International
L'Italie et la Serbie en demi-finales de la Coupe Davis
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L'Italie jouera les demi-finales de la Coupe Davis à Malaga. Elle s'est qualifiée en battant les Pays-Bas 2-1 grâce à sa victoire dans le double.
La paire Jannik Sinner-Lorenzo Sonego est venue à bout du duo Tallon Griekspoor-Wesley Koolhof en deux sets très disputés (6-3 6-4), lors du double décisif des quarts de finale. Portés par un Sinner (ATP 4) intraitable sur son service, les Italiens sont parvenus à convertir une balle de break dans chaque manche.
Cela permet à l'Italie de filer en demi-finale où elle rencontrera la Serbie, emmenée par le numéro un mondial Novak Djokovic. Celle-ci a battu la Grande-Bretagne 2-0 jeudi soir. L'autre demi-finale opposera la Finlande, tombeuse du Canada tenant du titre, à l'Australie, victorieuse de la République tchèque.
Dans les deux premiers simples de la journée, les Pays-Bas avaient remporté le premier point grâce à Botic van de Zandschulp (ATP 51), vainqueur de Matteo Arnaldi (ATP 44) 6-7 (6/8) 6-3 7-6 (9-7). Sinner avait permis ensuite aux Transalpins d'égaliser grâce à sa victoire sur Tallon Griekespoor (ATP 23) 7-6 (6/3) 6-1.
Miomir Kecmanovic (ATP 55) a donné le premier point aux Serbes en battant Jack Draper (ATP 60) 7-6 (7/2) 7-6 (8/6). Djokovic a ensuite parachevé le travail en dominant Cameron Norrie (ATP 18) 6-4 6-4.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Amazon a bloqué des candidatures nord-coréennes trompeuses
Le géant américain Amazon a annoncé avoir bloqué plus de 1800 candidatures nord-coréennes, alors que Pyongyang est accusée de contourner les sanctions de l'ONU en faisant embaucher à l'étranger des salariés télétravaillant depuis le pays.
Des Nord-Coréens "cherchent à obtenir des emplois en télétravail dans l'informatique auprès d'entreprises du monde entier, en particulier aux Etats-Unis", a affirmé le responsable sécurité d'Amazon Stephen Schmidt la semaine dernière, dans une publication sur le réseau social LinkedIn.
Selon lui, l'entreprise a vu une augmentation de près d'un tiers de ces candidatures au cours de l'année.
Derrière ces profils se trouvent des "laptop farms": des locaux remplis d'ordinateurs installés physiquement aux Etats-Unis, mais contrôlés depuis un autre pays, a expliqué Stephen Schmidt.
Selon lui, le problème "ne concerne pas uniquement Amazon" mais "se produit probablement à grande échelle dans l'ensemble du secteur".
Le programme de cyberguerre de Pyongyang remonte au moins au milieu des années 1990. Il s'est depuis développé en une unité de 6000 membres, connue sous le nom de Bureau 121, opérant dans plusieurs pays, selon un rapport de l'armée américaine publiée en 2020.
"La Corée du Nord forme activement des cyberagents et infiltre des sites clés à travers le monde", a expliqué à l'AFP Hong Min, analyste à l'Institut coréen pour l'unification nationale de Séoul.
"Compte tenu de la nature des activités d'Amazon, le motif semble largement économique, avec une forte probabilité que l'opération vise à dérober des actifs financiers", a-t-il ajouté.
Hackers d'Etat
En novembre, Washington a annoncé des sanctions contre huit personnes accusées d'être des "hackers parrainés par l'Etat", volant et blanchissant de l'argent pour "financer le programme d'armement nucléaires du régime".
En juillet, une Américaine avait été condamnée à plus de huit ans de prison pour avoir dirigé une "laptop farm", permettant à des Nord-coréens d'obtenir des emplois en télétravail dans plus de 300 entreprises américaines du secteur informatique.
Ce système avait généré plus de 17 millions de dollars pour elle et la Corée du Nord, selon les autorités.
Les renseignements sud-coréens avaient averti l'an dernier que des agents nord-coréens utilisaient LinkedIn pour se faire passer pour des recruteurs, approchant des Sud-Coréens du secteur de la défense pour obtenir des informations.
