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L'Iran et la Syrie s'engagent à renforcer leurs relations

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Ebrahim Raïssi et Bachar al-Assad ont signé mercredi un protocole d'accord pour un plan de coopération stratégique. (© KEYSTONE/AP/Omar Sanadiki)

Le président iranien Ebrahim Raïssi et son homologue syrien Bachar al-Assad se sont engagés vendredi à renforcer les liens bilatéraux et développer les relations économiques. Ils ont mis l'accent sur la reconstruction, au terme d'une visite de M. Raïssi à Damas.

Depuis le début de la guerre en Syrie, l'Iran a offert à Damas une assistance économique et militaire vitale qui a aidé le gouvernement syrien à récupérer la majorité des territoires perdus après le début du conflit en 2011.

Les entretiens de M. Raïssi avec le président syrien ont porté sur les "moyens de développer et de renforcer les relations bilatérales" et "mis l'accent sur le maintien de la coopération dans la reconstruction" de la Syrie, ravagée par 12 ans de guerre, selon une déclaration commune communiquée vendredi.

M. Assad souhaite procéder à la reconstruction des infrastructures pour relancer l'économie, malgré les sanctions occidentales qui pèsent sur le pays. Les deux hommes ont également exprimé leur "volonté de développer les relations commerciales et économiques".

MM. Raïssi et Assad ont signé mercredi un protocole d'accord pour un plan de coopération stratégique dans plusieurs domaines, dont l'agriculture, les chemins de fer, l'aviation civile, le pétrole et les zones franches créées pour attirer des investissements.

Un "tournant"

En concluant ce premier déplacement en Syrie d'un président iranien depuis 2020, M. Raïssi a salué un "tournant" dans les liens entre les deux alliés. Cette visite intervient au moment où le président syrien s'efforce de mettre fin à plus d'une décennie d'isolement diplomatique, aidé par le rapprochement inattendu entre l'Arabie saoudite et l'Iran, deux puissances rivales du Moyen-Orient.

Le sommet annuel de la Ligue arabe, prévu le 19 mai à Ryad, portera notamment sur un éventuel retour au sein de l'organisation panarabe de la Syrie, suspendue après le début de la guerre civile.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Iran: une frappe israélienne a visé le ministère de la défense

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Israël poursuivait ses bombardements sur Téhéran dans la nuit de samedi à dimanche. (© KEYSTONE/EPA/ABEDIN TAHERKENAREH)

L'agence de presse iranienne Tasnim a affirmé dimanche que le ministère iranien de la défense à Téhéran a été pris pour cible par des frappes d'Israël. Les deux pays poursuivent leurs échanges de frappes depuis vendredi.

"Suite à l'attaque de ce soir par l'aviation du régime sioniste sur Téhéran, le siège du ministère de la défense a été pris pour cible", a indiqué Tasnim, ajoutant qu'un des bâtiments avait été "légèrement endommagé". Le ministère iranien de la défense n'a pas commenté.

En Israël, une femme d'une vingtaine d'années a été tuée et 14 autres ont été blessées samedi soir près d'Haïfa à la suite des tirs de missiles depuis l'Iran, ont indiqué les secours.

A Tel-Aviv, un journaliste de l'AFP a rapporté que des personnes s'étaient réfugiées dans des abris antiaériens après le retentissement des sirènes d'alerte à travers le pays.

Les missiles tirés par l'Iran sont une riposte à l'attaque massive en cours lancée vendredi matin par Israël sur ses installations militaires et nucléaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Début de la parade militaire rêvée par Trump à Washington

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Près de 7000 soldats et quelque 150 véhicules militaires, survolés par une cinquantaine d'avions, doivent défiler à Washington pour l'anniversaire de Donald Trump. (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Le président américain Donald Trump, accompagné de son épouse Melania, a donné le coup d'envoi de la grande parade militaire qu'il avait appelée de ses voeux, samedi à Washington. La journée est marquée par des manifestations d'opposants partout dans le pays.

Donald Trump, qui fêtait ses 79 ans samedi, est arrivé peu après 18h00 à la tribune pour assister au défilé qui doit rassembler près de 7000 soldats et quelque 150 véhicules militaires, survolés par une cinquantaine d'avions.

