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International

Joe Biden invite les Obama à dévoiler leurs portraits

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Leurs portraits de Barack et Michelle Obama "resteront à jamais aux murs de la Maison Blanche comme un rappel du pouvoir de l'espoir et du changement", selon la présidence américaine. (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Barack Obama et son épouse Michelle Obama sont retournés mercredi à la Maison Blanche pour renouer avec une tradition rompue par l'ancien président Donald Trump: la présentation en grande pompe de leurs portraits officiels.

Ils ont été reçus par le président Joe Biden - ancien vice-président de Barack Obama - et son épouse Jill, selon une vidéo postée sur Twitter par la présidence américaine. Leurs portraits "resteront à jamais aux murs de la Maison Blanche comme un rappel du pouvoir de l'espoir et du changement", a dit mardi la porte-parole de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre.

C'est la deuxième fois que l'ancien président démocrate revient au 1600 Pennsylvania Avenue. Il y avait fait une apparition médiatisée en avril, pour un événement public consacré aux dépenses de santé, l'occasion pour Joe Biden et lui de rejouer leur camaraderie.

La mise en scène de leur "bromance" - contraction en anglais des mots "brother" et "romance" - avait été une constante des deux mandats de Barack Obama.

Dépasser les clivages

La tradition aux Etats-Unis, depuis des décennies, veut que le chef de l'Etat invite son prédécesseur et son épouse à l'accrochage officiel de leurs portraits à la Maison Blanche. L'événement symbolise la capacité à mettre de côté les clivages partisans, le temps d'une cérémonie qui abonde généralement en plaisanteries et compliments.

Le républicain Donald Trump, qui a rompu avec nombre d'usages protocolaires de ce genre et qui avait multiplié les attaques contre le premier président noir des Etats-Unis, n'avait pas invité Barack Obama. Son administration avait aussi, selon les médias américains, déplacé les portraits officiels de Bill Clinton et George W. Bush.

Exposés dans le hall d'entrée de la Maison Blanche, comme le veut l'usage qui commande de laisser les meilleures places aux deux derniers occupants des lieux, leurs portraits avaient été relégués par le milliardaire républicain dans une pièce peu usitée de la résidence présidentielle.

Karine Jean-Pierre n'a pas répondu mardi à une question sur l'éventuelle invitation de Donald Trump à dévoiler son portrait officiel, une perspective qui semble très improbable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

TdF: Pogacar en favori, Vingegaard en outsider

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Tadej Pogacar est le principal favori à sa propre succession sur le Tour de France (© KEYSTONE/AP/Daniel Cole)

La supériorité implacable de Tadej Pogacar fait du champion du monde l'écrasant favori du Tour de France qui part samedi de Lille.

Mais Jonas Vingegaard veut croire qu'il peut redevenir le grand tourmenteur du Slovène.

Trois semaines de bruit et de fureur, de drames, de joies intenses et de souffrance attendent les 184 coureurs - parmi lesquels cinq Suisses (Mauro Schmid, Stefan Bissegger, Marc Hirschi, Fabian Lienhard et Silvan Dillier) - de cette 112e édition de la Grande Boucle qui présente la particularité d'être 100% française.

Et elle a tout pour plaire avec deux contre-la-montre, dont un en côte dans les Pyrénées, six étapes de montagne, Superbagnères, le Mont Ventoux, le col de la Loze, jusqu'à la conclusion le 27 juillet sur les Champs-Elysées avec une incursion inédite sur la butte Montmartre, un an après les JO.

La 1e étape, de Lille à Lille, offre une opportunité aux sprinters d'endosser le maillot jaune pour la première fois depuis Alexander Kristoff en 2020 à Nice. Biniam Girmay et Jasper Philipsen, les maillots verts des deux dernières années, Tim Merlier et Jonathan Milan ont cerclé en rouge ce rendez-vous depuis des mois.

La semaine de tous les dangers

Cette 1re étape préfigure une première semaine de plaine que le patron du Tour Christian Prudhomme aime dépeindre "en trompe l'oeil" puisque l'architecte du parcours, Thierry Gouvenou, a "mis des patates partout".

Les étapes de Boulogne-sur-Mer (2e), Rouen (4e), Vire (6e) sont en effet truffées de côtes et l'arrivée en bosse au Mûr-de-Bretagne promet aussi une belle empoignade. Si le spectacle devrait être au rendez-vous, le danger rôdera aussi et les leaders vont serrer les fesses pendant toute la première semaine.

Pogacar insolent

La bataille pour la victoire finale ne semble concerner que deux hommes, et encore. Pogacar et Vingegaard se sont partagé les cinq dernières éditions - le Slovène mène 3-2 - et planent largement au-dessus de la concurrence incarnée d'abord par Remco Evenepoel, troisième l'an dernier, et Primoz Roglic.

