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L'incendie meurtrier d'un hôtel à Poipet dû à un défaut électrique

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Les recherches ont cessé vendredi soir dans l'hôtel casino à Poipet. (© KEYSTONE/AP/Heng Sinith)

Un court-circuit électrique est à l'origine de l'incendie d'un hôtel casino qui a fait 26 morts au Cambodge, ont indiqué samedi les autorités. Elles ont déploré la configuration du bâtiment qui a retardé les secours.

Le feu s'est déclaré mercredi soir vers 23h30 dans l'hôtel casino Grand Diamond City à Poipet, ville cambodgienne frontalière avec la Thaïlande. Les flammes se sont rapidement propagées et plusieurs personnes ont été obligées de sauter dans le vide depuis leurs fenêtres et balcons pour leur échapper, selon des vidéos et des témoignages.

"L'accident a été causé par un court-circuit électrique", a déclaré le vice-président du comité national pour la gestion des désastres, qui a confirmé la mort de 26 personnes, dont 17 Thaïlandais, un Malaisien et un Népalais.

Brûlés vifs

"Certains sont morts brûlés, d'autres à cause du manque d'oxygène, d'autres étaient brûlés et sont morts en cherchant la sortie", a-t-il ajouté. Il a déploré le retard pris par les pompiers pour contrôler l'incendie en raison du manque d'équipement et de la configuration du complexe hôtelier.

Un employé thaïlandais du casino, Neung, 42 ans, a raconté que son père était mort dans une chambre de l'hôtel après avoir aidé deux femmes à s'échapper. "Il a consacré beaucoup d'énergie à les aider et il est mort étouffé par la fumée", a-t-il dit à l'AFP. "Maintenant, j'aimerais juste récupérer son corps".

Les recherches de corps ont cessé vendredi soir. Les secouristes ont inspecté l'ensemble du bâtiment. Les services de secours cambodgiens ont reçu l'aide de leurs homologues thaïlandais, venus de l'autre côté de la frontière toute proche, et qui ont pris en charge de nombreux blessés.

Selon les autorités thaïlandaises, plus de 50 personnes ont été hospitalisées, dont treize se trouvaient dans un état critique vendredi soir.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Alex Fiva gagne à nouveau à Val Thoren

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Alex Fiva: un 14e succès en Coupe du monde. (© KEYSTONE/EPA TT NEWS AGENCY/ANDERS WIKLUND)

Après un long tunnel de trois ans, Alex Fiva a renoué avec la victoire sur le front de la Coupe du monde. Le Grison s'est imposé à Val Thorens pour cueillir un 14e succès.

Sur une piste où il s'était imposé en 2021 pour sa dernière victoire avant ce magnifique vendredi, Alex Fiva a partagé les lauriers avec l'Autrichien Adam Kappacher. Les deux hommes ont été classés à la première place à la photofinish. En finale, le Grison a été distancé dans un premier temps avant de bénéficier d'un accrochage entre Kappacher et le Canadien Kevin Dury pour revenir dans le jeu.

Deuxième jeudi, Fanny Smith n'est, pour sa part, pas parvenue à se hisser en finale. Classée finalement au sixième rang, la Vaudoise a suivi en spectatrice le succès de la Canadienne India Sherret. Victime d'une chute jeudi, la Suédoise et grandissime favorite Sandra Näslund a renoncé à concourir.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Des milliers de Syriens dans les rues pour fêter

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"Uni, uni, uni, le peuple syrien est uni", scandent les fidèles à la célèbre mosquée des Omeyyades à Damas où était attendu M. Jolani pour la prière hebdomadaire. (© KEYSTONE/AP/Omar Sanadiki)

Des milliers de Syriens sont descendus vendredi dans les rues pour fêter la "victoire de la révolution" après la chute du régime de Bachar al-Assad. Ils répondaient à l'appel du chef de la coalition armée qui a pris le pouvoir à Damas, Abou Mouhammad al-Jolani.

"Je veux féliciter le peuple syrien pour la victoire de la révolution et je les appelle à descendre dans les rues pour exprimer leur joie", a déclaré M. Jolani, qui se fait appeler désormais de son vrai nom, Ahmad al-Chareh.

A l'issue d'une offensive de 11 jours, la coalition rebelle dominée par son groupe islamiste sunnite radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) s'est emparée dimanche de Damas, mettant fin à un demi-siècle de pouvoir de la famille Assad.

