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Élections au Mexique: "Un jour historique" entaché par des violences

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La favorite de ce scrutin est la candidate de la gauche au pouvoir, Claudia Sheinbaum, 61 ans (à droite), devant sa rivale de centre-droit Xochitl Galvez. Le troisième candidat est Jorge Maynez, représentant du parti minoritaire Mouvement citoyen. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano / Eduardo Verdugo)

La violence a rattrapé les élections au Mexique où les électeurs s'apprêtaient dimanche, sauf coup de théâtre, à élire la première présidente de l'histoire d'un pays gangréné par le narcotrafic. L'ONU y décompte aussi une dizaine de féminicides par jour.

Deux personnes ont été tuées dans deux attaques contre des bureaux de vote dimanche lors de ces élections qui doivent départager la favorite pour la présidentielle, la candidate de la gauche au pouvoir Claudia Sheinbaum, de sa rivale Xochitl Galvez.

Les deux attaques ont été enregistrées dans deux localités de l'Etat de Puebla (centre), a indiqué une source de sécurité du gouvernement local.

Un candidat aux élections locales avait déjà été tué dans ce même Etat vendredi. Un autre candidat à un mandat mineur a été tué dans la nuit quelques heures avant l'ouverture des bureaux de vote dans l'ouest, d'après le parquet.

Au moins 25 candidats ont été assassinés pendant la campagne, d'après le comptage de l'AFP arrêté samedi.

"Maintenir la démocratie en vie"

Dans la capitale, les deux favorites et l'outsider Jorge Alvarez Maynez ont voté dans la matinée. "Sortez sans crainte" pour voter, a lancé la candidate de l'opposition, l'ex-sénatrice de centre-droit Xochitl Galvez, en attendant longtemps sous un soleil de plomb pour voter.

"Nous savons déjà que dans certaines parties du Chiapas, les bureaux de vote ne seront pas installés, j'en suis vraiment désolée. Ces élections ont été les plus violentes de l'histoire de notre pays, mais elles représentent également une formidable opportunité de maintenir la démocratie en vie et je pense qu'il y a une importante participation", a-t-elle ajouté.

"Un jour historique. Je me sens très contente", a pour sa part déclaré à la presse la favorite, la candidate de la gauche au pouvoir Claudia Sheinbaum, après avoir voté dans le sud de Mexico.

Sheinbaum a voté pour une pionnière

En trois mois de campagne, l'ex-maire de la capitale, candidate du Mouvement pour la régénération nationale (Morena), a régulièrement devancé de 17 points en moyenne sa rivale de centre-droit, Xochitl Galvez, soutenue par une coalition de trois partis.

Claudia Sheinbaum a confié qu'elle n'avait pas voté pour elle-même à la présidentielle, mais pour une pionnière de la gauche mexicaine, Ifigenia Martinez, 93 ans, en hommage à sa lutte. "Vive la démocratie!", a conclu Mme Sheinbaum.

Au Mexique, où 98,3 millions de personnes sont inscrites sur les listes électorales selon l'Institut national électoral (INE), les bulletins de vote prévoient une case vide permettant de voter pour des candidats non enregistrés.

Forte participation attendue

Le troisième candidat, Jorge Alvarez Maynez, 38 ans, a emmené son jeune fils dans l'isoloir pour une première leçon de civisme. "Notre démocratie est imparfaite (...) mais nous avons avancé en tant que pays", a déclaré le représentant du Mouvement citoyen (MC) après avoir voté.

De Cancun (sud-est) à Mexico, les files ont commencé à se former dès l'ouverture des bureaux de vote à 08h00 locales. "Je crois que ça va être historique en terme de participation", affirme Ana Hernandez, 28 ans, politologue, devant un bureau de vote dans la capitale.

Clemencia Hernandez, femme de ménage de 55 ans, s'apprête à voter pour Caudia Sheibaum à Mexico. "Une femme présidente représentera une transformation et espérons qu'elle fasse davantage pour ce pays. Ici la violence contre les femmes est à 100%. Beaucoup de femmes sont soumises par leurs partenaires, qui ne les laissent pas sortir de la maison pour travailler", dit-elle.

"Aucun gouvernement avant ne s'était préoccupé autant des personnes âgées", argumente-t-elle, en référence au président sortant Andres Manuel Lopez Obrador, le mentor politique de Claudia Sheinbaum.

Eunice Carlos, retraitée de 70 ans qui attend de voter dans le quartier résidentiel de Polanco, juge au contraire que M. Lopez Obrador a été "un président très néfaste, en premier lieu parce qu'il nous a divisés". "Mon vote va en faveur de la démocratie avec Xochitl Galvez".