En vertu des sanctions de l'ONU, les travailleurs nord-coréens ont interdiction de gagner de l'argent à l'étranger.
Un rapport de 2024 de l'organisation 38 North, basée aux Etats-Unis, affirme que des spécialistes de l'informatique nord-coréens - dissimulant leurs nationalités - ont déjà obtenu des contrats pour travailler sur des projets d'animation dirigés par des entreprises japonaises et américaines telles qu'Amazon et HBO Max.
Selon le Trésor américain, des cybercriminels affiliés à la Corée du Nord ont dérobé plus de 3 milliards de dollars au cours des trois dernières années, principalement en cryptomonnaies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le Cambodge demande à la Thaïlande de négocier en terrain neutre
Le Cambodge a demandé à la Thaïlande que leurs discussions prévues mercredi pour tenter de mettre un terme à leur conflit frontalier se tiennent en terrain neutre, en Malaisie. Sur le terrain, les combats se poursuivaient mardi matin.
"Pour des raisons de sécurité liées aux combats en cours le long de la frontière, cette réunion devrait se tenir dans un lieu sûr et neutre", a écrit le ministre cambodgien de la défense, Tea Seiha, dans une lettre datée de lundi adressée à son homologue thaïlandais, Nattaphon Narkphanit.
La Malaisie, qui assure la présidence tournante de l'association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), a accepté d'accueillir ces pourparlers à Kuala Lumpur, a-t-il ajouté.
Le ministre thaïlandais des affaires étrangères, Sihasak Phuangketkeow, avait indiqué lundi que les échanges auraient lieu dans la province thaïlandaise de Chanthaburi, dans le cadre d'un comité frontalier bilatéral pré-existant dont les réunions sont organisées alternativement dans les deux pays.
Poursuite des combats
Le ministre thaïlandais de la défense, Nattaphon Narkphanit, a déclaré mardi à des journalistes que la province de Chanthaburi était "sûre" et qu'il n'y avait "quasiment pas de combats" dans cette région frontalière.
"Je ne sais pas encore s'ils [les Cambodgiens] ont pris une décision, mais ils ont l'air inquiets", a-t-il ajouté. "Je voudrais leur dire qu'ils peuvent être rassurés quant à leur sécurité".
La porte-parole du ministère cambodgien de la défense a par ailleurs fait savoir mardi matin que les combats se poursuivaient à la frontière.
Selon les derniers bilans officiels respectifs, au moins 44 personnes ont été tuées, 23 du côté thaïlandais et 21 du côté cambodgien, depuis la reprise des hostilités, le 7 décembre. Plus de 900'000 personnes ont été contraintes d'évacuer les régions frontalières de part et d'autre au total.
Le conflit trouve son origine dans un différend territorial sur le tracé de leur frontière de 800 kilomètres, effectué pendant la période coloniale française.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland, martèle Trump
Les Etats-Unis ont "besoin" du Groenland pour assurer leur sécurité face à la Chine et à la Russie, a martelé lundi le président américain Donald Trump. Peu avant, l'Union européenne s'était à nouveau opposée à toute mainmise américaine sur ce territoire danois.
"Nous avons besoin du Groenland pour notre sécurité nationale", a déclaré le président américain lors d'une intervention au côté du ministre américain de la défense, Pete Hegseth, à Palm Beach en Floride.
"Si on regarde les côtes du Groenland, il y a des bateaux russes et chinois partout. Nous en avons besoin pour notre sécurité nationale", a-t-il insisté. Les Groenlandais "ne sont pas protégés militairement" par Copenhague, a-t-il affirmé.
Ces propos interviennent après l'annonce par le chef d'Etat américain de la nomination d'un envoyé spécial pour ce vaste territoire autonome danois qu'il menace régulièrement d'annexer.
Cette nomination a provoqué une vive réaction de Copenhague et de l'Union européenne, qui a exprimé lundi sa "pleine solidarité avec le Danemark".
Le premier ministre du Groenland, Jens-Frederik Nielsen, et la première ministre danoise, Mette Frederiksen, ont rappelé dans une déclaration que "les frontières nationales et la souveraineté des Etats sont fondées sur le droit international".
