International
Hidalgo présente son "projet de reconquête" et tente de se relancer
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Anne Hidalgo a présenté samedi à Lille un "projet de reconquête", lors d'un premier grand meeting destiné à rassurer la famille socialiste. La candidate à l'élection présidentielle française veut donner un nouvel élan à sa campagne enlisée.
"Je viens porter un projet de reconquête. Cette reconquête est sociale, cette reconquête est écologique, cette reconquête est démocratique", a expliqué la maire de Paris, qui un mois et demi après s'être déclarée candidate à Rouen, végète dans les intentions de vote, autour de 4 à 7%, rétrogradée derrière l'écologiste Yannick Jadot et l'insoumis Jean-Luc Mélenchon.
Devant 1700 militants et élus socialistes, selon le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, elle a défendu, visant la droite, "une candidature qui refuse la capitulation identitaire", et lâché ses coups contre le sortant Emmanuel Macron.
"Jusqu'au bout"
"Je suis là pour le peuple de France, je suis là, pour qu'après tant d'indifférence et de condescendance, on lui rende justice et considération", a affirmé celle qui a aussi été investie officiellement samedi par le PS, en promettant à nouveau qu'elle irait "jusqu'au bout".
"Je représente ce que beaucoup de nos adversaires aimeraient faire taire: une femme, de gauche, d'origine étrangère, profondément européenne. Je suis celles et ceux dont certains cherchent à écraser la voix", a-t-elle déclaré dans un discours multipliant les accents personnels.
Se plaçant en "héritière des combats" sociaux de Lionel Jospin, François Hollande et Ségolène Royal, elle a égrainé une longue série de propositions, et d'abord "une rémunération digne pour chacune et chacun. Digne pour les premiers de corvées en augmentant les salaires, et digne pour les premiers de cordée, qui doivent partager équitablement la valeur ajoutée dans les entreprises".
Anne Hidalgo veut aussi lancer "une politique pour encourager massivement le syndicalisme", mettre en place "une assurance chômage universelle", et faire de la santé mentale "une grande cause" de son quinquennat.
Persiste sur le salaire des profs
Elle prévoit également de généraliser "l'encadrement des loyers dans les zones tendues", de créer "un service public de la petite enfance" et de mettre en place une loi pour "le droit de mourir dans la dignité".
La maire de Paris portera aussi dans la campagne les objectifs, entre autres, d'amener "60% d'une classe d'âge le nombre de diplômés du supérieur", "atteindre la neutralité carbone en 2050", "une réforme profonde de nos institutions", et mettre en place "une loi de programmation sociale dès l'été 2022, pour atteindre l'égalité totale des salaires en 5 ans".
En matière d'éducation, elle a répété sa proposition, très critiquée par ses opposants qui la jugent irréaliste, "de multiplier par deux le traitement de toutes les personnes au contact avec les élèves, ou pour commencer, d'aligner a minima le salaire des nouveaux professeurs sur le salaire des bac + 5".
En matière d'écologie, elle prévoit notamment de mettre en place" une "ISF climatique qui pèsera sur les ménages aisés dont le patrimoine émet le plus de carbone", et de faire voter au Parlement "chaque année un budget carbone de la Nation".
"Soutien absolu"
Autour de la maire de Lille Martine Aubry, première mentor politique d'Anne Hidalgo, l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve est venu samedi déclarer son "soutien absolu" à "une très grande dame", et Olivier Faure l'a assurée qu'elle pouvait "compter sur tous les militants".
L'ex-chef de l'Etat, François Hollande, très critique sur l'émiettement de la gauche et ses candidatures "lilliputiennes", n'était pas présent mais assure qu'il votera pour elle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le milliardaire tchèque Andrej Babis nommé Premier ministre
Le milliardaire trumpiste Andrej Babis a été nommé mardi Premier ministre de la République tchèque, deux mois après des élections législatives remportées par son parti ANO et quatre ans après avoir perdu le pouvoir.