D'un côté, on peut espérer un duel intense entre Pogacar et Vingegaard qui, pour la première fois en trois ans, abordent le Tour en pleine possession de leurs moyens tous les deux: en 2023, Pogacar revenait d'une fracture au poignet, l'année suivante Vingegaard d'un crash terrible.

Mais Pogacar est si dominant sur tous les terrains depuis un an et demi qu'il pourrait aussi tuer tout suspense dès la sortie des Pyrénées et avant même la dernière semaine dans les Alpes. Au dernier Dauphiné, le champion du monde a été tellement supérieur à son rival danois qu'il a frisé l'insolence, voire l'arrogance.

Reste la glorieuse incertitude du sport qui prend toute sa dimension sur le Tour de France, épreuve marathon aux mille pièges, où personne, même pas le meilleur, n'est à l'abri d'une chute ou d'une défaillance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Cardiff: fans ivres de bonheur pour le retour d'Oasis sur scène

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Les frères Gallagher sur scène lors du premier concert d'Oasis depuis 16 ans, vendredi à Cardiff. (© KEYSTONE/AP/Scott A Garfitt)

Seize ans après sa dernière apparition sur scène, Oasis, le groupe emblématique de la Britpop, s'est reformé vendredi à Cardiff, au Pays de Galles, au grand bonheur de ses fans pour le premier d'une série de 41 concerts à travers le monde.

"Manchester met l'ambiance dans la région", a lancé le chanteur Liam Gallagher devant une foule extatique de 74'000 personnes réunies dans le grand stade de la capitale galloise peu après être monté sur scène.

"C'était fantastique, tout ce dont je rêvais", a lancé Sebastian Vyrtz, un Danois de 37 ans, après cette performance de deux heures: "des super chansons, pas de chichis. C'était comme un hit parade".

Après deux soirées à Cardiff, les frères Gallagher donneront cinq concerts dans leur ville natale de Manchester à partir du 11 juillet. Ils joueront ensuite au stade de Wembley à Londres ou à celui de Murrayfield à Edimbourg, avant leur tournée internationale qui les mènera aux Etats-Unis, au Japon, en Australie et au Brésil.

"Soirée historique"

Oasis a entamé son grand retour avec le tube de 1995 "Hello", puis "Acquiesce", "Roll With It" - un duo des deux frères - avant "Cigarettes And Alcohol", "Stand By Me", "Supersonic"...

Le leader du groupe The Verve, Richard Ashcroft, qui se produisait en première partie, a dit sa fierté de participer à une "soirée historique".

Depuis la disparition d'Oasis en 2009 après une énième dispute entre Liam et Noel Gallagher, beaucoup n'espéraient plus les revoir ensemble sur scène.

A la fin du concert, le groupe a ainsi remercié ses fans pour "nous avoir supporté toutes ces années" malgré les brouilles.

Frank Gonzales, 49 ans et venu de Californie, a dit à l'AFP avoir été submergé par "l'émotion".

"Je les avais vu plusieurs fois (avant leur séparation) mais de les voir de nouveau ensemble, je n'aurais jamais pensé le revivre. C'était magnifique", a-t-il expliqué.

Dès l'après-midi, le centre de cette ville résonnait de l'excitation des fans, qui entonnaient en choeur les tubes du groupe sur les terrasses de pubs bondés, portant des tee-shirts Oasis.

Nombre d'entre eux sont originaires des quatre coins du monde, comme Mark Cassidy, un Américain de 31 ans, qui est parti de New York avec un ami pour assister à la réapparition sur scène de ses idoles. "Surexcités", ils avaient prévu de "boire quelques pintes et se détendre" avant le grand moment.

"Arnaque" sur les billets

Le groupe, célèbre pour ses tubes des années 1990 comme "Live Forever" et "Wonderwall", a annoncé son retour en août 2024, quelques jours avant le 30e anniversaire de son premier album "Definitely Maybe".

Après leur séparation, les frères Gallagher ont continué une carrière chacun de leur côté, sans vraiment connaître la gloire et s'invectivant régulièrement par médias interposés.

L'annonce surprise de leur retour a déclenché une ruée des fans sur les billets, dont 900'000 ont été écoulés en quelques heures.

La vente en ligne pour les concerts du Royaume-Uni et d'Irlande avait tourné au chaos, avec des millions de personnes coincées dans d'interminables files d'attente virtuelles sans pouvoir accéder au site internet.

La flambée des prix des billets, générée par un processus dit de tarification "dynamique", a suscité la polémique. Et poussé le régulateur de la concurrence britannique à ouvrir une enquête sur les pratiques de la plateforme de vente Ticketmaster.

