International
L'ONU condamne système d'aide mis en place par Israël
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Le responsable de l'UNRWA Philippe Lazzarini a dénoncé mercredi comme "une distraction" indigne le nouveau système de distribution d'aide mis en place par Israël dans la bande de Gaza, au 600e jour de la guerre. Une distribution chaotique a fait 47 blessés mardi.
Le nouveau modèle promu par Israël et les Etats-Unis consistant à déléguer la distribution d'aide à une société privée est "une distraction par rapport aux atrocités", a déclaré à Tokyo le responsable de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa).
Mardi, une distribution d'aide dans un nouveau centre de distribution tenu par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisme créé de toutes pièces avec le soutien d'Israël et des Etats-Unis, a tourné au chaos à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, lorsque des milliers de Palestiniens se sont rués sur les lieux, selon des journalistes de l'AFP.
Tirs israéliens
"Quarante-sept personnes ont été blessées", la plupart "ont été victimes de tirs israéliens", a affirmé mercredi aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU) le chef du bureau du Haut-Commissariat aux droits de l'homme pour les territoires palestiniens, Ajith Sunghay.
"Nous exposons la population à des décès et à des blessures", a affirmé le responsable onusien. "Ce n'est pas une solution viable pour l'assistance humanitaire", dit-il encore.
L'armée israélienne a démenti avoir ouvert le feu sur la foule. "Nous vérifions les informations de l'ONU. À l'heure où nous parlons, nous n'avons aucune information à ce sujet", a déclaré à l'AFP le colonel Olivier Rafowicz, porte-parole de l'armée israélienne.
Des soldats israéliens "ont effectué des tirs de sommation en l'air, dans la zone à l'extérieur" du centre géré par la société GHF, "en aucun cas vers les gens", a-t-il précisé. "Le Hamas fait tout pour empêcher l'aide humanitaire", a ajouté l'officier.
Mardi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait reconnu "une perte de contrôle momentanée" et l'armée israélienne avait dit avoir procédé à "des tirs d'avertissement" à l'extérieur" des installations de la GHF. Une source militaire israélienne avait néanmoins estimé que la distribution avait été "un succès".
La GHF, une fondation établie aux Etats-Unis avec une filiale non opérationnelle enregistrée à Genève, a affirmé avoir distribué l'équivalent de plus de 460'000 repas, très loin de ce qu'il faudrait. L'ONU a refusé de participer à un mécanisme qui n'honore pas les principes humanitaires.
"Images choquantes"
De son côté, M. Lazzarini a dénoncé des "images choquantes (...) C'était chaotique, indigne et dangereux". Pour le Neuchâtelois, "le temps presse pour éviter la famine, donc les humanitaires doivent être autorisés à accomplir leur travail salvateur maintenant",
Il a vanté "l'expérience et l'expertise (de l'Unrwa) pour atteindre les personnes dans le besoin". M. Lazzarini est persona non grata en Israël, qui l'accuse d'ête à la tête d'une "organisation terroriste" liée au Hamas.
Soumis à de fortes pressions internationales, Israël a partiellement levé la semaine dernière le blocus total qu'il imposait à la bande de Gaza depuis le 2 mars, officiellement pour contraindre le mouvement islamiste palestinien a relâcher les otages qu'il détient encore.
Depuis lors, plusieurs centaines de camions d'aide ont été autorisés par Israël à entrer dans le territoire. Mais l'ONU dénonce les "obstacles ahurissants" imposés selon lui par Israël et entravant le travail des agences de l'ONU, Israël accusant en retour les Nations unies de refuser "de faire (leur) travail".
600 jours de guerre
La guerre déclenchée par le Hamas est entrée mercredi dans son 600e jour sans espoir de trêve des bombardements israéliens sur Gaza ni de libération des otages détenus depuis l'attaque du mouvement islamiste le 7 octobre 2023.
Dans la bande de Gaza, des frappes israéliennes ont fait 16 morts depuis minuit, selon Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile du territoire.
A l'appel du Forum des familles, principale organisation israélienne plaidant pour un cessez-le-feu qui permettrait la libération des otages, des centaines de personnes ont commencé à se réunir à des carrefours en Israël à 06h29 (05h29 suisses), heure à laquelle a commencé l'attaque du Hamas sur le sud du pays il y a 600 jours.
