International
L'UE accuse la Russie de "chantage" au gaz
L'Union européenne a accusé mercredi la Russie de "chantage" au gaz après qu'elle eut fermé le robinet d'"or bleu" à la Pologne et à la Bulgarie. Moscou affirmait de son côté avoir détruit "une grande quantité d'armes" fournies par les Occidentaux à l'Ukraine.
Après avoir rencontré Vladimir Poutine à Moscou, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres est arrivé mercredi soir en Ukraine, sa première visite dans ce pays depuis le début de l'invasion russe le 24 février. Plus tôt dans la journée, Kiev a accueilli la présidente du Conseil national suisse Irène Kälin qui s'est entretenue en soirée avec le président Volodymyr Zelensky.
Au moment où les Occidentaux intensifient leurs efforts pour armer les Ukrainiens face à la Russie, le ministère russe de la Défense a affirmé que "des hangars avec une grande quantité d'armes et de munitions étrangères, livrées aux forces ukrainiennes par les Etats-Unis et des pays européens, avaient été détruits avec des missiles Kalibr tirés de la mer sur l'usine d'aluminium de Zaporijjia", dans le sud de l'Ukraine.
Le gouverneur de cette région a cependant démenti cette affirmation. "Aucun dépôt de munitions et d'armes n'a été touché à Zaporijjia", a-t-il assuré, ajoutant que l'usine atteinte "n'était plus opérationnelle depuis six ans". Les troupes russes bombardent ponts et voies ferrées pour ralentir les livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, avait souligné mardi un conseiller du ministre ukrainien de l'Intérieur, après la destruction d'un pont stratégique reliant ce pays à la Roumanie.
Ces frappes russes interviennent tandis qu'une quarantaine de pays se sont réunis mardi en Allemagne, autour des Etats-Unis, pour coordonner une accélération des livraisons d'équipements militaires que Kiev réclame afin de repousser l'invasion russe.
"Riposte foudroyante"
La cheffe de la diplomatie britannique Liz Truss a appelé mercredi soir, dans un discours à Londres, à un renforcement des livraisons d'armes à l'Ukraine, soulignant que le temps est au "courage" face à la Russie.
"Armes lourdes, chars, avions - creuser dans nos stocks, accélérer la production, nous devons faire tout ça", a-t-elle insisté - qualifiant Vladimir Poutine "d'opérateur voyou désespéré, qui n'a aucun intérêt pour les moeurs internationales" -, dans un discours à la résidence officielle du lord-maire de la Cité de Londres.
Vladimir Poutine a quant à lui à nouveau mis en garde mercredi contre toute intervention extérieure dans le conflit en Ukraine, promettant une riposte "rapide et foudroyante". Les forces russes, qui intensifient depuis deux semaines leur offensive sur le Donbass, ont annoncé mercredi avoir effectué des frappes aériennes sur 59 cibles ukrainiennes.
De son côté, l'armée ukrainienne a, fait rare de sa part, reconnu des avancées russes dans l'est, dans la région de Kharkiv et dans le Donbass, un bassin minier en partie contrôlé par des séparatistes prorusses depuis 2014. Kiev a admis que les Russes avaient pris des localités s'égrenant du nord au sud, laissant penser que Moscou veut prendre en étau une large poche encore aux mains des Ukrainiens.
"Nous avons des semaines extrêmement difficiles à venir", a à cet égard prévenu dans un communiqué mercredi le ministre ukrainien de la Défense Oleksiï Reznikov. Selon lui, l'armée russe, "déjà consciente de sa défaite stratégique, va tenter d'infliger le plus de souffrances possibles" aux soldats ukrainiens qu'il a exhortés à "tenir le coup".
Appel à l'aide à Marioupol
A Kharkiv, dont les quartiers nord et est sont à moins de 5 km de la ligne de front, au moins trois personnes ont péri et 15 ont été blessées dans des bombardements, a déclaré le gouverneur Oleg Synegoubov sur Telegram, ajoutant: "Les Russes continuent leurs tirs d'artillerie et de mortier contre des quartiers d'habitation de Kharkiv et de sa région".
