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"Danke Kaiser", dernier hommage à Franz Beckenbauer

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La cérémonie a eu lieu à l'Allianz Arena. (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Le monde du football a rendu vendredi un dernier hommage à la légende Franz Beckenbauer à l'Allianz Arena, douze jours après l'annonce du décès du Kaiser, et une semaine après son enterrement.

Figure légendaire du football pendant un demi-siècle, comme joueur (champion d'Europe en 1972, champion du monde en 1974, Ballon d'Or 1972 et 1976), sélectionneur (champion du monde en 1990), et dirigeant, Franz Beckenbauer est mort le 7 janvier, entouré de sa famille à Salzbourg (Autriche).

Il a été inhumé le 12 janvier dans le cimetière "Am Perlacher Forst", dans le sud de la capitale bavaroise, et le Bayern, club où il a fait la plus grande partie de sa carrière, a décidé de lui rendre un dernier hommage vendredi, dans l'Allianz Arena, que Beckenbauer, alors président du club, a fait construire au début des années 2000.

Un portrait de Beckenbauer a été placé dans le rond central, entouré d'une petite trentaine de couronnes mortuaires déposées par les plus grands clubs au monde, comme Liverpool ou le FC Barcelone.

La cérémonie s'est déroulée en présence du président de la Fifa Gianni Infantino, du président de l'UEFA Aleksander Ceferin, des présidents du Paris SG Nasser al-Khelaïfi, du FC Barcelone Joan Laporta ou encore du président d'honneur du Real Madrid, José Martínez "Pirri".

Plusieurs grands noms du football allemand (Paul Breitner, Lothar Matthäus, Bastian Schweinsteiger) et international (le Français Bixente Lizarazu, le Portugais Deco) ont également assisté à la cérémonie, tout comme le président allemand Frank-Walter Steinmeier et le chancelier Olaf Scholz.

L'hommage a débuté sur les notes de Con Te Partiro et s'est terminée sur Nessum Dorma, deux airs interprétés par le ténor munichois Jonas Hofmann, au terme d'une cérémonie d'une heure et quart, dans un stade rempli à un bon tiers (autour de 25'000 personnes).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ranieri va redevenir à 73 ans entraîneur de l'AS Rome

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Claudio Ranieri va reprendre l'AS Roma à 73 ans (© KEYSTONE/AP/Gregorio Borgia)

Claudio Ranieri qui avait pris sa retraite en juin dernier, va devenir à 73 ans entraîneur de l'AS Rome, 12e du Championnat d'Italie. C'est ce que rapporte mercredi la presse italienne.

Selon notamment la "Gazzetta dello Sport" et la chaîne de télévision "Sky Sport", Ranieri et les propriétaires américains de la Roma sont parvenus à un accord ce mercredi à Londres.

Sa nomination sera officialisée jeudi après la signature de son contrat et il dirigera sa première séance d'entraînement jeudi après-midi.

Ranieri, né à Rome et formé à la Roma, a déjà entraîné les Giallorossi à deux reprises, entre 2009 et 2011, échouant de peu pour le titre de champion en 2010, et quelques mois en 2019.

L'AS Rome n'a pas souhaité confirmer ces informations.

Ranieri, sacré champion d'Angleterre en 2016 avec Leicester, l'un des exploits les plus retentissants de l'histoire de la Premier League, succédera à Ivan Juric, qui a été relevé de ses fonctions le week-end dernier après une quatrième défaite en cinq matches de championnat. Le technicien croate avait été nommé en septembre en remplacement de Daniele De Rossi, limogé après quatre matches.

Ranieri sera le quatrième entraîneur de la Roma depuis le début de l'année, Jose Mourinho ayant été licencié en janvier dernier.

Le club de la Louve n'a empoché que 13 points en douze matches. Il accuse treize points de retard sur le leader Naples et douze sur la 5e place, sans doute qualificative pour la C1, occupée par son grand rival, la Lazio.

Ranieri, passé notamment par l'Inter, la Juventus, Chelsea, Monaco ou encore Nantes, avait quitté en juin son poste d'entraîneur de Cagliari, annonçant que sa carrière d'entraîneur était terminée, à moins que ne lui soit proposé un poste de sélectionneur, fonction qu'il avait très brièvement occupée en 2014 avec la Grèce.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Simon Sohm: une si longue attente

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Les bonnes performances de Simon Sohm (à gauche) avec Parme ont convaincu Murat Yakin de l'appeler en équipe de Suisse. (© KEYSTONE/AP/Gianni Santandrea)

Après une longue attente de quatre ans, Simon Sohm revient en équipe de Suisse ! Le demi de Parme entend se faire une place en soleil dans un secteur où la concurrence est bien féroce.