M. Babis, 71 ans, qui avait déjà dirigé le pays de 2017 à 2021, a été officiellement nommé par le président Petr Pavel.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
NHL: Los Angeles s'impose grâce aux assists de Kevin Fiala
Kevin Fiala a largement contribué à la victoire 4-2 de Los Angeles sur la glace de l'Utah Mammoth, lundi en NHL. L'attaquant suisse a délivré deux assists sur les deux premiers buts des Kings.
A Salt Lake City, sa longue passe à destination du Finlandais Joel Armia sur le 2-0 (11e) a été un régal pour les yeux. Deux minutes plus tôt, il avait déjà mis sur orbite le Suédois Adrian Kempe pour l'ouverture du score de LA.
Ce n'est que la deuxième fois de la saison que Fiala marque deux points en un seul match. Très régulier, le Saint-Gallois affiche toutefois un excellent bilan personnel avec 10 buts et 11 assists en 28 matches, ce qui le place au deuxième rang des compteurs de LA, juste derrière Kempe (10 buts, 16 assists).
Moser battu
Janis Moser a quant à lui connu moins de succès avec Tampa Bay. Le Lightning a encaissé une quatrième défaite consécutive à Toronto (2-0) avec le défenseur seelandais sur la glace. Avant cette série, les Floridiens avaient gagné sept fois de suite.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Renault va construire des véhicules électriques pour Ford en France
Les constructeurs Renault et Ford ont noué un partenariat pour le développement et la production, sur un site du groupe français dans le nord de la France, de deux voitures électriques Ford destinées au marché européen.
L'accord inclut aussi une lettre d'intention dans le secteur des véhicules utilitaires légers (VUL) en Europe, pour éventuellement "développer et fabriquer ensemble certains VUL Renault et Ford", selon un communiqué publié mardi.
Ce "partenariat stratégique historique" vise à "élargir l'offre de véhicules électriques de Ford destinée aux clients européens" et à renforcer "considérablement la compétitivité des deux entreprises dans un paysage automobile européen en pleine mutation", ajoutent-ils.
Ces deux véhicules Ford, dont le premier est attendu en concessions début 2028, seront "conçus par Ford et développés avec Renault Group". Ils seront "basés sur la plateforme Ampère", filiale électrique de Renault, et produits par le constructeur dans le nord de la France, bénéficiant ainsi des "atouts et de la compétitivité de Renault Group en matière de véhicules électriques", selon le communiqué.
Ils "marquent la première étape d'une nouvelle offensive produit ambitieuse de Ford en Europe", ajoute-t-il.
"Nous sommes très fiers qu'un constructeur aussi iconique nous ait choisi. Cela nous conforte dans l'idée que notre vision d'un développement à grande échelle de véhicules électriques compétitifs en Europe est sur la bonne voie", a déclaré François Provost, directeur général du constructeur français, lors d'un point avec la presse.
Ford a choisi Renault car le groupe français "a une longue expérience" en matière de compétitivité et de coûts dans le segment des véhicules de segment B (les voitures compactes), "un segment propre à l'Europe", selon Jim Farley, le PDG du groupe américain.
Aucun projet de fusion
"A la différence de nos concurrents, nous sommes engagés en Europe et nous pensons que Renault a prouvé ses capacités en termes d'échelles et de coûts", a-t-il souligné. Et "nous sommes tous deux confiants dans nos capacités à différencier nos marques".
Ces deux véhicules seront "immanquablement des Ford" et "nous allons travailler avec les équipes d'Ampère pour que cela soit compatible avec la plateforme" où ils seront produits, a précisé Jim Baumbick, à la tête de Ford Europe.
Les dirigeants de Ford et de Renault l'ont martelé: coopérer et partager les ressources est le seul moyen de réduire les coûts de cette industrie très gourmande en capital et de faire face à la concurrence chinoise.
