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International

Les Russes regroupent leurs forces

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Le sud et l'est de l'Ukraine (ici dans le Donbass) en proie à des attaques et contre-attaques. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY SHESTAK)

L'Ukraine a revendiqué samedi des avancées dans l'est du pays, notamment l'entrée de troupes dans la ville clé de Koupiansk. Dans le même temps, Moscou a retiré des forces de cette zone pour "renforcer" plus au sud la région séparatiste prorusse de Donetsk.

L'Ukraine a revendiqué samedi des avancées dans l'est du pays, notamment l'entrée de ses troupes dans la ville clé de Koupiansk, Moscou annonçant de son côté retirer des troupes de cette zone pour "renforcer" plus au sud la région séparatiste prorusse de Donetsk.

En soirée, le président ukrainien s'est réjoui qu'"environ 2000 km notre territoire ont été libérés depuis début septembre". Et l'armée russe fait "un bon choix de s'enfuir", a ajouté Volodymyr Zelensky, car "il n'y a pas de place pour les occupants en Ukraine et il n'y en aura pas".

Il n'a pas précisé s'il s'agissait de km2. Jeudi, le commandant en chef de l'armée ukrainienne avait affirmé que ses troupes avaient repris 1000 km2.

Dans l'est, les forces ukrainiennes ont annoncé plus tôt être entrées dans la ville de Koupiansk, qui se trouve sur des routes d'approvisionnement de l'armée russe. Une nouvelle étape dans la récente contre-offensive éclair de Kiev qui lui a permis de reprendre des pans entiers de territoire.

"Koupiansk, c'est l'Ukraine", a écrit un responsable régional sur les réseaux sociaux en publiant une photo de soldats ukrainiens dans la ville de 27'000 habitants. Les forces spéciales ont aussi diffusé des images montrant leurs officiers "à Koupiansk, qui a été et sera toujours ukrainienne".

Cette nouvelle avancée de Kiev au sud de Kharkiv pourrait affecter d'une manière significative la capacité de la Russie à ravitailler et à apporter un soutien logistique efficace à ses positions sur le front de l'est.

La veille, M. Zelensky avait annoncé que ses forces avaient repris 30 localités dans cette région frontalière de la Russie.

Drapeau ukrainien hissé

Samedi, des journalistes de l'AFP y ont vu des camions et des blindés russes carbonisés, dont certains encore frappés de la lettre Z, symbole de l'invasion de l'Ukraine lancée le 24 février. Des soldats ukrainiens patrouillaient dans Balakliïa, la principale ville reconquise, où flottait le drapeau ukrainien.

Ce drapeau y a été hissé en présence du commandant des forces terrestres ukrainiennes, Oleksandre Syrski, selon une vidéo de la Défense ukrainienne diffusée sur Twitter.

"Nous achevons aujourd'hui la libération de Balakliïa, la première grande ville de notre offensive, et je suis sûr que ce n'est pas la dernière. Koupiansk est devant nous, nos troupes en ont déjà pris la moitié. Et devant encore, Izioum et beaucoup d'autres", a-t-il déclaré à cette occasion.

Le chef de l'administration d'occupation russe de la région d'Izioum, Vladislav Sokolov, a de son côté reconnu que la situation y était "difficile".

"Ces deux dernières semaines, la ville est visée par des bombardements des forces ukrainiennes, notamment avec des munitions de type Himars (...) ce qui provoque de graves destructions et fait beaucoup de morts et de blessés", a-t-il déclaré à l'agence de presse publique russe RIA Novosti.

Les Himars sont des lance-roquettes multiples fournis à Kiev par Washington.

Moscou "regroupe des forces"

Le ministère russe de la Défense a ensuite annoncé avoir "retiré" ses forces présentes "dans les régions de Balakliïa et d'Izioum", afin de "renforcer les efforts" plus au sud, autour de Donetsk, l'une des capitales des séparatistes prorusses.

Une région où la situation est "difficile", a commenté samedi son dirigeant séparatiste prorusse, Denis Pouchiline.

A Lyman, ville qui était tombée fin mai aux mains des forces de Moscou, "la situation reste assez difficile, tout comme dans d'autres localités dans le nord de la République" populaire de Donetsk, a-t-il déclaré dans une vidéo sur Telegram.

"Les forces ukrainiennes avancent dans l'est de l'Ukraine, libérant plus de villes et de villages. Leur courage additionné au soutien militaire occidental donne des résultats surprenants", a résumé le porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Oleg Nikolenko, sur les réseaux sociaux.

"Il est crucial d'envoyer des armes à l'Ukraine. Infliger une défaite à la Russie sur le champ de bataille signifie gagner la paix en Ukraine", a-t-il ajouté.

