International
L'Unesco et TikTok luttent contre le négationnisme
L'Unesco et le Congrès juif mondial ont annoncé avoir noué un partenariat avec le réseau social TikTok afin de contrer le négationnisme en ligne, jeudi à l'occasion de la journée internationale de commémoration de l'Holocauste.
Alors que 17% du contenu posté sur TikTok en lien avec cette question nie ou déforme l'Holocauste, ses utilisateurs s'intéressant au sujet verront désormais apparaître "en tête de leurs résultats de recherches une bannière les invitant à visiter le site du Congrès juif mondial (CJM) et de l'Unesco "www.aboutholocaust.org", a fait savoir l'agence onusienne dans un communiqué.
"Si des utilisateurs cherchent des termes en lien avec l'Holocauste qui ne respectent pas les Consignes communautaires de TikTok, la plateforme bannira les résultats de recherches et affichera à la place la même bannière les invitant à consulter les ressources éducatives en ligne du CJM et de l'Unesco", selon ce texte.
Le site informe dans 19 langues sur l'Holocauste, le génocide en 1939-1945 de six millions de juifs d'Europe par les nazis et leurs soutiens.
Atteindre les jeunes
"Nier, déformer ou banaliser les faits relatifs à l'Holocauste est une forme pernicieuse d'antisémitisme moderne", a relevé la directrice générale de l'Unesco Audrey Azoulay, qui s'est réjouie de "l'engagement" de TikTok.
"TikTok est connue pour sa capacité à atteindre les jeunes, dont la plupart ne connaissent pas les horreurs de l'Holocauste et sont particulièrement vulnérables à la désinformation", a observé le président du CJM, Ronald S. Lauder.
L'an passé, l'Unesco et le CJM avaient signé un partenariat similaire avec Facebook. Depuis lors, aboutholocaust.org a été consulté plus de 400'000 fois dans plus de 100 pays.
D'après une évaluation de l'Unesco, sur Facebook, quelque 11% des posts relatifs à la Shoah en anglais, 10% en allemand et 9% en français relèvent du négationnisme ou de la distorsion des faits.
L'Assemblée générale de l'ONU a adopté mi-janvier par consensus une résolution non contraignante proposée par Israël appelant tous les Etats à lutter contre la négation de l'Holocauste et l'antisémitisme, notamment sur les réseaux sociaux.
Derniers témoins
Cette Journée du souvenir de l'Holocauste est une des dernières à se tenir encore en présence de témoins. Ainsi en Allemagne, une survivante des camps de la mort, Inge Auerbacher, a appelé jeudi devant les députés à combattre le "cancer" de la haine contre les juifs, qui est "malheureusement redevenue monnaie courante dans de nombreux pays du monde, y compris en Allemagne", a assuré cette Américaine d'origine allemande, déportée à l'âge de 7 ans dans le camp de Theresienstadt.
"Je vis à New York depuis 75 ans, mais je me souviens bien de cette époque terrible et de la haine", a ajouté cette femme de 87 ans qui a écrit plusieurs livres sur son expérience dans les camps de la mort.
"Garder vivante la mémoire de l'Holocauste est une tâche difficile, une tâche qui repose sur les épaules de chaque génération", a souligné le président de la Knesset israélienne, Mickey Levy, présent au Bundestag allemand.
Dans un tweet de son porte-parole, Olaf Scholz a d'ailleurs relevé que "bientôt, nous devrons vivre sans les récits personnels des derniers survivants".
En Suisse aussi
Le président de la Confédération s'est aussi associé à cette journée de mémoire, insistant sur l'importance des derniers témoins de cette période tragique. Ignazio Cassis a ainsi tenu à rendre hommage à l'un des derniers survivants de l'Holocauste en Suisse, rencontré il y a quelques jours au Tessin. Fishel Rabinowicz, 97 ans, qui a été détenu dans le camp de concentration de Buchewald avant d'être libéré il y a 77 ans. Polonais d'origine, il vit en Suisse depuis 1947.
Ignazio Cassis s'est dit très touché par cette rencontre, insistant sur l'importance des témoins directs de l'Histoire. "Ce sont des voix ténues qui nous parlent, mais leur message est plus important que jamais. Il est de notre devoir de ne pas oublier leurs paroles". Le Tessinois en a appelé à la responsabilité de chacun pour se souvenir afin que l'Histoire ne se répète pas.
Le 27 janvier est le jour qui a été désigné par l'ONU comme journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste. Il est le jour de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, en 1945. L'Allemagne la commémore depuis 1996.
www.aboutholocaust.org
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La flotte de tête entre dans les mers du sud
Désormais emmenée par Yoann Richomme, la flotte de tête du Vendée Globe a franchi le cap de Bonne-Espérance cette semaine. Justine Mettraux est toujours proche du top 10 malgré la perte d'une voile.
