International
Répression "sans précédent" en Russie depuis Staline (experte ONU)
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Le niveau de répression en Russie est "sans précédent" depuis l'époque stalinienne, selon la rapporteuse spéciale de l'ONU sur ce pays. Le nombre de plaintes d'individus auprès de mécanismes onusiens a largement augmenté, a affirmé vendredi à Genève Mariana Katzarova.
"Ce n'est pas encore aussi mauvais" qu'à l'époque stalinienne, a-t-elle dit à la presse. La répression est "sophistiquée" et "chaque une semaine, une nouvelle loi ajoute des restrictions".
Mme Katzarov a aussi dit que "la Russie a fermé sa société". La communauté internationale a encore la possibilité, en poursuivant la surveillance de la situation, d'éviter que la situation ne se détériore encore, selon elle.
La Bulgare a démarré son mandat début mai. Les Etats du Conseil des droits de l'homme de l'ONU doivent se pencher dans quelques semaines sur le renouvellement de celui-ci.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'UE appelle à éviter le protectionnisme au G7
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé dimanche le G7 à "éviter le protectionnisme" au début d'un sommet au Canada. La réunion est placée sous tension en raison des frictions entre alliés et le conflit entre l'Iran et Israël.
Le sommet, qui se déroule à Kananaskis dans l'écrin du parc national de Banff, dans l'ouest canadien, est le premier depuis que le retour de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d'Amérique a fragilisé l'unité du club des grandes démocraties industrialisées.
Le nouveau premier ministre canadien Mark Carney a choisi d'inviter également de nombreux dirigeants d'autres pays: Inde, Ukraine, Mexique, Afrique du Sud, Australie et Corée du Sud seront présents.
Eviter les drames sera une priorité absolue pour tous malgré les nombreux sujets de frictions, des droits de douane imposés par Donald Trump à la guerre en Ukraine, ou encore celle au Moyen-Orient.
Pour cela, les pays du G7 devraient s'abstenir de publier le traditionnel long communiqué final.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Los Angeles: Trump ordonne de nouvelles opérations anti-immigration
Le président américain Donald Trump a ordonné dimanche de nouvelles opérations anti-migrants à Los Angeles et New York, en vue du "plus grand programme d'expulsions massives de l'histoire". Ces villes sont dirigées selon lui par des démocrates à "l'esprit malade".
"Nous devons redoubler d'efforts pour arrêter et expulser les étrangers illégaux des plus grandes villes américaines comme Los Angeles, Chicago et New York, où des millions d'étrangers illégaux habitent", a déclaré le milliardaire républicain sur son réseau social Truth Social. "Ces villes, et d'autres, sont le noyau central du pouvoir démocrate", a-t-il ajouté.
M. Trump a fait de l'expulsion des immigrés clandestins une priorité de son deuxième mandat, après avoir promis durant sa campagne de mettre fin à une supposée "invasion" de criminels étrangers. Mais ses efforts pour lutter contre l'immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d'activité.
"Esprit malade"
Des descentes à répétition d'agents de la police fédérale de l'immigration (ICE) à Los Angeles ont déclenché des manifestations parfois ponctuées de violences dans la deuxième ville des Etats-Unis, auxquelles le président a répondu en déployant 4000 gardes nationaux et 700 Marines, un corps d'élite, contre la volonté du gouverneur de Californie et de la maire.
Dans sa longue diatribe sur Truth Social dimanche, le président républicain a affirmé que "chaque jour, les courageux hommes et femmes de l'ICE sont soumis à des actes de violence, au harcèlement et même à des menaces de la part de politiciens démocrates radicaux".
Mais, a-t-il insisté, "rien ne nous empêchera d'exécuter notre mission [...] Les agents de l'ICE ont, par la présente, ordre de faire tout leur possible pour atteindre l'objectif très important de réaliser le plus grand programme d'expulsion massive de l'histoire".
"Les démocrates d'extrême gauche ont l'esprit malade, détestent notre pays et veulent en réalité détruire nos centres-villes et ils y parviennent", a encore lancé le président.
