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Fusillade à Paris: un homme tué par balle, un suspect interpellé

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L'hypothèse d'un règlement de comptes est privilégiée à ce stade (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Un homme a été tué par balle et quatre autres personnes ont été blessées plus légèrement lors d'une fusillade lundi soir à Paris, en France. Un suspect avait été interpellé, a indiqué la préfecture de police de Paris.

Les faits ont eu lieu vers 21h30, lorsque "deux individus sont descendus d'un véhicule et ont tiré sur deux individus attablés à la terrasse d'un bar", a détaillé la préfecture. L'hypothèse d'un règlement de comptes est privilégiée à ce stade.

Le deuxième suspect "a réussi à prendre la fuite", a précisé la même source. Selon le maire du XIe arrondissement, François Vauglin, la fusillade a eu lieu dans un "bar à chicha".

"Les clients du bar ont maîtrisé l'un des deux assaillants", a ajouté l'élu dans un tweet, en dénonçant un "acte barbare".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un premier Majeur pour Schauffele

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Xander Schauffele a cueilli dimanche son 1er trophée majeur (© KEYSTONE/EPA/ERIK S. LESSER)

Xander Schauffele a remporté dimanche à Louisville la 106e édition du PGA Championship.

L'Américain s'est ainsi offert son premier Majeur en terminant sa semaine à 263 coups (21 sous le par), soit le score le plus bas de l'histoire des tournois du Grand Chelem.

No 3 mondial et champion olympique en titre, Xander Schauffele a signé une belle carte de 65 au quatrième et dernier tour (-6). Il a scellé sa victoire grâce à un birdie à l'ultime trou, lui donnant un coup d'avance sur son compatriote Bryson DeChambeau, qui l'avait rejoint en tête.

"J'étais un peu ému après le putt" final, a déclaré Schauffele, qui soulève ainsi sur le parcours exigeant de Valhalla son premier trophée sur le circuit professionnel nord-américain depuis juillet 2022. L'Américain de 30 ans avait jusqu'à son sacre à Louisville terminé 12 fois dans le top 10 de Majeurs sans en remporter aucun.

"Cela faisait longtemps que je n'avais pas gagné. Je me suis répété toute la semaine qu'il fallait que je reste concentré. J'ai eu du mal aujourd'hui, mais j'ai essayé toute la journée de me concentrer sur ce que j'essayais de faire", a-t-il résumé. "Je ne voulais vraiment pas me retrouver en play-off contre Bryson. Je me suis donc dit que c'était ma chance et que je devais la saisir."

"Mérité"

Un peu plus tôt, dans une fin de tournoi à haute intensité, Bryson DeChambeau, vainqueur de l'US Open 2020, avait aussi signé un birdie au 18e trou pour venir égaler Schauffele en tête. Il en est finalement resté à 20 coups sous le par, devant le Norvégien Viktor Hovland (-18), deuxième du PGA Championship l'an dernier.

Bryson DeChambeau, joueur du LIV, circuit dissident du PGA financé par l'Arabie Saoudite, s'est dit "fier de Xander (Schauffele), qui a enfin réussi à faire le travail". "C'est un golfeur extraordinaire et un champion majeur", a-t-il salué.

"De mon côté, je suis déçu", a-t-il ajouté. "J'ai bien joué. J'ai réalisé un score de 20 sous le par dans un championnat majeur. Je suis fier de moi pour la façon dont j'ai géré l'adversité. C'est vraiment décevant, mais cela me donne beaucoup d'élan pour les autres Majeurs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Des médias iraniens annoncent la mort du président iranien

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Le président iranien Ebrahim Raïssi se trouvait à bord d'un hélicoptère Bell 212 en compagnie du ministre des affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, du gouverneur de la province et du principal imam de la région. (© KEYSTONE/AP/Ali Hamed Haghdoust)

Plusieurs médias iraniens ont annoncé lundi matin la mort du président Ebrahim Raïssi et du ministre des affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian dans l'accident la veille de leur hélicoptère. Les débris de l'appareil ont été retrouvés sur le flanc d'une montagne.

Cette annonce ouvre une période d'incertitude politique en Iran, un acteur majeur au Moyen-Orient, région secouée par la guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas.

L'information du décès du président a été donnée par les principales agences de presse et journaux, dans l'attente d'une déclaration des autorités après la découverte de l'épave de l'hélicoptère à l'aube. La télévision diffuse lundi matin des chants religieux en montrant des photographies du président.