A la mi-journée, à Damas, la capitale, Alep, dans le nord, ou Soueida, dans le sud, des milliers d'hommes, femmes et enfants, convergent dans les centres. L'ambiance est à la fête, beaucoup brandissent le drapeau à trois étoiles, symbole du soulèvement de 2011, adopté par les nouvelles autorités.

"Notre joie est indescriptible"

"Les Assad père et fils nous ont oppressés mais nous avons libéré notre pays de l'injustice", s'enthousiame à Alep un policier de 47 ans, tandis qu'une sono diffuse slogans et chants.

"Notre joie est indescriptible", s'exclame Haitham Houdeifa, 54 ans dans le fief druze de Soueida, théâtre de manifestations anti-Assad depuis un an et demi.

"Uni, uni, uni, le peuple syrien est uni", scandent les fidèles à la célèbre mosquée des Omeyyades à Damas où était attendu M. Jolani pour la prière hebdomadaire.

Dizaines de photos de disparus

Mais la liesse est aussi teintée de gravité: sur les murs de la mosquée, des dizaines de photos de personnes disparues aux mains des anciens services de sécurité sont accrochées, témoignant de la douloureuse quête de proches menée par de nombreux Syriens après des décennies de féroce répression.

Le pays, multiethnique, multiconfessionnel et morcelé doit faire face à de nombreux défis, face auxquels les nouvelles autorités tentent de rassurer, et la communauté internationale se mobilise.

Réunion des pays du G7

Les dirigeants des pays du G7 se réunissent en visioconférence vendredi pour examiner la situation en Syrie, où le Premier ministre, nommé mardi pour diriger un gouvernement transitoire jusqu'au 1er mars, a promis d'instaurer un "Etat de droit".

La Jordanie accueillera samedi un sommet sur la Syrie réunissant ministres et haut diplomates américains, européens, arabes et turcs.

Pour "une transition inclusive"

Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a rencontré vendredi son homologue turc Hakan Fidan à Ankara, au lendemain d'une visite en Jordanie où il a plaidé pour "une transition inclusive" vers un gouvernement "responsable et représentatif".

Le Bahreïn, qui préside la session actuelle du sommet arabe, s'est dit prêt à coopérer avec les nouvelles autorités dans une lettre à M. Jolani. HTS affirme avoir rompu avec le jihadisme mais reste classé "terroriste" par certaines capitales occidentales, dont Washington.

"Impératif" de lutter contre l'EI

M. Blinken a jugé "impératif" de lutter contre la résurgence du groupe jihadiste Etat islamique (EI), lors d'une conférence de presse avec M. Fidan.

Dans le nord-est syrien, la Turquie soutient des forces rebelles engagées contre les FDS (Forces démocratiques syriennes), dominées par les Kurdes et soutenues par les Etats-Unis contre l'EI.

Ankara ne permettra "jamais de la faiblesse dans la lutte contre" l'EI, a assuré jeudi soir le président turc, Recep Tayyip Erdogan, à M. Blinken.

Problème kurde

Mais il a souligné sa détermination à empêcher que le PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan, séparatiste) - considéré par la Turquie comme terroriste et noyau des FDS - ne mette à profit "la situation" en Syrie.

Dans un geste d'ouverture envers HTS, l'administration autonome kurde a annoncé jeudi adopter le nouveau drapeau syrien flottant sur Damas.

Israël reste en Syrie

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a lui ordonné vendredi à l'armée de "se préparer à rester" tout l'hiver dans la zone tampon avec la Syrie à la lisière de la zone du plateau du Golan annexée par Israël après sa conquête en 1967, où elle est entrée, ce que l'ONU a condamné, après la victoire rebelle.

Israël a aussi mené ces derniers jours des centaines de frappes en Syrie contre des sites militaires stratégiques. Son objectif est que les équipements de l'armée syrienne ne tombent pas entre de "mauvaises mains", a déclaré M. Blinken, mais Washington discute avec Israël "de la voie à suivre".

Syriens appelés à rentrer

Le Premier ministre de transition, Mohammad al-Bachir, a appelé les Syriens exilés à rentrer, s'engageant à "garantir les droits de tous".

Quelque six millions de Syriens, un quart de la population, ont fui le pays depuis 2011, quand la répression de manifestations pro démocratie a déclenché une guerre civile dévastatrice, qui a fait plus d'un demi-million de morts.

A Alep, où la communauté chrétienne s'est réduite à quelque 30'000 personnes depuis 2011, le Père Bahjat dit comprendre les inquiétudes envers le nouveau pouvoir. "Mais sur le terrain nous n'avons pas subi de discrimination", assure-t-il.

