International
Dominic Stricker a un joli coup à jouer
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Dominic Stricker (ATP 128) a un sacré coup à jouer à l'US Open.
Un succès au 3e tour face à Benjamin Bonzi (ATP 108) lui ouvrirait les portes du top 100, un palier important qu'il serait le 13e Suisse de l'histoire à franchir.
Le gaucher bernois ne connaissait pas le nom de son prochain adversaire à l'issue de son 2e tour. Il préférait de toute manière savourer sa victoire face à Stefanos Tsitsipas (no 7), sa première face à un membre du top 10. Le mot "méga" est d'ailleurs bien souvent revenu dans sa bouche.
"C'était méga, méga génial, une ambiance énorme", s'est enthousiasmé Dominic Stricker lors de l'interview télévisée. "J'ai certainement pu gagner le coeur d'une partie du public", a poursuivi le gaucher de 21 ans, qui n'était pas certain de pouvoir embêter Stefanos Tsitsipas plus qu'un peu. Il en a maintenant la certitude.
Le champion junior de Roland-Garros 2020 a séduit les quelque 8000 fans - dont la plupart n'avaient probablement jamais entendu parler de lui - présents sur le Grandstand, troisième plus grand court de l'US Open, grâce à sa patte de gaucher. Mais il a aussi impressionné mentalement et physiquement.
Moins de sucre, meilleure forme
Cette victoire obtenue face au finaliste du dernier Open d'Australie, arrachée en cinq sets et 4h04' de lutte, n'est pas passée inaperçue. Dominic Stricker a pu se présenter devant les médias internationaux dans la salle d'interview principale, et son exploit a fait la Une des sites Internet de l'US Open et de l'ATP.
Le Bernois a notamment évoqué des habitudes alimentaires légèrement modifiées. "Je n'ai pas changé quelque chose de fou", a-t-il expliqué, amusé. "J'ai simplement réalisé que manger un peu moins de sucre, de chocolat, ce genre de choses, pourrait peut-être m'aider lors des longs matches. C'est gratifiant de voir que ça marche et de voir à quel point je suis en forme", s'est-il réjoui.
"J'ai aussi été extrêmement fort mentalement", a-t-il constaté. Il est en effet toujours resté calme, même dans les moments délicats, comme dans le quatrième set où Stefanos Tsitsipas a servi pour le match à 5-3. "Je me suis senti méga, méga bien dès le début, cela aide évidemment."
Méfiance
Le fait d'avoir dû se battre pour s'extraire des qualifications a également aidé Dominic Stricker, dont la confiance est énorme après ces cinq victoires consécutives obtenues à Flushing Meadows. Assuré de se retrouver aux alentours de la 102e place mondiale et d'empocher un chèque de 191'000 dollars, il en veut plus.
Et il a les moyens de le faire. Le Bernois n'aura pas le moindre complexe à nourrir vendredi en 16e de finale face au Français Benjamin Bonzi. Un succès le propulserait parmi les 90 meilleurs joueurs du monde. Avec à la clé 284'000 dollars, et un potentiel 8e de finale face à Taylor Fritz (no 9) dans le stade Arthur Ashe.
Mais si le Bernois sera plus qu'un outsider, il devra surtout ne pas sous-estimer Benjamin Bonzi. Agé de 27 ans, le Nîmois vit sa meilleure saison. Finaliste à Pune en janvier et à Marseille en février, il avait déjà atteint le 3e tour au dernier Open d'Australie, se hissant à la 44e place mondiale en février.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Tour de France: deuxième succès pour Jonathan Milan
Le maillot vert italien Jonathan Milan a fêté son deuxième succès sur le Tour de France. Sous la pluie, il a remporté au sprint la 17e étape entre Bollène et Valence (160 km).
A la veille de l'entrée dans les Alpes, le classement général n'a subi aucune modification. Le Slovène Tadej Pogacar, vainqueur sortant, reste porteur du maillot jaune avec une confortable avance de 4'15 sur le Danois Jonas Vingegaard.
Sur une chaussée détrempée, l'arrivée a été chaotique. Une chute impliquant plusieurs coureurs s'est produite à la flamme rouge. Des candidats à la victoire comme le Belge Tim Merlier ou l'Erythréen Biniam Girmay sont tombés. Le sprint final n'a réuni qu'une dizaine de coureurs. Milan (24 ans) s'est aisément imposé devant Jordi Meeus et Tobias Lund Andresen.