"Le grand esprit du président populaire et révolutionnaire d'Iran a rejoint le royaume suprême", a indiqué l'agence officielle Irna, en saluant "le martyre" des victimes. Elle a précisé que le gouvernement publierait "une déclaration" en milieu de matinée.

Inquiétude internationale

La perspective de retrouver en vie le président de 63 ans, élu en 2021, et les huit autres passagers, avait progressivement diminué durant la nuit. Parmi eux figuraient le gouverneur de la province d'Azerbaïdjan oriental, le principal imam de la région, ainsi que le chef de la sécurité du président et trois membres d'équipage.

L'hélicoptère a disparu dimanche en début d'après-midi alors qu'il survolait une région escarpée et boisée dans des conditions météorologiques difficiles avec de la pluie et un épais brouillard.

L'épave a été découverte à l'aube et les secours ont rapidement indiqué qu'il n'y avait "aucun signe montrant que les passagers de l'hélicoptère" étaient en vie, selon la télévision d'Etat.

L'avancée des recherches a été suivie avec attention à l'international, notamment aux Etats-Unis, en Russie, en Chine et dans les pays voisins. "Nous suivons de près les informations", a indiqué dimanche un porte-parole de la diplomatie à Washington, tandis que Pékin s'est dit "très inquiet" après la disparition de l'hélicoptère.

Un ultraconservateur

M. Raïssi, qui avait le titre d'ayatollah, présidait la République islamique depuis près de trois ans. Considéré comme un ultraconservateur, il avait été élu le 18 juin 2021 dès le premier tour d'un scrutin marqué par une abstention record pour une présidentielle et l'absence de concurrents de poids.

Toujours coiffé de son turban noir et vêtu d'un long manteau de religieux, il avait succédé au modéré Hassan Rohani, qui l'avait battu à la présidentielle de 2017.

Il était soutenu par la principale autorité de la République islamique, l'ayatollah Ali Khamenei, qui a appelé dimanche soir les Iraniens à "prier" et "espérer que Dieu ramènera le président et ses compagnons dans les bras de la nation".

"Le peuple iranien ne devrait pas s'inquiéter, il n'y aura pas de perturbation dans l'administration du pays", a-t-il assuré. La constitution prévoit que, en cas de décès, le président est remplacé par le premier vice-président, Mohammad Mokhber, en attendant la tenue d'une élection présidentielle dans les 50 jours.

Aide étrangère

A la demande de Téhéran, Moscou avait annoncé envoyer en Iran une cinquantaine de spécialistes des opérations de sauvetage, des véhicules tout-terrain ainsi qu'un hélicoptère. Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu avec l'ambassadeur d'Iran en Russie, selon l'agence de presse officielle Tass.

Plusieurs pays du golfe Persique (Arabie saoudite, Qatar, Emirats arabes unis et Koweït) ont apporté leur soutien à Téhéran et offert de l'aider dans les recherches, au même titre que la Syrie et l'Irak.

La Turquie a déployé 32 secouristes et un drone de vision nocturne qui a été opérationnel durant la nuit, tandis que l'Union européenne a annoncé avoir activé, à la demande de l'Iran, "le service de cartographie de réponse rapide CopernicusEMS" pour épauler Téhéran dans les recherches.

"Atterrissage brutal"

Le président Raïssi se trouvait à bord de l'appareil en compagnie du ministre des affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, du gouverneur de la province et du principal imam de la région, selon l'agence Irna.

L'appareil, un Bell 212, faisait partie d'un convoi de trois hélicoptères transportant la délégation présidentielle, dont deux ont atterri sans encombre à Tabriz, la grande ville du nord-ouest, d'où M. Raïssi devait rejoindre Téhéran.

Le ministre de l'intérieur Ahmed Vahidi a évoqué la possibilité d'un "atterrissage brutal" de l'appareil présidentiel, sans donner de détails.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Lai Ching-te prête serment en tant que président de Taïwan

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Le nouveau président Lai Ching-te, qui succède à Tsai Ing-wen, à gauche sur le cliché, a prêté serment avec la nouvelle vice-présidente Hsiao Bi-khim, à droite sur le cliché, au palais présidentiel de Taïpei. (© KEYSTONE/AP)

Le nouveau président de Taïwan Lai Ching-te a salué "l'ère glorieuse" de la démocratie taïwanaise après avoir prêté serment lundi. Il a appelé la Chine à "cesser ses intimidations politiques et militaires".

