International
Déchets dangereux: plainte contre Walmart pour élimination illégale
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Une plainte a été déposée lundi en Californie contre le géant de la distribution Walmart. Il est accusé d'avoir jeté de manière illégale et pendant plusieurs années des millions de déchets dangereux, comme des batteries ou aérosols.
La plainte a été déposée conjointement par le procureur général de Californie, Rob Bonta, et les procureurs de six comtés de l'Etat, ainsi que par le département de contrôle des substances toxiques de l'Etat (DTSC).
Walmart est accusé de s'être, "au cours des six dernières années", débarrassé de "déchets dangereux dans des décharges locales qui ne sont pas équipées ou autorisées à recevoir ce type de déchets", selon un communiqué commun.
Piles, aérosols, pesticides, produits de nettoyage toxiques, déchets électroniques ou encore restes de peintures ont ainsi été déversés dans des déchetteries locales, et non dans des déchetteries à même de traiter ces déchets pour éviter qu'ils ne polluent l'environnement. Des informations confidentielles sur les clients ont également terminé dans ces déchetteries.
Un million d'articles par année
"Les propres audits de Walmart ont révélé que l'entreprise déversait des déchets dangereux dans des décharges locales à un rythme de plus d'un million d'articles chaque année", a déclaré le procureur général Rob Bonta, cité dans le communiqué.
"A partir de là, ces produits peuvent s'infiltrer dans l'eau potable de l'Etat sous forme de polluants toxiques ou dans l'air sous forme de gaz dangereux", a-t-il déploré.
Cette plainte fait suite à un premier litige, en 2010. Le groupe avait accepté de payer 25 millions de dollars après avoir été épinglé pour élimination illégale de déchets dangereux.
Mais "les inspections qui ont commencé en 2015 ont révélé que Walmart continuait à mener des opérations en Californie en violation des lois de l'Etat", précise le communiqué.
"Plainte injustifiée"
Walmart, de son côté, assure respecter la loi: "Nous avons rencontré l'Etat à plusieurs reprises et, dans le but d'éviter les litiges, leur avons présenté nos programmes en matière de déchets dangereux, à la pointe de l'industrie. Au lieu de cela, ils ont déposé cette plainte injustifiée", a réagi un porte-parole de Walmart, dans un mail à l'AFP.
"L'Etat exige un niveau de conformité concernant l'élimination des déchets (...) qui va au-delà de ce qui est requis par la loi. Nous entendons défendre l'entreprise", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Japon: un incendie géant ravage la ville d'Oita
Une personne est portée disparue et 175 autres ont été évacuées en raison d'un feu de grande envergure, qui a touché au moins 170 bâtiments dans une zone résidentielle du Japon, ont rapporté mercredi les autorités locales.
Selon la NHK, le radiodiffuseur public du pays, les pompiers se battaient toujours mercredi pour éteindre l'incendie situé dans la ville de Oita, sur l'île de Kyushu au sud de l'archipel, pendant qu'il se propageait dans la forêt toute proche.
Des vidéos filmées mardi soir ont montré des pompiers arrosant des flammes géantes ravageant des maisons, tandis que des personnes étaient conduites vers un centre d'évacuation improvisé.
"Les flammes montaient haut, teintant le ciel en rouge. Le vent soufflait fort. Je n'aurais jamais pensé que cela se propagerait autant," a décrit un homme à la NHK.
"La montagne brûlait" a rapporté une autre personne. "J'ai pris avec moi mon permis de conduire et mon smartphone".
L'incendie s'est déclaré tard mardi, entraînant l'évacuation de 115 foyers, soit 175 personnes, a indiqué le gouvernement régional dans un communiqué.
Au moins 170 bâtiments sont touchés par les flammes.
Le gouverneur de la préfecture d'Oita a échangé avec l'armée pour un éventuel soutien, selon le communiqué.
Une personne reste portée disparue et 300 maisons dans une partie d'Oita sont privées d'électricité, ajoute encore la même source.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Trump s'en prend violemment à deux journalistes
"Tais-toi la truie!" à l'une, "vous êtes une personne horrible" à l'autre: Donald Trump s'en est pris violemment à deux journalistes à quelques jours d'écart. Il a menacé mardi d'interdire de diffusion la chaîne ABC News à cause de questions qui l'ont rendu furieux.
A bord de l'avion présidentiel Air Force One vendredi dernier, Donald Trump a été interrogé sur l'affaire Epstein, dans laquelle son gouvernement se trouve empêtré depuis plusieurs mois.
