International
Clint Capela: "Je ne pensais pas faire plus de 4 ou 5 ans en NBA"
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A l'aube de sa neuvième saison complète en NBA, Clint Capela savoure toujours son bonheur de faire partie de la meilleure ligue du monde. A 29 ans, le centre des Atlanta Hawks en veut toujours plus.
En entretien avec Keystone-ATS, le Genevois, toujours humble et disponible, parle notamment de sa santé, de la difficulté à rester compétitif et de la défense d'Atlanta avec le nouveau coach Quin Snyder. Interview.
-Au moment d'attaquer votre 9e saison complète en NBA, comment vous sentez-vous physiquement?
"Je me sens très bien."
-Vous avez quand même eu quelques soucis avec votre tendon d'Achille et votre mollet ces dernières saisons.
"Oui, mais j'ai travaillé sur mon tendon d'Achille afin d'avoir davantage de souplesse et là ça va mieux."
-Donc vous êtes prêt à jouer les 82 matches de saison régulière (réd: il a joué 63, 74 et 65 matches avec Atlanta en saison régulière)?
(il rit) Ce serait la cerise sur le gâteau. Je ne sais pas s'ils donnent une couronne spéciale pour le joueur qui réussit ça."
-Vous n'avez que 29 ans, mais pour la NBA vous êtes un vétéran. Peut-être que les coaches vont vous ménager...
"Moi je ne me repose pas, je joue. Si je ne suis pas blessé, je veux être sur le terrain à chaque match, même lors des back to back."
-Le 7 novembre, vous fêterez les dix ans de votre premier match en NBA. Pas mal comme longévité, non?
"Cela va bien au-delà de mes espérances. Je ne pensais pas faire plus de quatre ou cinq ans en NBA. Je ne pensais pas pouvoir m'adapter aussi vite. Chaque jour je me réveille et je prends conscience du travail accompli. La moyenne d'une carrière d'un joueur de NBA, c'est quatre ans. Il y a tellement peu de monde qui y arrive et en plus avec les nouveaux joueurs qui intègrent la ligue chaque année, le challenge se renouvelle tout le temps. Quelqu'un m'a dit: "Tu as 50 fois plus de chances d'entrer à Harvard que de jouer en NBA." Quand on réalise ça, on apprécie de plus en plus."
-De quoi êtes-vous le plus fier?
"Cela fait maintenant six saisons que je tourne en double-double (réd: plus de 10 unités dans deux catégories, ici les points et les rebonds). Cela prouve ma constance. Souvent les gens prennent cela pour acquis, mais chaque soir l'équipe m'attend. Etre fort, ce n'est pas la question. En NBA, tout le monde est fort. Mais est-ce que tu es capable d'être fort sur la durée, de t'adapter?"
-Si vous deviez donner un conseil à un jeune, ce serait lequel?
"De suivre sa propre trajectoire. Je ne peux pas dire aux autres de faire comme moi, ce n'est pas une formule magique. Par contre, il ne faut jamais s'ennuyer. Je suis crevé, mais je sais le chemin parcouru et je m'amuse toujours autant."
-En dépit de vos excellentes statistiques, votre temps de jeu diminue chaque année depuis la saison 2018/19 où vous étiez à plus de 33 minutes de jeu par match. Aujourd'hui vous jouez sept minutes de moins. Cela vous inquiète?
"Pas du tout. L'important c'est d'être performant."
-Le basket a évolué et de plus en plus d'intérieurs sont devenus des shooteurs à distance. Est-ce que vous travaillez votre tir de loin?
"Ca évolue, c'est clair. Mais après il faut savoir si tu shootes pour shooter ou si tu shootes pour marquer. Je me suis toujours concentré sur mes forces. Je m'entraîne bien sûr pendant l'été, mais si je suis en NBA et que je veux y rester, ce n'est pas en commençant à tenter des trois points."
-Il reste deux ans à votre contrat (réd: qui lui rapportera 46 millions de dollars). Pensez-vous déjà à votre prochain bail ou à un éventuel trade?