Richomme a légèrement accentué son avance sur son premier poursuivant Charlie Dalin dimanche, au pointage de 19h00. Les deux marins, qui se relaient en tête du tour du monde sans escale depuis plusieurs jours, ne sont séparés que de huit petits milles en cette 21e journée en mer.
Juste derrière eux, Sébastien Simon se trouvait à 28 milles du leader, tandis que Thomas Ruyant accusait désormais 92 milles de retard. Le reste de la flotte a encore perdu du terrain sur ce quatuor et seuls les neuf premiers naviguent dans l'Océan Indien pour le moment.
Mettraux tient le coup
Justine Mettraux a elle connu passablement de soucis techniques cette semaine, mais a pu effectuer les réparations nécessaires. La perte de sa voile avant ne lui a pas empêché de conserver la 11e place. Elle a toutefois perdu plus de 1000 milles nautiques sur la tête de la course en une semaine.
Les deux autres Suisses engagés dans ce tour du monde en solitaire sont plus loin. Alan Roura est 23e, à plus de 2000 milles du leader. Oliver Heer se trouve à la 33e place.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Doublé suisse en slalom à Killington, Rast devant Holdener
Incroyable Camille Rast. La Valaisanne a remporté le slalom de Coupe du monde de Killington devant Wendy Holdenenr et a pris les commandes de la discipline et du général.
La vie en rose pour Camille Rast! Après deux troisièmes places, en slalom à Gurgl et samedi en géant à Killington, la skieuse de Vétroz est allée chercher la plus belle des places: la première. Et avec la manière qui plus est.
"C'est fou, tout va si vite, je suis tellement heureuse, je ne sais que dire", a répondu Rast au micro de la FIS au terme de la course. Interrogée sur le fait qu'elle est désormais en tête du classement du slalom et du général de la Coupe du monde, la skieuse de Vétroz a reconnu qu'elle ne "réalisait pas encore". "Je sais que ce n'est que le début de saison, a poursuivi la gagnante du jour. Je me suis dit: fais-le pour toi et amuse-toi. Et puis je suis tellement heureuse d'être sur le podium avec Wendy et que Mélanie ne soit pas loin."
Troisième de la première manche, Rast a réussi la troisième meilleure deuxième manche pour s'imposer avec 0''57 d'avance sur un duo composé de Wendy Holdener et Anna Swenn Larsson. Pour l'anecdote, les deux femmes avaient fini ensemble à la première place du slalom en 2022.
9e du tracé matinal avec une erreur, Wendy Holdener s'est très bien reprise pour son second effort. La Schwytzoise a rendu une excellente copie avec le meilleur temps de la seconde manche. A noter qu'il faut remonter au 26 janvier 1996 pour trouver trace du dernier doublé helvétique en slalom. A Sestrières, Sonja Nef avait alors devancé Marlies Oester.
Le résultat d'ensemble des Suissesses est encore meilleur grâce à la 5e place de Mélanie Meillard. La skieuse d'origine neuchâteloise enchaîne elle aussi les bons résultats sur le virage court après sa 7e place à Levi et sa 10e à Gurgl.
On peut dire que les représentantes de Swiss-Ski ont su profiter des absences de Mikaela Shiffrin, blessée la veille en géant, et de Petra Vlhova, pas encore remise de sa blessure de l'an dernier.
Aline Höpli a elle eu le bonheur de marquer ses premiers points en Coupe du monde. 25e de la première manche, Höpli s'est finalement classée 15e. Cinquième Helvète classée, Michelle Gisin a finalement hérité de la 19e place. Nicole Good, Aline Danioth et Elena Stoffel ont été éliminées en première manche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Damas perd le contrôle de la ville d'Alep après un assaut rebelle
A la faveur d'une offensive fulgurante, les rebelles en Syrie ont infligé un coup dur au régime de Bachar al-Assad. Ce dernier a perdu dimanche le contrôle d'Alep, la deuxième ville du pays, pour la première fois depuis le début de la guerre en 2011.
Le président syrien a menacé de recourir à la "force pour briser les terroristes", à l'heure où son allié russe a mené des raids meurtriers contre la ville d'Alep (nord) et la province voisine d'Idleb, fief d'une coalition de groupes rebelles dominée par des islamistes.
C'est cette coalition qui a lancé mercredi depuis la région d'Idleb l'assaut contre les forces gouvernementales, prenant des dizaines de localités "sans aucune résistance" dans les provinces d'Idleb, d'Alep et de Hama, plus au sud, et s'emparant de la majeure partie de la ville d'Alep, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Alep "hors de contrôle du régime"
Le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS) et les factions rebelles alliées "contrôlent la ville d'Alep, à l'exception des quartiers aux mains des forces kurdes. Pour la première fois depuis le début du conflit en 2011, Alep est hors de contrôle du régime", a dit Rami Abdel Rahmane, le chef de l'OSDH.
