter la vitesse et l'ampleur de la montée du niveau de la mer? Réduire les émissions de gaz à effet de serre le plus rapidement possible", souligne la climatologue Valérie Masson-Delmotte.

A moins de six mois de la COP30 au Brésil, les politiques en faveur du climat sont pourtant fragilisées par le retrait des Etats-Unis de Donald Trump de l'accord de Paris.

"Tout changement dans la trajectoire ou en termes de politiques publiques susceptible d'augmenter ou de maintenir des émissions qui auraient autrement été réduites, aura une implication sur le climat et le niveau de réchauffement dans les années à venir", rappelle Aurélien Ribes, du Centre national de recherches météorologiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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