Les manifestants se sont rassemblés le long de rubans jaunes géants, symbole des otages détenus dans la bande de Gaza. Des pancartes ont été placées le long des routes avec le chiffre 600. Les manifestants ont bloqué la principale autoroute urbaine de Tel-Aviv, selon un photographe de l'AFP.
L'attaque du 7 octobre a fait 1218 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes enlevées durant l'attaque, 57 restent retenues dans Gaza, dont au moins 34 sont mortes, selon Israël. Plus de 54'056 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués par la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
A Buenos Aires, massive mobilisation autour de Kirchner, détenue
Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont paralysé mercredi le centre de Buenos Aires pour une manifestation à l'appel de l'opposition et de syndicats. Cela en soutien à l'ex-présidente de centre-gauche Cristina Kirchner, qui détenue depuis mardi à domicile.
Point de ralliement, l'emblématique Place de Mai, face à la présidence, était remplie en début d'après-midi, et les avenues y menant bondées, inondant le centre-ville, dans la manifestation la plus suivie depuis de longs mois, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Une source du Parti justicialiste a fait état à l'AFP de "centaines de milliers" de manifestants, dont nombre venus par cars de provinces. Un chiffre invérifiable dans un premier temps. La police n'a pas communiqué d'estimation.
Administration frauduleuse
Figure-clef de la politique argentine depuis 20 ans, Première Dame, puis cheffe de l'Etat puis vice-présidente, Mme Kirchner, aujourd'hui encore principale opposante au président ultralibéral Javier Milei, est depuis mardi assignée à résidence, après confirmation par la Cour suprême d'une peine de six ans de prison et d'inéligibilité à vie, pour administration frauduleuse pendant sa présidence (2007-2015).
Mardi, la justice l'a autorisée à effectuer sa peine chez elle, comme elle l'avait sollicité, arguant notamment de raisons de sécurité, mais avec un "dispositif de surveillance électronique", que le jugement n'a pas spécifié.
"Argentina con Cristina !" Sous ce mot d'ordre, le Parti justicialiste (péroniste de centre-gauche) héritier du vaste courant politique né dans les années 40, avait appelé à manifester, avec syndicats et mouvements sociaux et organisations de gauche.
"On ne touche pas à Cristina !"
Le rassemblement se déroulait dans une atmosphère pacifique, festive mais assourdissante, de pétards, chants, grosses caisses, cuivres, sur fond d'odeur de grillades de rue, et sous des drapeaux argentins, banderoles ou pancartes: "Courage Cristina", "On ne touche pas à Cristina !"
Dans la foule aussi, nombre de tee-shirts à l'effigie de Mme Kirchner ou de Nestor son mari décédé, et ex-président (2003-2007).
"On vient soutenir une personne qui a permis à des gens comme moi pour la première fois à accéder à l'université", lançait à l'AFP Veronica Barrientos, infirmière de 40 ans. "Et on continuera, je continuerai à venir aussi longtemps que je peux. Pas seulement contre sa détention injuste, mais parce que le pays est en train d'être ruiné, et ça finira très mal".
"On est là car c'est une attaque contre la démocratie, de rendre inéligible quelqu'un comme Cristina, pour qui le peuple veut voter", appuyait Rocio Gaviño, fonctionnaire de 29 ans.
Depuis la condamnation du 10 juin, un noyau dur du militantisme péroniste s'est mobilisé autour de "CFK". Plusieurs centaines de partisans indéfectibles se sont relayés sous ses fenêtres, y compris de nuit, en une garde quasi permanente.
Mais mercredi voyait le premier réel rassemblement de masse, avec des autocars convoqués de plusieurs parties du pays, et soumis à de stricts contrôles policiers, dès tôt le matin, aux accès à la capitale.
Une "minorité" avec Cristina
"Bien sûr qu'il y a des contrôles, pour éviter que certains objets soient importés, prévenir toute intention de violence, que ceci se transforme en quelque chose que personne ne veut", a défendu Guillermo Francos, chef du cabinet des ministres. Qui a remis la mobilisation péroniste en perspective.
