Économie
Generali améliore son bénéfice net en 2022
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Le numéro un de l'assurance en Italie, Generali, a dégagé un bénéfice net de 2,9 milliards d'euros en 2022 (2,8 milliards de francs), en hausse de 2,3%, malgré un contexte macroéconomique et géopolitique tendu.
Ce résultat, publié mardi, est supérieur aux prévisions des analystes qui tablaient en moyenne sur 2,8 milliards d'euros, selon le consensus compilé par Generali.
Hors impact des provisions dues à l'exposition à la Russie, le bénéfice net aurait atteint 3,06 milliards d'euros, soit une hausse de 7,7%, précise le groupe dans un communiqué.
L'assureur a affiché un bénéfice opérationnel en hausse de 11,2% à 6,5 milliards d'euros, le plus élevé de son histoire, dépassant là aussi les attentes des analystes qui avaient prévu en moyenne 6,19 milliards d'euros.
Le bénéfice opérationnel a été soutenu par la croissance des segments assurance-vie (+25,1%) et dommages (+1,7%). A l'inverse, la gestion d'actifs a chuté de 9,6%, une baisse due à la forte volatilité sur les marchés financiers.
Au quatrième trimestre, Generali a vu son bénéfice net grimper de 13,8% à 679 millions d'euros. Le bénéfice opérationnel a, lui, bondi de 21,9% à 1,74 milliard d'euros.
"Nous sommes sur la bonne voie pour atteindre les objectifs et ambitions de notre plan stratégique, en assurant une croissance durable", en dépit d'un "contexte géopolitique et économique difficile", a commenté le patron de Generali, Philippe Donnet.
Generali a confirmé les objectifs de son plan stratégique, dont une hausse du bénéfice par action de 6 à 8% par an et des dividendes cumulés de 5,2 et 5,6 milliards d'euros sur la période 2022-2024.
Generali redistribuera une grande partie de son bénéfice net à ses actionnaires. Le dividende proposé à la prochaine assemblée générale est de 1,16 euro par action (+8,4%), soit une redistribution allant jusqu'à 1,79 milliard d'euros.
L'entrée de primes brutes, l'équivalent du chiffre d'affaires, a augmenté de 1,5% à 81,5 milliards d'euros en 2022, portée par le segment dommages (+9,8%), surtout dans l'assurance non automobile.
Le ratio économique de solvabilité de l'assureur italien est descendu à 221% fin 2022, comparé à 227% fin 2021, sous l'effet du paiement de dividendes et de fusions et acquisitions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Tesla: bénéfice net trimestriel en baisse, ventes en berne
Le spécialiste des véhicules électriques Tesla a annoncé mercredi une baisse de 16% de son bénéfice net au deuxième trimestre. Il a notamment été affecté par un nouveau repli des ventes de véhicules dans un contexte de concurrence accrue.
Entre avril et juin, le groupe a engrangé un chiffre d'affaires de 22,5 milliards de dollars (-12% sur un an) et un bénéfice net de 1,17 milliard, inférieur aux attentes du consensus des analystes de FactSet (1,4 milliard).
Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - valeur de référence pour les marchés -, le bénéfice net ressort à 40 cents, soit un recul de 23% sur un an. Mais il correspond exactement au consensus.
Dans son communiqué, le groupe d'Austin (Texas) précise avoir commencé en juin à fabriquer les premiers exemplaires d'un modèle à bas coût - très attendu mais dont aucun détail n'a filtré - et dont la production à grande échelle devrait débuter dans le courant du second semestre de l'année.
Son semi-remorque - baptisé Semi - et son robotaxi Cybercab - véhicule sans conducteur destiné à des services de taxi - devraient, eux, commencer à sortir des chaînes de production en 2026, a précisé Tesla.
Robots et IA
Le groupe et surtout son patron Elon Musk, après son implication dans la sphère politique américaine, étaient attendus au tournant, car Tesla doit négocier un virage crucial pour son existence lié à la conduite autonome et à l'intelligence artificielle.
Sur ce point, le communiqué publié mercredi après la fermeture de Wall Street mentionne une "accélération au fil du temps des revenus générés par l'IA, les logiciels et liés aux flottes".