Jeudi, le peloton va prendre de la hauteur lors d'une étape entre Vif et le Col de la Loze (171 km). Outre la longue et difficile montée finale (26,4 km à 6,5%), il s'agira auparavant de franchir le Col du Glandon et celui de la Madeleine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
La Cour internationale de justice ouvre la voie aux "réparations" climatiques
Les Etats qui violent leurs obligations climatiques commettent un acte "illicite". Ils pourraient se voir réclamer des réparations par les pays les plus affectés, conclut mercredi la Cour internationale de justice dans un avis consultatif inédit.
La plus haute juridiction de l'ONU, basée à La Haye, établit à l'unanimité dans cet avis, initialement demandé par des étudiants sur l'archipel de Vanuatu, une interprétation juridique du droit international, dont des législateurs, avocats et juges du monde entier peuvent désormais se saisir pour changer les lois ou attaquer en justice les Etats pour leur inaction climatique.
L'avis est "un jalon historique pour l'action climatique", s'est félicité le ministre du climat de Vanuatu, Ralph Regenvanu, à l'issue de l'audience sur les marches du Palais de la Paix, se disant convaincu qu'il inspirerait "de nouvelles actions judiciaires" dans le monde.
La dégradation du climat, causé par les émissions de gaz à effet de serre, est une "menace urgente et existentielle", a déclaré le juge Yuji Iwasawa, président de la Cour, lors d'un discours de deux heures.
La Cour a rejeté l'idée défendue par les grands pays pollueurs que les traités climatiques existants - et notamment le processus de négociation des COP annuelles - étaient suffisants.
"Obligations strictes"
Les Etats ont "des obligations strictes de protéger le système climatique", a-t-il argué. En accord avec les petits pays insulaires, il a confirmé que le climat devait être "protégé pour les générations présentes et futures" - alors que les grands pays pollueurs refusaient absolument de reconnaître légalement les droits d'individus pas encore nés.
La partie la plus conséquente de l'avis, et qui suscitera le plus de résistance chez les pays riches, découle selon la Cour de ces obligations: les compensations dues aux pays ravagés par le climat.
"Les conséquences juridiques résultant de la commission d'un fait internationalement illicite peuvent inclure [...] la réparation intégrale du préjudice subi par les États lésés sous forme de restitution, de compensation et de satisfaction", a déclaré Yuji Iwasawa.
Mais la Cour ajoute qu'un lien de causalité direct et certain doit être établi "entre le fait illicite et le préjudice", certes difficile à établir devant une juridiction mais "pas impossible" pour autant, concluent les 15 juges de la CIJ.
Il s'agit du cinquième avis unanime de la Cour en 80 ans, selon l'ONU.
"Historique"
Il faudra du temps pour que les juristes digèrent pleinement l'avis de 140 pages, et encore plus pour voir si des tribunaux nationaux s'en emparent. Mais d'ores et déjà, de nombreuses voix, expertes et militantes, soulignent le caractère historique du texte.
C'"est une victoire historique pour la justice climatique", a réagi auprès de l'AFP l'ancien rapporteur spécial de l'ONU pour les droits humains et l'environnement, David Boyd. L'interprétation par la Cour des obligations des Etats "sera un catalyseur pour accélérer l'action climatique".
"Pour la première fois, la plus haute cour du monde a établi que les Etats avaient une obligation légale de prévenir tout préjudice climatique, mais aussi de le réparer pleinement", a commenté l'une des juristes les plus expertes du sujet à la London School of Economics, Joana Setzer. L'avis, selon elle, "renforce la base juridique de la justice climatique".
Les climatologues les plus déçus par l'action politique mondiale sont du même avis. "C'est une décision majeure", dit à l'AFP Johan Rockström, directeur d'un des instituts européens les plus reconnus sur le climat, le Potsdam Institute for Climate Impact Research. Chaque pays peut "être tenu pour responsable" devant les tribunaux, même s'il n'est pas signataire des traités de l'ONU, ajoute-t-il.
Pour le climatologue américain Michael Mann, l'avis tombe à pic alors que Donald Trump continue à démanteler l'édifice construit par ses prédécesseurs démocrates pour réduire les gaz à effet de serre. L'avis de la Cour "fait des Etats-Unis, et de quelques pétro-Etats comme l'Arabie Saoudite et la Russie, un pays hors-la-loi qui menace nos peuples et notre planète au nom des profits des énergies fossiles", dit-il à l'AFP.
L'avis sera certainement "testé" en justice aux Etats-Unis, prédit pour l'AFP le professeur à l'école de droit du Vermont, Pat Parenteau. "Cela ne réussira pas avec la Cour suprême actuelle, mais ce n'est pas permanent".
Reculs politiques, avancées juridiques
Nombre d'ONG et militants attendaient avec impatience cet avis, frustrés par l'inaction ou la lenteur des grands pays pollueurs à réduire leur combustion de pétrole, de charbon et de gaz.