"Il est logique de penser qu'il y a un secteur de la population qui soutient Cristina. Il est minoritaire aujourd'hui en Argentine, mais il représente 25%. Mais il y a un autre 75% qui ne partage pas ce soutien", a-t-il posé. Référence au paradoxe qui voit Mme Kirchner, selon les sondages convergents, susciter plus de rejet que d'adhésion.
Interdite de balcon ?
Pour Lara Goyburu, politologue à l'Université de Buenos Aires, la marche très suivie de mercredi "démontre une capacité de mobilisation de rue que le péronisme, au sens large, conserve encore".
Mais, estime-t-elle, "ce qu'on ne voit pas dans cette marche (...) c'est la transversalité observée en d'autres occasions, comme la marche universitaire" d'avril 2024, sans doute la plus spectaculaire en 18 mois de présidence Milei.
Cristina Kirchner, désormais consignée chez elle, a ironisé mercredi en annonçant avoir transmis, très officiellement via ses avocats, une demande à la justice pour savoir "si je peux sortir ou non au balcon de ma maison. Ca paraît une blague, mais non".
Depuis sa condamnation, elle pris l'habitude de longuement saluer, plusieurs fois par jour, les partisans réunis à ses fenêtres. Or son assignation à résidence l'enjoint de "s'abstenir de tout comportement susceptible de troubler la tranquillité du voisinage".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: 33 personnes tuées par des tirs israéliens
La Défense civile de Gaza a indiqué que 33 personnes avaient été tuées par l'armée israélienne mercredi dans le territoire palestinien ravagé et affamé par plus de vingt mois de guerre. Onze d'entre elles étaient venues en quête d'aide humanitaire,
Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a indiqué à l'AFP que 11 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées quand "les forces d'occupation (armée israélienne) ont ouvert le feu et tiré plusieurs obus entre 02h30 et 06h00 sur des milliers de citoyens rassemblés" dans le centre de la bande de Gaza, notamment à Nousseirat, pour attendre l'ouverture de centres de distribution d'aide.
"Les victimes cherchaient à obtenir de l'aide alimentaire et de la farine", a-t-il précisé.
"Coups de semonce"
L'armée a indiqué à l'AFP que ses forces dans le centre de Gaza avaient tiré "des coups de semonce" sur "un groupe d'individus suspects" s'approchant "d'une manière qui représentait une menace potentielle". Elle a dit n'être "pas au courant de blessures".
Dix-neuf personnes ont aussi été tuées dans trois attaques israéliennes, a indiqué la Défense civile, précisant que l'armée avait fait exploser sept maisons à Beit Hanoun (nord).
Interrogée, l'armée israélienne a rappelé, au sujet de l'une de ces attaques, mener régulièrement des "opérations visant à démanteler les capacités militaires" du mouvement islamiste palestinien Hamas, dont l'attaque le 7 octobre 2023 en Israël a déclenché la guerre à Gaza, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.
Une attaque israélienne dans le nord-est de la ville de Gaza (nord) a encore fait trois morts, a ajouté M. Bassal.
Poussés par la faim malgré le danger
Début mars, Israël a imposé un blocus humanitaire total à la bande de Gaza, menacée de famine selon l'ONU, qu'il n'a assoupli que partiellement fin mai.
La Défense civile avait fait état mardi d'au moins 53 personnes tuées lors d'un afflux de milliers de Palestiniens près d'un centre d'aide dans le sud du territoire.
Une organisation au financement opaque soutenue par les États-Unis et Israël, la GHF, a ouvert fin mai à Gaza des centres d'aide, mais ses distributions ont été marquées par des scènes chaotiques et meurtrières.
La Défense civile rapporte des morts près des centres d'aide presque tous les jours. Des foules s'y rassemblent pourtant régulièrement à l'aube, attendant leur ouverture, ont constaté des photographes de l'AFP.
Israël empêche les médias d'être témoins
Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias à Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain de guerre, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans de la Défense civile.
L'armée israélienne a parfois expliqué avoir ouvert le feu sur des personnes avançant, malgré des tirs de sommation, dans des "zones de combat".
Selon le bureau humanitaire de l'ONU, Ocha, des incidents "se produisent également de plus en plus le long des routes utilisées par l'ONU pour acheminer des fournitures".