Les Ukrainiens ont aussi affirmé progresser dans le sud du pays. "Nos soldats avancent sur les lignes de front dans le sud dans plusieurs zones allant de deux à plusieurs dizaines de kilomètres", a déclaré à des médias locaux la porte-parole du commandement militaire du sud de l'Ukraine, Natalia Goumeniouk, sans plus de détails.

Dans le nord-est, près de Kharkiv, les forces russes avaient annoncé vendredi avoir envoyé des renforts face à la contre-offensive réussie de Kiev.

"Ils peuvent compter sur nous"

Dans le village de Grakové, tout juste repris par les forces ukrainiennes, les journalistes de l'AFP ont vu vendredi des destructions témoignant de la violence de combats, pylônes électriques abattus et câbles étalés sur le sol.

"C'était effrayant, il y avait des bombardements et des explosions partout", a raconté à l'AFP Anatoli Vassiliev, 61 ans.

Les corps de deux civils, avec des traces de torture et des impacts de balle à l'arrière de la tête, y ont été découverts, a annoncé samedi le bureau du procureur général qui a ouvert une enquête et un examen médicolégal des corps.

Selon cette source, après la reprise de Grakové, un habitant s'est rendu à la police en assurant que des soldats russes l'avaient obligé à enterrer les deux corps.

Samedi, la cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock est arrivée à Kiev pour une visite surprise (sa deuxième depuis le début de la guerre), une semaine après celle du Premier ministre ukrainien Denys Shmygal à Berlin, où il avait redemandé l'envoi d'armes à son pays.

"Ils peuvent continuer à compter sur nous. Nous continuerons à soutenir l'Ukraine aussi longtemps qu'il le faudra, par la livraison d'armes, par un soutien humanitaire et financier", a déclaré Mme Baerbock, selon un communiqué.

Au cours des dernières semaines, l'Allemagne a livré à l'Ukraine des obusiers, des lance-roquettes et des missiles anti-aériens. Ils font partie de l'arsenal militaire fourni par l'Occident qui a contribué, selon les experts, à affecter les capacités des forces russes.

La visite de Mme Baerbock intervient aussi après un voyage du secrétaire d'Etat américain Antony Blinken qui a promis une nouvelle aide militaire de 2,8 milliards de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Économie

Chine: l'excédent commercial dépasse 1000 milliards de dollars

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Les partenaires européens de la Chine en particulier s'alarment de voir qu'avec la confrontation commerciale avec les Etats-Unis ses produits se déversent sur leur marché. (© KEYSTONE/AP)

L'excédent commercial de la Chine a dépassé pour la première fois les 1000 milliards de dollars en 2025, les exportations à travers le reste du monde compensant la forte baisse des livraisons vers les États-Unis, indiquent des chiffres officiels publiés lundi.

Le solde positif des échanges de la Chine avec le reste du monde de janvier à novembre était de 1080 milliards de dollars, a indiqué l'administration des Douanes.

"L'excédent commercial de la Chine cette année a déjà dépassé celui de l'année dernière, et nous prévoyons qu'il augmentera encore l'année prochaine", écrit dans une note Zichun Huang, de Capital Economics.

"La faiblesse des exportations vers les Etats-Unis a été largement compensée par les expéditions vers d'autres marchés" en novembre, a-t-elle dit.

Les exportations de la Chine ont augmenté de 5,9% en novembre sur un an, plus rapidement que prévu, mais ont baissé de 28,6% vers les seuls Etats-Unis au cours de la même période, a indiqué l'administration des Douanes.

Le chiffre global des exportations est meilleur que les prévisions de l'agence Bloomberg, qui tablait sur une hausse de 4%.

Cette embellie fait suite à un recul des exportations de 1,1% sur un an en octobre, le premier depuis février coïncidant avec un regain des tensions commerciales avec les Etats-Unis.

Les importations ont progressé de 1,9% sur un an en novembre, à un rythme plus lent que la hausse de 3% prévue par Bloomberg, nouveau signe d'atonie de la consommation intérieure.

"Le rebond de la croissance des exportations en novembre contribue à atténuer la faiblesse de la demande intérieure", commente dans une note Zhiwei Zhang, président et économiste en chef chez Pinpoint Asset Management. "La dynamique économique a ralenti au quatrième trimestre, en partie à cause de la faiblesse persistante du secteur immobilier", ajoute-t-il.

La Chine et les Etats-Unis se sont livré une âpre guerre commerciale en 2025 après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Un sommet entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping le 30 octobre en Corée du Sud a débouché sur des mesures de détente réciproques, au moins temporaires.

Les exportations font depuis des années office de moteur de l'économie chinoise, avec une consommation domestique obstinément languissante et une crise de la dette prolongée dans le vaste secteur immobilier. La Chine est aussi confrontée à un chômage élevé chez les jeunes et un vieillissement rapide de sa population.

