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Le "Geranium" de Copenhague sacré meilleur restaurant au monde

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Le chef danois Rasmus Kofoed avait remporté le Bocuse d'or en 2011 (archives). (© KEYSTONE/EPA/OLIVIER CHASSIGNOLE)

L'établissement danois "Geranium", mené par le chef Rasmus Kofoed à Copenhague, a été sacré lundi soir à Londres "meilleur restaurant au monde 2022" du classement "50 Best Restaurants". Les chefs français ont à nouveau été boudés.

Le restaurant péruvien "Central", à Lima, arrive deuxième de ce classement des 50 meilleurs restaurants au monde établi par le magazine britannique spécialisé Restaurant, le plus convoité de la gastronomie mondiale. Suivent deux tables espagnoles, l'établissement de Barcelone "Disfrutar" (3e) et le madrilène "Diverxo" (4e).

C'est la deuxième année consécutive qu'un restaurant danois est couronné, "Geranium", deuxième du "50 Best" l'année dernière, succédant au "Noma". Inspiré par la nature, son chef Rasmus Kofoed a remporté le Bocuse d'or en 2011. Son établissement a reçu les premières trois étoiles du pays du guide Michelin en 2016.

Trois restaurants français primés

La Colombienne Leonor Espinosa a par ailleurs reçu le prix de la "meilleure femme cheffe du monde", succédant à la Péruvienne Pía León. Son restaurant Leo, à Bogota, se classe 48e.

Comme l'année dernière, seuls trois restaurants français, tous parisiens, ont été distingués dans le top 50: "Septime", de Bertrand Grébaud, qui gagne deux places pour s'installer au 22e rang, "Le Clarence" de Christophe Pelé, nouvel entrant (28e) et "Arpège" d'Alain Passard, relégué à la 31e position (-8 places).

"50 Best" est décerné depuis 2002 par 1080 "experts indépendants" (chefs, journalistes spécialisés, propriétaires de restaurants...), qui notent leurs expériences des 18 derniers mois sous l'égide du magazine "Restaurant" du groupe de presse britannique William Reed.

Répartis dans 27 régions du monde, à raison de 40 électeurs chacune, ils peuvent voter pour 10 restaurants, dont au moins trois hors de leur région.

La légitimité de ce classement, parrainé par plusieurs marques, est régulièrement contestée, notamment par des chefs français qui l'accusent de complaisance et d'opacité. En réaction, ses détracteurs, français, mais aussi japonais et américains, ont lancé en 2015 "La liste", classement de 1000 tables à travers le monde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un condamné à mort exécuté dans l'Etat américain de l'Alabama

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Il s'agit de la deuxième exécution depuis le début de l'année en Alabama (archives). (© KEYSTONE/AP/DAVE MARTIN)

Un Américain condamné à mort pour le meurtre en 2004 d'un couple de personnes âgées a été exécuté jeudi soir dans l'Etat d'Alabama (sud). L'homme de 50 ans a été déclaré mort à 18h26 après avoir reçu une injection létale, selon l'administration pénitentiaire.

Il avait été condamné à mort en 2007 pour le meurtre de Floyd Hill, 87 ans, et de son épouse, Vera Hill, 72 ans, lors d'un vol avec violence commis à coups d'arme blanche et d'objets contondants, dont un marteau. Sa femme, qui a témoigné contre lui à son procès, purge une peine de prison à perpétuité pour les mêmes faits.

Il s'agit de la deuxième exécution depuis le début de l'année en Alabama et de la sixième aux Etats-Unis, outre celle annulée in extremis le 28 février dans l'Idaho (nord-ouest), faute d'avoir pu administrer au condamné la solution mortelle dans le délai légal.

La précédente exécution en Alabama et la première en 2024 aux Etats-Unis était celle de Kenneth Eugene Smith, par inhalation d'azote, une première mondiale dénoncée par l'ONU qui a comparé ce mode d'exécution à une forme de "torture".

Au total, 24 exécutions ont été réalisées aux Etats-Unis en 2023, toutes par injection létale.

La peine de mort a été abolie dans 23 Etats américains sur 50. Six autres (Arizona, Californie, Ohio, Oregon, Pennsylvanie et Tennessee) observent un moratoire des exécutions sur décision du gouverneur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trois morts et 16 blessés dans des frappes russes à Kharkiv

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Kharkiv est la cible quasi quotidiennement de bombardements venant principalement du territoire russe. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

Au moins trois personnes ont été tuées et 16 blessées dans des frappes russes à Kharkiv, a annoncé vendredi le gouverneur régional. La deuxième ville d'Ukraine est la cible quasi quotidiennement de bombardements venant principalement du territoire russe.

"L'ennemi a de nouveau eu recours à la tactique de la double frappe, alors que les médecins, les secouristes et les forces de l'ordre étaient déjà sur place", a ajouté Oleg Sinegoubov, affirmant que parmi les blessés se trouve un médecin urgentiste.

Selon les premiers éléments, deux missiles S-300 ont été tirés sur le quartier de Novobavarsky, visant "exclusivement des infrastructures civiles", a précisé le gouverneur.