A la pointe sud du Donbass, dans la ville portuaire stratégique de Marioupol, assiégée et dévastée, "l'ennemi bombarde massivement et bloque nos unités près de l'usine d'Azovstal", a dit dans son rapport quotidien le ministère ukrainien de la Défense. Le commandant de la 36e Brigade des Marines de Marioupol, Sergueï Volyna, a lancé un nouvel appel à l'aide, soulignant avoir avec lui 600 soldats blessés et des centaines de civils.
"Mon message aujourd'hui est: sauvez la garnison de Marioupol, menez pour nous une opération d'exfiltration. Les gens vont simplement mourir ici (...) les civils meurent avec nous (...) la ville est quasiment effacée de la surface de la Terre", implore-t-il dans un message relayé sur Telegram.
L'arme du gaz
Hors d'Ukraine, le groupe russe Gazprom a annoncé mercredi avoir suspendu toutes ses livraisons de gaz à la Bulgarie et à la Pologne, assurant que ces deux pays n'avaient pas payé en roubles, comme l'exige depuis mars le président russe Vladimir Poutine.
Dénonçant un nouveau "chantage au gaz", la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a affirmé que ces deux pays membres de l'UE et de l'Otan, très dépendants du gaz russe, étaient désormais approvisionnés "par leurs voisins de l'Union européenne". "Il ne s'agit pas de chantage", mais d'une réponse à "des actes inamicaux", a rétorqué le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, une allusion au gel des réserves de devises étrangères russes détenues à l'étranger.
Les ministres européens en charge de l'énergie se réuniront lundi 2 mai en "session extraordinaire", a annoncé mercredi soir la ministre française en charge de la Transition écologique, Barbara Pompili tout en soulignant que "les Européens restent unis et solidaires".
Risque d'extension du conflit
Ces événements surviennent à un moment où de nombreuses chancelleries s'inquiètent du risque d'extension du conflit, après une série d'explosions, attribuées par Kiev à Moscou, dans la région séparatiste prorusse de Transdniestrie, en Moldavie. Mercredi, les autorités de ce territoire séparatiste ont déclaré qu'un village frontalier hébergeant un important dépôt de munitions de l'armée russe avait été la cible de tirs en provenance d'Ukraine.
Dans ce contexte, l'ex-Marine américain Trevor Reed, condamné à neuf ans de prison en Russie pour violences, a été échangé mercredi avec un pilote russe incarcéré aux Etats-Unis depuis 2010. Un échange qui n'a, selon Washington, "aucun" impact sur les relations entre les deux pays.
Sur le front économique, la Commission européenne a proposé mercredi de suspendre pendant un an tous les droits de douane sur les produits ukrainiens importés dans l'UE. La proposition doit encore être approuvée par le Parlement européen et les 27 Etats membres.
Le président Volodymir Zelensky a salué la proposition ajoutant que la Russie "tente de provoquer une crise mondiale" et le "chaos" sur le marché alimentaire mondial. Le Royaume-Uni avait annoncé lundi avoir pris une telle mesure.
Le président ukrainien a indiqué mercredi sur Twitter s'être entretenu avec son homologue indonésien qui l'a invité au sommet G20 qui se aura lieu à Bali en novembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Doublé suisse en slalom à Flachau, Rast devant Holdener
Fantastique doublé suisse lors du slalom de Coupe du monde à Flachau. Camille Rast a devancé de 0''16 Wendy Holdener pour aller chercher sa deuxième victoire en Coupe du monde.
Camille Rast est bien la meilleure slalomeuse actuellement. Après sa victoire à Killington, la skieuse de Vétroz est allée chercher un deuxième succès sur le virage court cet hiver. Et avec la manière!
Un peu trop timide avec son dossard 1 en première manche, Camille Rast a su rectifier le tir lors de son second passage pour passer de la 8e à la première place. La Valaisanne a réalisé un milieu de manche exceptionnel pour aller cueillir le quatrième podium de sa carrière, le troisième en slalom cette saison. Elle reprend également le dossard rouge de leader de la discipline avec 405 points devant...Wendy Holdener.
