Rejoignez-nous

Économie

L'immense fusée Starship de SpaceX s'est envolée pour son 2e test

Publié

,

le

Starship, qui a décollé du Texas samedi, est la plus grande et la plus puissante fusée jamais construite par SpaceX. (© KEYSTONE/AP/Eric Gay)

SpaceX a fait décoller samedi la plus grande et plus puissante fusée jamais construite, Starship, après un premier lancement qui s'était terminé en une gigantesque explosion au printemps.

"Trajectoire de Starship nominale", a-t-on pu entendre sur le flux vidéo en direct de l'entreprise d'Elon Musk, quelques minutes après le décollage de la fusée.

Le module Starship, placé au sommet de la fusée s'est séparé avec succès de l'étage de propulsion Super Heavy, qui lui n'a pas survécu à sa redescente programmée et a subi une explosion, selon les commentateurs du flux vidéo.

La fusée géante de 120 mètres de haut s'est arrachée du sol peu après 07h00 locales (14h00 suisses) depuis la base de SpaceX à Boca Chica, dans l'extrême sud du Texas, aux Etats-Unis.

Ce deuxième vol d'essai de SpaceX, l'entreprise du milliardaire Elon Musk, est notamment scruté de près par la Nasa, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Économie

La Fed maintient ses taux face

Publié

le

La Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu mercredi ses taux inchangés. (archives) (© KEYSTONE/AP/ANDREW HARNIK)

La Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu mercredi ses taux d'intérêt inchangés à l'issue de sa dernière réunion, faisant état de l'"absence de progrès" récents sur le front de l'inflation. Elle dégonflera moins vite le volume d'actifs à son bilan dès juin.

La banque centrale américaine a laissé ses taux au plus haut depuis plus de vingt ans, entre 5,25 et 5,50%, fourchette au sein de laquelle ils évoluent depuis juillet, a-t-elle annoncé dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion.

Cela a pour effet de maintenir à un niveau élevé les taux d'intérêts des prêts immobiliers, des cartes de crédit, des prêts automobiles ... afin d'empêcher les prix de continuer à flamber.

Le président de la Fed Jerome Powell doit tenir une conférence de presse à 14h30 locales (20h30 suisses).

Le Comité de politique monétaire (FOMC) précise que "ces derniers mois, il y a eu une absence de progrès supplémentaires vers l'objectif du Comité de 2% d'inflation".

L'inflation semblait sur la bonne trajectoire pour rejoindre progressivement son objectif de 2%. Mais depuis janvier, elle est repartie à la hausse, à 2,7% sur un an en mars, selon l'indice PCE privilégié par la Fed - celui qu'elle souhaite ramener à 2% -, et à 3,5% selon l'indice CPI.

La Fed maintient "sa position, comme si elle faisait une pose de yoga. Ils doivent maintenir les taux, au moins au niveau actuel", sous peine de faire face à "une reprise de l'inflation", a commenté mercredi lors d'une conférence téléphonique (avant la décision) Nela Richardson, cheffe économiste d'ADP, qui publie une enquête mensuelle sur l'emploi privé.

Les marchés, qui étaient pleins d'espoir de voir les taux commencer à baisser en juin, misent désormais plutôt sur septembre, ou même novembre, selon l'estimation de CME Group.

"La Fed aura besoin de plusieurs mois de bonnes nouvelles en matière de croissance des salaires et d'inflation", note Nancy Vanden Houten, économiste pour Oxford Economics.

Réduire moins vite le bilan

La Réserve fédérale marque cependant un début d'assouplissement de politique monétaire: elle a en effet annoncé mercredi qu'elle réduira moins vite à partir de juin, le volume d'actifs à son bilan.

Le portefeuille de la Fed avait grossi pendant la pandémie, lorsqu'elle massivement acheté des titres, inondant le marché de liquidités pour maintenir le fonctionnement du système financier.

Puis, parallèlement aux hausses de taux destinées à lutter contre l'inflation, elle avait cédé des titres, réduisant son portefeuille de 1500 milliards de dollars.

Le rebond de l'inflation aux Etats-Unis contraste avec l'Europe, où le net ralentissement de l'inflation conduit la Banque centrale européenne (BCE) à envisager une baisse des taux dès juin.

Le marché de l'emploi américain aussi reste trop tendu au goût de la Fed. Les chiffres officiels d'avril seront publiés vendredi, mais les entreprises du seul secteur privé ont créé 192'000 emplois en avril, selon l'enquête mensuelle ADP/Stanford Lab publiée mercredi.