Liam, 52 ans, s'est amusé de cette polémique, en demandant aux spectateurs: "Vous passez un bon moment? Ça valait les 40'000 livres (43'380 francs) pour le billet?"

Debbie Bonfield, une Galloise de 65 ans, a dénoncé "une arnaque" faite aux fans mais "tout ça est oublié avec l'atmosphère" du concert. "C'était génial, j'ai adoré", a-t-elle dit à l'AFP.

"Chaotique, imparfait"

Cette tournée est une aubaine pour le groupe comme pour l'économie britannique. Les fans devraient débourser plus d'un milliard de livres (1,258 milliard de francs environ) en billets et pour les transports ou l'hébergement, selon une estimation de la banque Barclays.

Plusieurs dizaines de ces millions iront directement dans la poche des deux frères.

D'après les médias britanniques, les deux frères ont recommencé à jouer ensemble il y a plusieurs mois et commencé les répétitions à Londres plus récemment.

Dans un programme distribué en amont du premier concert, Noel Gallagher, 58 ans, évoque le succès du groupe auprès d'une nouvelle génération qui "comprend qu'Oasis n'était pas fabriqué".

"C'était chaotique, imparfait et pas techniquement brillant. Nous étions des gars bruts et nerveux, tout juste sortis de la salle de répétition, et les gens l'ont compris", raconte-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Des inondations au Texas font au moins 13 morts

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Le fleuve Guadalupe a débordé et semé la désolation, vendredi à Kerrville, Texas. (© KEYSTONE/AP/Eric Gay)

Des inondations dévastatrices, provoquées par des pluies diluviennes, ont fait au moins 13 morts, dont des enfants, et une vingtaine de disparus au Texas, dans le sud des Etats-Unis, ont annoncé vendredi les autorités locales.

"Pour l'instant, nous avons décompté 13 décès" a déclaré en conférence de presse, Larry Leitha, le shérif du compté de Kerr, situé dans le centre du Texas. Il y aura probablement "davantage" de victimes "lorsque tout cela sera terminé", a ajouté ce responsable.

Le gouverneur adjoint du Texas, Dan Patrick, avait auparavant fait état d'un bilan de six à dix morts, dont des enfants, ainsi qu'une vingtaine de disparus.

"On est sans nouvelles d'une vingtaine" d'enfants sur les quelque 750 qui participaient à un camp d'été pour filles, a précisé M.Patrick lors d'une conférence de presse.

"Cela ne signifie pas qu'ils font partie des victimes, ils pourraient être dans un arbre ou sans communication", a-t-il ajouté.

Le gouverneur adjoint a lu devant la presse un message du directeur du camp d'été disant avoir subi "des inondations d'un niveau catastrophique" et n'avoir "ni électricité, ni eau, ni Wi-Fi".

Selon les autorités, le niveau du fleuve Guadalupe, qui traverse la zone, est monté d'environ huit mètres en 45 minutes au cours desquelles il est tombé "près de 300 millimètres/heure" de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes du comté.

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des maisons et des arbres emportés par la crue.

D'autres précipitations attendues

Un responsable du comté de Kerr, Rob Kelly, a souligné le caractère soudain de ces inondations survenues aux alentours de 4h00 du matin dans cette région pourtant habituée à ce type de phénomènes.

"Nous avons des inondations tout le temps. C'est la vallée fluviale la plus dangereuse des États-Unis", a-t-il souligné. Mais "nous n'avions aucune raison de croire que cela allait être quelque chose comme ce qui s'est passé".

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a partagé sur X une vidéo montrant le sauvetage d'une personne réfugiée au sommet d'un arbre par un secouriste suspendu à un hélicoptère, au-dessus d'eaux tumultueuses.

"Des missions de sauvetage aérien comme celle-ci sont effectuées 24 heures sur 24. Nous ne nous arrêterons pas tant que tout le monde n'aura pas été retrouvé", a déclaré M.Abbott.

Environ 500 secouristes et 14 hélicoptères ont été déployés, tandis que la Garde nationale du Texas et la Garde côtière des États-Unis ont envoyé des renforts.

"La pluie s'est calmée, mais nous savons qu'une autre vague arrive", a mis en garde le directeur de la sécurité publique du Texas, Freeman Martin, soulignant que des précipitations étaient également attendues dans les zones de San Antonio et Austin.

Selon l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA), le niveau du fleuve Guadalupe est monté brusquement pendant la nuit, passant de 2 mètres à plus de 9 mètres, après les précipitations.

Les services météo ont émis une alerte inondation pour le centre-sud du comté de Kerr, appelant les habitants à éviter tout déplacement et ceux résidant à proximité du fleuve Guadalupe à se rendre "vers des zones en hauteur".

