International
MotoGP: bilan positif pour les courses sprint, avec un bémol
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L'introduction cette saison des courses sprint la veille de chaque Grand Prix de MotoGP a augmenté le spectacle et l'attractivité de la discipline. Mais les pilotes ont subi bien plus de blessures.
Le nouveau format des week-ends avec des essais qualificatifs dès le vendredi et une course dès le samedi, avant le traditionnel GP du dimanche, a révolutionné le MotoGP. La discipline cherche ainsi à se développer et à séduire de nouveaux publics. Le pari lancé par le promoteur du championnat, la Dorna, qui n'avait pas consulté les pilotes et les avait mis devant le fait accompli, a été une réussite.
En effet, l'affluence sur les circuits n'a jamais été aussi importante dans l'histoire du MotoGP que cette année. Il y a notamment eu des hausses considérables le samedi, jour où se disputent désormais les qualifications et le sprint, dont la durée représente la moitié de celle du Grand Prix dominical.
Record de fréquentation
"Nous allons battre le record de fréquentation cette saison et les audiences télé ont également connu une nette hausse, notamment le samedi. Même s'il est encore un peu tôt pour tirer des conclusions, force est de constater que les sprints ont augmenté l'attractivité et la popularité du MotoGP", a déclaré Carlos Ezpeleta, directeur sportif de la Dorna.
Les équipes aussi y ont trouvé leur compte et la recherche des sponsors est désormais facilitée par le fait d'avoir deux courses dans le week-end. "Pour que notre sport marche, il faut des partenaires, et eux veulent de la visibilité. Il y a désormais le double de courses, donc les sponsors sont plus visibles, ce qui est très positif", a expliqué le Français Hervé Poncharal, directeur de l'équipe Tech 3 et président de l'IRTA, l'association des équipes participant au championnat.
Deux fois plus de blessures
Toutefois, cette nouveauté 2023 n'est pas sans conséquence pour les pilotes, qui ont moins de temps pour peaufiner les réglages de leurs motos ou tester les pneumatiques. Le nouveau format est beaucoup plus exigeant et le nombre de blessures a plus que doublé cette saison (50 contre 20 en 2022). Aucun des 20 Grands Prix n'aura été disputé avec les 22 pilotes titulaires.
"Pour moi, l'introduction des sprints n'a jamais été une bonne idée, car on n'a le temps de rien faire pour bien préparer la course du dimanche. On est dans le rush dès le vendredi matin et c'est un problème", a estimé le champion du monde 2021 Fabio Quartararo.
"Là on est toujours à 100%. Plusieurs sprints cette année m'ont plus fatigué que la longue course du dimanche. Physiquement et mentalement, c'est vraiment compliqué donc la Dorna ne devrait pas mettre de sprints tous les week-ends", a argumenté le pilote français.
Format reconduit
Si la Dorna reconnaît que les blessures ont augmenté cette saison, elle ne veut pas encore dresser de bilan sur cet aspect: "Il est trop tôt. C'est vrai qu'il y a eu des blessures, mais il y a aussi eu un temps d'adaptation indispensable pour les pilotes et il y a moins de chutes qu'en début de saison", a affirmé Carlos Ezpeleta, avant de préciser que ce format serait reconduit en 2024.
"Les pilotes roulent moins qu'avant avec ce nouveau format. Certes il y a plus de tension, mais ce sont des sportifs de haut niveau qui sont très bien entourés dans leurs équipes. A un moment donné, si on veut que notre sport soit attractif, il faut avancer et innover, insiste Hervé Poncharal. Les sprints sont un grand pas en avant pour l'attractivité de la discipline."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'administration Trump défend sa stratégie agressive d'arrestations
De hauts responsables du gouvernement de Donald Trump ont défendu dimanche le recours à des tactiques musclées de contrôles et arrestations de migrants. Ils ont fustigé la décision d'une juge fédérale leur interdisant les contrôles au faciès à Los Angeles.
"Cette juge est ridicule d'avoir pris une telle décision. Nous ferons appel et nous gagnerons", a assuré sur Fox News la ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem, en réfutant que les agents de la police de l'immigration (ICE) arrêtent des personnes uniquement sur leur apparence physique.
Vendredi, une juge fédérale de Californie a interdit à cette force de police fédérale de procéder à des arrestations sans motif valable en se basant seulement sur l'origine ethnique ou le fait de parler espagnol. Cela dans le contexte d'une hausse des raids de l'ICE qui ont provoqué des tensions avec la population à Los Angeles et sa région.
"Myriade de facteurs"
"Nous avons toujours bâti nos opérations et nos enquêtes sur des cas concrets, sur la connaissance des individus que nous devions cibler parce qu'ils sont des criminels", a assuré Kristi Noem.
Interrogé sur CNN, le responsable du programme d'expulsions massives de migrants promis par Donald Trump, Tom Homan, a aussi indiqué que "la description physique ne peut être le seul motif de détention et d'interrogation d'une personne", mais qu'"il y a une myriade de facteurs" et que l'apparence physique peut en être un.
Il a aussi reconnu qu'il pouvait y avoir des "arrestations collatérales" lors d'opérations de la police.