Pour enfoncer le clou, l'indice du coût de l'emploi s'est montré au premier trimestre bien plus élevé qu'attendu, "suggérant que la décélération des salaires s'est arrêtée, au moins temporairement", relève Krishna Guha, économiste pour Evercore, société de conseil en investissements.

Jerome Powell devrait également être interrogé, pendant la conférence de presse, sur l'élection présidentielle de novembre.

Bien que la Fed soit indépendante du pouvoir politique, le scrutin, qui verra s'affronter le président démocrate Joe Biden, et son prédécesseur républicain Donald Trump, se tiendra la veille d'une réunion du comité de politique monétaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Économie

Changement climatique: les géants pétroliers savaient

Publié

le

les géants du pétrole savaient depuis les années 60 (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/FRANCOIS MORI)

Les principaux géants mondiaux du pétrole et du gaz savaient depuis "au moins" les années 1960 que les énergies fossiles allaient entraîner un réchauffement de la planète mais ils ont persisté à le nier et même pratiqué la désinformation. selon un rapport.

"Pendant plus d'un demi-siècle, les 'Big Oil' ont trompé le public américain au sujet de leur rôle dans la crise climatique, en faisant tout ce qui était en leur pouvoir pour que les Etats-Unis et le monde entier restent dépendants de leurs produits polluants", dénonce le rapport d'une commission d'enquête d'élus démocrates de la Chambre des représentants, publié mardi.

Les "Big Oil" sont les six géants et organismes passés au crible pendant cette enquête lancée en septembre 2021: ExxonMobil, Chevron, BP America, Shell, l'American Petroleum Institute (API) - représentant du secteur pétrolier - et la Chambre de commerce.

"Tous les six (...) ont fait obstruction et retardé" cette enquête en refusant de se soumettre "malgré des assignations", souligne le rapport de 65 pages intitulé "Dénégation, désinformation, et double langage: évolution des efforts des 'Big Oil' pour esquiver la responsabilité du changement climatique".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Économie

Le directeur général des SIG part à la retraite anticipée

Publié

le

Christian Brunier prend avec effet immédiat une retraite anticipée (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Christian Brunier quitte avec effet immédiat les Services industriels de Genève (SIG). Le directeur général de l'entreprise, empêtré dans une affaire de népotisme présumé, a annoncé mardi faire valoir ses droits à la retraite anticipée.

"Christian Brunier est extrêmement affecté par les attaques dont il fait l'objet. Il a jugé préférable de partir le plus rapidement possible", a indiqué devant les médias le président des SIG Robert Cramer. En temps normal, Christian Brunier avait prévu de prendre sa retraite anticipée le 31 mars 2025.

Christian Brunier a passé 45 ans aux SIG, dont dix ans en tant que directeur.

Des soupçons de népotisme pèsent sur Christian Brunier depuis que la Tribune de Genève et la télévision Léman Bleu ont révélé que ses deux beaux-fils travaillaient aux SIG, ainsi que l'épouse de l'un d'eux. Vendredi dernier, c'est la RTS qui informait l'engagement par l'entreprise d'un neveu du directeur général.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Baromètre conjoncturel du KOF: légère reprise en avril

Publié

le

Le secteur de la construction évolue de manière particulièrement favorable (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

L'économie suisse reprend quelques couleurs en avril, selon le baromètre conjoncturel du KOF publié mardi. Mais aucune relance forte n'est actuellement en vue.

Le baromètre conjoncturel a gagné 1,4 point en avril pour atteindre 101,8 points, après deux mois consécutifs de baisse, écrit le Centre de recherches conjoncturelles (KOF) de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich dans son communiqué. Avec cette hausse, l'indicateur revient dans une zone légèrement supérieure à la moyenne.

Les perspectives s'améliorent dans les services financiers et l'assurance, l'industrie manufacturière et la consommation privée. Les perspectives pour les secteurs de la construction et de l'hôtellerie sont en revanche légèrement moins favorables qu'en mars.

Dans l'industrie manufacturière et la construction, l'activité de production et la situation générale des affaires évoluent de manière particulièrement favorable. En revanche, le taux d'utilisation des machines et des équipements ainsi que les stocks de produits intermédiaires ou les achats de biens intermédiaires plombent la situation.

L'évolution se révèle très inégale dans les branches de l'industrie manufacturière. L'industrie chimique et pharmaceutique ainsi que la construction mécanique tirent leur épingle du jeu, contrairement aux fabricants de produits alimentaires et de luxe ainsi qu'à l'industrie du textile et de l'habillement, qui se distinguent de manière négative.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Sagittaire

Actuellement, vous n’avancez qu’à petits pas, mais l'important est que vous progressiez… L’avenir se présente plutôt bien !

Les Sujets à la Une

X