Tout sourire, il a été accueilli par des chants "USA! USA!" et par 21 coups de canon. L'hymne américain a ensuite été chanté avant le début du défilé, avec fanfare et militaires en tenues de différentes époques.

Des camions chasse-neige ont été réquisitionnés pour bloquer les rues de Washington. Vols suspendus pendant plusieurs heures, navigation sur la Potomac coupée, milliers de forces de l'ordre mobilisées: la capitale américaine s'est mise sur pause et des centaines de milliers de personnes sont attendues.

Cette démonstration de force est inhabituelle aux Etats-Unis, où le dernier défilé militaire d'envergure remonte à 1991, après la guerre du golfe. Et si officiellement cette manifestation célèbre les 250 ans de l'armée de terre, le fait qu'elle se déroule le jour des 79 ans de Donald Trump est particulièrement significatif au début d'un mandat où le milliardaire new-yorkais repousse les limites du pouvoir présidentiel.

"Violence politique"

La journée avait démarré sous de tristes auspices aux Etats-Unis, où une élue du Minnesota et son mari ont été tués à leur domicile samedi au petit matin. Un "acte délibéré de violence politique", a dénoncé Tim Walz, gouverneur de cet Etat du nord.

Le pays a également été le théâtre samedi de centaines de manifestations baptisées "No Kings" pour protester contre l'"autoritarisme" de Donald Trump et "la militarisation de notre démocratie".

Si des centaines de milliers de spectateurs sont attendus à la parade militaire, au budget chiffré à 45 millions de dollars, le mouvement de contestation "No Kings" ambitionnait d'être "le plus important depuis le retour au pouvoir de Donald Trump".

Ainsi, à New York, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblé sur la 5e avenue malgré la pluie, dans une ambiance bon enfant, a constaté un journaliste de l'AFP.

A Los Angeles, après des rassemblements contre les arrestations brutales d'immigrés, les milliers de manifestants ont défilé sous le regard des militaires envoyés par Donald Trump pour tenter de juguler les violences. Les membres de la garde nationale, qui surveillent certains bâtiments, ont été hués par le cortège, mais n'ont pas répondu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ferrari contre Porsche: duel lancé aux 24 Heures du Mans

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Ferrari ambitionne un troisième succès de suite au Mans (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Ferrari et Porsche étaient lancées dans un mano a mano en tête des 24 Heures du Mans samedi à 20h00 dans une course très indécise. Une dizaine de voitures se tenaient en effet en moins d'une minute.

Sur le légendaire circuit sarthois, les trois Ferrari étaient en tête peu après 20h00, mais avec une avance infime sur leurs poursuivants. La Ferrari no 50, tenante du titre, menait la danse, et la première Porsche, la no 6, était quatrième à une poignée de secondes.

Les deux écuries affichent pour l'heure un rythme d'enfer: partie 21e et dernière dans la catégorie reine des Hypercars, la Porsche no 6 alors pilotée par Kévin Estre était remontée en quatrième position après seulement 1h15 de course.

Ferrari s'avance en favorite logique après avoir remporté les deux dernières éditions sur le circuit des 24 Heures et les trois premières courses du championnat du monde d'endurance (WEC) cette saison. Partie en pole position, la Cadillac no 12 n'aura pas résisté longtemps aux assauts de la concurrence. Après quatre heures de course, le prototype de la firme américaine était 10e.

Preuve que cette 93e édition, dont le départ a été donné par Roger Federer, s'annonce serrée, la moitié des 21 voitures engagées dans la catégorie reine des Hypercars se tenaient en moins d'une minute après quatre heures de course, dont les deux Toyota, qui ont pour elles l'expérience de cinq victoires consécutives entre 2018 et 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël-Iran: défense activée dans neuf provinces iraniennes

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Les bombardements entre Israël et l'Iran ont fait des dizaines de morts en deux jours. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

L'Iran a activé sa défense antiaérienne samedi soir dans neuf provinces dont celle de Téhéran. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a averti vouloir frapper "tous les sites du régime", au deuxième jour d'une attaque contre la République islamique.

