International
La Compagnie des Alpes ne craint pas la crise énergétique
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Malgré la crise énergétique et l'inflation, la Compagnie des Alpes entend continuer sur sa lancée en 2023, après avoir renoué avec les bénéfices annuels surpassant ses résultats d'avant-pandémie.
Du 1er octobre 2021 à la fin septembre 2022, le leader mondial d'exploitation de domaines skiables et propriétaire de parcs de loisirs a réalisé un bénéfice net de 114,4 millions d'euros (presque autant en francs), en hausse de 83,9% par rapport à 2018/19 avant la crise sanitaire. Son chiffre d'affaires a progressé de 17,8% à 958,5 millions d'euros.
"Il y a un an, on se battait au sujet du pass sanitaire pour les remontées mécaniques et finalement on a eu un bon niveau de fréquentation dans les domaines skiables", a déclaré le directeur général Dominique Thillaud lors de la présentation des résultats.
Le chiffre d'affaires des domaines skiables (La Plagne, Les Arcs, Tignes, Méribel...) a progressé de 12,8% par rapport à l'avant-pandémie à 455,5 millions d'euros malgré l'absence de la clientèle britannique jusque mi-janvier. Le revenu par journée-skieur est en progression de plus de 13%.
Pour la première fois, les ventes des Parcs de Loisirs (Fururoscope, Parc Astérix, Walibi, musée Grévin...) sont supérieures aux domaines skiables avec un saut de 23,1% à 468,5 millions d'euros. La fréquentation des parcs en hausse de 6% dépasse les 10 millions de visiteurs et la dépense moyenne par visiteur a progressé d'environ 17%.
Malgré sa dépendance à l'électricité, que ce soit dans les stations de ski ou les parcs de loisirs, la Compagnie des Alpes anticipe pour 2023 une progression de son chiffre d'affaires "conforme à la trajectoire pré-Covid" et une rentabilité (via l'excédent brut opérationnel, EBO) équivalente à l'exercice 2021/2022 hors éléments non récurrents.
L'excédent brut opérationnel (EBO) du groupe sur l'exercice 2021/2022 a fait un bond de 40,1% sur un an. La hausse est de 21% hors éléments non récurrents (aides liées à la crise sanitaire et à l'indemnisation d'un sinistre en Belgique).
Panneaux photovoltaïques et projets hydroélectriques
L'électricité représentait en 2022 les deux-tiers des dépenses énergétiques du groupe qui consomme 99 GWh d'électricité pour les domaines skiables (équivalent d'une ville de 45'000 habitants sur un an, NDLR) et 41 GWh pour les parcs de loisirs. Sur 2021/2022, "l'électricité représente 2,6% du chiffre d'affaires", selon Loïc Bonhoure, directeur général délégué du groupe.
La Compagnie des Alpes a pour objectif en 2023 de réduire ses consommations de 8 à 10% notamment par une réduction de consommation énergétique mais aussi par la production de neige de culture de préférence avant le 31 décembre pour des raisons tarifaires.
A court terme, la Compagnie des Alpes a renégocié ses contrats. "Avant mesure de sobriété et avant les aides éventuelles de l'état, nous estimons que le coût de l'électricité va augmenter de 2,6 fois par rapport à l'exercice précédent", a expliqué Loïc Bonhoure. Le groupe se dit cependant "très serein" tablant sur la sobriété et les aides gouvernementales annoncées.
"Nous devons nous adapter par la sobriété et éventuellement des ajustements tarifaires, mais ne jamais dégrader le service offert aux clients", a insisté auprès de l'AFP Dominique Thillaud qui "ne craint pas" non plus les coupures de courant cet hiver.
Sur le long terme, la Compagnie des Alpes souhaite être moins dépendante du marché de l'électricité et développe sa propre production au travers de panneaux photovoltaïques sur les parkings de ses parcs et des projets hydroélectriques dans les domaines skiables.
"Il n'est pas question que l'augmentation du prix de l'électricité ait un impact sur nos salariés et/ou nos investissements", a souligné Dominique Thillaud, "d'une manière générale, les salariés seront protégés de l'inflation, par une manière qui sera à négocier lors des NAO (négociations annuelles obligatoires)".
A la Bourse de Paris, le titre reculait de 1,70% à 13,86 euros vers 12H30, dans un marché en baisse de 0,29%. Depuis le 1er janvier, il progresse de 0,43%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
La Fed baisse ses taux, deux responsables voulaient un statu quo
La banque centrale des Etats-Unis (Fed) a abaissé mercredi ses taux d'intérêt pour la troisième fois d'affilée. Une décision largement attendue par les marchés financiers mais marquée par une division grandissante.
Les taux directeurs américains sont réduits d'un quart de point de pourcentage, pour être ramenés dans une fourchette comprise entre 3,50% et 3,75%, annonce l'institution dans un communiqué.