Pont humanitaire de l'UE

L'UE a annoncé vendredi le lancement d'un pont aérien humanitaire destiné à la Syrie, via la Turquie, après que le Programme alimentaire mondial (PAM) a lancé un appel urgent à des crédits de 250 millions de dollars pour y fournir "une aide alimentaire".

L'ONU a recensé plus d'un million de nouveaux déplacés depuis le lancement de l'offensive rebelle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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François Bayrou nouveau 1er ministre d'un pays en crise politique

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Le centriste François Bayrou (à droite) est un allié de longue date d'Emmanuel Macron (archives). (© KEYSTONE/EPA POOL/CAROLINE BLUMBERG / POOL)

Après plus d'une semaine de tergiversations, Emmanuel Macron a nommé vendredi son allié François Bayrou 1er ministre, un défi immense pour le centriste qui sera chargé de dénouer la crise dans laquelle se débat la France depuis la dissolution de l'Assemblée en juin.

La nomination de M. Bayrou, vétéran de la politique française âgé de 73 ans et allié historique du président Macron, intervient neuf jours après la chute du gouvernement de Michel Barnier, renversé le 4 décembre par une censure historique votée par des députés de gauche et d'extrême droite.

La passation de pouvoir entre les deux hommes aura lieu vendredi à 17h00, a appris l'AFP auprès des services du Premier ministre.

M. Bayrou devient ainsi le sixième locataire de Matignon, lieu de travail des Premiers ministres français, depuis la première élection d'Emmanuel Macron en 2017 - et le quatrième en 2024, une instabilité de l'exécutif que n'avait pas connue la France depuis des décennies.

A la tête d'un "gouvernement d'intérêt général" "resserré", voulu par Emmanuel Macron, il va être confronté à une tâche immense, avec pour priorité le budget 2025, alors que la France a une dette abyssale.

Dans un contexte de colère des agriculteurs et de multiplication des plans sociaux, les niveaux des déficits et de la dette seront "une réalité qui s'imposera à tout gouvernement, quel qu'il soit", avait prévenu Michel Barnier avant d'être renversé.

En attendant que ce nouveau budget soit adopté, un projet consensuel de "loi spéciale" permettant d'assurer la continuité du fonctionnement de l'Etat sera examinée lundi par l'Assemblée nationale.

Défi politique

Le nouveau Premier ministre devra aussi naviguer sur la scène politique éclatée issue des législatives anticipées organisées après la dissolution surprise de l'Assemblée par le président Macron en juin dernier. Le scrutin a débouché sur un hémicycle fracturé en trois blocs (alliance de gauche / macronistes et centristes / extrême droite), aucun ne disposant de la majorité absolue.

M. Bayrou doit "dialoguer" avec les partis hors Rassemblement national (extrême droite) et LFI (gauche radicale) pour "trouver les conditions de la stabilité et de l'action", a fait savoir l'entourage de M. Macron après l'annonce de la nomination.

S'il n'y aura pas de censure "a priori" venant du RN, a déclaré son président Jordan Bardella, le parti de gauche radicale La France insoumise (LFI) a à l'inverse affirmé qu'il voterait la censure de M. Bayrou car celui-ci n'est pas issu des rangs de la gauche.

A gauche, le Parti socialiste, et dans une moindre mesure les communistes, ont donné quelques gages de compromis, mais il n'est pas sûr qu'ils soutiennent franchement François Bayrou. Les Ecologistes ont déjà menacé de censure le nouveau Premier ministre s'il poursuit la même politique et garde Bruno Retailleau au poste de ministre de l'Intérieur, qu'ils jugent trop à droite.

"Gouvernement d'intérêt général"

M. Bayrou veut trouver, selon sa formule, les contours d'un "accord de coopération démocratique" : le gouvernement s'engagerait à ne pas recourir au 49.3, un article de la Constitution française qui permet d'adopter un texte sans vote, pour imposer ses lois, et les opposants de leur côté ne le censureraient pas.

Le dirigeant centriste a finalement été préféré à d'autres noms qui ont circulé jusqu'au bout, comme celui de l'ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve, des ministres de l'aile droite de la macronie Sébastien Lecornu ou Catherine Vautrin.

C'est une arrivée à Matignon aux allures de consécration particulière pour le lointain ministre de l'Éducation (1993-1997) depuis longtemps tourné vers la plus haute fonction: inlassable défenseur d'un centre indépendant, François Bayrou a été trois fois candidat à l'élection présidentielle de 2002 à 2012, sans jamais parvenir au second tour.