"La menace de la concurrence chinoise en Europe est significative", elle "nous oblige à investir de manière efficace" et à savoir "les niveaux de coûts à atteindre pour produire des véhicules abordables", a souligné Jim Baumbick, de Ford Europe.
Jim Farley a évoqué les tensions qui parcourent actuellement le marché européen de l'automobile, bousculé entre les appels à sauvegarder la production sur le sol européen, les règlementations de Bruxelles en matière de décarbonation et les achats des clients. "Nous n'avons pas une configuration qui puisse continuer ainsi", selon lui.
A 10 ans de l'objectif fixé par l'Union européenne pour la fin des ventes de voitures thermiques neuves, l'électrification progresse à un rythme plus lent que prévu, dans un marché européen qui n'a pas retrouvé son niveau d'avant Covid et voit émerger la concurrence chinoise.
Ce partenariat n'est en aucun cas un préalable à une fusion, ont précisé d'une seule voix les patrons des deux constructeurs.
"Nous sommes un groupe profondément indépendant" et "il n'y a aucune discussion sur ce sujet", a déclaré le patron du groupe américain fondé en 1903 et dont le siège social se trouve dans la banlieue de Détroit (Michigan).
"On peut faire beaucoup de choses sans penser forcément à un avenir commun. Et nous n'avons pas un tel projet", a renchéri François Provost.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Liban: nouveaux raids israéliens contre le Hezbollah
L'aviation israélienne a visé dans la nuit de lundi à mardi des zones du sud du Liban éloignées de la frontière avec Israël. Elle affirme avoir frappé des infrastructures du Hezbollah pro-iranien.
Malgré un cessez-le-feu conclu en novembre 2024 avec le groupe islamiste libanais, Israël continue de mener des attaques régulières le visant dans ses bastions et d'occuper cinq points frontaliers dans le sud du Liban.
L'agence de presse officielle libanaise Ani a fait état de "plusieurs vagues de frappes de l'aviation israélienne" contre la région de Jbaa, une zone montagneuse à une quarantaine de kilomètres de la frontière avec Israël, indiquant que plusieurs habitations ont été endommagées.
"Infrastructures du Hezbollah"
Les forces armées israéliennes ont indiqué "avoir frappé des infrastructures appartenant à l'organisation terroriste Hezbollah dans plusieurs zones du sud du Liban", dont un site de lancement qui était utilisé pour des attaques contre Israël, dans un communiqué publié sur plusieurs réseaux sociaux.
Elles disent avoir ciblé également un complexe d'entraînement de la force Radwane, l'unité d'élite du Hezbollah, des champs de tir, des zones d'entraînement pour divers types d'armes et des structures militaires appartenant au mouvement chiite.
Israël avait menacé début novembre d'intensifier ses attaques au Liban, accusant le Hezbollah de se "réarmer". Le mouvement a été très affaibli par la guerre, avec notamment l'assassinat de son chef historique, Hassan Nasrallah, par une frappe israélienne en septembre 2024 à Beyrouth. Depuis, les Etats-Unis ont accru la pression sur les autorités libanaises pour désarmer le groupe.
Démantèlement
Conformément à l'accord de cessez-le-feu, l'armée libanaise doit achever le 31 décembre le démantèlement des infrastructures militaires du Hezbollah entre la frontière israélienne et le fleuve Litani, à 30 km plus au nord. La zone de Jbaa, une région montagneuse où le Hezbollah est fortement implanté et avait déjà été visée le 4 décembre par des frappes, est située au nord du Litani.
Lundi, le président libanais Joseph Aoun a affirmé, en recevant l'émissaire français Jean-Yves Le Drian, "rejeter les accusations selon lesquelles l'armée libanaise n'aurait pas pleinement rempli son rôle au sud du Litani", dans une allusion aux accusations israéliennes.
Il a ajouté que le Liban était "en faveur de tout contrôle" par le comité de surveillance du cessez-le-feu des opérations de l'armée visant à désarmer le Hezbollah. Ce comité comprend le Liban, Israël, les Etats-Unis, la France et l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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