Elle précise que trois des douze votants étaient contre: deux ne voulaient pas de baisse du tout et un voulait une détente plus forte, d'un demi-point.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Sarkozy sort son "Journal d'un prisonnier" et le dédicace à Paris
Bain de foule et longue file d'attente: Nicolas Sarkozy a dédicacé mercredi dans une librairie parisienne son "Journal d'un prisonnier", qui raconte ses trois semaines de détention après sa condamnation dans le procès libyen, un livre publié le matin même chez Fayard.
L'ancien président de la République est arrivé vers 15h30 à la librairie Lamartine, dans le huppé XVIe arrondissement, prenant un rapide bain de foule avant d'entrer à l'intérieur de l'établissement, protégé par un important cordon policier, ont constaté des journalistes de l'AFP.
"Nicolas, Nicolas !", ont scandé des admirateurs. "Ta place est en prison" ont a contrario crié deux militantes Femen, rapidement interpellées par la police, selon des images diffusées par plusieurs journalistes sur les réseaux sociaux.
L'ouvrage de 216 pages, édité par une maison d'édition contrôlée par l'homme d'affaires conservateur Vincent Bolloré, est paru exactement un mois après la remise en liberté sous contrôle judiciaire le 10 novembre de l'ex-chef de l'Etat, qui avait été écroué le 21 octobre à la prison parisienne de la Santé.
"Si heureux de reprendre le chemin des routes de France pour aller à la rencontre de mes lecteurs", a écrit Nicolas Sarkozy la semaine dernière sur son compte X, ajoutant: "Cela me réjouit tant!" Le contenu du livre a été dévoilé dès le week-end dernier dans plusieurs médias et consulté par l'AFP.
Évoquant l'"enfer" carcéral, Nicolas Sarkozy raconte s'être agenouillé pour prier au premier jour de son incarcération, après sa condamnation le 25 septembre à cinq ans de prison avec mandat de dépôt assorti d'une exécution provisoire pour association de malfaiteurs.
"Je priais pour avoir la force de porter la croix de cette injustice", poursuit-il en se disant de nouveau "innocent" de toute infraction, et en décrivant ses discussions dominicales avec l'aumônier de la prison.
Bons et mauvais points
Nicolas Sarkozy distribue bons points et piques acerbes à des personnalités politiques. Il rapporte un échange téléphonique avec Marine Le Pen après sa condamnation. À la chef de file des députés RN, qui lui demande s'il s'associerait à un éventuel "front républicain", il répond: "Non, et de surcroît je l'assumerai en prenant le moment venu une position publique sur le sujet."
Il salue la fidélité de Sébastien Chenu, ancien élu UMP devenu député RN, notant qu'"il était résolu à m'adresser un courrier de soutien chaque semaine".
A l'inverse, il égratigne sa propre famille politique, pointant le manque d'engagement public du président du parti LR Bruno Retailleau, qui l'"appela régulièrement, mais n'en fit publiquement pas davantage".
Emmanuel Macron n'est pas épargné, sa dissolution étant jugée comme un "caprice qui faisait autant de mal à la France qu'à son auteur". Il étrille encore l'ancienne candidate PS à l'Elysée Ségolène Royal, qui selon lui ne comprend pas toujours "le sens de ce qu'elle dit. Cela la sauve de la honte".
Sur le plan judiciaire, il livre une analyse critique inhabituelle de sa défense historique. "Mon amitié avec Thierry Herzog (son ancien conseil, NDLR) m'avait aveuglé sur la possibilité qui était la sienne d'embrasser un dossier qui avait pris une telle ampleur", écrit l'auteur, des propos très critiqués par des avocats pénalistes sur les réseaux sociaux.
"Affligées"
Nicolas Sarkozy a été condamné pour avoir laissé ses deux plus proches collaborateurs, Brice Hortefeux et Claude Guéant, démarcher en vue d'un financement de sa campagne présidentielle de 2007 un haut dignitaire libyen, Abdallah Senoussi, alors que celui-ci était sous le coup d'une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'attentat du DC-10 (170 personnes tuées le 19 septembre 1989). En contrepartie, ils lui auraient laissé miroiter un examen de sa situation judiciaire.
Un passage du livre est d'ailleurs consacré à l'audition des proches de victimes de l'attentat du DC-10, parties civiles au procès libyen, qu'il qualifie de "moments les plus émouvants" tout en se disant "affecté par la violence de certains propos à (son) endroit".
Ces lignes ont provoqué l'indignation du collectif "Les Filles du DC-10". "Une fois encore, Nicolas Sarkozy inverse les rôles, faisant croire qu'il serait la véritable victime", a réagi dans un communiqué ce groupe de filles, mères et soeurs de morts dans l'attentat, "affligées". L'ancien chef de l'État sera jugé à nouveau dans ce dossier du 16 mars au 3 juin par la cour d'appel de Paris.