Derrière Granit Xhaka et Remo Freuler, mais aussi Vincent Sierro et Ardon Jashari, Simon Sohm aura de la peine à trouver son bonheur lors de ce rassemblement. "Je suis là pour me montrer. Pour apprendre aussi auprès d’un joueur aussi fort que Granit Xhaka. Son leadership m’inspire", souligne le joueur de Parme qui a retrouvé cette année l’élite du Calcio après trois ans de purgatoire en Serie B.

Buteur le 30 octobre à Turin lors du 2-2 arraché à la Juventus, Simon Sohn est un titulaire indiscutable en club. "Je mérite ce qui m’arrive", avoue-t-il. En Italie, celui qui a quitté son cocon du FC Zurich en 2020 à 19 ans – « en plein Covid », rappelle-t-il - a bien grandi. La saison dernière qui a vu Parme remporter la Serie B devant Côme, Simon Sohn a enfin gagné la confiance de l’entraîneur Fabio Pecchia. Aujourd’hui, il est l’un des premiers noms que le "Mister" couche sur sa feuille à l’heure de composer son onze de départ.

Un club au passé glorieux

A Parme, où il apprécie bien sûr la cuisine et où il peut se promener tranquillement sans être oppressé par les tifosi comme on peut l’être à Naples, Simon Sohm sait qu’il évolue dans un club au passé glorieux. Victorieux de la Coupe des coupes en 1993 et de la Coupe de l’UEFA en 1995 et en 1999, l’AS Parme fut un grand d’Europe grâce notamment au soutien de Parmalat, le géant de l’époque des produits laitiers. "Les trophées sont bien présents au stade. On mesure le poids de ce passé", souligne Simon Sohm.

Désormais lié avec l’AS Parme jusqu’au 30 juin 2027, Simon Sohm entend vraiment s’inscrire dans la durée en Emilie-Romagne, "même si l’on n’est jamais sûr de rien en football". "Nous espérons vraiment nous établir de nouveau en Serie A. C’est un championnat magnifique. Aller défier l’Inter ou le Milan à San Siro doit être extraordinaire". Il redécouvrira l’enceinte milanaise le 6 décembre lors d'un duel contre les Nerazzurri.

Mais dans l’immédiat, il espère lors de ce rassemblement de novembre honorer sa deuxième sélection. Le 7 octobre 2020, il avait relayé Djibril Sow à la 64e minute lors d’une rencontre amicale perdue 2-1 devant la Croatie à St. Gall. Aujourd’hui, il revient en équipe nationale avec un nouveau sélectionneur et un nouveau staff par rapport à 2020. "Tout y est devenu plus professionnel", lâche-t-il. Vladimir Petkovic appréciera...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Miro Muheim: le vingtième néophyte

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Miro Muheim (à gauche) espère retrouver la Bundesliga avec le SV Hambourg (archives). (© KEYSTONE/DPA/CHRISTIAN CHARISIUS)

Miro Muheim est la surprise du chef. Le latéral du SV Hambourg pourrait devenir vendredi contre la Serbie ou lundi à Ténériffe contre l’Espagne le 20e néophyte aligné par Murat Yakin.

Tout indique, en effet, que le Zurichois de 26 ans bénéficiera d’un temps de jeu important lors de ce dernier rassemblement de l’année. Passeur décisif à sept reprises depuis le début de saison avec le SV Hambourg – "j'ai un bon pied gauche", sourit-il – il est en concurrence avec Ulisses Garcia pour occuper le flanc gauche d’une défense affaiblie par une multitude de forfaits.

Formé au FC Zurich – son "club de c½ur" – avant de tenter pendant une année l’expérience en Premier League à Chelsea, Miro Muheim s’est révélé à St. Gall. Il y a côtoyé Giorgio Contini, l’assistant de Murat Yakin, qui lui a annoncé sa première convocation dans le cadre de l'équipe A. "J’ai accueilli cet appel avec une très grande fierté et un immense bonheur", glisse-t-il.

Une expérience unique

Miro Muheim n’est pas le premier joueur suisse à vivre l’expérience unique de porter les couleurs du SV Hambourg, l’un des clubs les plus emblématiques d’Allemagne. Stéphane Henchoz, Raphaël Wicky, Johan Djourou et Valon Behrami, dans un passé plus ou moins lointain, ou plus récemment Vasilije Janjicic et Léo Lacroix avaient pu mesurer l’immense engouement qui entoure le club victorieux de la Coupe des clubs champions en 1983. "St. Gall est un club historique aussi. Mais à Hambourg, j’ai découvert un autre monde, lâche-t-il. La couverture médiatique et la ferveur des fans sont vraiment impressionnantes"

Relégué en 2e Bundesliga en 2018, le SV Hambourg brûle de retrouver enfin l’élite. "La promotion est notre grand objectif. Je ne doute pas une seconde que nous allons l’atteindre même si nous traversons une mauvaise passe", affirme Miro Muheim. Cinquième du classement mais à seulement 2 points de la barre, le HSV n’a pris qu’un seul point lors de ses trois derniers matches avant de recevoir Schalke 04 le samedi 23 novembre pour une affiche qui devra attirer à nouveau 57'000 spectateurs au Volksparkstadion.

