International
Nouvelles centrales à charbon prévues dans 34 pays, dont la Chine
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/04/en-2021-la-flotte-de-centrales-au-charbon-en-operation-dans-le-monde-a-augmente-de-182-gw-un-rebond-lie-au-covidselon-le-rapport-du-global-energy-monitor-image-dillustration-1000x600.jpg&description=Nouvelles centrales à charbon prévues dans 34 pays, dont la Chine', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Malgré les dommages causés au climat, la planète compte encore des projets de construction ou d'extension de centrales électriques au charbon dans 34 pays différents, surtout en Chine, dénonce le rapport annuel du Global Energy Monitor publié mardi.
Au total, le monde, qui compte plus de 2400 centrales à charbon dans 79 pays - pour un total de près de 2100 gigawatts (GW) de capacité de production - envisage encore d'augmenter de 457 GW sa capacité de production électrique via de nouveaux projets de centrales à charbon, indique le rapport, en saluant néanmoins la tendance globale au ralentissement des implantations, mis à part l'an passé.
"Il ne reste que 170 centrales (89 GW) soit 5% de la flotte en opération aujourd'hui, qui ne sont pas concernées par une date d'arrêt progressif ou un objectif de neutralité carbone", indique le rapport du groupe de réflexion basé à San Francisco, accompagné de huit autres organisations environnementales internationales: Sierra Club aux Etats-Unis, Kiko au Japon, Can Europe en Europe, Life en Inde, BWGED au Bangladesh, ainsi que Crea, E3G et SFOC.
Rebond lié au Covid
En 2021, la flotte de centrales au charbon en opération dans le monde a encore augmenté de 18,2 GW, un rebond lié au Covid, indique le rapport. La Chine "a continué d'être l'exception criante au déclin actuel des centrales en développement", pointent les auteurs.
L'an passé, plus de la moitié (56%) des 45 GW unités de production mises en service se trouvaient en Chine (25,2 GW), 14% en Inde, et 11% en Indonésie, au Vietnam et au Cambodge.
Et, à elle seule, la Chine compte quasiment autant de projets d'ouvertures (pour un total de 25,2 GW de capacité) que le reste de la planète compte de projets de fermetures (25,6 GW).
Le rapport dénonce "la reprise des permis de construire" de centrales au charbon en Chine début 2022, permise par une "réécriture de la politique énergétique du pays" qui a fait suite aux pénuries et au rationnement de l'électricité dans plus de la moitié des provinces fin 2021.
"Impression de dynamique"
Dans le reste du monde, l'appel lancé à Glasgow lors de la conférence onusienne sur le climat, COP26, par le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres, à abandonner la construction de nouvelles centrales à charbon pour freiner le réchauffement de la planète, a "créé une impression de dynamique": En tout, 65 pays se sont engagés à ne plus construire, soit 36 de plus qu'en janvier 2021.
Au sein de l'OCDE, 86% des pays n'ont actuellement plus aucun nouveau projet de charbon en cours. Six pays continuent néanmoins formellement d'envisager de nouveaux projets: Etats-Unis, Australie, Pologne, Mexique, Japon et Turquie, même si beaucoup d'entre eux "n'ont aucune chance de voir le jour", selon les auteurs.
Par exemple, il est "peu probable" que le projet soutenu aux Etats-Unis par Donald Trump lorsqu'il était président "arrive à son terme". Le rapport estime aussi que la centrale polonaise de 500 MW prévue à Leczna ne devrait pas être construite "étant donné la politique climatique européenne".
Financements chinois à l'étranger
En Afrique, où doit se tenir la prochaine conférence internationale sur le climat (COP27 prévue en Egypte, ndlr.), 12 pays ont encore des projets liés au charbon, trois de moins qu'en 2021 (Côte d'Ivoire, Maroc et Djibouti).