Dans son discours d'investiture au palais présidentiel de Taipei, M. Lai a évoqué de façon directe la menace de guerre après des années de pressions de la part de la Chine pour que Taïwan passe sous son contrôle.

Le nouveau président a remercié les Taïwanais d'avoir résisté à l'influence "des forces extérieures et d'avoir résolument défendu la démocratie", affirmant que "l'ère glorieuse de la démocratie taïwanaise est arrivée".

Détermination

"Face aux nombreuses menaces et tentatives d'infiltration, nous devons démontrer notre détermination à défendre notre nation, nous devons également accroître notre préparation à la défense et renforcer notre cadre juridique en matière de sécurité nationale", a relevé M. Lai après son entrée en fonction.

Issu du Parti démocrate progressiste (PDP), le même mouvement que sa prédécesseure Tsai Ing-wen, M. Lai a été décrit par Pékin comme un "dangereux séparatiste" pour ses déclarations passées en faveur de l'indépendance de Taïwan.

Il a depuis adouci son discours, et a promis lundi que son gouvernement "ne cédera pas, ne provoquera pas et maintiendra le statu quo", c'est-à-dire un équilibre qui préserve la souveraineté de Taïwan sans pour autant déclarer une indépendance formelle.

Responsabilité partagée pour la paix

Il a aussi appelé la Chine à "cesser ses intimidations politiques et militaires contre Taïwan". Pékin doit "partager avec Taïwan la responsabilité envers le monde du maintien de la paix et de la stabilité dans le détroit de Taïwan", a-t-il plaidé.

S'inscrivant dans la continuité de sa prédécesseure, Lai Ching-te devrait augmenter les dépenses militaires et renforcer les liens avec certaines puissances, dont les Etats-Unis qui sont le principal fournisseur d'armes à Taïwan.

Concomitamment, la Chine a dévoilé lundi de nouvelles sanctions contre trois entreprises américaines vendant des armes à Taïwan.

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a félicité le président de Taïwan Lai Ching-te, dont l'investiture est, selon lui, le signe d'un "système démocratique résilient". Il a dit espérer que Washington et Taipei puissent renforcer leurs relations et maintenir la "paix et la stabilité" dans la région du détroit de Taïwan.

La cérémonie, durant laquelle a été aussi investie la nouvelle vice-présidente, Hsiao Bi-khim, s'est tenue au palais présidentiel de Taipei, la capitale.

En marque de soutien, huit chefs d'Etat, y ont assisté ainsi que 51 délégations internationales (dont les Etats-Unis, le Japon et le Canada).

Des danses et des morceaux d'opéras traditionnels ont été interprétés par plus d'un millier d'artistes lors de la cérémonie qui comprenait aussi un défilé militaire aérien.

Autonomie

L'île de 23 millions d'habitants est gouvernée de manière autonome, mais la Chine la considère comme une partie de son territoire et a affirmé vouloir la ramener sous son contrôle, par la force si nécessaire.

Avant l'investiture de M. Lai, le bureau des affaires taïwanaises de Pékin, qui gère les questions liées au détroit, a déclaré que "l'indépendance de Taïwan et la paix dans le détroit" sont "comme l'eau et le feu".

Les avions de guerre et les navires chinois maintiennent une présence quasi-quotidienne autour de l'île, mais dans les jours précédant l'inauguration, il n'y a pas eu d'augmentation significative du nombre d'avions et de navires.

M. Lai a tenté de rouvrir le dialogue avec la Chine, que Pékin a rompu en 2016, mais les experts estiment qu'il risque d'être rabroué.

Défis internes

Taïwan souffre d'un manque de reconnaissance diplomatique, ne disposant que de 12 alliés sur la scène internationale.

Bien que Washington ait abandonné la reconnaissance diplomatique de Taipei au profit de Pékin en 1979, il est resté le partenaire le plus important de Taïwan et son principal fournisseur d'armes.

L'île jouit de ses propres institutions, d'une armée et bat monnaie: le nouveau dollar de Taïwan. La majorité des habitants de Taïwan estime également disposer d'une identité propre taïwanaise, distincte de la Chine, selon des enquêtes d'opinion.

En plus de la menace chinoise, Lai Ching-te devra faire face à de nombreux autres défis au cours de son mandat.