Mi-juin, au moins dix personnes avaient péri en raison d'inondations à San Antonio, également au Texas, à la suite de pluies diluviennes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump signe sa loi budgétaire XXL à la Maison Blanche

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Donald Trump (à g.) a signé sa loi budgétaire XXL. (© KEYSTONE/EPA/SHAWN THEW)

Le président américain Donald Trump a promulgué sa loi budgétaire en grande pompe vendredi à la Maison Blanche à l'occasion de la fête nationale, lors d'une cérémonie marquée par une parade aérienne de bombardiers furtifs B-2, l'avion utilisé lors des raids en Iran.

"Nous entrons dans l'âge d'or de l'Amérique", a affirmé Donald Trump lors d'une allocution d'une vingtaine de minutes à la Maison Blanche avant de signer sa "grande et belle loi", comme il l'a baptisée, entouré d'élus républicains dont le soutien a été crucial pour arracher le vote du texte au Congrès.

Il avait fait pression pour y parvenir avant le 4 juillet, 249e anniversaire de l'indépendance des Etats-Unis vis-à-vis de la Couronne britannique.

La loi a été définitivement votée jeudi, juste à temps, un succès que le président républicain de 79 ans a qualifié de "plus grande victoire" depuis le début de son mandat le 20 janvier.

Il a néanmoins égrené avec une satisfaction manifeste sa série de succès politiques, ces dernières semaines, entre cessez-le-feu entre l'Iran et Israël après des frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens, accord sur les dépenses de l'Otan, et décision de la Cour suprême favorable à l'exécutif face au pouvoir judiciaire.

Deux B-2, le type d'avion qui a bombardé les installations nucléaires iraniennes le 22 juin, et des avions de chasse ont survolé la Maison Blanche pour l'occasion, tandis que certains pilotes ayant participé à l'opération assistaient à la cérémonie, qui devait se terminer dans la soirée par des feux d'artifice.

L'adoption de cette loi confirme aussi l'emprise de Donald Trump sur le parti républicain et, pour l'heure, sur la politique américaine en général, malgré des doutes au sein de son camp et l'opposition bruyante de son ancien allié, le multimilliardaire Elon Musk.

Après le Sénat, qui l'avait approuvé mardi de justesse, la Chambre des représentants a adopté définitivement ce texte par 218 voix contre 214, un vote très serré, précédé de multiples pressions et tractations.

"Rendre ce pays meilleur"

La loi budgétaire tentaculaire honore bon nombre des promesses de campagne de M.Trump: augmentation des dépenses militaires, financement d'une campagne d'expulsion massive de migrants et engagement de 4'500 milliards de dollars pour prolonger les crédits d'impôt accordés lors de son premier mandat.

Pour compenser l'aggravation de la dette publique, la nouvelle loi réduira le programme fédéral d'aide alimentaire et imposera d'importantes coupes au Medicaid, régime d'assurance santé pour les Américains à revenus modestes, les plus importantes depuis son lancement dans les années 1960.

Selon certaines estimations, jusqu'à 17 millions de personnes pourraient perdre leur couverture d'assurance santé et des dizaines d'hôpitaux ruraux pourraient fermer leurs portes.

"Il y a des fonds spéciaux pour garantir la couverture médicale en zone rurale", a assuré sur Fox News le principal conseiller économique du président, Kevin Hassett, affirmant que la loi budgétaire permettrait de lutter contre "le gaspillage, la fraude et les abus" au sein du régime Medicaid.

Une employée gouvernementale participant à un des défilés de la fête nationale, Rachel Prager, 45 ans, a confié à l'AFP que la situation des Etats-Unis ne la rendait "pas particulièrement optimiste" mais a dit espérer qu'ils sortiraient de cette mauvaise passe.

"Les pays connaissent des hauts et des bas et c'est une période de division particulièrement profonde mais je pense que cela correspond à ce qu'il se passe à l'échelle mondiale, avec les mouvements d'extrême droite en Amérique du Sud en Europe", a-t-elle relativisé.

Pour Michael Keaton, 50 ans, qui travaille dans le secteur de la communication, "on peut être patriote et être de gauche, de droite ou du centre".

"Je pense que nous devons tous essayer de faire ce que nous pouvons pour rendre ce pays meilleur", a-t-il ajouté, estimant "qu'on peut aimer son pays tout en reconnaissant ses défauts".

Les démocrates espèrent que le mécontentement provoqué par les retombées de la loi budgétaire les aidera à conquérir la majorité à la Chambre des représentants aux élections de mi-mandat de 2026.

Il s'agira pour eux de montrer qu'il s'agit d'une énorme redistribution de richesses des Américains les plus pauvres vers les plus riches.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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