"Je ne me soucie pas du tout de ça. C'était la même chose lorsque j'étais à Houston. Ce sont des choses que je ne peux pas contrôler. Atlanta avait décidé de me prolonger en 2021. Après on ne sait jamais, mais on verra bien."
-La saison passée Atlanta a été éliminé 4-2 au premier tour des play-off par les Boston Celtics. Comment jugez-vous l'équipe et votre coach Quin Snyder?
"Ah Snyder, il est fort! Je suis vraiment excité par cette saison. En présaison, je vois que tout le monde fait les efforts nécessaires en défense. On me voit souvent comme le pilier de la défense, mais on doit défendre à 5. Et j'ai le sentiment que le staff a mis les points sur les i et qu'on a fait un gros pas en avant. Je vois vraiment une progression."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La Russie dit avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens
La Russie a indiqué jeudi avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens. Il s'agit de l'une des attaques les plus massives de l'armée ukrainienne en bientôt quatre ans d'offensive russe.
Sur les drones "interceptés et abattus" par la défense antiaérienne russe, 32 se dirigeaient vers Moscou, a précisé le ministère russe de la défense dans un communiqué sur le réseau social Telegram.
En raison des attaques de drones visant la capitale russe, rarement prise pour cible, des restrictions temporaires ont été mises en place dans les quatre aéroports moscovites - Cheremetievo, Domodedovo, Vnoukovo et Joukovski -, selon l'agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia. Des dizaines de vols y ont été annulés, reportés ou redirigés vers d'autres aéroports, selon les agences de presse russes.
Cette annonce intervient alors l'Ukraine a remis mercredi aux Etats-Unis sa version mise à jour du plan pour mettre fin à la guerre avec la Russie, selon de hauts responsables ukrainiens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Combats Cambodge-Thaïlande: pas de répit avant l'appel de Trump
Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge faisaient toujours rage jeudi avant un appel attendu du président américain Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités. Les affrontements ont fait au moins 19 morts.
Le ministère thaïlandais de la défense a annoncé un nouveau bilan de neuf soldats tués au total, qui s'ajoutent aux dix victimes civiles, dont un enfant, rapportées par les autorités cambodgiennes.
Plus d'un demi-million de personnes ont été contraintes depuis le début de la semaine de fuir les régions proches de la frontière, où des tirs d'artillerie résonnaient en matinée autour des temples khmers contestés.
Les deux voisins d'Asie du Sud-Est, qui se disputent de longue date des morceaux de territoire et s'accusent mutuellement de la reprise des affrontements, ne montraient aucun signe d'apaisement alors que Donald Trump a promis de jouer à nouveau les médiateurs.
Le président américain doit s'entretenir dans la journée avec le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul et son homologue cambodgien Hun Manet pour les convaincre de faire taire leurs armes. "J'ai trouvé qu'ils étaient deux grands dirigeants, deux personnes géniales et j'ai déjà réglé cela une fois", a-t-il rappelé mercredi.
"Nous devons expliquer"
Donald Trump était intervenu aux côtés de la Chine et de la Malaisie - pays assurant la présidence tournante de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN) - lorsqu'un premier conflit ouvert avait éclaté en juillet, faisant 43 morts en cinq jours.
Le milliardaire, qui n'a jamais fait mystère de son envie de recevoir un jour le prix Nobel de la paix, avait également cosigné le 26 octobre un accord de cessez-le-feu avec les dirigeants thaïlandais et cambodgien.
Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats et ne semble aujourd'hui pas encore ouvert à une trêve.
"Il [Donald Trump] souhaite sincèrement voir la paix, mais nous devons expliquer quels sont les problèmes et pourquoi la situation a évolué ainsi", a dit le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.
"Entre dirigeants, il ne s'agit pas seulement de passer un coup de téléphone. Il y aura un rendez-vous prévu et des sujets précis à aborder", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Shell poursuivi par des survivants d'un typhon aux Philippines
Des survivants du typhon Rai, qui a fait plus de 400 morts en 2021 aux Philippines, ont déposé une plainte à Londres contre le géant britannique des hydrocarbures Shell. Ils l'accusent de n'avoir pas pris ses responsabilités face aux impacts du changement climatique.
