International
Renault: perte prévue de production de 500'000 véhicules en 2021
Le groupe Renault anticipe désormais une perte de production "proche de 500'000 véhicules sur l'année" liée à la crise des composants, a annoncé vendredi le groupe automobile.
170'000 véhicules n'ont pas pu être produits au troisième trimestre, avec de nombreuses usines fermées à travers le monde faute de composants, notamment des semi-conducteurs.
Le groupe français a confirmé cependant ses prévisions de marge opérationnelle sur l'année, à hauteur de 2,8% du chiffre d'affaires.
Renault a vendu 599'027 véhicules au troisième trimestre 2021, soit une baisse de 22,3% par rapport à un troisième trimestre 2020 qui avait marqué la reprise de l'industrie automobile après la paralysie des premiers mois du Covid.
La baisse du chiffre d'affaires, limitée à -13,4%, "confirme l'impact positif de la politique commerciale du Groupe orientée vers une meilleure valorisation des ventes", selon Renault.
"Les actions entreprises pour poursuivre la baisse des coûts et optimiser la valorisation de notre production nous permettent de confirmer notre guidance pour l'année en dépit de la détérioration de la disponibilité des composants au troisième trimestre et d'une visibilité réduite pour le quatrième trimestre", a déclaré la directrice financière du groupe, Clotilde Delbos.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Un Russe secouru par un hélicoptère norvégien près du pôle Nord
Un Russe embarqué sur une plateforme scientifique prise dans les glaces de l'Arctique, à proximité du pôle Nord, a été évacué pour des raisons médicales par un hélicoptère norvégien lors d'une opération spectaculaire, ont annoncé mercredi les secours norvégiens.
"C'est l'évacuation d'un patient la plus au nord jamais effectuée dans le monde", a affirmé la publication en ligne Barents Observer.
Celle-ci a eu lieu mardi soir à bord de la station dérivante Severny Polyus ("pôle Nord" en russe) par 86° nord au-dessus de l'archipel norvégien du Svalbard, à environ 240 milles marins (444 km) du pôle.
A la demande de leurs homologues russes, les autorités norvégiennes ont fait décoller un hélicoptère Super Puma depuis Longyearbyen, la principale localité du Svalbard, à 500 milles marins (925 km) de là, pour évacuer le membre russe d'équipage, dont l'état de santé a été jugé trop critique pour être soigné sur la plateforme.
"C'est à l'extrême limite de ce que l'hélicoptère peut faire" en terme de rayon d'action, a expliqué à l'AFP un porte-parole du Centre de secours norvégien de Bodø, Rune Danielsen.
Le moindre détail compte
"Le moindre détail compte pour aller aussi loin: le poids, le vent...", a-t-il fait valoir.
L'opération a été menée conformément aux accords bilatéraux en vigueur en matière de recherche et de sauvetage entre la Norvège et la Russie dans l'Arctique, en dépit de la détérioration des relations entre les deux pays depuis l'offensive russe en Ukraine.
Selon son constructeur, Airbus Helicopters, le H215 Super Puma a un rayon d'action maximal de 866 km, sans réservoir externe additionnel.
L'hélicoptère norvégien a fait un dernier plein dans le nord du Svalbard, où du carburant est entreposé par avance pour effectuer ce genre de missions extrêmes dans l'Arctique, puis il a de nouveau reçu du kérosène à bord du Severny Polyus, une plateforme de 83 mètres coincée dans la glace dans le cadre d'une expédition scientifique.
A son arrivée, sans encombre, à Longyearbyen dans la nuit aux alentours de 02h00 (locales et suisses), le patient russe a été évacué à bord d'un avion médical vers la Norvège continentale.
L'hôpital de Tromsø (nord) qui l'a accueilli n'a pas voulu faire de commentaire sur son état de santé pour cause de secret médical.
"Une opération a eu lieu à Tromsø. Le patient serait dans un état grave mais stationnaire", a de son côté indiqué à l'AFP l'ambassade de Russie en Norvège.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Macron affiche son entente avec le président italien
Emmanuel Macron a affiché mercredi à Paris une certaine complicité avec le président italien Sergio Mattarella. Une visite qui pourrait être suivie d'ici fin juin par la venue de la première ministre Giorgia Meloni. Avec elle, les relations ont été plus mouvementées.
Le chef de l'Etat français et son homologue ont visité, le jour de son inauguration, l'exposition "Naples à Paris" au musée du Louvre, qui a mêlé ses chefs-d'oeuvre de la Renaissance italienne avec les tableaux prêtés par le musée napolitain Capodimonte.
Devant la "Joconde" de Léonard de Vinci, ou "La Flagellation" du Caravage, présentée aux deux présidents comme "la Joconde de Capodimonte", Emmanuel Macron et Sergio Mattarella ont admiré cette installation qui, selon l'Elysée, "honore les liens historiques entre la France et l'Italie".
La présidence française a insisté sur la "relation de confiance et d'amitié" entre les deux hommes, mais aussi, au-delà, les "liens exceptionnels qui unissent" les deux pays.
Ces liens ont traversé quelques turbulences, notamment autour du dossier épineux de l'immigration, depuis l'arrivée au pouvoir à l'automne à Rome du gouvernement ultraconservateur dirigé par Giorgia Meloni, elle-même à la tête d'un parti post-fasciste.
