International
Le terroir vaudois savouré dans les airs
Le terroir vaudois savouré dans les airs. Jusqu’au mois de septembre 2019, des spécialités culinaires du canton seront servies aux passagers « premium » de la compagnie Swiss.
A bord des vols intercontinentaux au départ de Zurich et de Genève, des viandes séchées et fromages de chez nous côtoient les nobles poissons. Il y a aussi du quinoa cultivé dans la région et des vins de nos appellations.
Des menus Swiss First et Business signés Philippe Gobet, Chef Exécutif de l’Ecole Hôtelière de Lausanne :
Les passagers de première classe pourront ainsi déguster une entrée de quinoa de Moudon et œuf mimosa sur pain de seigle, courgettes et perles d’huile d’olive, suivie par un filet de veau et sa sauce à la truffe, avant de passer aux fromages composés notamment de Gruyère AOP vaudois et de Tomme Fleurette de Rougemont.
De la création en cuisine au plateau en cabine, Philippe Gobet évoque quelques-unes des contraintes :
Certains produits sont favorisés, comme les légumes, les viandes et les poissons :
De simples produits sont aussi mis en valeur :
Lancé en 2002, le programme Swiss Taste of Switzerland rencontre toujours un franc succès selon Lorenzo Stoll, Directeur de la compagnie pour la Suisse romande :
International
Formule E: Sébastien Buemi reste chez Envision Racing
Sébastien Buemi courra encore pour le team Envision Racing la saison prochaine en formule E. Le Vaudois et son coéquipier néerlandais Robin Frijns ont été confirmé à leur poste.
Buemi (35 ans) entamera ainsi une onzième saison en formule électrique. Il roule dans ce championnat depuis sa création. "En tant qu'équipe, nous avons progressé de manière significative en fin de saison. On va continuer à pousser pour être compétitifs pour la première course à Sao Paulo", a déclaré le pilote suisse sur le site de son team.
Sébastien Buemi compte 13 victoires en formule E, ainsi qu'un titre de champion acquis lors de la saison 2. Mais son dernier succès dans la discipline remonte au 13 juillet 2019 à New York.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Mönchengladbach: Jonas Omlin à nouveau sur le flanc
Jonas Omlin (30 ans) est à nouveau blessé. Le gardien suisse du Borussia Mönchengladbach a été touché aux tendons d'une jambe lors d'un entraînement, a annoncé le club allemand.
Omlin sera indisponible jusqu'à nouvel avis. L'entraîneur Gerardo Seoane n'a pas pu donner plus de précisions sur la durée de l'absence de son gardien. Le portier suisse avait manqué de nombreux matches la saison dernière en raison d'une blessure à une épaule.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les embûches s'accumulent pour Barnier, frictions au sommet
Tensions avec les macronistes jusqu'au président, velléités des LR, fin de non-recevoir de la gauche: les embûches continuent de s'accumuler pour Michel Barnier, conduisant certains élus à prédire que la formation du gouvernement est devenue une équation insoluble.
Des tiraillements ont semblé pointer au sommet de l'exécutif, deux semaines après la nomination de Michel Barnier à Matignon.
Emmanuel Macron, qui assure ne pas vouloir intervenir dans la composition du gouvernement, a reçu Michel Barnier mardi puis encore mercredi. Selon les récits qui filtrent, leur déjeuner de mardi se serait mal passé. Le président a notamment signifié que la droite ne pouvait pas avoir deux gros postes comme Bercy et Beauvau mais seulement l'un ou l'autre, agaçant son interlocuteur, rapporte un cadre de LR.
Ce n'était "qu'une première liste, la base d'une négociation", a tempéré le porte-parole des députés LR Vincent Jeanbrun sur BFMTV/RMC.
Un proche du chef de l'Etat a rappelé que la tâche assignée à son Premier ministre était "d'aller vers l'union nationale et de respecter les équilibres". En creux, le compte n'y est donc pas. "Sur les noms évoqués" ainsi que "sur l'équilibre des sensibilités, cela ne représente en rien le projet de gouvernement souhaité" par Michel Barnier, a tenu à préciser Matignon mercredi soir. "Le Premier ministre poursuit son travail".
Les frictions étaient encore montées d'un cran mercredi entre le Premier ministre et ses futurs partenaires de gouvernement, le centre et la droite, qui ne veulent pas entendre parler de hausse d'impôts.
La journée s'est de fait transformée en une série de rendez-vous manqués. Une première réunion entre Michel Barnier et le groupe des députés macronistes EPR (Ensemble pour la République) a été reportée, avant qu'une deuxième avec la droite ne soit à son tour annulée.
Unis pour l'occasion, Gabriel Attal, Gérald Darmanin et Elisabeth Borne exigent une "clarification" de la ligne politique du chef du gouvernement, notamment en matière fiscale, et sur la future équipe, accusant la droite d'être trop gourmande.
Mais le Premier ministre a préféré remettre à plus tard leur rencontre, affirmant avoir découvert une "situation budgétaire très grave" qui mérite "mieux que des petites phrases".
"Hold-up"
L'appétit des LR, qui ont obtenu Matignon avec seulement 47 députés, mais sont devenus pivots, agace dans le camp macroniste et à gauche.
"Ils ont gagné au loto, et maintenant ils veulent gagner à l'Euromillions. C'est le hold-up du siècle", glisse un député du Nouveau Front populaire.
Michel Barnier "rentre dans le dur (de la composition du gouvernement) et il crée des espaces de frustration très forte", commente de son côté une ministre sortante.