Selon cette ONG, au moins 412 personnes dont 61 civils ont été tuées depuis le début de l'offensive, qui a coïncidé avec l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu dans la guerre entre Israël et le Hezbollah libanais, un allié d'Assad et de l'Iran. 137 membres des forces progouvernementales auraient aussi perdu la vie.
Première depuis 2020
Ces violences sont les premières de cette ampleur depuis 2020 en Syrie, où la guerre impliquant des belligérants soutenus par différentes puissances régionales et internationales, a laissé un pays morcelé en plusieurs zones d'influence.
"Il semble que le régime a perdu Alep, et à moins qu'il ne parvienne à lancer une contre-offensive bientôt, ou que la Russie et l'Iran n'envoient davantage de soutien, je ne pense pas que le gouvernement reprendra la ville", a dit à l'AFP Aron Lund, du centre de réflexion Century International. "En Syrie, un gouvernement sans Alep n'est pas vraiment un gouvernement."
Bachar al-Assad a souligné dimanche dans ce contexte, en recevant le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi, l'importance du "soutien des alliés" pour "faire face aux attaques terroristes", a rapporté la présidence syrienne. M. Araghchi a réitéré le soutien "ferme" de son pays au régime.
"Sans résistance" -
L'armée a confirmé samedi la présence de combattants antigouvernementaux dans de "larges parties" d'Alep.
Après la chute de la ville, des avions russes ont mené des frappes contre le secteur de l'hôpital universitaire d'Alep qui ont fait 12 morts et contre la ville d'Idleb où huit personnes ont péri, selon l'OSDH.
"Nous avons entendu une explosion et les murs sont tombés sur nous", a raconté à l'AFP sur son lit d'hôpital à Idleb Oum Mohammad, qui a perdu sa belle-fille, mère de cinq enfants.
Des pro turcs prennent Tal Rifaat
Les combattants du HTS, dominé par l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, et ceux des factions rebelles dont certaines soutenues par la Turquie, sont entrés vendredi à Alep avant d'en prendre la majeure partie samedi "sans rencontrer de résistance significative", selon l'OSDH.
Ils ont atteint la citadelle historique et se sont emparés de bâtiments gouvernementaux, de prisons et de l'aéroport international, a ajouté l'Observatoire, qui s'appuie sur un vaste réseau de sources en Syrie.
Plusieurs districts du nord d'Alep sont peuplés en majorité de Kurdes syriens placés sous l'autorité des forces kurdes qui ont instauré une administration autonome dans de vastes régions du nord-est syrien.
Selon l'OSDH, des groupes pro turcs ont pris dimanche la ville stratégique de Tal Rifaat et de villages environnants dans le nord de la Syrie, qui était aux mains des forces kurdes, après que d'autres rebelles s'étaient emparés d'Alep.
Le HTS et les rebelles contrôlent des pans entiers de la province d'Idleb, ainsi que des secteurs des provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié. Avant l'offensive, le nord-ouest de la Syrie bénéficiait d'un calme précaire en vertu d'un cessez-le-feu instauré en 2020.
Mettre "fin" aux "attaques" sur Idleb
Avec l'appui militaire crucial de la Russie et de l'Iran, le régime Assad avait lancé en 2015 une contre-offensive qui lui avait permis de reprendre progressivement le contrôle d'une grande partie du pays, et en 2016 la totalité de la ville d'Alep, poumon économique de la Syrie d'avant-guerre.
En face, la Turquie, qui contrôle plusieurs zones du nord de la Syrie, a appelé à mettre "fin" aux "attaques" sur Idleb après les raids russes et syriens.
Dans un autre camp, les Etats-Unis ont jugé que le régime syrien subissait les conséquences de sa "dépendance à la Russie et à l'Iran".
Et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit "surveiller la situation en Syrie", où son armée a mené des centaines de frappes depuis 2011. Mardi, il a prévenu le président syrien qu'il "jouait avec le feu", en citant les transferts d'armes tolérés par son régime au profit du Hezbollah.
"Graves implications"
Les violences en Syrie "ont de graves implications pour la paix régionale et internationale", a averti l'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie Geir O. Pedersen.
Déclenchée en 2011 après la répression brutale de manifestations prodémocratie, la guerre en Syrie a fait environ un demi-million de morts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Roumains nombreux aux urnes, l'extrême droite pleine d'espoir
Les Roumains se pressaient aux urnes dimanche pour élire leur Parlement. Avec à la clé une possible percée de l'extrême droite et des interrogations sur le positionnement stratégique de cet État voisin de l'Ukraine, membre de l'UE et de l'Otan.