La Schwytzoise, ouvreuse à Adelboden, a brillé tout en devant encore une fois se contenter de la 2e place, un rang qu'elle ne connaît que trop bien depuis le début de sa carrière. Mais la skieuse d'Unteriberg ne va pas se plaindre avec cette belle deuxième place. Déjà deuxième à Killington, elle avait aussi décroché cette place à Kranjska Gora derrière Zrinka Ljutic. La Croate, qui a remporté les deux derniers slaloms, a commis une immense sur le haut et n'a pas pu prendre le départ de la deuxième manche en raison de son 34e rang à 3''70.
Si Sara Hector complète le podium, il convient aussi de féliciter Mélanie Meillard. La Valaisanne d'origine neuchâteloise finit dans le top 10 pour la sixième fois en autant de courses. Il s'agit de son troisième top 5 de la saison après Killington et Kranjska Gora.
Pour son 103e et dernier slalom, Michelle Gisin n'a pas réalisé de miracles. L'Obwaldienne, victorieuse du slalom de Semmering voici plus de quatre ans, a manqué d'énergie pour terminer à la 23e place, alors qu'elle était encore 14e au terme du premier effort.
Juste derrière la double championne olympique de combiné on retrouve Aline Höpli.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Sans son élection, Trump aurait été condamné, selon un rapport
Donald Trump aurait été condamné pour tentatives illicites d'inverser les résultats du scrutin présidentiel de 2020 s'il n'avait pas été de nouveau élu en novembre. C'est ce qu'affirme le procureur spécial Jack Smith dans son rapport final publié mardi.
Le procureur spécial, qui a instruit ce dossier à Washington ainsi qu'une autre procédure fédérale contre Donald Trump, pour rétention de documents classifiés dans sa propriété baptisée Mar-a-Lago après son départ de la Maison Blanche, a transmis son rapport sur ces deux affaires au ministre sortant de la Justice Merrick Garland le 7 janvier.
Le ministre a rendu public dans la nuit de lundi à mardi, comme il l'avait annoncé, le premier volume de ce rapport. Ce volume porte sur les tentatives présumées illégales de Donald Trump, alors président sortant républicain, d'inverser les résultats de l'élection de 2020 remportée par son adversaire démocrate Joe Biden.
Donald Trump, qui a fait de Jack Smith une cible privilégiée de ses attaques ad hominem, s'en est de nouveau pris à lui mardi sur son réseau Truth Social, le traitant une énième fois de "cinglé" après la publication de ses "conclusions mensongères".
Ne pas poursuivre un président en exercice
Le procureur spécial a recommandé et obtenu fin novembre l'arrêt des deux procédures fédérales visant l'ex-président et désormais président élu Donald Trump.
Après consultations, le ministère de la Justice a conclu que sa politique depuis le scandale du Watergate en 1973, consistant à ne pas poursuivre un président en exercice, "s'applique à cette situation" inédite, avait expliqué Jack Smith.
"Les résultats de l'élection ont pour la première fois soulevé la question de la marche à suivre légale lorsqu'un simple citoyen qui a déjà été inculpé est élu président", souligne-t-il dans son rapport final.
"Gravité des crimes" pas en cause
Ces conclusions du ministère de la Justice "ne dépendent pas de la gravité des crimes visés, de la force du dossier de l'accusation ou du fond des poursuites", que le procureur spécial soutient pleinement, rappelle-t-il.
Au contraire, Jack Smith se dit convaincu que "sans l'élection du populiste et son retour imminent à la présidence, les preuves admissibles étaient suffisantes pour obtenir une condamnation lors d'un procès".
Donald Trump était notamment inculpé de "complot contre les institutions américaines" et d'"atteinte au droit de vote" des électeurs pour ses pressions sur les autorités locales de sept Etats-clés qu'il avait perdus de peu afin d'invalider les résultats officiels.