Les dirigeants chinois, qui visent une croissance globale de cinq pour cent cette année, doivent tenir cette semaine une importante réunion consacrée à la planification économique.

Les exportations vers les Etats-Unis ont représenté 33,8 milliards de dollars en novembre, contre 47,3 milliards à la même époque l'an dernier.

Menace de Macron

Les exportations vers les Etats-Unis ont baissé quasiment tout au long de l'année. Mais elles sont restées de manière globale résilientes.

Les partenaires européens de la Chine en particulier s'alarment de voir qu'avec la confrontation commerciale avec les Etats-Unis ses produits se déversent sur leur marché.

Ils pressent la Chine de stimuler sa consommation intérieure.

Le président français Emmanuel Macron, tout juste de retour de Chine où il a plaidé la cause européenne en fin de semaine passée, a menacé Pékin dimanche de droits de douane "dans les tout prochains mois" si la Chine ne prend pas des mesures pour réduire le déficit commercial qui ne cesse de se creuser avec l'UE.

Le protectionnisme de l'administration Trump "accroît nos problèmes en redirigeant les flux chinois massivement sur nos marchés", a-t-il dit au quotidien français Les Echos.

Le chef de la diplomatie allemande Johann Wadephul jusqu'à mardi en Chine. Déjà affectées par des désaccords géopolitiques, les relations entre Berlin et Pékin se sont encore refroidies ces derniers mois avec les tensions commerciales entre l'UE et la Chine.

Cela n'a pas empêché la Chine de redevenir cette année le premier partenaire commercial de l'Allemagne à la place des Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Nominations aux Golden Globes: "Une bataille après l'autre" en tête

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L'actrice américaine Skye P. Marshall a pris la parole lors de l'annonce des nominations pour les 83e Golden Globes lundi à Beverly Hills, en Californie. (© KEYSTONE/AP/Chris Pizzello)

Avec neuf nominations, le très politique "Une bataille après l'autre", dernier film de Paul Thomas Anderson avec Leonardo DiCaprio, a dominé lundi l'annonce des nominations aux Golden Globes, considérés comme un tremplin vers les Oscars.

Le film "Valeur sentimentale" arrive en deuxième position avec huit nominations, suivi du thriller "Sinners" avec sept nominations et "Hamnet" avec six.

Le deuxième opus de la comédie musicale "Wicked" n'a finalement récolté que cinq nominations, un résultat décevant pour cette comédie musicale à succès qui n'a pas réussi à décrocher une nomination dans la catégorie meilleure comédie et comédie musicale.

Les Golden Globes, souvent considérés comme un tremplin pour les Oscars, se tiendront à Beverly Hills (Californie), le 11 janvier, et seront présentés par l'humoriste américaine Nikki Glaser.

Contrairement à d'autres prix comme les Oscars, les Golden Globes font une distinction entre les comédies et les films dramatiques, élargissant le champ des stars susceptibles de fouler le tapis rouge

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Airbus prend le contrôle de certains sites de Spirit AeroSystems

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L'avionneur européen recevra par ailleurs une compensation de 439 millions de dollars pour couvrir les passifs de ces sites. Basé aux Etats-Unis, Spirit AeroSystems est l'un des principaux sous-traitants mondiaux de l'aéronautique, historiquement fournisseur de Boeing et Airbus. (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Airbus a annoncé lundi avoir finalisé l'acquisition de certains sites de son fournisseur américain Spirit AeroSystems. L'opération permet à l'avionneur européen de renforcer son contrôle sur sa chaîne de production d'avions commerciaux.

"Nous sommes fiers d'accueillir plus de 4000 nouveaux collègues, avec lesquels nous ouvrirons un nouveau chapitre de nos opérations industrielles en reprenant des activités d'importance critique pour nos programmes d'avions commerciaux", a déclaré Florent Massou, vice-président exécutif des opérations pour la division avions commerciaux d'Airbus.

L'accord couvre notamment des sites produisant des sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord, Etats-Unis) et Saint-Nazaire (France), des composants pour A321 et A220 à Casablanca (Maroc), ainsi que la production d'ailes et de fuselage de l'A220 à Belfast (Irlande du Nord). Airbus reprend également des activités en Écosse (Prestwick) et prévoit le transfert de la production de pylônes qui servent à fixer les moteurs sous les ailes pour A220 du Kansas vers Toulouse.

L'avionneur européen recevra par ailleurs une compensation de 439 millions de dollars pour couvrir les passifs de ces sites. Basé aux Etats-Unis, Spirit AeroSystems est l'un des principaux sous-traitants mondiaux de l'aéronautique, historiquement fournisseur de Boeing et Airbus.