Le start-up xAI est l'une des autres sociétés contrôlées par l'homme le plus riche de la planète, spécialisée dans l'intelligence artificielle et qui a récemment absorbé le réseau social X, qui lui appartient également. Elon Musk a indiqué à la mi-juillet que Tesla allait soumettre à ses actionnaires, réunis en assemblée générale le 6 novembre, un projet d'investissement au capital de xAI.
Tesla a connu, au deuxième trimestre, une baisse de ses ventes mondiales pour le second trimestre consécutif: il a remis 384'122 véhicules à leurs propriétaires entre avril et juin, contre 443'956 sur la même période de 2024, soit une baisse de 13,5%, après un recul de 13% au premier trimestre, selon des chiffres publiés début juillet.
Côté production, les usines Tesla ont maintenu le même niveau qu'un an plus tôt avec 410'244 véhicules sortis des chaînes d'assemblage entre avril et juin. Mais c'est quelque 25'000 de plus que le volume des ventes sur la même période, qui vont donc grossir les stocks.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La condamnation d'un ex-trader d'UBS annulée à Londres
La Cour suprême britannique a annulé mercredi la condamnation des anciens traders Tom Hayes, passé par UBS et Citigroup, et Carlo Palombo, passé par Barclays, qui avaient écopé de peines de prison pour avoir manipulé les taux interbancaires Libor et Euribor.
La plus haute juridiction britannique reconnaît qu'il "existait de nombreux éléments de preuve" contre M. Hayes mais pointe "les directives du juge" qui n'ont pas permis à leurs avocats de se défendre convenablement devant le jury ce qui "a rendu le procès inéquitable".
Dans le cas de M. Palombo "les directives données au jury ne sont pas aussi critiquables" mais comportaient plusieurs "erreurs et ambiguïtés" qui font que sa condamnation "est également injustifiée et doit être annulée", selon un résumé de la décision envoyé à la presse par la Cour suprême.
L'agence britannique de lutte contre la criminalité financière (SFO), qui menait les poursuites, a décidé mercredi d'arrêter la procédure, ayant "déterminé qu'il ne serait pas dans l'intérêt public que nous demandions un nouveau procès" à ce stade, selon un communiqué séparé.
M. Hayes, ancien trader des banques UBS et Citigroup, avait été reconnu coupable par un jury du tribunal de Southwark en août 2015 et initialement condamné à 14 ans de prison. Il avait vu sa peine réduite à 11 ans en appel et avait bénéficié d'une libération anticipée en 2021.
La SFO l'accusait d'avoir orchestré de septembre 2006 à septembre 2010 un système de collusion avec des traders des deux banques suisse et américaine, mais aussi avec ceux d'autres établissements, afin d'influencer à leur avantage le niveau du Libor.
Pour se défendre, l'ex-courtier avait expliqué à l'époque que la manipulation du taux était "monnaie courante" dans l'industrie financière. Ses avocats avaient aussi fait valoir qu'il souffrait du syndrome d'Asperger, un trouble autistique.
Le dossier de M. Hayes était examiné aux côtés de celui d'un ancien trader de Barclays, Carlo Palombo, condamné en 2019 à 4 ans de prison pour manipulation de l'Euribor, l'équivalent en euro du Libor.
La Commission de révision des affaires pénales britannique avait à nouveau porté l'affaire devant la Cour d'appel après une décision de la justice américaine en 2022 annulant des condamnations similaires visant d'autres traders. Mais la Cour d'appel avait maintenu les condamnations l'an dernier.
Le Libor, "London Interbank Offered Rate", a longtemps été un taux interbancaire de référence dans le monde de la finance, ayant une incidence sur une masse énorme de produits financiers. Controversé après de nombreux scandales, il a été définitivement aboli en octobre dernier.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Amende réduite pour Credit Suisse dans le cartel des devises
La Cour de justice de l'UE a réduit l'amende à l'encontre de Credit Suisse, à 28,9 millions d'euros contre 83,2 millions auparavant, tout en confirmant sa participation à une entente dans le secteur des opérations de change au comptant.
"Si Credit Suisse a effectivement participé à l'entente, la Commission n'a cependant pas correctement déterminé la valeur de remplacement de la valeur de ses ventes pour fixer le montant de l'amende sanctionnant cette infraction", justifie l'institution basée au Luxembourg, dans un communiqué publié vendredi. Les données utilisées par la Commission "étaient moins complètes et fiables que celles proposées à cette fin par Credit Suisse lors de la procédure administrative".