Il "a une équation politique très très difficile" à résoudre, reconnait un visiteur de l'Elysée, qui voit cependant un "chemin sinueux" possible : jouer l'opinion contre les groupes parlementaires en étant "le constructif contre le désordre".
Mais le temps presse côté budget, dont le calendrier a été grandement retardé cette année par la dissolution et la nomination très tardive d'un Premier ministre.
Après Matignon mardi, le président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale Eric Coquerel (LFI) et le rapporteur général du budget Charles de Courson (Liot) se sont rendus mercredi à Bercy pour réclamer, en vain, les lettres-plafonds qui fixent les crédits par ministère. Ils devraient recevoir jeudi certains éléments budgétaires.
En temps normal, ces documents sont disponibles durant l'été.
"Boules puantes"
La mission de Michel Barnier sur le budget est "extrêmement difficile", reconnaît Charles de Courson qui a lui-même refusé un poste de ministre parce qu'il ne disposait ni d'une "majorité stable" ni de l'assurance de "faire des économies justes".
Le locataire de Matignon peine aussi à trouver des personnalités de gauche pour son gouvernement.
Cette situation inextricable fait dire à certains élus que sa mission est devenue impossible.
"Comme c'est parti, Barnier va finir par lâcher le morceau. Le mec peut faire un bras d'honneur", avance un parlementaire socialiste. "Qu'est-ce qu'il a à gagner dans cette histoire ? La situation est très tendue".
"Mais s'il lâche, ce serait une vraie crise de régime. Ca peut amener au plus lourd" comme la démission d'Emmanuel Macron, s'inquiète-t-il.
D'autres font courir la rumeur que le Premier ministre serait prêt à "renoncer" vu la difficulté qu'il a à "attirer des gens de la société civile, de la gauche républicaine, du MoDem", rapporte un député EPR.
Un scénario qu'un conseiller juge "peu vraisemblable de la part d'un parti qui aspire à gouverner le pays".
Ce sont "des boules puantes de négociation", abonde un proche du chef de l'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Deux morts lors d'une opération des forces de l'ordre vers Nouméa
Deux hommes ont été tués au cours d'une opération des forces de l'ordre menée dans la nuit de mercredi à jeudi au sud de Nouméa. Ces drames portent à treize le nombre de décès depuis le début en mai de troubles en Nouvelle-Calédonie, ont indiqué à l'AFP les autorités.
Deux habitants de la tribu kanak de Saint-Louis âgés de 29 et 30 ans ont été mortellement blessés par les tirs d'un membre du GIGN (Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale), a indiqué dans un communiqué le procureur de la République de Nouméa Yves Dupas, qui a ouvert deux enquêtes.
Ces coups de feu ont été tirés alors "que des gendarmes en mission d'observation auraient été directement menacés par (un) groupe d'individus armés", selon le magistrat.
Les deux hommes tués faisaient l'objet d'un mandat de recherches délivré en juillet contre 13 personnes localisées à la tribu de Saint-Louis, a précisé le procureur.
Ces personnes sont soupçonnées d'être les auteurs de tirs sur les forces de l'ordre, notamment sous l'autorité de Rock Victorin Wamytan, surnommé "Banane", tué le 10 juillet lors d'un échange de tirs avec les gendarmes.
Elles sont également soupçonnées d'une cinquantaine de car-jacking à main armée sur la route passant devant la tribu.
Jeudi matin, plusieurs dizaines de personnes s'étaient rassemblées après avoir appris au moins un décès lors de l'opération menée dans la nuit par les gendarmes, donnant lieu à un face-à-face tendu, avant que la tension ne retombe, a constaté une correspondante de l'AFP.
Les forces de l'ordre ont procédé à des tirs de gaz lacrymogènes.
"On n'est pas des terroristes, on n'est pas en état de guerre", lançait une mère de famille lors de l'opération.
"Pourquoi vous tuez nos enfants ? On n'a pas d'armes", criait aussi Brigitte, une jeune habitante de Saint-Louis.
Dans un communiqué, le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), l'alliance indépendantiste de l'archipel, a déploré un "jeudi noir pour le peuple kanak", accusant l'Etat français d'une "guerre contre la tribu de Saint-Louis" et d'un "génocide" contre la minorité autochtone calédonienne.
Deux feux de poubelle ou de pneus ont été allumés sur certains axes près de Saint-Louis ou dans la périphérie de Nouméa, selon les correspondants de l'AFP.
Route fermée
Depuis le début le 13 mai des violences liées à la mobilisation indépendantiste contre la réforme du corps électoral, treize personnes ont été tuées, dont deux gendarmes.
Des centaines de personnes ont par ailleurs été blessées et les dégâts matériels ont été estimés à au moins 2,2 milliards d'euros, lors de ces violences d'une ampleur inédite depuis la quasi-guerre civile des années 1980.
Si la tension est nettement redescendue depuis mi-juillet, le sud de la Grande Terre (l'île principale de l'archipel) est toujours inaccessible par la route.
Les forces de l'ordre ont totalement fermé six kilomètres de route en raison de l'insécurité qui règne au niveau de la tribu de Saint-Louis, bastion indépendantiste et passage obligé à une dizaine de kilomètres de Nouméa.
En quatre mois, la gendarmerie estime avoir essuyé plus de 300 coups de feu.
En raison de la fermeture de la route, les 1.200 personnes habitant à la tribu ne peuvent y accéder qu'à pied et après avoir présenté une pièce d'identité aux gendarmes pour pouvoir passer les "verrous", au nord et au sud.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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