International
Formule 1: il y aura encore six courses sprint la saison prochaine
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Six courses sprint seront au menu du championnat du monde de formule 1 la saison prochaine, soit autant que cette année. Le promoteur de Formula One l'a annoncé.
Elles auront lieu lors des Grands Prix de Chine (21 avril), de Miami (5 mai), d'Autriche (30 juin), des États-Unis (20 octobre), du Brésil (3 novembre) et du Qatar (1er décembre). Ces circuits "favorisent les dépassements et permettent des courses serrées et divertissantes", a expliqué Formula One dans un communiqué.
Si les quatre derniers rendez-vous ont déjà accueilli un sprint, pour les deux premiers circuits - dont la Chine qui fera son retour après cinq ans d'absence en raison de la pandémie de covid, il s'agira d'une nouveauté. Adoptées pour la première fois en 2021, ces courses sprints visent à offrir du spectacle sur trois jours.
Leur introduction a chamboulé le déroulé d'un week-end classique de GP, puisqu'elles avancent au vendredi les qualifications du Grand Prix (habituellement disputées le samedi). Cette journée-là devient exclusivement consacrée au sprint, avec une séance parallèle de qualifications qui détermine la grille de départ de cette course de 100 km. Les huit premiers de chaque course sprint marquent des points au championnat du monde.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le congrès américain lève la paralysie budgétaire après 43 jours
Le congrès américain a définitivement adopté mercredi une proposition de loi qui permettra, une fois promulguée par le président américain Donald Trump, de lever la paralysie budgétaire la plus longue de l'histoire des Etats-Unis.
La Maison-Blanche avait indiqué plus tôt que le président républicain signerait le texte dans la foulée pour "mettre fin à ce 'shutdown' dévastateur", après 43 jours qui ont bouleversé plusieurs pans de l'économie américaine.
Après l'adoption lundi par le Sénat, la chambre des représentants a approuvé la proposition de loi budgétaire avec 222 voix pour et 209 contre. Seuls six élus démocrates ont rejoint la majorité présidentielle, tandis que deux républicains ont exprimé leur désaccord.
Le président républicain de la chambre, Mike Johnson, s'était félicité avant le vote de la fin à venir de ce "long cauchemar national". Plus tard, il a fustigé le blocage de l'opposition des démocrates depuis six semaines.
"Ils savaient que cela entraînerait des souffrances et ils l'ont fait quand même. La manoeuvre dans son ensemble était inutile. Elle était injuste et elle était cruelle", a déclaré le "speaker" dans l'hémicycle.
"Obamacare"
Après plus de 40 jours d'impasse budgétaire, une poignée de sénateurs démocrates avaient fini par rendre les armes lundi en approuvant avec leurs collègues républicains une nouvelle proposition de loi, qui étend le budget précédent jusqu'à la fin janvier.
Le texte laisse en revanche dans le flou la prolongation de subventions pour "Obamacare", l'assurance santé des ménages aux revenus modestes, au grand dam de la base et de nombreux élus démocrates.
Parmi les seules concessions à l'opposition, le texte prévoit la réintégration des fonctionnaires licenciés depuis le début du "shutdown". Il comprend également des fonds pour le programme d'aide alimentaire SNAP jusqu'en septembre, évitant ainsi que cette aide, dont bénéficient plus de 42 millions d'Américains, soit gelée en cas de nouvelle paralysie budgétaire à la fin janvier, comme ce fut le cas lors du blocage actuel.
En raison des règles du Sénat, huit voix de l'opposition étaient nécessaires pour adopter le texte. Et les huit en question se sont attiré les foudres de nombreux membres du camp démocrate, qui dénoncent de maigres concessions et de fausses promesses républicaines.
Une "capitulation"
Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est ainsi lamenté sur le réseau social X d'une "capitulation" et d'une "trahison" envers les Etats-Unis d'Amérique qui travaillent.
De nombreux démocrates se sont aussi demandé pourquoi ces sénateurs ont cédé quelques jours seulement après de larges victoires de leur parti dans d'importantes élections à travers le pays, qui validaient, selon eux, leur stratégie au congrès.
Le chef de la minorité démocrate à la chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a de nouveau appelé mercredi soir les républicains à tenir leur promesse d'organiser un vote bientôt sur "Obamacare".