20'000 postes à pourvoir

Les électeurs sont également appelés à renouveler le Congrès et le Sénat, à choisir les gouverneurs dans neuf des 32 États et à désigner des députés locaux et maires.

En tout, 20'000 postes sont à pourvoir lors de ces élections à un tour. Les premières tendances pour la présidentielle seront connues quelques heures après la fermeture des bureaux de vote sur la côte Pacifique.

"Le temps des femmes"

"C'est le temps des femmes et de la transformation", a proclamé Claudia Sheinbaum, portée par la popularité du président sortant, lors de son dernier rassemblement de campagne mercredi à Mexico.

"Cela veut dire vivre sans peur et être libres de violences", a ajouté Mme Sheinbaum. Chaque jour, une moyenne de neuf à dix femmes sont assassinées au Mexique, selon l'ONU Femmes.

D'origine modeste, née d'un père indigène, cheffe d'entreprise, sa rivale Xochitl Galvez a dénoncé l'échec de la politique de sécurité du gouvernement sortant, parlant de "186'000 personnes assassinées et 50'000 personnes disparues" depuis 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga

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Au moins 14 morts à Kiev dans des frappes russes

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Le maire de Kiev Vitali Klitschko avait averti au début de la nuit que des drones russes se dirigeaient vers Kiev "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Efrem Lukatsky)

Des frappes aériennes russes qui ont ciblé Kiev dans la nuit de lundi à mardi ont fait au moins 14 morts, dont un Américain, ont annoncé les autorités ukrainiennes. Il s'agit d'une des attaques au bilan le plus lourd depuis le début de la guerre en Ukraine.

Au total, "27 sites dans différents districts de la capitale ont été la cible de tirs ennemis cette nuit. Parmi eux se trouvent des immeubles résidentiels, des établissements éducatifs et des infrastructures critiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur ukrainien, Igor Klymenko.

"Le bilan des morts a été porté à 14. Quarante-quatre personnes ont été blessées à Kiev. Six autres ont été blessées à Odessa", a-t-il précisé sur Telegram. Le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko avait fait état plus tôt d'au 14 morts à Kiev, précisant que des recherches étaient en cours pour retrouver des victimes potentielles dans les décombres.

"Dans le district de Solomianski, un citoyen américain de 62 ans est décédé dans une maison située en face de l'endroit où les médecins portaient assistance aux blessés", a précisé le maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko mardi sur Telegram.

"Attaque combinée"

Le maire de Kiev avait averti au début de la nuit que des drones ennemis se dirigeaient vers la ville "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris.

Le chef de l'administration militaire de la ville de Kiev, Timour Tkatchenko, a de son côté indiqué qu'une "attaque combinée" de "missiles et des drones" russes avaient provoqué "des incendies dans plusieurs zones" de la capitale.

La ville portuaire d'Odessa a aussi subi des attaques. "Treize personnes ont été hospitalisées. Des gens pourraient être piégés sous les décombres", a déclaré le gouverneur de la ville du sud de l'Ukraine Oleg Kiper.

Les autorités russes ont de leur côté annoncé des restrictions temporaires de vol sur les quatre aéroports de Moscou.

Le chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, a dénoncé sur Telegram de nouvelles frappes russes sur "des immeubles résidentiels à Kiev. La Russie poursuit sa guerre contre les civils."

Les récents pourparlers de paix entre Moscou et Kiev sont bloqués, alors que les deux camps campent sur leurs positions, très éloignées. Moscou a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par Kiev et les Européens, tandis que l'Ukraine a qualifié d'"ultimatums" les demandes russes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Oklahoma City à un succès du titre

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Jalen Williams a sorti le grand jeu lundi (© KEYSTONE/AP/Kyle Phillips)

Le Thunder est à un succès du titre en NBA. Oklahoma City a dominé les Indiana Pacers 120-109 à domicile lundi pour mener 3-2 dans cette finale des play-off.

OKC, qui a pu craindre un temps un nouveau retour miraculeux des Pacers, a donc pris pour la première fois l'avantage dans cette série. Le Thunder bénéficiera d'une première occasion de conclure jeudi à Indianapolis lors du match 6.

Lieutenant du MVP Shai Gilgeous-Alexander (31 points, 10 passes), Jalen Williams a été exceptionnel avec 40 points, 6 rebonds et 4 passes décisives. "Mes coéquipiers me donnent une grande confiance en moi, me demandent de rester moi-même", a-t-il expliqué au micro du diffuseur.