Son alliance avec Emmanuel Macron en 2017 a dégagé la voie pour l'élection du plus jeune président de l'histoire.

Nommé alors ministre de la Justice, il n'est resté en fonctions que 34 jours en 2017, empêché par une affaire de détournement de fonds européens afin de payer des assistants parlementaires du MoDem, son parti. Le jugement en première instance, en février 2024, a lourdement condamné le Modem, mais M. Bayrou a été relaxé. Le parquet a fait appel.

Depuis 2017, M. Bayrou, qui est maire de Pau, dans le sud-ouest, a régulièrement distillé des critiques contre la politique - trop à droite - et la pratique du pouvoir - trop personnelle - de son allié, sans jamais se départir de sa solidarité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Israël demande à l'armée de rester dans la zone tampon en Syrie

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Le bureau du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a indiqué jeudi que l'effondrement du gouvernement Assad avait créé un "vide à la frontière d'Israël et dans la zone tampon. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a ordonné vendredi à l'armée de "se préparer à rester" tout l'hiver dans la zone tampon entre Israël et la Syrie sur le sommet du plateau du Golan, où se trouve une force de l'ONU.

Israël, qui a conquis une partie de ce plateau lors de la guerre israélo-arabe de 1967, s'est emparé dimanche de la zone démilitarisée, quelques heures seulement après la fuite du président syrien, Bachar al-Assad, chassé du pouvoir par les rebelles syriens.

Depuis, l'armée israélienne a mené des centaines de frappes aériennes et navales contre des installations militaires en Syrie, visant aussi bien les stocks d'armes chimiques que les défenses aériennes, afin de les empêcher de tomber selon elle entre les mains des rebelles.

La présence de troupes israéliennes dans la zone tampon intervient à un moment où l'armée continue de retirer des soldats du sud du Liban après le cessez-le-feu conclu fin novembre à l'issue de deux mois de guerre ouverte contre le mouvement libanais pro-iranien Hezbollah. Parallèlement, la guerre menée par l'armée israélienne contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023 est loin d'être terminée.

"En raison de ce qui se passe en Syrie, il est d'une importance sécuritaire capitale de maintenir notre présence au sommet du mont Hermon, et il faut tout faire pour garantir la préparation de (l'armée) sur place, afin de permettre aux combattants de séjourner dans cet endroit malgré les conditions climatiques difficiles" durant l'hiver, a déclaré le ministre israélien de la Défense dans un communiqué.

Le bureau du Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a indiqué jeudi que l'effondrement du gouvernement Assad avait créé un "vide à la frontière d'Israël et dans la zone tampon", soulignant que la présence de troupes israéliennes y était temporaire, en attendant que la sécurité à la frontière entre Israël et la Syrie puisse être garantie.

Risques liés au "chaos"

L'occupation par Israël de la zone tampon a suscité de nombreuses critiques internationales, notamment de la part du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Il a appelé jeudi, par la voix de son porte-parole, "toutes les parties" à "mettre fin à la présence non autorisée dans la zone de séparation et à s'abstenir de toute action qui saperait le cessez-le-feu et la stabilité du Golan".

L'ONU considère la prise de contrôle de la zone tampon à la lisière de la partie du plateau du Golan occupée et annexée par Israël comme une "violation" de l'accord de désengagement de 1974 entre la Syrie et Israël. Les Etats-Unis, principal allié militaire d'Israël, ont demandé que l'incursion israélienne soit "temporaire".

Selon certains analystes, Israël craint que les stocks d'armes chimiques ou d'autres armes stratégiques conservées par les forces armées du président syrien déchu ne tombent entre les mains de groupes djihadistes, qui pourraient les utiliser contre lui.

Pour Michaël Horowitz, expert en géostratégie, la durée de la présence des troupes israéliennes dans la zone tampon va "dépendre de la stabilité et des intentions du nouveau régime syrien".

Si les nouveaux maîtres de Damas semblent envoyer des messages conciliants, même à l'égard d'Israël, "je crois qu'après le 7-Octobre, Israël n'est pas prêt à prendre des risques", explique-t-il à l'AFP.

"Dans le chaos actuel (en Syrie), et au vu de la composition du gouvernement israélien (avec des ministres d'extrême droite, ndlr), je crois que la tentation sera très forte de rester sur la partie syrienne du Hermon, même à plus long terme", ajoute-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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