Cette plainte constitue "une contribution essentielle au mouvement mondial grandissant visant à remettre en cause l'impunité des compagnies pétrolières", ont indiqué jeudi des ONG, dont Greenpeace, qui soutiennent les plaignants.
La démarche s'inscrit dans la continuité de la reconnaissance en mai par la justice allemande d'une responsabilité mondiale des entreprises productrices d'électricité dans les dommages liés aux émissions de gaz à effet de serre, quel que soit l'endroit où ils se produisent. Les affaires de ce genre se multiplient dans le monde entier.
Il s'agit d'"une étape décisive pour tenir le géant pétrolier Shell responsable des morts, blessures et destructions causées par cette tempête", est-il souligné dans le communiqué des ONG.
"Allégation infondée"
Un porte-parole de Shell a dénoncé "une allégation infondée, qui n'aidera pas à lutter contre le changement climatique, ni à réduire les émissions" de CO2. "Chez Shell, nous réduisons les émissions de nos opérations et aidons nos clients à réduire les leurs", a-t-il ajouté.
Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année. Le typhon Rai avait ravagé des régions très pauvres du pays en décembre 2021, faisant plus de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abris.
La plainte, qui s'appuie sur le droit philippin, a été déposée au nom de 103 survivants qui demandent "réparation pour les vies perdues, les blessures subies et les maisons détruites", selon le communiqué.
"Les survivants soutiennent que Shell, responsable de plus de 41 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit plus de 2% des émissions mondiales de combustibles fossiles, ne peut pas invoquer l'ignorance", est-il souligné dans le communiqué des ONG.
L'entreprise a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'opposante vénézuélienne Machado réapparaît à Oslo
L'opposante vénézuélienne María Corina Machado est réapparue jeudi en public à Oslo pour la première fois depuis près d'un an, après avoir manqué la veille la cérémonie de remise de son prix Nobel de la paix pour ses efforts pour la démocratie dans son pays.
Mme Machado est arrivée jeudi dans la nuit au Grand Hotel, où descendent habituellement les lauréats du Nobe. Elle a salué les quelques dizaines de partisans en liesse qui scandaient "libertad" (liberté, en français) dans la rue, selon des journalistes de l'AFP sur place. Elle prévoit de donner une conférence de presse à Oslo en matinée.
La réapparition de l'opposante a lieu en pleine crise entre le Venezuela et les Etats-Unis, qui ont déployé depuis août une imposante flottille en mer des Caraïbes, officiellement pour lutter contre le trafic de drogue, causant 87 morts. Le président vénézuélien Nicolás Maduro accuse Washington de vouloir le renverser pour s'emparer du pétrole de son pays.
Recherchée au Venezuela
María Corina Machado, bête noire de M. Maduro, est critiquée par certains pour la proximité de ses idées avec celles du président américain Donald Trump, auquel elle a dédié son Nobel, et son soutien au déploiement américain.
L'opposante de 58 ans vit dans la clandestinité au Venezuela depuis août 2024, soit quelques jours après la présidentielle à laquelle elle avait été empêchée de participer.
Mercredi, c'est sa fille Ana Corina qui a reçu en son nom le prix et a lu pour elle un discours de remerciements. Le comité Nobel a évoqué "un voyage en situation de danger extrême" pour justifier l'absence de la lauréate, avant de confirmer son arrivée dans la nuit de mercredi à jeudi.
La précédente apparition publique de Mme Machado remontait au 9 janvier lors d'une manifestation à Caracas. On ignore comment l'opposante a réussi à quitter le Venezuela, où la justice la recherche pour "conspiration, incitation à la haine et terrorisme", et comment elle compte faire pour éventuellement y retourner.
"Elle risque d'être arrêtée si elle rentre, même si les autorités ont fait preuve de plus de retenue avec elle qu'avec beaucoup d'autres parce qu'une arrestation aurait une portée symbolique très forte", a expliqué Benedicte Bull, spécialiste de l'Amérique latine de l'université d'Oslo.
Elle rentrera "très bientôt [...] Elle veut vivre dans un Venezuela libre et elle n'abandonnera jamais cet objectif", a assuré sa fille, Ana Corina Sosa Machado.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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