"Je veux découvrir la Bundesliga avec le SV Hambourg", répète le Zurichois dont le contrat court jusqu’à la fin de la saison. S’il parvient d’ici-là à s’affirmer comme un international indiscutable, il arrivera à la table des négociations en position de force.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Murat Yakin: gravir l'Everest en tongs

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Murat Yakin doit résoudre plusieurs problèmes (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

La Suisse n'est pas dans les meilleures dispositions avant ses deux derniers matches de l'année. De nombreuses questions se posent pour Murat Yakin.

Si son statut de tête de série pour le tirage au sort du tour préliminaire de la Coupe du monde 2026 n’était pas assuré à 99 %, la Suisse s’avancerait vers ses deux dernières échéances de l’année avec la peur chevillée au corps. Avec la détestable certitude de revivre comme l’an dernier un automne aussi triste qu’un hiver sans fin.

Avec une défense à réinventer après le forfait de Manuel Akanji et une attaque privée des deux soutiens de l'attaquant de pointe à l’Euro Ruben Vargas et Dan Ndoye, Murat Yakin n’aborde pas, il est vrai, les rencontres de Ligue des Nations de vendredi à Zurich contre la Serbie et de lundi à Ténériffe face à l’Espagne dans les meilleures dispositions. Le drôle de sentiment d’avoir à gravir l’Everest en tongs doit lui traverser l’esprit.

Le maintien en Ligue A passe pratiquement par une victoire par trois buts d’écart contre la Serbie et par un nul ou un succès en Espagne. Le sélectionneur mesure pleinement l’ampleur de la tâche. C’est pourquoi il a tenu à préciser jeudi dernier devant la presse "qu’une relégation ne serait pas dramatique". Histoire de préparer le terrain...

L'ombre de Fabian Schär

Il ne peut pas ignorer que Ricardo Rodriguez, son dernier homme fort en défense, n’est pas titulaire en Liga avec le Betis Séville. Le sélectionneur n’a pas fini de regretter la retraite internationale de Fabian Schär, qu’il n’attendait pas et à laquelle il n’était pas préparé.

Eray Cömert et Aurèle Amenda ont-ils les épaules pour s’affirmer comme les nouveaux patrons de la défense lors de ces deux prochaines rencontres ? Leurs performances ces dernières semaines dans leurs clubs respectifs - Valladolid et l’Eintracht Francfort - laissent le doute s’immiscer.

Joueur d’échecs plutôt que flambeur comme il aime à le préciser, Murat Yakin n’a cette fois pas un coup d’avance. Le sélectionneur doit subir une situation qui lui échappe après l’officialisation lundi du forfait de Manuel Akanji. Même s’il n’a délivré qu’un service minimum depuis l’Euro, le Zurichois est, comme Granit Xhaka, tout simplement irremplaçable.

Comme face au Danemark à Saint-Gall, Murat Yakin entendait très certainement aligner une défense à quatre, le système qu’il préfère mais qu’il a abandonné en début d’année pour faciliter le retour aux affaires de Fabian Schär. Avec la présence dans sa liste de Kevin Mbabu, d’Ulisses Garcia et du néophyte Miro Muheim, il a, à nouveau, sous la main des joueurs qui peuvent tenir le rôle de pistons si l’on revient à une ligne de trois.

Quid d'Ardon Jashari ?

L’autre "problème" auquel Murat Yakin sera confronté réside dans la gestion du cas Ardon Jashari. Brillant avec le FC Bruges, le demi lucernois n’a plus joué en équipe depuis son introduction à la 89e minute lors du funeste huitième de finale de la Coupe du monde 2022 contre le Portugal. Celui qui affirme "se sentir 100 % albanais" incarne-t-il toujours l’avenir ?

Murat Yakin est-il prêt à lui permettre de fourbir ses armes aux côtés de son grand frère Granit Xhaka, quitte à froisser les égos de Remo Freuler et de Vincent Sierro ? Tel est aussi l’un des enjeux de ce rassemblement de novembre, un rassemblement pas vraiment comme les autres.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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