Selon l'Ocha, la pénurie de carburant à Gaza a atteint "des niveaux critiques". "Sans réapprovisionnement immédiat, les services essentiels - y compris la fourniture d'eau potable - s'arrêteront très bientôt," a-t-il mis en garde.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Manchester City réussit son entrée en lice
Manchester City a remporté son premier match de la Coupe du monde des clubs. Les Skyblues ont battu les Marocains de Wydad, club basé à Casablanca, sur le score de 2-0 mercredi à Philadelphie.
Sans Manuel Akanji, laissé sur le banc par Pep Guardiola, mais avec sa nouvelle recrue Rayan Cherki, City a réussi une entame canon dans la compétition. Phil Foden a ainsi ouvert le score à la 2e minute en reprenant un rebond accordé par le portier marocain Mehdi Benabi à la suite d'une frappe de Savinho.
L'Anglais s'est ensuite transformé en passeur en bottant parfaitement un corner repris victorieusement par Jérémy Doku (42e) et les Cityzens ont pu tranquillement gérer leur avantage. Seule ombre au tableau pour les Mancuniens, l'expulsion de Rico Lewis à la 88e minute.
Ils prennent malgré tout la tête du groupe G en attendant le duel entre Al-Aïn (Emirats arabes unis) et la Juventus prévu dans la nuit de mercredi à jeudi (3h00).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Cisjordanie: Israël s'en prend à deux camps palestiniens
L'armée israélienne a lancé une opération dans deux camps de réfugiés palestiniens dans le nord de la Cisjordanie occupée pendant la nuit, a indiqué l'armée à l'AFP. Des maisons ont été saisies, des biens détruits, des résidents expulsés.
"Autour de 04h00 du matin, les soldats sont entrés dans le camp de Balata", près de la ville de Naplouse, pour "une opération antiterroriste de routine", a dit l'armée. Des troupes ont également été déployées dans le camp voisin d'Askar.
"Ils ont fermé toutes les entrées du camp, saisi plusieurs maisons après avoir expulsé leurs résidents, et ordonné aux propriétaires de ne pas revenir pendant 72 heures", a déclaré à l'AFP Imad Zaki, chef du comité populaire de Balata.
Un photographe de l'AFP sur place a constaté que des personnes quittaient leur domicile, avec des sacs d'affaires pour plusieurs jours.
"Maisons transformées en camps militaires"
"Ces maisons ont été transformées en postes militaires et centres d'interrogatoire", a ajouté M. Zaki, faisant écho à des témoignages similaires d'habitants de secteurs de Cisjordanie où l'armée a mené des opérations ces dernières semaines.
"Les soldats font des fouilles, passant de maison en maison et de quartier en quartier, et détruisent ce qui se trouve dans les maisons et agressent physiquement les résidents", a encore affirmé M. Zaki.
La vie du camp été "largement paralysée", mais personne n'a été blessé, a-t-il dit. Les soldats ont arrêté plusieurs jeunes, selon le photographe de l'AFP.
Un Palestinien tué
Dans le nord de la Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967 en violation du droit international, une centaine de maisons du camp de réfugiés de Jénine ont été détruites mercredi sur ordre des autorités israéliennes, selon un correspondant de l'AFP sur place.
Plus tard, l'armée a déclaré avoir "neutralisé" pendant la nuit un Palestinien dans le village de al-Walaja, près de Jérusalem, employant un terme qu'elle utilise souvent quand elle a tué quelqu'un.
Un Palestinien armé d'un couteau "a tenté de poignarder des soldats" israéliens déployés sur place "et de voler leurs armes", a-t-elle affirmé dans communiqué. "Les soldats ont riposté par des tirs et neutralisé le terroriste".
Près de 1000 Palestiniens tués
La veille, l'armée avait fait état d'activités de ses forces dans divers secteurs de la région de Jénine, bastion de groupes armés palestiniens en Cisjordanie occupée. Cinq combattants palestiniens soupçonnés de planifier des attaques contre Israël ont été arrêtés, a-t-elle dit.
Les violences ont flambé en Cisjordanie depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre 2023. Au moins 939 Palestiniens, dont des combattants, y ont été tués par des soldats ou colons israéliens, selon le ministère de la Santé palestinien.
Au moins 35 Israéliens, civils et soldats, ont été tués dans des attaques palestiniennes ou lors d'opérations militaires israéliennes, selon les données officielles israéliennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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