Le président iranien, Massoud Pezeshkian, a lui promis une riposte "plus forte" contre Israël si son armée poursuivait ses frappes meurtrières. L'armée israélienne a ensuite fait état de tirs de missiles en provenance d'Iran, appelant la population à se confiner aux abris. L'alerte a été abaissée peu après.

L'armée de l'air israélienne a frappé samedi plusieurs sites, ciblant notamment des systèmes de défense aérienne dans la région de Téhéran et des dizaines de lanceurs de missiles. Objectif: démanteler les capacités militaires et nucléaires de son ennemi juré.

Alors que l'armée israélienne avait indiqué plus tôt qu'elle disposait désormais d'une "liberté d'action aérienne dans tout l'ouest de l'Iran, jusqu'à Téhéran", des médias iraniens ont fait état en soirée de l'activation de la défense antiaérienne à Téhéran et dans sept provinces, dans l'ouest, le sud et le centre.

Un "coup" au programme nucléaire

"Nous allons frapper tous les sites et les cibles du régime", a déclaré M. Netanyahou, affirmant avoir le "soutien manifeste" du président américain Donald Trump. "Nous avons infligé un véritable coup à leur programme nucléaire", a-t-il ajouté.

Après un appel téléphonique avec Moscou, M. Trump a cependant dit être d'accord avec son homologue russe Vladimir Poutine sur le fait que "la guerre Israël-Iran doit s'arrêter".

Disant disposer de renseignements prouvant que Téhéran s'approchait du "point de non-retour" vers la bombe atomique, Israël a lancé son attaque vendredi, touchant plus de 200 sites militaires et nucléaires.

Le représentant iranien à l'ONU, Amir Saeid Iravani, avait fait état vendredi d'au moins 78 morts et plus de 320 blessés dont une "grande majorité de civils". Une frappe de drone contre une ambulance dans le nord-ouest du pays a fait samedi deux morts, selon le Croissant-Rouge iranien.

"Téhéran brûlera"

En riposte, l'Iran a tiré des missiles dès vendredi vers Israël, pour la plupart interceptés, selon l'armée israélienne. Mais des dégâts importants ont été recensés dans la région de Tel-Aviv (centre), où les secouristes ont fait état de trois morts et de dizaines de blessés.

Alors que les appels à la retenue se multiplient à l'international, le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, a accusé Israël de précipiter le Moyen-Orient dans un "dangereux cycle de violence".

Le ministre israélien de la défense, Israël Katz, a prévenu que "Téhéran brûlera" si l'Iran continuait à tirer des missiles vers Israël. Des médias iraniens ont fait état d'attaques dans plusieurs provinces dans le nord-ouest et l'ouest, dont certaines abritent des bases militaires.

Un chef de la police et cinq membres des gardiens de la révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont été tués, selon des médias locaux. Une agence iranienne a fait état d'une frappe contre une raffinerie stratégique dans le sud et l'armée israélienne a affirmé avoir frappé une installation souterraine de lancement de missiles à Khorramabad, dans l'ouest de l'Iran.

"Confiance en mon pays"

L'espace aérien de l'Iran est fermé jusqu'à nouvel ordre, a annoncé l'agence officielle IRNA. En Israël, l'aéroport international Ben Gourion, près de Tel-Aviv, est aussi fermé.

Selon l'agence de presse iranienne Mehr, l'Iran a averti qu'il attaquerait dans la région des cibles des pays qui aideraient Israël à repousser les attaques iraniennes.

Un responsable américain avait indiqué plus tôt que les Etats-Unis avaient aidé Israël à abattre des missiles iraniens. Le Royaume-Uni a envoyé des avions de chasse au Moyen-Orient.

L'Iran est soupçonné par les Occidentaux et par Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, de vouloir se doter de l'arme atomique. Téhéran dément et défend son droit à développer un programme nucléaire civil.

Allié d'Israël, M. Trump avait appelé vendredi l'Iran à conclure un accord avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire alors qu'un nouveau cycle de pourparlers indirects était prévu dimanche à Oman. Mais Mascate a annoncé samedi que ces discussions n'auraient pas lieu, l'Iran accusant Israël de les avoir sapées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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