Le rapport souligne que l'engagement du président chinois Xi Jinping lors de l'assemblée générale des Nations unies en septembre 2021 de ne plus financer de construction de centrales à charbon hors de Chine "rend beaucoup de projets africains caducs", la Chine étant le principal soutien financier des nouvelles centrales sur ce continent.
Mais les auteurs s'inquiètent de voir Pékin mener à bien les contrats déjà signés: "A ce jour, il est peu clair de savoir si la Chine coupera le cordon pour les 56 centrales en projet que ses banques publiques et compagnies privées envisagent de financer".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Kremlin salue la nouvelle stratégie de sécurité américaine
La Russie a accueilli favorablement dimanche la nouvelle stratégie de sécurité nationale des Etats-Unis. Elle affirme que ses ajustements, qui relèvent d'une vision résolument nationaliste de la présidence Trump, étaient "globalement conformes" à la vision de Moscou.
"Les ajustements que nous observons, je dirais, sont globalement conformes à notre vision", a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov dans une interview accordée à la télévision publique, au sujet du document publié vendredi.
M. Peskov a espéré que cette nouvelle stratégie "puisse constituer une modeste garantie à notre capacité de continuer de manière constructive notre travail conjoint pour trouver un règlement pacifique en Ukraine".
Le texte diffusé par le gouvernement américain redéfinit sa "stratégie de sécurité nationale" en accord avec la position de Donald Trump en faveur de "l'Amérique d'abord". Il s'en prend vivement aux Européens, soutenant que le Vieux continent est confronté à un "effacement civilisationnel" dû à l'immigration.
Le document promet également qu'il n'y aura pas d'élargissement de l'Otan, anéantissant une fois de plus les espoirs de l'Ukraine qui subit l'invasion russe.
Il y aura "un réajustement de notre présence militaire mondiale pour répondre aux menaces urgentes sur notre continent et un éloignement des théâtres dont l'importance relative pour la sécurité nationale américaine a diminué ces dernières années ou décennies", y lit-on. "L'époque où les Etats-Unis soutenaient l'ordre mondial tout entier, tel Atlas, est révolue", souligne-t-il.
L'annonce de la nouvelle stratégie de sécurité nationale américaine est intervenue à un moment où des responsables ukrainiens étaient en pourparlers en Floride avec des émissaires de Donald Trump sur le plan élaboré par Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine. Trois jours de discussions n'ont produit aucun progrès apparent.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un temps canon pour Joyciline Jepkosgei
Les Kényans ont brillé dimanche dans le marathon de Valence.
Joyciline Jepkosgei a signé le quatrième temps de l'histoire chez les dames pour s'imposer, John Korir réalisant quant à lui le huitième meilleur chrono de tous les temps pour enlever la course masculine.
Joyciline Jepkosgei a triomphé en 2h14'00, un nouveau record de la course valencienne. La Kényane, lauréate du marathon de Londres en 2021, a livré un duel haletant à sa compatriote Peres Jepchirchir, championne du monde à Tokyo en septembre, qu'elle a devancée de 43 secondes à l'arrivée.
Pour sa première participation à Valence, John Korir, vainqueur à Boston en avril mais qui avait abandonné à Chicago en octobre, a quant à lui terminé son marathon en 2h02'24. Il a placé une accélération fulgurante au km 25. Deuxième, l'Allemand Amanal Petros a lâché plus d'une minute et demie.
Réputé très rapide, le marathon de Valence attire chaque année des dizaines de milliers de participants. Ils étaient 36'000 cette année pour la 45e édition, un record selon les organisateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Friedrich Merz réaffirme le soutien de l'Allemagne à Israël
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé dimanche le soutien de l'Allemagne à Israël, lors d'une visite au mémorial de la Shoah, Yad Vashem, à Jérusalem. Il a ensuite entamé une rencontre avec son homologue israélien Benjamin Netanyahu.
M. Merz est arrivé samedi pour une visite diplomatique en Israël, la première depuis sa prise de fonctions, destinée à consolider la relation privilégiée entre les deux pays, après des frictions au vu de la guerre menée dans la bande de Gaza et des violences de colons juifs extrémistes en Cisjordanie occupée.