Le PDP a perdu sa majorité au parlement, où une bagarre a éclaté vendredi entre des élus des trois partis qui y sont représentés, ce qui pourrait compliquer la tâche de M. Lai pour faire adopter ses réformes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Nouvelle-Calédonie toujours en proie aux blocages

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L'objectif de l'opération de police est de reprendre le contrôle de la route entre Nouméa et l'aéroport international. (© KEYSTONE/AP/Cedric Jacquot)

Les blocages de routes persistaient lundi en Nouvelle-Calédonie, malgré les moyens engagés pour rétablir la circulation sur ce territoire français du Pacifique Sud. L'objectif est de permettre la circulation sur la route menant vers l'aéroport international.

"La situation est vraiment préoccupante", a déclaré lundi le chef du gouvernement australien Anthony Albanese à la télévision ABC. De même que la Nouvelle-Zélande, Canberra a demandé durant le week-end à pouvoir poser des avions afin de pouvoir rapatrier ses concitoyens, alors que l'aéroport est toujours fermé aux vols commerciaux.

Samedi, le gouvernement néo-calédonien a estimé à 3200 le nombre de personnes bloquées, qui ne peuvent ni quitter ni rejoindre l'archipel.

"76 barrages neutralisés"

Après une semaine d'émeutes et un bilan de six morts, aucune issue proche à la crise sécuritaire et politique ne semble se dessiner lundi, jour férié. En cause, une réforme du corps électoral contestée par les représentants du peuple autochtone kanak qui redoutent une réduction de leur poids.

Malgré une vaste opération des forces de l'ordre lancée dimanche, les voies de communication restent bloquées lundi là où les émeutiers ont installé leurs barrages, notamment dans l'agglomération de Nouméa et sur la route d'une cinquantaine de kilomètres qui mène à l'aéroport international.

A la sortie de Nouméa, la chaussée du début de la voie express est impraticable, le bitume ayant fondu après l'incendie de nombreux véhicules, a constaté une journaliste de l'AFP. Ailleurs, la route reste encombrée à de nombreux endroits de carcasses de voitures brûlées, ferraille et bois entassés.

Le représentant de l'Etat français en Nouvelle-Calédonie, Louis Le Franc, s'est pourtant félicité lundi du "succès" du début d'une vaste opération de la gendarmerie contre les barrages sur cette route, lancée à l'aube dimanche, faisant état de "76 barrages neutralisés".

D'autres actions des unités d'élite de la police et de la gendarmerie ont été annoncées dans des zones considérées par les autorités comme des "points durs", dans les villes de Nouméa, Dumbéa et Païta notamment.

"On a remis le barrage"

Dans la nuit de dimanche à lundi, des bruits de grenades de désencerclement, utilisées par les forces de l'ordre pour disperser les émeutiers, ainsi que des cris évoquant des affrontements ont été entendus dans le quartier d'Auteuil à Dumbéa, dans l'agglomération de Nouméa, selon un correspondant de l'AFP.

Dans la ville même de Nouméa, des détonations importantes ont résonné dans les quartiers de Magenta et Tuband, selon une autre journaliste de l'AFP.

Les gendarmes "sont passés. Ils ont déblayé et, nous, on est resté sur le côté", a confié dimanche à l'AFP Jean-Charles, la cinquantaine, tête enturbannée d'un foulard et drapeau kanak à la main à La Tamoa, à quelques kilomètres de l'aéroport. "Une fois qu'ils sont passés, on a remis le barrage".

Les forces de l'ordre estiment le nombre d'émeutiers entre 3000 et 5000.

Pour le haut-commissaire de la République française, les dégâts contre les infrastructures pénalisent lourdement la population. "On commence à manquer de nourriture", a-t-il prévenu dimanche.

Couvre-feu

Les mesures exceptionnelles de l'état d'urgence sont maintenues, à savoir le couvre-feu entre 18h00 et 06h00, l'interdiction des rassemblements, du transport d'armes et de la vente d'alcool et la suspension de l'application TikTok.

La réforme constitutionnelle qui a mis le feu aux poudres vise à élargir le corps électoral aux scrutins provinciaux de Nouvelle-Calédonie, au risque de marginaliser "encore plus le peuple autochtone kanak", selon les indépendantistes. Elle a été adoptée par les députés, après les sénateurs, dans la nuit de mardi à mercredi.

Ce texte doit encore être voté par les parlementaires réunis en congrès avant la fin juin, sauf si un accord sur un texte global entre indépendantistes et loyalistes intervient d'ici là.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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