Il a dit avoir ordonné à l'ICE et aux autres corps de maintien de l'ordre de "se concentrer sur nos centres-villes criminogènes et meurtriers". Toute l'administration, a-t-il insisté, a ordre "de mettre toutes les ressources possibles derrière cet effort, et d'inverser la marée de la migration de destruction massive qui a transformé des villes autrefois idylliques en scènes de dystopie du tiers-monde".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Quatrième nuit de bombardements israéliens sur l'Iran
Israël a continué lundi ses frappes à travers l'Iran pour la quatrième nuit consécutive, disant viser des sites de missiles sol-sol. La veille, l'armée israélienne avait bombardé Téhéran, la ville sainte de Machhad et des installations militaires.
Les frappes israéliennes en Iran ont fait au moins 224 morts depuis vendredi et plus d'un millier de blessés, a annoncé dimanche le ministère iranien de la santé. Côté israélien, le bilan des ripostes iraniennes depuis vendredi est de 13 morts et 380 blessés, selon la police et les secours.
Tôt lundi matin, Israël a dit être en train de frapper des sites de missiles sol-sol dans le centre de l'Iran. "Nous agissons contre cette menace depuis notre espace aérien et depuis l'espace aérien iranien", a déclaré sur le réseau social X un porte-parole de l'armée israélienne, le lieutenant-colonel Nadav Shoshani.
Téhéran a annoncé dimanche la mort du chef du renseignement des gardiens de la révolution, après la mort vendredi des deux plus hauts gradés du pays et de neuf scientifiques du programme nucléaire. Des dizaines de cibles ont été visées dans la capitale, notamment des sites liés au nucléaire et deux dépôts de carburant.
Appel de Trump
La majorité des commerces sont restés fermés dimanche et les routes pour quitter Téhéran étaient remplies de longues files de voitures.
En Israël, les sirènes ont retenti à plusieurs reprises dimanche, et la population a été appelée à descendre dans les abris.
A Jérusalem, des journalistes de l'AFP ont vu passer dimanche soir au moins une dizaine de missiles dans le ciel, avant d'entendre au loin de violentes explosions. Plusieurs zones ont été touchées, selon l'armée.
Le Magen David Adom, équivalent israélien de la Croix-Rouge, a publié des images d'équipes de secours déployées dans la ville côtière d'Haïfa, dans le nord d'Israël, montrant plusieurs voitures en feu et un immeuble d'habitation dont la façade a été arrachée par une explosion.
Le président américain Donald Trump, allié d'Israël, a appelé dimanche les deux pays à "trouver un accord". Il a ajouté qu'il est "possible" que les Etats-Unis s'impliquent dans le conflit mais qu'ils ne sont "à cet instant pas impliqués".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Utah: le manifestant blessé lors d'une marche anti-Trump est mort
Un manifestant est mort après avoir été blessé par balle, visiblement par erreur, samedi lors de l'une des marches de protestation contre le président américain Donald Trump dans l'Utah. La journée avait été marquée par le meurtre d'une élue dans le Minnesota.
C'est dans une manifestation anti-Trump organisée à Salt Lake City que la victime de 39 ans défilait quand, selon un communiqué de la police locale diffusé dimanche, un homme de 24 ans s'est présenté et a "brandi" un fusil de type AR-15, une arme semi-automatique, puis "a couru vers la foule".
Cela a conduit quelqu'un chargé de la sécurisation de la manifestation, qui cherchait visiblement à désarmer l'homme au fusil, "à tirer trois balles, dont l'une a touché fatalement" le manifestant. "Nos enquêteurs pensent qu'il était un passant innocent", écrit la police.
L'homme de 24 ans, lui, a été arrêté et inculpé pour meurtre, a précisé la police dans son communiqué sur le réseau social X. Il n'a pas tiré un seul coup, a précisé le chef de la police.
La personne qui a tiré les trois coups de feu n'a pas été inquiétée par la police et coopère avec les enquêteurs, a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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