"L'Allemagne doit défendre l'existence et la sécurité d'Israël. Cela restera à jamais profondément inscrit dans le lien qui nous unit", a déclaré le chancelier au mémorial Yad Vashem. Il a mis en avant "la responsabilité historique durable" de son pays dans l'extermination de six millions de juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il a ensuite été entamé un entretien avec M. Netanyahu, de plus en plus isolé sur le plan international. L'entretien doit porter sur les efforts en vue de passer à une deuxième phase du cessez-le-feu à Gaza, dans le cadre du plan du président américain Donald Trump censé mettre un point final à la guerre déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas palestinien en Israël.
"Dilemmes"
Accueilli samedi à Tel-Aviv par le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, qui l'a qualifié d'"ami d'Israël ", M. Merz a ensuite rencontré dans la soirée le chef de l'Etat Isaac Herzog à Jérusalem.
"Se tenir au côté de ce pays fait partie du noyau essentiel, immuable de la politique de la République fédérale d'Allemagne et le restera", a-t-il dit à l'issue de la rencontre. Sa décision de décréter un embargo partiel sur les exportations d'armes de son pays vers Israël face à l'intensification des bombardements sur Gaza avait fortement déplu aux autorités israéliennes.
"Les actions de l'armée israélienne à Gaza nous ont posé quelques dilemmes [et] nous y avons réagi", mais "nous avons également constaté qu'à ce jour, il n'y a fondamentalement aucune divergence [entre nous]", a ajouté M. Merz, qui a levé cet embargo fin novembre à la faveur du cessez-le-feu en vigueur à Gaza depuis le 10 octobre.
"Israël a le droit de se défendre car c'est la seule façon de garantir son droit à exister", a-t-il encore déclaré.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bénin: l'armée a repris le contrôle, selon l'entourage du président
Le président béninois Patrice Talon est en sécurité et l'armée reprend le contrôle, a annoncé dimanche à l'AFP l'entourage du chef de l'Etat. Des militaires avaient annoncé plus tôt dans la matinée sa destitution à la télévision publique.
"Il s'agit d'un groupuscule de personne qui ont uniquement la télévision. L'armée régulière reprend le contrôle. La ville (la capitale Cotonou) et le pays sont totalement sécurisés, le président et sa famille aussi", a dit à l'AFP une source militaire dans l'entourage de M. Talon.
Tôt dimanche matin, des militaires béninois avaient annoncé sur la télévision publique avoir "démis de ses fonctions" le président Talon, qui devait passer la main en avril prochain après dix ans au pouvoir.
Ce groupe de militaires, qui se proclame "le Comité militaire pour la refondation (CMR)", "réuni dimanche 7 décembre 2025, a délibéré et décidé ce qui suit: M. Patrice Talon est démis de ses fonctions de président de la République", avaient précisé ces militaires.
L'ambassade de France avait rapporté sur X que "des coups de feu ont été signalés à Camp Guezo, a proximité du domicile du président de la République", à Cotonou.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 1 jour
Inauguration officielle du nouveau garage-dépôt des MBC à Denges
-
InternationalIl y a 2 jours
Trump réajuste sa "stratégie de défense" à l'échelle mondiale
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Aéroport de Zurich: bientôt la fin de la limitation des liquides
-
VaudIl y a 2 jours
Vaud Talent Hub veut faciliter l'accueil et la rétention de talents
-
SuisseIl y a 3 jours
Nouveau train de nuit présenté par les CFF à Zurich
-
VaudIl y a 2 jours
Sébastien Cala se porte candidat pour remplacer Rebecca Ruiz
-
GenèveIl y a 3 jours
Davantage de soutien pour la production d'électricité solaire
-
SuisseIl y a 3 jours
Armée: le nouveau pistolet de service a été choisi