"Nous estimons que les Américains de la classe ouvrière, les Américains de la classe moyenne et les Américains ordinaires méritent le même niveau de certitude que les républicains fournissent toujours aux riches, aux plus aisés et aux donateurs au bras long", a-t-il déclaré dans un discours dans l'hémicycle. "Il n'est pas trop tard" pour prolonger ces subventions, a ajouté le ténor démocrate.
La question de ces subventions est au coeur du différend qui a mené au "shutdown". Sans leur prolongation, les coûts de l'assurance santé devraient plus que doubler en 2026 pour 24 millions d'Américains qui utilisent "Obamacare", selon KFF, cercle de réflexion spécialisé sur les questions de santé.
Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires n'étaient pas payés. Le versement de certaines aides a été fortement perturbé et des dizaines de milliers de vols ont été annulés ces derniers jours en raison de pénuries de contrôleurs aériens, car certains avaient choisi de se faire porter pâle plutôt que de travailler sans salaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Illinois: libération ordonnée de centaines de migrants arrêtés
Un juge fédéral américain a ordonné mercredi la libération sous caution de centaines de personnes arrêtées par la police de l'immigration depuis septembre dans l'Etat d'Illinois, notamment dans la région de Chicago.
En septembre, le président américain Donald Trump a lancé une opération de la police fédérale de l'immigration (ICE), baptisée "Midway blitz", visant "les immigrés illégaux criminels qui terrorisent les Américains" dans l'Illinois et sa principale ville Chicago, dirigés par des démocrates.
Le ministère de la sécurité intérieure, dont dépend l'ICE, s'est targué mercredi d'avoir, grâce à cette opération, "provoqué une chute historique de la criminalité dans le Chicago de J.B. Pritzker et de Brandon Johnson", en référence au gouverneur de l'Illinois et au maire de la ville. Dans un communiqué, le ministère met en avant des chiffres en baisse dans les catégories des homicides, des fusillades ou encore des cambriolages.
Mercredi, un juge fédéral de Chicago a toutefois donné raison aux avocats de quelque 600 personnes contestant la légalité de leur arrestation. Il a conclu que ces arrestations avaient été réalisées sans motif raisonnable ni mandat, rapportent plusieurs médias, dont le Chicago Tribune.
Nouveau revers pour Trump
En conséquence, il a annoncé qu'il ordonnerait la libération sous caution de 1500 dollars et de mesures de contrôle, comme le bracelet électronique, de tout détenu ne présentant pas un risque de sécurité.
Le ministère de la sécurité intérieure a dénoncé cette décision sur le réseau social X: "Maintenant un juge militant met directement en danger la vie des Américains en ordonnant que 615 étrangers clandestins soient remis en liberté".
Il s'agit d'un nouveau revers judiciaire pour l'administration Trump en Illinois, où un tribunal puis une cour d'appel fédérale ont suspendu en octobre le déploiement des militaires de la garde nationale à Chicago et dans sa région.
Depuis juin, Donald Trump a déployé la garde nationale à Los Angeles (ouest), Washington et Memphis (sud), à chaque fois contre l'avis des autorités locales démocrates.
Le président américain a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une "invasion" des Etats-Unis par des "criminels venus de l'étranger" et communiquant abondamment sur les expulsions d'immigrés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Les émissions de CO2 liées aux fossiles vers un record en 2025
Les émissions de dioxyde de carbone issues des énergies fossiles devraient atteindre un nouveau record en 2025, indique jeudi une étude scientifique de référence. Elle confirme qu'il sera quasiment impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré.
Selon le Global Carbon Project, mené par 130 scientifiques internationaux et publié comme chaque année alors que les nations sont réunies pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP30), les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente, pour atteindre 38,1 milliards de tonnes (GtCO2).
"C'est plus que la moyenne de progression annuelle de ces dix dernières années, qui était de 0,8%", note l'étude, indiquant que ces émissions sont maintenant 10% plus élevées qu'elles ne l'étaient en 2015, année de l'accord de Paris, qui ambitionnait de limiter le réchauffement à 2 degrés Celsius, voire 1,5 degré, par rapport à la période préindustrielle.