Il a alors répondu, passablement agacé, ne rien savoir des crimes sexuels du financier qu'il avait côtoyé de nombreuses années. Et lorsque la journaliste Catherine Lucey, de l'agence de presse américaine Bloomberg, tente de poser une question sur son refus de publier les documents d'enquête, le président américain l'interrompt, se penche vers elle, la pointe du doigt et lui lance: "Tais-toi. Tais-toi la truie!"
L'incident a été relayé mardi par les médias américains.
Mardi, il s'en est pris cette fois-ci à Mary Bruce, d'ABC News.
"Vous êtes une personne horrible", a asséné Donald Trump, qualifiant sa chaîne de "fake news".
La journaliste venait de lui poser des questions sur les affaires de la famille Trump en Arabie saoudite et sur le scandale Jeffrey Epstein, au moment où le président américain recevait dans le Bureau ovale le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane.
"Est-ce approprié, Monsieur le président, que votre famille fasse des affaires en Arabie saoudite pendant que vous êtes président? Est-ce un conflit d'intérêts?", a commencé la journaliste.
Le promoteur saoudien Dar Global a annoncé lundi un nouveau partenariat aux Maldives avec la Trump Organization. Le conglomérat est dirigé depuis 2016 par Donald Junior et Eric Trump, deux des fils du président américain, qui est resté actionnaire à travers un trust.
"Terrible journaliste"
"Et Votre Altesse royale, les renseignements américains ont conclu que vous avez orchestré le meurtre brutal d'un journaliste, les familles des victimes du 11-Septembre sont furieuses que vous soyez ici dans le Bureau ovale. Pourquoi les Américains devraient-ils vous faire confiance?", a ajouté Mary Bruce.
La responsabilité de "MBS" avait été pointée du doigt par les services de renseignement américains dans l'assassinat en 2018 du journaliste du Washington Post Jamal Khashoggi, tandis que les attentats du 11 septembre 2001 avaient été orchestrés par Oussama Ben Laden, lui-même saoudien.
Le président américain a nié tout conflit d'intérêts. "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela", a-t-il assuré, avant de défendre son invité au sujet de Jamal Khashoggi, disant que le prince "n'était au courant de rien".
"Vous n'avez pas besoin de mettre notre invité dans l'embarras en lui posant une telle question", a-t-il ajouté.
La journaliste d'ABC News n'a toutefois pas été désarçonnée par l'échange. Elle est revenue à la charge quelques minutes plus tard, cette fois-ci sur le dossier Epstein.
"Vous savez, ce n'est pas la question qui me dérange. C'est votre attitude. Je pense que vous êtes une terrible journaliste", a rétorqué M. Trump, furibond.
"Je vais vous dire quelque chose. Je pense que la licence (de diffusion) devrait être retirée à ABC, parce que vos infos sont tellement fausses et erronées", a-t-il repris.
Il a exhorté le patron du régulateur américain de l'audiovisuel (FCC), qui a déjà par le passé menacé ABC de sanctions, à "regarder ça".
Avant d'asséner à la journaliste: "Plus de questions de votre part".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Négociations nocturnes à la COP30 avant le retour de Lula à Belem
Le Brésil veut que sa COP, la première en Amazonie, soit un succès. Ses diplomates font désormais travailler les négociateurs nuit et jour dans l'espoir - jugé optimiste - d'un premier consensus dès mercredi en présence du président Lula.
Il est rare que les chefs d'Etat, après avoir ouvert les COP, reviennent dans la dernière ligne droite de la conférence. François Hollande en 2015 pour l'accord de Paris et Boris Johnson en 2021 à Glasgow étaient revenus ajouter de la pression sur les délégués dans les derniers jours. La COP30 est censée se terminer vendredi soir après deux semaines.
Mais Luiz Inacio Lula da Silva a investi un capital politique important pour la réussite de cette 30e conférence de l'ONU sur le changement climatique, avec un objectif: "infliger une nouvelle défaite aux négationnistes" du climat, et démontrer en Amazonie que le monde n'a pas abandonné la coopération climatique, malgré les turbulences géopolitiques et économiques.
Il rencontrera les groupes de négociation mercredi, a confirmé le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago.
Les pays, aussi désireux soit-ils de lui offrir un succès, n'en ont cependant pas abandonné leurs lignes rouges. Les portes ne claquent pas encore, mais les ministres restent loin du consensus.