La Cour avait dû organiser les plus grandes audiences de son histoire, avec plus de 100 nations et groupes prenant la parole, en décembre au Palais de la Paix.
La bataille du climat investit de plus en plus les tribunaux, qu'ils soient nationaux ou internationaux, pour forcer une action climatique d'une ampleur que les négociations au niveau politique n'arrivent pas à déclencher - a fortiori à une période où Europe et Etats-Unis ralentissent ou reculent sur leurs engagements.
Les COP annuelles ont certes permis d'infléchir les prévisions de réchauffement, mais encore très insuffisamment pour tenir l'objectif limite de 2°C, par rapport à l'ère préindustrielle, fixé par l'accord de Paris de 2015. Le monde en est déjà à au moins 1,3°C de réchauffement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La délégation russe est à Istanbul pour les pourparlers avec Kiev
L'équipe de négociateurs russes est arrivée mercredi à Istanbul, selon les agences de presse russes. Elle participera dans la soirée à de nouveaux pourparlers avec l'Ukraine pour tenter de mettre fin à la guerre entre les deux pays.
Selon l'agence étatique TASS, la délégation russe est arrivée par avion, en milieu d'après-midi, depuis Moscou, avant ces négociations qui doivent débuter autour de 19h00 locales (18h00 en Suisse).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: le Kremlin s'attend à des négociations "très compliquées"
Le Kremlin a dit s'attendre à "une discussion très compliquée" avec Kiev lors des négociations de paix prévues mercredi soir à Istanbul. Moscou a ainsi éloigné à nouveau la possibilité d'avancées diplomatiques rapides pour mettre fin à la guerre.
"Personne ne s'attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée", a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, en répétant que les propositions respectives des belligérants pour arrêter le conflit étaient "diamétralement opposées".
Une source au sein de la délégation de Kiev - arrivée en début d'après-midi à Ankara pour des réunions avec des responsables turcs avant de se rendre à Istanbul - a dit à l'AFP espérer une "position constructive" de la Russie et qu'elle renonce "à ses ultimatums".
Arrivée des délégations
L'équipe de négociateurs ukrainiens est arrivée en fin d'après-midi à Istanbul. Elle a plus tôt dans la journée rencontré à Ankara des hauts responsables turcs, notamment le président Recep Tayyip Erdogan, a raconté sur X le chef du cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, lui-même présent pendant ces échanges.
L'avion transportant la délégation russe s'est, pour sa part, posé en milieu d'après-midi à Istanbul, ont rapporté les agences de presse russes.
Cette troisième session de pourparlers directs dans cette mégapole turque qui doit commencer autour de 19h00 heure locale (18h00 en Suisse) intervient une nouvelle fois sous la pression du président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l'Ukraine, sous peine de sanctions sévères.
Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l'armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.
Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d'un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est), où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d'électricité chez plus de 220'000 clients, selon M. Zelensky.
L'invasion russe de l'Ukraine a fait a minima des dizaines de milliers de morts civils et militaires dans les deux camps.
"Mémorandums" et échanges de prisonniers
Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Les discussions à Istanbul de mai et juin n'avaient débouché que sur des accords d'échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.
La délégation ukrainienne est conduite, comme les fois précédentes, par l'ex-ministre de la Défense Roustem Oumerov, considéré comme un fin diplomate.
L'équipe russe sera dirigée, elle aussi comme auparavant, par un responsable de second plan, au grand dam des autorités ukrainiennes: l'ex-ministre de la Culture et historien nationaliste Vladimir Medinski.
Ces négociations se dérouleront sous la houlette du chef de la diplomatie turque, Hakan Fidan, et en présence du patron des services de renseignement turcs, le MIT, Ibrahim Kalin.
Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers porteront principalement sur les "mémorandums" échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix. Il sera également question "du processus très important" d'échange de prisonniers, a confirmé M. Peskov.
Kiev, a déclaré une source au sein de la délégation ukrainienne à l'AFP, veut également discuter de l'échange de prisonniers, ainsi que du rapatriement d'enfants ukrainiens emmenés en Russie et d'une potentielle rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine.
Nouvelles frappes nocturnes
Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent. Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l'Ukraine, selon l'armée de l'air. Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d'après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.
Pour sa part, l'armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens lancés contre son territoire.
Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l'est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan.
Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie.
L'Ukraine insiste aussi, de concert avec ses alliés européens, sur la nécessité d'un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l'avantage sur le terrain.
Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter d'arrêter la guerre, sans grands résultats. Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l'égard de la Russie. Il a également affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l'Otan, seraient envoyés à l'Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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