Même si les émissions ont baissé dans plusieurs pays, notamment sous l'effet du développement des énergies renouvelables, de l'électrification des véhicules ou de la baisse de la déforestation, "collectivement, le monde n'est pas à la hauteur", a souligné auprès de l'AFP Glen Peters du centre pour la recherche internationale sur le climat. "Chacun doit faire sa part et tous doivent faire davantage".
Encore quatre années
L'étude, attendue comme aux COP précédentes pour une première estimation du dérapage climatique mondial pour l'année en cours, estime que la quantité de CO2 restante pour tenir la limite de 1,5 degré Celsius est de 170 milliards de tonnes (GtCO2).
"Cela équivaut à quatre années d'émissions au rythme actuel avant que le budget alloué à la limitation du réchauffement à 1,5 degré ne soit épuisé. C'est donc, en pratique, impossible", conclut Pierre Friedlingstein, de l'université d'Exeter, qui a dirigé l'étude.
Ce constat d'échec s'est imposé tout au long de l'année 2025, reconnu désormais par l'ONU, des climatologues, le président du GIEC et les participants de cette COP. L'objectif est désormais de faire en sorte que le dépassement soit temporaire, mais cela pourrait se compter en décennies.
Sur la trajectoire actuelle, le monde se réchauffera de 2,3 à 2,5 degrés d'ici à la fin du siècle si les pays tiennent leurs engagements, a estimé l'ONU juste avant le rendez-vous de Belém. L'ordre de grandeur est similaire (2,6 degrés d'ici à 2100) dans les calculs publiés jeudi aussi par le Climate Action Tracker.
Les dernières annonces des pays "ne changent rien", conclut le groupe.
Nouveau record pour le charbon
En 2025, les émissions liées spécifiquement à la combustion de charbon atteindront un nouveau record, progressant de 0,8% au niveau mondial, portées notamment par les hausses enregistrées aux Etats-Unis et en Inde.
Les rejets liés au pétrole et au gaz progressent également, de respectivement 1 et 1,3%. Sur le gaz, les émissions "semblent revenir à la tendance de croissance persistante qui prévalait avant l'invasion russe de l'Ukraine", signale l'étude.
Par régions, les États-Unis et l'Union européenne ont inversé la tendance à la baisse observée ces dernières années, enregistrant une hausse de leurs émissions, de respectivement 1,9% et 0,4%, en partie liée à des hivers plus frais qui ont stimulé la demande de chauffage.
Les émissions de la Chine, pays le plus pollueur, semblent se stabiliser (+0,4%), mais, selon M. Peters, l'incertitude quant aux politiques menées par le pays rend prématurée l'affirmation selon laquelle un pic aurait été atteint.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le G7 appelle à un cessez-le-feu urgent en Ukraine
Le G7 a estimé mercredi qu'un cessez-le-feu était nécessaire de "toute urgence" en Ukraine après plus de trois ans de guerre. Il n'a pas pour autant durci le ton contre la Russie.
"Nous avons réitéré qu'un cessez-le-feu immédiat était nécessaire de toute urgence", ont déclaré les ministres des affaires étrangères des Etats-Unis, de la France, du Canada, de l'Italie, de l'Allemagne, du Royaume-Uni et du Japon dans leur communiqué final après une réunion de deux jours à Niagara (Canada).
"Les frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force", ont-ils ajouté, répétant leur "soutien indéfectible" à Kiev et à la souveraineté du pays.
"L'Ukraine veut la fin de la guerre aussi rapidement que possible", a plaidé le ministre ukrainien des affaires étrangères Andriï Sybiga, invité, avant d'appeler le G7 à continuer à investir dans la fabrication de missiles et de drones, et la défense aérienne de l'Ukraine. Selon lui, le président russe Vladimir Poutine "se fait toujours l'illusion qu'il peut gagner".
Nouvelles sanctions du Canada
Plus tôt, Ottawa, hôte du sommet, a annoncé de nouvelles sanctions contre Moscou au moment où, à l'approche de l'hiver, l'Ukraine est la cible d'attaques russes redoublées sur ses infrastructures énergétiques.
Le mois dernier, le président américain Donald Trump avait imposé des sanctions aux deux plus grandes compagnies pétrolières russes - Rosneft et Lukoil - fustigeant son homologue russe pour son refus de mettre fin au conflit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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