Ambassadeur américain convoqué
"On ne peut pas annexer un autre pays, pas même en invoquant la sécurité internationale", ont souligné les deux dirigeants, ajoutant attendre "le respect de notre intégrité territoriale commune".
Copenhague a convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis. "Nous avons tracé très clairement une ligne rouge", a indiqué le ministre danois des affaires étrangères Lars Løkke Rasmussen.
"Tant que nous avons un royaume au Danemark qui se compose du Danemark, des îles Féroé et du Groenland, nous ne pouvons pas accepter que certains sapent notre souveraineté", a-t-il prévenu à la télévision publique DR.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil européen, António Costa, ont eux rappelé sur le réseau social X que "l'intégrité territoriale et la souveraineté sont des principes fondamentaux du droit international".
M. Trump a annoncé dimanche la nomination du gouverneur de Louisiane, le républicain Jeff Landry, au poste d'envoyé spécial des Etats-Unis au Groenland. "Jeff comprend à quel point le Groenland est essentiel à notre sécurité nationale et il défendra avec force les intérêts de notre pays", avait-il souligné sur son réseau social Truth Social.
Après son élection, Donald Trump avait déjà expliqué avoir "besoin" du Groenland pour la sécurité des Etats-Unis.
Flop de Vance
Jeff Landry a remercié M. Trump sur X pour cette mission visant à "faire du Groenland une partie des Etats-Unis". Il avait déjà salué en début d'année l'intention du président américain d'annexer le Groenland. "Nous devons faire en sorte que le Groenland rejoigne les Etats-Unis. Ce serait formidable pour lui, formidable pour nous! Faisons-le!", avait-il écrit sur X le 10 janvier.
Le Groenland, une immense île arctique peuplée de 57'000 habitants, répète ne pas être à vendre et vouloir décider seul de son avenir.
En janvier, 85% des Groenlandais s'étaient dit opposés à une future appartenance aux Etats-Unis, selon un sondage publié dans le quotidien groenlandais Sermitsiaq. Seuls 6% y étaient favorables.
A la fin mars, le vice-président américain, JD Vance, avait provoqué un tollé en prévoyant de se rendre sur le territoire sans y avoir été invité. Face à l'ire déclenchée au Groenland, au Danemark et à travers l'Europe, il avait limité son déplacement à la base aérienne américaine de Pituffik, la plus septentrionale des Etats-Unis.
A la fin août, la télévision danoise avait révélé qu'au moins trois Américains liés à Donald Trump avaient réalisé des opérations d'influence dans ce territoire polaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une nouvelle classe de navires de guerre portant le nom de Trump
Le président américain Donald Trump a annoncé lundi le lancement d'une nouvelle classe de navires de guerre de grande taille qui portera son nom. Il s'agit d'un fait extrêmement inhabituel pour un président en exercice.
Ces navires seront "les meilleurs au monde", a assuré le président américain pendant une conférence de presse à Mar-a-Lago en Floride, précisant que deux navires de guerre de la "Trump Class USS Defiant" seraient construits pour commencer. Des images représentant le futur navire en mer et en pleine action étaient exposées sur des chevalets autour du pupitre.
Il a estimé que la construction des deux premiers prendrait "environ 2 ans et demi", assurant que cette nouvelle classe de bâtiments compterait ensuite "rapidement" 10 navires et, au terme du projet, 20 à 25 navires.
Trump impliqué dans la conception
"Chacun d'eux sera le plus grand navire de guerre de l'histoire de notre pays" et même "du monde", a assuré le milliardaire de 79 ans, jamais avare en hyperboles.
Il a précisé que les bâtiments seraient équipés de canons et de lasers et qu'ils pourraient porter des armes hypersoniques et nucléaires.
Donald Trump a dit vouloir s'impliquer personnellement dans la conception des nouveaux bateaux, "parce que je suis une personne très portée sur l'esthétique".
Il a par ailleurs indiqué que cette nouvelle classe de bâtiments était conçue comme un message "pour tout le monde. Ce n'est pas pour la Chine. Nous nous entendons très bien avec la Chine", qui a renforcé et modernisé sa propre marine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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