L'affaire remonte au début des années 2010. À l'issue d'une enquête, la Commission européenne a révélé qu'entre 2011 et 2012 que certains traders chargés des opérations de change au comptant (Forex), travaillant pour différentes banques, avaient échangé des informations sensibles sur un forum professionnel de discussion en ligne appelé Sterling Lads. "Ces échanges d'informations ont permis aux traders de prendre des décisions en connaissance de cause quant à l'opportunité de vendre ou d'acheter ces devises et au moment auquel procéder à de telles opérations", rappelle le document.
Par ces comportements, cinq établissements, à savoir Credit Suisse, Barclays, HSBC, Royal Bank of Scotland (RBS) et UBS, "ont réduit leur incertitude dans ce secteur et ont ainsi faussé la libre concurrence". La Commission a adopté une décision de transaction à l'égard des quatre dernières citées ayant coopéré avec elle lors de l'enquête et octroyé une immunité conditionnelle d'amende à UBS. La banque aux deux voiles n'ayant pas coopéré, la Commission lui a infligé une amende de 83,2 millions d'euros.
S'estimant lésées, UBS Group, qui a repris Credit Suisse Group, UBS AG, repreneur de Credit Suisse AG, et Credit Suisse Securities (Europe) Ltd, ont contesté la décision devant le Tribunal de l'Union européenne. Celui-ci a rejeté la demande visant à faire annuler la décision de la Commission, mais annulé partiellement la décision attaquée et réduit par conséquent le montant de l'amende.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La BNS attendue dans le rouge au premier semestre, anticipe UBS
La Banque nationale suisse (BNS) devrait enregistrer une perte semestrielle à deux chiffres, en raison de la faiblesse du dollar face au franc, selon les experts d'UBS. L'institut d'émission pourrait s'abstenir de toute distribution aux cantons et à la Confédération.
La gardienne du franc devrait subir une perte de 17 à 27 milliards de francs au deuxième trimestre, estiment les économistes Alessandro Bee et Florian Germanier d'UBS Suisse, après un bénéfice de presque 7 milliards sur les trois premiers mois de l'année. Il en résulterait un débours de 10 à 20 milliards de francs de janvier à fin juin. La BNS publiera ses résultats le 31 juillet.
La perte d'avril à juin est attribuée à l'affaiblissement du billet vert par rapport au franc. Ce dernier s'est nettement apprécié au cours de la période, de 2% face à l'euro, d'environ 6% face au yen et de près de 10% face au dollar. Les mouvements de change devraient avoir entraîné une perte de plus de 40 milliards de francs, dont 30 milliards rien que sur les seuls placements en dollars. La BNS détient environ 300 milliards de francs de titres américains.
Si le prix de l'or a grimpé de 5% au cours de ces trois mois, la BNS ne devrait pas en avoir profité en raison de la dévaluation du dollar. Une "perte importante de 4,5 milliards de francs" est anticipée par la banque aux trois clés.
L'institut d'émission devrait avoir eu la main plus heureuse sur les marchés actions, qui se sont repris après avoir été secoués par l'annonce des droits de douane américains. Le marché actions mondial a crû de 9% environ, ce qui signifie un bénéfice de 15 milliards de francs pour le portefeuille actions de la BNS, évalué à 180 milliards.
Le portefeuille d'emprunts devrait enregistrer un gain de 5 milliards environ. Les revenus récurrents, comme les dividendes et les produits d'intérêts, devraient contribuer à hauteur de 4 milliards.
Distributions incertaines
Les distributions restent elles "incertaines", selon les économistes. Si les réserves en la matière atteignent 12,9 milliards de francs au titre de 2024, elles devraient être dévolues aux réserves monétaires, de sorte que la BNS devra au moins "neutraliser la perte du premier semestre" en deuxième partie d'année pour pouvoir procéder à un versement l'an prochain.
UBS souligne qu'en raison de la volatilité des marchés financiers, il lui est impossible de se prononcer sur la possibilité d'un versement à venir l'année prochaine.
En 2024, la Banque nationale suisse a réalisé un bénéfice de 80,7 milliards de francs, après une perte de 3,2 milliards l'année précédente, lui permettant de verser un milliard de francs à la Confédération et deux milliards aux cantons.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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