"On a l'opportunité de se servir de nos expériences passées. Ce soir, c'était honnêtement exactement comme le match 1 (avec un retour victorieux des Pacers). On apprend au fil de cette finale, c'est ce qui rend notre équipe si bonne. On a été capables collectivement d'obtenir des stops défensifs pour l'emporter."

Les Pacers, largement dominés en première période (59-45 à la pause, après avoir accusé jusqu'à 18 longueurs de retard), sont en effet revenus à deux points en début de quatrième quart dans le sillage de Pascal Siakam (28 points, 6 rebonds, 5 assists, 3 interceptions) et de l'étonnant T.J. McConnell (18 points).

Leur héros habituel Tyrese Haliburton, touché au mollet droit en début de partie, a en revanche raté son match (4 points, tous sur la ligne des lancers-francs, 0/6 au tir). Et, contrairement à ce qui s'était passé dans un acte I remporté par Indiana en Oklahoma, le Thunder a cette fois-ci tenu bon dans le "money time".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Conflit Israël-Iran: Trump a quitté prématurément le G7

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Le président américain Donald Trump va quitter prématurément le sommet du G7. (© KEYSTONE/AP/Suzanne Plunkett)

Donald Trump a quitté en hélicoptère lundi soir le sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt qu'initialement prévu, afin de se consacrer selon la Maison Blanche au conflit entre Israël et l'Iran, selon des journalistes sur place

Le président américain a toutefois signé juste avant ce retour précipité pour Washington un communiqué commun dans lequel les chefs d'Etat et de gouvernement du groupe appellent à une "désescalade" au Moyen Orient tout en affirmant le droit d'Israël à "se défendre" et en déclarant que l'Iran ne devra "jamais" pouvoir se doter de l'arme nucléaire.

"A cause de ce qui se passe au Moyen-Orient, le président Trump va partir ce soir après le dîner" avec les autres dirigeants du sommet du G7 au Canada, un jour plus tôt que prévu, avait annoncé lundi sa porte-parole Karoline Leavitt sur X.

Le président américain, dont le séjour dans les Rocheuses canadiennes devait se prolonger jusqu'à mardi en fin de journée et se conclure par une conférence de presse, "rentre à Washington pour s'occuper de nombreux sujets importants", a-t-elle déclaré par ailleurs dans un court communiqué.

Cette annonce vient peu après que Donald Trump a écrit sur son réseau Truth Social: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement.

Le milliardaire républicain de 79 ans avait auparavant assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, sans bien expliquer si ce serait le résultat de la contrainte militaire ou de négociations.

Il est par ailleurs resté évasif lundi sur la question d'une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël.

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive, Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes contre sa télévision nationale et plusieurs autres cibles.

Egalement depuis le Canada, le président français Emmanuel Macron a lui averti que vouloir renverser le régime iranien par la force serait une "erreur stratégique", en appelant à "cesser" les frappes contre les civils, que ce soit en Iran et en Israël.

Le départ prématuré de M. Trump ignifie par ailleurs que la rencontre bilatérale prévue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'aura pas lieu, et que les Européens n'ont guère eu le temps de le convaincre de durcir les sanctions sur le pétrole russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Cinquième nuit d'escalade entre Israël et l'Iran

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Cette capture d'écran est issue d'une vidéo diffusée par la télévision d'Etat iranienne. Elle montre le siège de la télévision nationale en flammes, après une attaque de drône israélien. (© KEYSTONE/AP)

Israël et l'Iran échangent barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive mardi, alimentant les craintes d'escalade de la part des grandes puissances. A tel point que Donald Trump appelle à "évacuer Téhéran immédiatement".

Malgré les appels à la fin des hostilités émis par la communauté internationale, les deux ennemis jurés ne montrent aucun signe d'apaisement dans la confrontation militaire qui les oppose depuis vendredi, quand Israël a lancé une offensive sans précédent contre l'Iran avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de la bombe atomique.

Après une nouvelle vague de frappes israéliennes qui a touché la télévision nationale iranienne, les deux pays ont activé dans la nuit leurs systèmes de défense anti-aérienne et les capitales étrangères semblent se préparer à une poursuite de l'escalade.

La Chine, via son ambassade, a pressé ses ressortissants à quitter Israël au plus vite tandis que les Etats-Unis ont annoncé déployer des "ressources supplémentaires" au Moyen-Orient pour y renforcer leur "dispositif défensif", selon le ministre de la Défense Peter Hegseth.

Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, a mis le cap à l'ouest et prend la direction du Moyen-Orient, selon le Pentagone.

"Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement", a déclaré Donald Trump, qui va quitter le sommet des pays riches du G7 prématurément, dès lundi soir, pour se consacrer à l'évolution du conflit.

"L'Iran aurait dû signer l''accord' quand je leur ai dit de signer. Quel dommage et quel gâchis de vies humaines", a tempêté le président républicain, qui avait relancé récemment les négociations avec Téhéran sur le programme nucléaire iranien, sur son réseau Truth Social.

Mais la République islamique s'est retirée de ces pourparlers en raison des attaques israéliennes et sa riposte continue. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont annoncé une "neuvième salve d'attaque combinée de drones et missiles (qui) se poursuivra sans interruption jusqu'à l'aube".

Télévision d'Etat attaquée

Les sirènes d'alerte ont retenti à deux reprises mardi à l'aube dans plusieurs points d'Israël, notamment dans le nord, après que l'armée a annoncé avoir "identifié des missiles lancés depuis l'Iran vers le territoire de l'Etat d'Israël". Mais dans les deux cas, les habitants ont été autorisés à quitter les abris quelques instants plus tard.

Selon le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, les représailles iraniennes ont fait au moins 24 morts depuis vendredi.

Du côté iranien, les frappes israéliennes, qui ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés depuis vendredi, selon un bilan officiel établi dimanche.

Trois secouristes du Croissant-Rouge iranien ont été tués lundi à Téhéran dans un bombardement durant leur travail, a annoncé l'organisation. Et les émissions de la télévision publique iranienne ont été brièvement interrompues par une attaque israélienne contre son bâtiment.

Cette attaque s'est produite alors qu'une présentatrice critiquait vivement Israël à l'antenne. Elle a été vue quittant précipitamment le plateau dans un nuage de poussière, tandis que des débris du plafond tombaient autour d'elle.

Téhéran a condamné "un acte ignoble et un crime de guerre", et a appelé deux chaînes de télévision israéliennes à évacuer leurs locaux.

Changer "la face du Moyen-Orient"

Le Grand Bazar, le principal marché de Téhéran, est resté fermé lundi. Les rues de la capitale étaient pour la plupart désertes, les magasins fermés à l'exception de quelques épiceries, et de nombreux automobilistes faisaient la queue aux stations-service.

Un vendeur a signalé une augmentation des achats compulsifs, disant que son magasin "était en rupture de stocks d'eau".

Lors d'une conférence de presse télévisée lundi, Benjamin Netanyahu a affirmé qu'Israël était en train de changer "la face du Moyen-Orient".

"Nous avons éliminé les responsables de la sécurité de l'Iran parmi lesquels trois chefs d'état-major, le commandant de l'armée de l'air et deux chefs des services de renseignement. Nous les éliminons un par un", s'est-il vanté.

Dans plusieurs interviews à des médias internationaux, le Premier ministre israélien a également lancé un appel au peuple iranien pour qu'il se soulève contre la "tyrannie" et estimé qu'assassiner le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mettrait "fin au conflit".

"Arrêter la guerre"

Au G7, le président français Emmanuel Macron a estimé que vouloir changer le régime en Iran par la force serait une "erreur stratégique" et a jugé "absolument essentiel que toutes les frappes qui se font de part et d'autre contre des infrastructures énergétiques, administratives, culturelles et encore plus contre la population civile cessent".

"Si les États-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose", a également déclaré le dirigeant français, alors que Donald Trump avait assuré dans la soirée qu'un "accord" allait être trouvé. "A ce stade, de manière objective, rien ne me laisse espérer que dans les prochaines heures les choses bougent".

Sur X, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi s'est demandé si le président américain Donald Trump "prend au sérieux la diplomatie et est intéressé d'arrêter la guerre". "Il suffit d'un seul coup de téléphone de Washington pour museler quelqu'un comme Netanyahu", a-t-il écrit.

Ce conflit a éclaté au moment où l'Iran et les Etats-Unis prévoyaient une nouvelle séance de négociations à Oman sur le nucléaire iranien dimanche.

Soupçonné par les Occidentaux et par Israël de vouloir fabriquer l'arme nucléaire, l'Iran dément et défend son droit à enrichir de l'uranium afin de développer un programme nucléaire civil.

Israël affirme avoir détruit "la principale installation" du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a cependant affirmé qu'il n'y a "pas d'indication d'attaque" contre la partie souterraine du site, qui abrite la principale usine d'enrichissement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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