La Russie a lancé au début mai une offensive dans la région, et gagne du terrain face à une armée ukrainienne en difficulté. Le président américain Joe Biden, qui s'y refusait jusqu'ici, a donné son feu vert pour que l'Ukraine frappe sous certaines conditions des cibles sur le sol russe, dans la région de Kharkiv, a indiqué jeudi un responsable américain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Des groupes russes et chinois ont utilisé les programmes d'OpenAI

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OpenAI affirme avoir pris des mesures pour en limiter la portée des groupes d'influence russes et chinois (archives). (© KEYSTONE/DPA ../PHILIPP BRANDSTÄDTER)

Des groupes d'influence russes et chinois ont utilisé les programmes d'OpenAI pour tenter de manipuler l'opinion d'autres pays, a indiqué jeudi le créateur de ChatGPT. Il affirme avoir pris des mesures pour en limiter la portée.

L'entreprise a indiqué avoir identifié cinq opérations de ce type, qui ont cherché à peser sur les conversations en ligne et à "influencer des scrutins sans dévoiler l'identité ou les intentions des acteurs" à l'origine de ces campagnes, selon un message publié jeudi sur son site.

OpenAI mentionne l'exemple d'un groupe russe qui s'est servi de ses modèles de langage, des logiciels gavés de données pour pouvoir répondre à des questions en langage courant, afin de créer des messages à caractère politique, rédigés en russe et en anglais, postés sur le réseau social Telegram.

La start-up californienne évoque aussi une initiative menée par des ressortissants iraniens, qui ont utilisé les interfaces d'OpenAI pour rédiger des articles et les traduire, afin de les publier sur un site dédié.

Ukraine, Gaza, UE

Les contenus fabriqués grâce aux programmes d'OpenAI traitaient d'une "large palette de sujets, notamment l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le conflit à Gaza, les élections indiennes, la politique européenne et américaine ainsi que des critiques du gouvernement chinois par des dissidents".

A ce stade, "ces opérations ne semblent pas avoir augmenté de façon significative la portée [de ces contenus] ou leur audience", a indiqué OpenAI. L'entreprise dit avoir "perturbé" ces campagnes, sans détailler la manière.

OpenAI a expliqué que certaines protections et garde-fous intégrés à ses modèles ont mené à ce que, dans certains cas, les interfaces refusent d'exécuter une tâche que leur demandaient ces groupes.

En février, le groupe avait déjà révélé que des pirates informatiques affiliés aux gouvernements russe, chinois, iranien ou nord-coréen utilisaient ChatGPT pour identifier des vulnérabilités dans les systèmes informatiques, préparer des opérations d'"hameçonnage" ou désactiver des logiciels antivirus.

OpenAI avait, là aussi, "perturbé" l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) générative par ces acteurs para-gouvernementaux, avec la collaboration de Microsoft Threat Intelligence, cellule qui répertorie les menaces posées aux entreprises en matière de cybersécurité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Frappes aériennes dans différents secteurs du Yémen

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Des frappes ont visé la capitale yéménite Sanaa (archives). (© KEYSTONE/AP/OSAMAH ABDULRAHMAN)

Les forces américaines et britanniques ont mené des frappes aériennes dans différents secteurs du Yémen. L'objectif était de "miner" les capacités militaires des rebelles Houthis impliqués dans des attaques contre le trafic maritime en mer Rouge en soutien à Gaza.

L'opération a été lancée dans la nuit de jeudi à vendredi contre 13 sites des Houthis afin de prévenir de futures attaques des rebelles yéménites, a affirmé le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (CENTCOM).

"Les forces britanniques ont participé à une opération conjointe avec les forces américaines visant à miner les capacités militaires des Houthis qui continuent de mener des attaques contre le transport maritime international en mer Rouge et dans le golfe d'Aden", a pour sa part affirmé le ministère britannique de la défense dans un bref communiqué.

Selon le ministère, des renseignements ont "confirmé" que deux sites dans le secteur de Hodeida étaient impliqués dans des attaques contre le trafic maritime, avec des maisons qui servaient de poste de pilotage de drones et de lieux pour entreposer des appareils volants de longue portée.

Houthis déjà bombardés

Un autre site situé au sud de Hodeida servait aussi à mener des attaques de drones contre le trafic maritime international, selon cette source.

Des témoins et des médias locaux avaient auparavant fait état de frappes qui ont visé différents secteurs du Yémen, y compris la capitale Sanaa et la ville portuaire de Hodeida.

Des journalistes de l'AFP ont entendu de fortes explosions dans ces deux villes. Selon la chaîne télévisée al-Masira, contrôlée par les rebelles Houthis, des frappes ont aussi visé des infrastructures de télécommunications dans la ville de Taëz, faisant "plusieurs" morts et blessés.

Les Houthis ont revendiqué mercredi l'attaque d'un vraquier et de plusieurs autres navires au large du Yémen, affirmant qu'il s'agissait d'une réponse aux frappes israéliennes sur Rafah, ville palestinienne devenue l'épicentre de la guerre dans la bande de Gaza.

Un navire grec a notamment été endommagé cette semaine par des tirs de missiles Houthis au large du Yémen, où les forces américaines ont aussi intercepté cinq drones. Depuis novembre, les Houthis ont mené des dizaines d'attaques en mer Rouge et dans le golfe d'Aden disant viser des navires en solidarité avec les Palestiniens, dans le contexte de la guerre meurtrière entre Israël et le Hamas.

Les Etats-Unis, un proche allié d'Israël, ont mis en place en décembre une force multinationale pour protéger la navigation dans cette zone stratégique et lancé en janvier, avec l'aide du Royaume-Uni, des frappes au Yémen contre les Houthis. Mais ces frappes n'ont pas dissuadé les Houthis, qui disent viser désormais aussi les navires américains et britanniques, outre ceux liés à Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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