Tous les prévenus y comparaîtront libres, la cour d'appel ayant libéré mercredi sous contrôle judiciaire Alexandre Djouhri, dernier incarcéré dans ce dossier. Nicolas Sarkozy est par ailleurs définitivement condamné dans deux autres affaires, celle dite des écoutes de l'Elysée et Bygmalion.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Nouvelle levée du secret judiciaire dans l'affaire Epstein
Pour la troisième fois en quelques jours, un juge fédéral américain a ordonné mercredi la levée du secret sur des documents judiciaires relatifs à l'affaire du criminel sexuel Jeffrey Epstein. Cette dernière ne cesse d'empoisonner la vie politique du pays.
La décision du juge de New York Richard Berman concerne les détails de la procédure lancée contre le financier new-yorkais en juillet 2019, la plus grave le concernant, notamment pour des faits d'exploitation sexuelle de mineurs. Celle-ci n'était pas allée à son terme en raison du suicide de l'intéressé en prison, en août de la même année.
Mardi, un autre juge fédéral de New York avait demandé la levée du secret judiciaire, cette fois dans la procédure contre Ghislaine Maxwell, complice de Jeffrey Epstein. Même chose la semaine dernière de la part d'un juge de Floride, concernant les documents d'un premier procès Epstein en 2008.
Ces trois décisions de rendre public des témoignages recueillis par un grand jury, dont la confidentialité est normalement extrêmement protégée aux Etats-Unis, se basent sur l'adoption récente d'une loi destinée à assurer la plus grande transparence dans ce dossier.
Adopté par Trump et le Congrès
Ce texte fait obligation au ministère de la Justice de rendre publics d'ici le 19 décembre l'intégralité des documents non classifiés en sa possession sur le financier new-yorkais, Ghislaine Maxwell, qui purge une peine de vingt ans de prison, et toutes les personnes impliquées dans les procédures judiciaires.
Ce texte a été adopté par le Congrès et promulgué par le président Donald Trump, qui au départ s'y opposait vigoureusement. Rien ne dit toutefois que ces nouveaux documents contiendront de nouvelles révélations. Et si le délai a été fixé au 19 décembre, on ignore encore quand exactement, et de quelle façon le ministère de la Justice va rendre tous ces documents publics.
La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019 avant un autre procès pour crimes sexuels, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour étouffer un scandale éclaboussant des personnalités de premier plan.
Donald Trump, qui pendant des mois a promis à sa base des révélations fracassantes sur ce dossier, a déçu ses partisans en les sommant de tourner la page, qualifiant désormais l'affaire de "canular" instrumentalisé par ses adversaires démocrates.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Instagram offre davantage de contrôle sur son algorithme
Instagram a annoncé mercredi de nouvelles fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs d'orienter, en partie, les recommandations de l'algorithme du réseau social en fonction de leurs centres d'intérêt.
L'évolution concerne, pour l'instant, le fil de courtes vidéos Reels, inspiré de celui de TikTok et lancé en 2020. En tapant sur l'icône située en haut et à droite de l'écran sur Reels (elle représente deux barres horizontales avec des coeurs), l'usager voit les préférences que l'algorithme a identifiées chez lui ou elle.
L'utilisateur peut alors en effacer certaines mais aussi écrire les sujets dont il veut voir plus de contenu, ainsi que ceux qu'il préfère éviter. L'algorithme tiendra ensuite compte de ces modifications.
L'internaute pourra aussi, s'il le souhaite, partager dans sa story (image ou vidéo qui disparaît après 24 heures) ses choix en matière de recommandations.
"Plus de contrôle"
Cette nouvelle option est disponible à partir de mercredi sur Instagram aux Etats-Unis et sera bientôt lancée en anglais dans le reste du monde, selon un message publié mercredi sur le site officiel de la filiale de Meta.
Instagram prévoit de proposer ultérieurement cette fonctionnalité pour l'espace Explore, qui présente des contenus sous forme de cases, en fonction de l'historique de recherche et des interactions passées avec la plateforme.
En septembre, le patron d'Instagram, Adam Mosseri, avait évoqué cette refonte, qui a pour ambition, selon lui, "de vous donner plus de contrôle sur votre utilisation pour en faire quelque chose que vous appréciez".
C'est aussi un moyen de "corriger Instagram quand il se trompe", a-t-il expliqué dans une vidéo postée sur le réseau social, qui a dépassé, durant l'été, le seuil des trois milliards d'utilisateurs mensuels.
Pas une pratique uniforme
Mi-octobre, le réseau social Pinterest a mis en place un filtre pour écarter, après un réglage de l'utilisateur, une partie des contenus générés par intelligence artificielle (IA) et postés sur la plateforme.
YouTube ou TikTok ne proposent pas ces changements, mais il est possible aux utilisateurs d'orienter volontairement l'algorithme en cliquant sur l'option "pas intéressé" pour un contenu donné. Sur Facebook, il est possible de cocher la mention "voir moins" pour une vidéo.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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