Documents classifiés
Dans l'autre affaire fédérale, pour rétention de documents classifiés dans sa résidence de Floride (sud-est), le ministère de la Justice a indiqué qu'il ne publierait pas les conclusions du procureur spécial. Et ce, afin de ne pas "porter préjudice" à ses deux coprévenus, ses deux assistant personnels, qui restent poursuivis dans ce dossier.
Des quatre procédures pénales visant Donald Trump, un seul procès s'est tenu, à New York, où il a été reconnu coupable de le 30 mai de paiements dissimulés à l'actrice de films X Stormy Daniels afin de "pervertir l'élection de 2016".
Repris de justice à la Maison Blanche
Une première infamante pour un ex-président américain et désormais pour un président élu. Après de multiples reports, le prononcé de la peine s'est tenu le 10 janvier, à dix jours de son retour à la Maison Blanche.
Mais comme il l'avait annoncé, le juge Juan Merchan a prononcé une "dispense de peine" afin de ne pas empiéter sur ses futures fonctions.
Toujours poursuivi en Géorgie
Donald Trump reste par ailleurs poursuivi dans l'Etat clé de Géorgie (sud-est) avec 14 autres personnes de faits similaires à ceux de son dossier fédéral d'ingérence électorale en 2020.
Mais la cour d'appel de l'Etat a ordonné en décembre le dessaisissement de la procureure pour cause de relation intime avec un enquêteur qu'elle avait engagé dans cette affaire, ce qui devrait entraîner de nouveaux délais. Sans compter que le président des Etats-Unis est en principe à l'abri des poursuites pendant la durée de son mandat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Slalom de Flachau: Holdener et les Suissesses placées
Wendy Holdener va se battre pour le podium après la première manche du slalom de Flachau. La Schwytzoise, 2e, accuse 0''75 de retard sur Katharina Liensberger.
Alors que l'Autrichienne a réussi un superbe effort devant son public, Wendy Holdener a rivalisé sur le haut avant de céder du temps sur les trente dernières secondes d'une manche très longue. Derrière Holdener, on retrouve la Suédoise Sara Hector à 0''94, ce qui fait que seules deux athlètes sont dans la même seconde que Liensberger.
Cinquième à 1''15, Mélanie Meillard aura elle aussi l'opportunité d'aller chercher le premier podium de sa carrière en slalom. Comme sa compatriote, la Valaisanne d'origine neuchâteloise a perdu du temps sur les deux derniers secteurs.
Première à s'élancer, Camille Rast a pour sa part fait preuve de timidité. Elle a tout de même limité la casse en se classant 8e à 1''50 et donc à 0''75 de Wendy Holdener.
Pour son 103e et dernier slalom, Michelle Gisin n'a pour l'heure pas réalisé de miracles. L'Obwaldienne, victorieuse du slalom de Semmering voici plus de quatre ans, a manqué d'énergie pour occuper la 14e place à 2''38.
Une cinquième représentante de Swiss-Ski pourra s'élancer dès 20h45, il s'agit d'Aline Höpli, 27e à 3''08.
A noter la contre-performance de Zrinka Ljutic. La Croate, qui a remporté les deux derniers slaloms, a commis une immense sur le haut et a été repoussée au 34e rang à 3''70.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Assaut en règle contre le potentiel futur ministre de la Défense
"Vous n'êtes pas qualifié": désigné par Trump pour diriger le Pentagone, Pete Hegseth a été entendu mardi au Sénat. L'audition a dégénéré en joute verbale avec les élus démocrates, qui ont fustigé le manque d'expérience et les controverses autour de cet ex-soldat.
Aux Etats-Unis, la Constitution exige que les nominations de ministres et autres hauts responsables soient confirmées par un vote au Sénat, après une audition au sein de la commission compétente pour le poste en question.
Pete Hegseth, ex-major et présentateur de Fox News de 44 ans, a ouvert le bal pour les ministres désignés par Donald Trump en passant mardi pendant plus de quatre heures sur le gril de la commission des forces armées.