L'intégration de ces sites qui fabriquent des éléments essentiels pour les programmes long-courrier A350 et moyen-courrier A220 vise à réduire les risques liés aux tensions dans la chaîne de fournisseurs, exacerbées ces dernières années par la reprise post-Covid et les défis industriels. Spirit est issu d'une scission de Boeing en 2005, lorsque le géant américain a externalisé une partie de sa production de structures.

Depuis, Spirit reste l'un des principaux fournisseurs de Boeing, notamment pour les fuselages du 737 MAX et des sections du 787 Dreamliner. Cette dépendance a été problématique ces dernières années, car les difficultés du 737 MAX et les ralentissements de production chez Boeing ont fortement affecté Spirit, entraînant des pertes et des tensions financières.

En juillet 2024, le constructeur américain - en proie à une crise profonde causée par des problèmes de qualité de sa production, en particulier sur les fuselages reçus de Spirit - avait annoncé le rachat du fournisseur, pour 4,7 milliards de dollars. L'Union européenne a donné en octobre son feu vert à ce rachat, assorti de plusieurs conditions destinées à préserver la concurrence et à éviter qu'Airbus ne soit lésé.

Le gendarme français de la concurrence a autorisé dans la foulée "sans condition" le rachat de certaines activités de Spirit par Airbus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Paramount Skydance fait une contre-offre sur Warner Bros Discovery

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Paramount Skydance avait été le premier à manifester son intérêt pour Warner Bros Discovery et a soumis au moins cinq offres, avant celle de lundi, mais le conseil de WBD lui a préféré Netflix, qui a également coiffé au poteau le câblo-opérateur Comcast. (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

Le groupe de télévision Paramount Skydance a présenté lundi une contre-offre pour son concurrent Warner Bros Discovery, valorisé 108,4 milliards de dollars. La contre-proposition intervient trois jours après l'annonce d'un accord de rachat entre WBD et Netflix.

A la différence de Netflix, qui ne propose de racheter, pour l'essentiel, que le studio Warner Bros et la plateforme de vidéo à la demande HBO Max, Paramount Skydance veut, lui, acquérir l'ensemble de WBD, y compris son portefeuille de chaînes de télévision. Avant d'étudier une vente, Warner Bros Discovery avait pour projet de scinder du reste du groupe ces chaînes, parmi lesquelles figure CNN et Discovery, estimant leur potentiel de croissance moindre dans un contexte d'érosion de la télévision par câble aux États-Unis.

Paramount Skydance avait été le premier à manifester son intérêt pour Warner Bros Discovery et a soumis au moins cinq offres, avant celle de lundi, mais le conseil de WBD lui a préféré Netflix, qui a également coiffé au poteau le câblo-opérateur Comcast. "Notre offre est la plus élevée parmi celles qui sont sur la table", a déclaré David Ellison, patron de Paramount Skydance, lors d'un entretien à la chaîne CNBC.

Celle de Netflix valorisait Warner Bros et HBO Max 83 milliards de dollars, dette comprise (72 hors dette). Pour tenter de convaincre le conseil d'administration de WBD et ses actionnaires, Paramount Skydance est prêt à financer son offre intégralement en numéraire, alors que celle de Netflix comportait une partie en actions.

Appui financier de Larry Ellison

Le groupe est parvenu à réunir cette somme colossale en s'appuyant, pour partie, sur le patrimoine de la famille Ellison, le patriarche, Larry, étant l'un des hommes les plus riches du monde, avec une fortune estimée à 270 milliards de dollars par le site du magazine Forbes. "Nous avons davantage de certitude d'obtenir l'accord des régulateurs" que Netflix, a fait valoir David Ellison.

Dimanche, en marge d'une cérémonie à Washington, Donald Trump avait exprimé des doutes quant à l'opportunité d'une union entre Netflix et Warner Bros. Netflix a déjà "une très grosse part de marché", a-t-il rappelé, ce qui "pourrait être un problème".

Ce rapprochement réunirait, en effet, deux des trois plus grosses plateformes mondiales de vidéo à la demande payante (en excluant Amazon Prime au modèle hybride), soit plus de 300 millions d'abonnés pour Netflix et 128 pour HBO Max. "Laisser le premier service mondial de streaming fusionner avec le troisième est mauvais pour la concurrence", a avancé David Ellison.

David Ellison a aussi pour lui d'avoir l'oreille de Donald Trump, qui est proche de son père Larry, lequel a contribué financièrement aux campagnes électorales du président américain. Le patron de Skydance avait obtenu, en juillet, le feu vert du régulateur américain des télécoms et de la télévision, la FCC, pour acquérir Paramount après avoir promis une modification de la ligne éditoriale de CBS, chaîne du groupe Paramount très critiquée par Donald Trump.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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