Une tentative assez avancée de compromis par la présidence brésilienne de la COP30 a été publiée à la surprise générale dès mardi matin. Elle ne tranche pas entre des options extrêmes sur les engagements financiers des pays développés, les "mesures commerciales unilatérales" et la sortie des énergies fossiles.
Un front de dizaines de pays européens, latino-américains et insulaires réclament une décision qui engagerait les pays à réellement mettre en place la sortie progressive des énergies fossiles adoptée sur le principe à Dubaï en 2023. Il s'oppose aux pays producteurs de pétrole, largement silencieux à Belem.
Une nouvelle version du texte est attendue mercredi et le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago, a prévenu dans un sourire qu'en cas de séance plénière mercredi, "cela pourrait finir tard".
L'UE se fait entendre
"Comme toujours à ce stade des négociations, c'est mitigé", a déclaré à l'AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.
"Ce n'est pas particulièrement équilibré mais c'est une première ébauche", a dit à des journalistes l'émissaire pour le climat du Royaume-Uni, Rachel Kyte. "Les Brésiliens ont un calendrier très ambitieux. Je pense que ça met beaucoup de pression aux délégués mais il y a une alchimie propre à chaque COP", a-t-elle ajouté.
Wopke Hoekstra a prévenu qu'il n'était pas question de "rouvrir les compromis atteints difficilement l'an dernier en termes de financement" des pays riches en direction des pays en développement, et a aussi dénoncé tout entraînement "dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales".
M. Hoekstra réagissait à l'inclusion d'options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l'UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d'autres pays exportateurs.
"Mutirão"
Le texte brésilien est baptisé "Mutirão mondiale", en référence à un mot autochtone désignant une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.
Selon les règles de la convention de l'ONU sur le climat, le consensus entre les 194 pays membres de l'accord de Paris, et l'Union européenne, est nécessaire pour l'adoption de toute décision.
Le texte suggère aussi de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d'ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud - un objectif totalement irréaliste, répondent les Européens en privé.
Sans décision financière sur l'adaptation "tout ce dont on discute ici n'est que symbolique", juge Lina Yassin, chercheuse et déléguée du Soudan. "On repartira à la maison et demain rien n'aura changé."
L'habileté brésilienne permettra-t-elle de dégager un point d'équilibre entre les demandes de la Chine, de l'Inde, des Occidentaux, des pays africains...?
"Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant", a déclaré Josephine Moote, représentante de l'archipel de Kiribati dans le Pacifique.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
USA: le pape dénonce le traitement des migrants
Le pape Léon XIV a critiqué à nouveau mardi la politique du président américain Donald Trump à l'égard des migrants. Le souverain pontif a dénoncé le traitement "extrêmement irrespectueux" qui leur est réservé.
"Il faut trouver le moyen de traiter les gens avec humanité", a dit le pape américain en anglais à des journalistes devant sa résidence de Castel Gandolfo près de Rome.
"Tout pays a le droit de déterminer qui peut entrer, quand et comment", a-t-il admis. Mais il y a des gens "qui avaient une bonne vie, pour beaucoup d'entre eux depuis 10, 15, 20 ans", et qui ont été traités d'une manière "qui est extrêmement irrespectueuse", a-t-il ajouté.
Il a appelé "tout le monde aux Etats-Unis" à écouter le message de la conférence américaine du clergé catholique, qui dans un communiqué a appelé la semaine dernière à mettre fin au "climat de peur".
Pape depuis mai dernier, Léon XIV, natif de Chicago, est devenu de plus en plus critique à l'égard de la politique de l'administration Trump.
Il a également évoqué la situation au Nigeria, où le président américain a menacé d'une intervention militaire pour défendre la communauté chrétienne.
Le Nigeria, partagé à peu près également entre un nord majoritairement musulman et un sud à prédominance chrétienne, est en proie à de multiples conflits qui, selon les experts, ont fait des victimes parmi les chrétiens comme parmi les musulmans.
Il y a dans ce pays non seulement "un danger pour les chrétiens, mais pour tout le monde", a dit le pape. "Des chrétiens et des musulmans ont été massacrés", a-t-il souligné.
Il a enfin indiqué aux journalistes s'attacher lors de ses séjours dans cette résidence à faire "un peu de sport, un peu de lecture, un peu de travail". "Le corps et l'âme", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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