Alors que la France a assuré avoir invité la cheffe du gouvernement italien depuis des mois, aucune date n'a été fixée, mais une visite est désormais évoquée d'ici la fin du mois, peut-être autour du sommet pour un nouveau pacte financier international organisé par Emmanuel Macron les 22 et 23 juin.
Mattarella cite De Gaulle
En attendant, la venue du président italien, qui joue à Rome un rôle constitutionnel de sage et de garant des institutions, semblait devoir permettre de démontrer la stabilité des relations entre les deux voisins, au-delà de l'identité de leurs dirigeants.
Devant de jeunes diplomates mardi soir à Paris, Sergio Mattarella a ainsi cité des propos tenus en juillet 1943 par le général De Gaulle. Juste après "la chute du fascisme" en Italie, alors qu'il s'agissait d'une "période tourmentée", a-t-il rappelé, "De Gaulle évoqua un 'voisinage étroit' et une 'interdépendance des deux grands peuples latins'".
"Les relations entre l'Italie et la France sont, nous le savons tous, séculaires. Votre tâche sera de continuer à les alimenter", a dit le président italien aux jeunes diplomates.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Swiatek domine Gauff et rejoint Haddad Maia en demi-finales
Iga Swiatek a dominé l'Américaine Coco Gauff (WTA 6) 6-4 6-2 en 1/4 de Roland-Garros. Elle rejoint l'inattendue Brésilienne Beatriz Haddad Maia (14e) dans le dernier carré.
Swiatek, tenante du titre et lauréate une première fois Porte d'Auteuil en 2020, n'a pas laissé échapper le moindre set depuis le début de la quinzaine parisienne. La Polonaise de 22 ans a même infligé quatre 6-0 à ses adversaires, un au premier tour, un au deuxième et deux au troisième. En huitièmes de finale, elle a bénéficié de l'abandon après six jeux de l'Ukrainienne Lesia Tsurenko (66e), malade.
Gauff ne trouve décidément pas la parade contre Swiatek. En désormais sept rencontres, l'Américaine de 19 ans ne s'est non seulement jamais imposée, mais n'a jamais réussi non plus à empocher un set.
Dans le premier set serré, Gauff, qui a tenté de bousculer Swiatek, a bien comblé un break de retard (3-1 à 3-3), mais la no 1 mondiale a su mettre un coup d'accélérateur à 4 jeux partout pour breaker et virer en tête.
Dans le second, Gauff n'a tenu le rythme que jusqu'à 2 partout, avant de perdre les quatre jeux suivants et de s'incliner en un peu moins d'une heure et demie. "Ca a été un match difficile, surtout dans le premier set, qui a été vraiment serré", a estimé Swiatek.
Sabalenka étant qualifiée pour le dernier carré comme elle, la jeune Polonaise doit impérativement se hisser au minimum en finale pour avoir une chance de se maintenir sur le trône de no 1 mondiale à l'issue de Roland-Garros.
Il y a un an en finale, Swiatek avait dominé Gauff 6-1 6-3 pour s'offrir son deuxième titre en Grand Chelem. Elle en compte trois désormais, depuis son sacre à l'US Open 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le PDG de CNN, contesté, va quitter la direction de la chaîne
Le PDG de CNN, Chris Licht, va quitter la direction de la chaîne d'information américaine, a annoncé mercredi le groupe, après plusieurs semaines de remous au sein de la rédaction, dont une partie contestait sa gestion.
Chris Licht avait pris les rênes de la plus ancienne chaîne d'information en continu aux Etats-Unis en mai 2022, après le départ soudain du patron emblématique Jeff Zucker, qui n'avait pas fait état à ses dirigeants de sa relation amoureuse avec une cadre de CNN.
Depuis, le quinquagénaire a tenté de relancer la vieille dame de l'info en continu, dont les audiences souffrent de la concurrence avec sa rivale conservatrice Fox News, mais aussi avec MSNBC, à la ligne éditoriale plus à gauche.
Il a effectué plusieurs remaniements au sein de la grille des programmes, sans succès pour l'instant, et tenté quelques coups médiatiques, en premier lieu l'émission en direct et en public avec Donald Trump comme invité, mi-mai.
Ce programme a été mal reçu par une partie de l'opinion mais aussi au sein de la rédaction, qui y a vu une plateforme offerte sans réserve à l'ancien président, devant une assistance de sympathisants républicains pour la plupart acquis à sa cause.
En outre, l'effet de l'émission sur les audiences a été de courte durée, puisque quelques jours après, CNN est passée derrière la petite chaîne conservatrice Newsmax au classement de la journée.
Rupture
La position de Chris Licht a été encore davantage fragilisée par la publication, la semaine dernière, d'un très long article du magazine The Atlantic, qui a souligné la rupture nette entre le dirigeant et ses équipes.
"La tâche n'était pas simple, en particulier à un moment de grand chamboulement et de transformation et Chris y a mis tout son coeur", a commenté le PDG de Warner Bros Discovery, maison mère de CNN, David Zaslav, dans une note interne obtenue par l'AFP.
"Malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme nous l'avions espéré et, au final, j'en assume la responsabilité", a-t-il ajouté.
La chaîne a indiqué que le ou la remplaçante de Chris Licht n'avait pas encore été choisi, et que dans l'intervalle, CNN s'appuierait sur une équipe de dirigeants par intérim, composée de trois vice-présidents déjà au sein du groupe pour les questions éditoriales et du numéro deux pour la partie commerciale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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