Ouvrier mortellement blessé
Ces déclarations ont lieu au lendemain de l'annonce par sa famille de la mort d'un ouvrier agricole qui avait été grièvement blessé jeudi lors d'une chute durant une opération d'arrestations dans une ferme de cannabis légale en Californie. Environ 200 migrants avaient été arrêtés et des affrontements avaient eu lieu.
Tom Homan a qualifié cette mort de "triste" mais a assuré que la victime n'était pas en état d'arrestation au moment de sa chute.
Dirigée par une maire progressiste, Los Angeles est depuis des semaines dans le viseur de l'administration Trump qui conteste son statut de "ville sanctuaire" limitant la collaboration des forces de l'ordre locales avec la police fédérale pour protéger les migrants sans-papiers.
Après que des opérations de l'ICE ont provoqué des manifestations parfois émaillées d'incidents, Donald Trump y a dépêché la Garde nationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Oliver Rowland assuré du titre en formule E
L'Anglais Oliver Rowland est assuré du titre de champion du monde de formule E avant les deux dernières courses à Londres. Il a pris les points nécessaires en finissant quatrième à Berlin dimanche.
Le pilote Nissan, grand dominateur de la saison, devait inscrire plus de 11 points que son dernier rival, l'Allemand Pascal Wehrlein (Porsche). Ce dernier, pourtant auteur de la pole position, n'a ensuite pas pu faire mieux que 16e. La victoire du jour est revenue au Néo-Zélandais Nick Cassidy (Jaguar) devant l'Anglais Jake Dennis (Andretti) et le Français Jean-Eric Vergne (DS Penske).
Un seul Suisse est parvenu à inscrire des points, en l'occurrence Nico Müller (Andretti/8e). Edoardo Mortara (Mahindra) a dû se contenter du 12e rang alors que Sébastien Buemi (Envision) a été contraint à l'abandon à la mi-course.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
9e étape du Tour de France: Tim Merlier vainqueur à Châteauroux
Le Belge Tim Merlier s'est imposé au sprint lors de la 9e étape du Tour de France, qui menait les coureurs de Chinon à Châteauroux (174 km). Le Slovène Tadej Pogacar a conservé le maillot jaune.
Merlier a devancé de justesse l'Italien Jonathan Milan, vainqueur samedi, et le Belge Arnaud De Lie. Le scénario de l'étape a été cruel pour le Néerlandais Mathieu van der Poel. Parti dès le km 0 avec son coéquipier Jonas Rickaert, l'ancien champion du monde a fait preuve d'un panache qui aurait mérité meilleur salaire.
Van der Poel a abandonné son coéquipier à 6 km du but. Il a résisté tant et plus au retour du peloton, mais son aventure a pris fin à 700 m de la ligne.
Tadej Pogacar a connu un coup dur lors de cette étape avec l'abandon du Portugais Joao Almeida. Touché dans une chute vendredi, le meilleur coéquipier du Slovène en montagne n'a pas été en mesure de poursuivre. Le Portugais, vainqueur cette année du Tour de Romandie et du Tour de Suisse, souffrait d'une côte cassée.
Dimanche, la 10e étape mènera les coureurs de Ennezat au Mont-Dore Puy de Sancy sur 165 km. Ce sera le premier contact avec la montagne.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Gisèle Pelicot reçoit la plus haute distinction honorique française
La Française Gisèle Pelicot, devenue une figure mondiale du combat féministe après le retentissant procès de ses violeurs en 2024, figure parmi les 589 personnalités distinguées par la Légion d'honneur. Cette dernière est la plus haute distinction honorique en France.
La "promotion de la Légion d'honneur du 14-Juillet", jour de fête nationale en France, a été publiée dimanche dans un décret au Journal officiel.
La septuagénaire, anonyme jusqu'à son procès, a subi pendant une décennie des dizaines de viols par son ex-mari qui l'avait préalablement sédatée, et d'au moins une cinquantaine d'hommes recrutés par ce dernier sur internet.
Que la "honte change de camp"
Lors du procès dans le sud-est de la France entre septembre et décembre 2024, elle est devenue une icône féministe notamment après avoir permis un procès public en refusant le huis clos, afin que la "honte change de camp" et ne pèse plus sur les épaules des victimes de viols.
Son ex-mari Dominique Pelicot a été condamné en décembre à 20 ans de réclusion criminelle et n'a pas fait appel. Ses 50 co-accusés, reconnus pour la plupart coupables de viols, âgés de 27 à 74 ans, ont été condamnés à des peines s'échelonnant entre trois ans de prison dont deux avec sursis, et 15 ans de réclusion criminelle. Certains ont fait appel.
Prix Liberté
Depuis le procès dit "des viols de Mazan", Gisèle Pelicot a reçu le Prix Liberté, décerné par 10'000 jeunes issus de 84 pays, "pour son combat contre la banalisation du viol et des violences sexuelles".
Elle a été désignée parmi les "100 personnes les plus influentes de 2025" par le magazine américain Time mi-avril et va publier ses mémoires le 27 janvier 2026 en vingt langues.
La Légion d'honneur, la plus élevée des distinctions nationales françaises créée en 1802 par Napoléon Bonaparte, a récompensé cette année 589 personnes "s'investissant pour l'intérêt général", a indiqué la Grande Chancellerie dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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