"Ramener la culture du guerrier"
Sa mission principale, a-t-il déclaré en préambule aux sénateurs, sera de "ramener la culture du guerrier" au Pentagone.
Dès sa nomination, Pete Hegseth avait assuré vouloir réformer le Pentagone de fond en comble, devenu trop "woke" et acquis à une idéologie trop à gauche selon lui.
Donald Trump, "comme moi, veut un Pentagone concentré à fond sur le combat, la létalité, la méritocratie, les principes et la préparation. C'est tout", a-t-il assuré devant la commission, après avoir été interrompu à plusieurs reprises par des personnes dans l'assistance protestant contre la guerre à Gaza.
"Informations extrêmement alarmantes"
L'ancien militaire a vite subi un tir nourri de la part des élus démocrates. "M. Hegseth, vous n'êtes pas qualifié" pour devenir ministre de la Défense, a lancé la sénatrice Tammy Duckworth.
Son collègue démocrate Jack Reed avait listé peu avant des "informations extrêmement alarmantes" concernant Pete Hegseth et "un mépris du droit de la guerre, une mauvaise gestion financière, des remarques racistes et sexistes sur les hommes et femmes sous les drapeaux, l'abus d'alcool, une agression sexuelle, du harcèlement sexuel et d'autres problèmes préoccupants".
Dès l'annonce de sa nomination, l'opposition avait fustigé son manque d'expérience pour diriger l'armée la plus puissante du monde, mais aussi certaines déclarations controversées.
Une accusation d'agression sexuelle datant de 2017 en Californie a également émergé en novembre. Aucune plainte n'avait été déposée à l'époque et l'ancien militaire dément toute relation non consentie.
"Tuez tous les musulmans"
Pete Hegseth est aussi soupçonné d'avoir une consommation d'alcool régulièrement excessive. La sénatrice démocrate Elizabeth Warren a décrié la semaine dernière "un gars qui s'est retrouvé tellement bourré à des événements professionnels qu'il a eu besoin à plusieurs reprises d'être porté à l'extérieur".
"L'un de vos collègues a dit que vous étiez tellement bourré à un événement dans un bar que vous avez chanté 'Tuez tous les musulmans'", a-t-elle asséné mardi lors de l'audition. Pete Hegseth a dénoncé "une poignée de sources anonymes à qui on a permis de mener une campagne de dénigrement".
Déclarations "néfastes"
Les sénateurs démocrates se sont d'abord concentrés durant l'audition sur son opposition - exprimée par le passé - à la présence de femmes dans les troupes combattantes.
Des déclarations "tellement blessantes pour les hommes et les femmes actuellement enrôlés dans l'armée américaine, néfastes pour le moral, néfastes pour le bon fonctionnement et la discipline" des forces armées, a condamné la sénatrice Kirsten Gillibrand.
Pete Hegseth s'est défendu en affirmant "respecter chaque femme militaire qui a endossé l'uniforme", et que ces critiques visaient en réalité un abaissement selon lui des niveaux d'exigence au sein de l'armée américaine.
Trump maintient son choix
La commission doit désormais décider si elle souhaite une nouvelle audition de Pete Hegseth, ou voter pour recommander sa candidature ou non au reste du Sénat qui devra l'approuver à la majorité simple.
Malgré les polémiques, Donald Trump avait déclaré début décembre maintenir son choix. Le futur président américain a déjà dû faire face au retrait forcé de Matt Gaetz, son choix initial controversé pour le ministère de la Justice.
Après Pete Hegseth, les auditions continueront au Sénat dans les jours et semaines à venir. Certaines nominations polémiques, comme celles de Robert F. Kennedy Jr à la Santé et Kash Patel au FBI, n'ont pas encore eu d'audition planifiée.
Rejet d'un ministre, du jamais vu
Un rejet par le Sénat d'une nomination d'un ministre, du jamais vu depuis 1989, représenterait un coup de tonnerre et un camouflet pour Donald Trump.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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