En quelques jours, le pays d'Europe orientale a vu se succéder les rebondissements, de l'arrivée en tête surprise du candidat d'extrême droite Calin Georgescu au premier tour de la présidentielle aux accusations des autorités quant à l'intégrité des élections.
Elles ont mis en cause l'influence russe dans le contexte régional actuel et le rôle de la plateforme TikTok. Au point que la Cour constitutionnelle a ordonné un nouveau comptage, toujours en cours.
En cette journée de fête nationale en Roumanie, les bureaux de vote seront ouverts jusqu'à 21h00 (20h00 heure suisse). Et les sondages sortie des urnes publiés peu après.
"Pas d'autre option que l'UE et l'Otan"
Plusieurs électeurs ont confié leurs craintes que la Roumanie se détourne du chemin européen, comme Dorina Burcea, 41 ans.
"En tant que personne qui a vécu un peu sous le communisme et qui s'en souvient encore, et qui a pu ensuite profiter de toute l'ouverture de l'UE, je ne peux pas imaginer une autre option que l'Union européenne et l'Otan", a-t-elle dit à l'AFP.
Le taux de participation s'élève vers 17h30 à plus de 44%, soit une mobilisation supérieure à celle des précédentes législatives.
Hémicycle fragmenté en vue
Après trois décennies d'une vie politique structurée par deux grands partis, les analystes prédisent un hémicycle fragmenté et des négociations difficiles pour former un gouvernement.
L'extrême droite, disséminée entre plusieurs formations qui ont en commun de s'opposer au soutien à Kiev au nom de la "paix" et de défendre des "valeurs chrétiennes", est créditée de plus de 30% d'intentions de vote.
Difficultés économiques et guerre
Depuis la chute du communisme en 1989, le pays n'a jamais connu pareille percée, mais la colère d'une grande partie des 19 millions d'habitants couve devant les difficultés économiques et la guerre de l'autre côté de la frontière.
George Sorin, économiste de 45 ans, a fait son choix: il votera pour un parti nationaliste. Le Parlement actuel "n'a fait que servir les intérêts de l'Ukraine", oubliant "ceux de la Roumanie", dit-il, critiquant aussi "la servilité" vis-à-vis de Bruxelles.
Ce bord politique est représenté par AUR (Alliance pour l'unité des Roumains), dont le candidat George Simion a recueilli près de 14% à la présidentielle, mais aussi par SOS Romania, dirigé par la tempétueuse candidate favorable au Kremlin Diana Sosoaca, ou encore le tout nouveau Parti de la jeunesse (POT).
Choisir "entre la stabilité et le chaos"
Dans le camp pro-européen adverse, les centristes d'USR espèrent tirer leur épingle du jeu après la qualification de leur cheffe de file Elena Lasconi au second tour de la présidentielle.
Grands perdants dimanche dernier, les sociaux-démocrates et les libéraux, au pouvoir dans une coalition, ont appelé à choisir "entre la stabilité et le chaos", selon le message lancé par le Premier ministre sortant Marcel Ciolacu.
Rester "un pays de liberté"
Dans le même sens, le président Klaus Iohannis a qualifié ces élections de "cruciales pour la direction de la Roumanie dans les années à venir".
Rester "un pays de liberté", "une nation européenne moderne" ou "sombrer dans un isolement néfaste et renouer avec un passé sombre", voilà "le choix existentiel auquel nous sommes confrontés", a-t-il averti.
2e tour de la présidentielle le 8 décembre
Le scrutin se déroule dans un climat fébrile après la décision de la justice de recompter les bulletins du premier tour de la présidentielle. S'il n'est pas annulé, le second tour aura lieu le 8 décembre.
En votant dès l'ouverture à Focsani, à près de trois heures de route de la capitale, M. Simion a dénoncé la tentative désespérée des partis traditionnels de "s'accrocher au pouvoir". "Ils n'écoutent pas la voix des Roumains et veulent rejouer le match pour obtenir les résultats qu'ils veulent".
Pour Septimius Parvu, coordinateur du groupe de réflexion Expert Forum (EFOR), nul doute que cette décision "mine la confiance" dans les institutions et est de nature à "alimenter" le vote d'extrême droite.
Les États-Unis se sont même immiscés dans le débat, espérant qu'aucune décision de l'entre-deux tours ne vienne "mettre en péril la crédibilité du processus électoral" et "ternir" la "solide réputation de la Roumanie comme partenaire démocratique fiable", selon une déclaration de son ambassadrice à Bucarest, Kathleen Kavalec.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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