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International

Sprint par équipes: les Suissesses à leur place

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Laurien van der Graaff dispute en Chine sa dernière grande compétition. (© KEYSTONE/EPA/VASSIL DONEV)

Laurien van der Graaff et Nadine Fähndrich sont arrivées 7es de la finale du sprint olympique par équipes en style classique, à Zhangjiakou.

Van der Graff était un peu "juste" pour un meilleur résultat, mais ce résultat est honorable. Les Suissesses ont devancé la Norvège (8e).

Nadine Fähndrich, 5e du sprint individuel, s'est montrée à son avantage aussi bien en demi-finales qu'en finale, mais elle a dû laisser trop de forces pour combler les trous. Le duo helvétique s'était classé 4e aux JO 2018 à Pyeongchang et avait décroché la médaille d'argent aux Mondiaux 2021 à Oberstdorf, mais c'était en skating. Le style classique sied beaucoup moins bien à van der Graaff, qui mettra un terme à sa carrière dans un mois.

L'or est revenu aux sensationnelles Allemandes Katharina Hennig/Victoria Carl, victorieuses devant la Suède et les Russes grâce à une formidable dernière ligne droite de Victoria Carl. La Suisse a concédé 52''. Le succès du duo germanique constitue la plus grande surprise à ce jour des épreuves de fond à ces Jeux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

L'Espagne de De la Fuente l'emporte contre la Norvège

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L'Espagnol Joselu, la joie à 32 ans. (© KEYSTONE/AP/Manu Fernandez)

L'Espagne, pour la première de son nouveau sélectionneur Luis de la Fuente, s'est imposée 3-0 contre la Norvège samedi lors de la 1re journée des qualifications à l'Euro 2024, à Malaga.

La Roja, qui restait sur son élimination en huitième de finale du Mondial au Qatar face au Maroc, a ouvert le score par le biais de Dani Olmo (13e). Ce dernier a dévié une frappe d'Alejandro Balde de l'extérieur du pied pour tromper la défense norvégienne.

En seconde période, c'est l'attaquant Joselu, 32 ans, à peine entré en jeu, qui a creusé l'écart avec un doublé en deux minutes (84e, 85), pour sa première sélection en équipe A.

Côté norvégien, l'attaquant star Erling Haaland, touché à l'aine, était absent.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouvelle mobilisation en Israël contre la réforme judiciaire

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Les Israéliens sont à nouveau descendus en nombre dans les rues de Tel-Aviv samedi pour s'opposer à la réforme judiciaire voulue par le gouvernement. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Des milliers d'Israéliens se sont rassemblés samedi à Tel-Aviv pour continuer à protester contre la réforme judiciaire voulue par le gouvernement, avant une semaine cruciale. Le ministre de la Défense a appelé à une pause d'un mois dans le processus de réforme.

Les manifestations se succèdent chaque semaine depuis la présentation en janvier par le gouvernement de Benjamin Netanyahu, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël, d'un projet de réforme qui divise le pays.

Suscitant l'inquiétude dans le pays mais aussi à l'étranger, la réforme vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Selon ses détracteurs, elle met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël.

Israël "perdant"

Dans un discours samedi soir, le ministre de la Défense israélien Yoav Galant, pourtant du même parti que M. Netanyahu, le Likoud, a dit craindre qu'une poursuite des divisions au sein de la population sur ce dossier n'engendre une "vraie menace pour la sécurité d'Israël".

"Nous devons arrêter le processus législatif" pendant un mois, a-t-il encore dit, avant une semaine cruciale qui devrait être marquée par d'autres dispositions législatives et de nouvelles manifestations de masse.

Il a estimé que quel que soit le vainqueur de ce bras de fer, "dans la rue ou à la Knesset" (Parlement), "ce serait l'Etat d'Israël qui serait perdant". "Je suis attaché aux valeurs du Likoud (...) mais les changements majeurs au niveau national doivent se faire par le biais de la concertation et du dialogue", a-t-il ajouté.

Ses propos ont été salués par le chef de l'opposition, Yair Lapid, qui s'est félicité d'un "pas courageux (...) pour la sécurité d'Israël". Deux députés du Likoud ont exprimé sur Twitter leur soutien à M. Galant, soulevant ainsi la question de savoir si le gouvernement pourrait compter sur la majorité s'il procède à un vote.

M. Galant a appelé dans le même temps à l'arrêt des manifestations, au moment où quelque 200'000 manifestants étaient rassemblés à Tel Aviv, selon l'estimation des médias israéliens. A Jérusalem, des milliers de manifestants ont défilé devant la résidence du président Isaac Herzog.

Changement dans la nomination des juges

Les principaux alliés d'Israël, y compris Washington, ont remis en question les projets visant à donner plus de pouvoir aux politiques et à réduire le rôle de la Cour suprême. Le président américain Joe Biden a exprimé ses "inquiétudes" concernant ces réformes judiciaires, a déclaré mercredi la porte-parole de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre.

M. Netanyahu et ses alliés d'extrême droite et ultra-orthodoxes estiment nécessaire ce projet de réforme pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.

Les députés israéliens devraient se prononcer la semaine prochaine sur un des éléments centraux de la réforme, au coeur des inquiétudes de ses détracteurs, prévoyant le changement dans le processus de nomination des juges.

Le texte a été amendé en commission pour en adoucir la teneur en vue de parvenir à un vote plus large, mais sans l'appui de l'opposition, qui a fait la sourde oreille à l'appel au dialogue lancé jeudi soir par M. Netanyahu, continuant d'exiger "une pause" dans le travail législatif sur la réforme avant toute négociation avec la majorité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie va déployer des armes nucléaires "tactiques" au Bélarus

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Le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la Russie allait déployer des armes nucléaires "tactiques" au Bélarus. (© KEYSTONE/AP/Gavriil Grigorov)

Le président russe Vladimir Poutine a affirmé samedi que Moscou allait déployer des armes nucléaires "tactiques" sur le territoire de son allié, le Bélarus. Ce pays est situé aux portes de l'Union européenne.

Des responsables russes ont émis à plusieurs reprises des menaces à peine voilées de se servir de l'arme nucléaire en Ukraine en cas d'escalade significative du conflit. Dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, le Bélarus est frontalier de l'Ukraine, de la Pologne et de la Lituanie.

"Rien d'inhabituel"

"Il n'y a rien d'inhabituel ici : les Etats-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une interview diffusée à la télévision russe. "Nous avons convenu de faire de même", a-t-il ajouté, disant avoir l'accord de Minsk.

"Nous avons déjà aidé nos collègues bélarusses et équipé leurs avions (...) sans violer nos engagements internationaux en matière de non-prolifération des armes nucléaires. Dix avions sont prêts à utiliser ce type d'arme", a poursuivi M. Poutine, selon lequel Moscou a aussi transféré des missiles Iskander.

"A partir du 3 avril, nous commençons à former les équipages. Et le 1er juillet, nous terminerons la construction d'un entrepôt spécial pour les armes nucléaires tactiques sur le territoire du Bélarus", a-t-il ajouté.

Le Bélarus ne prend pas part directement au conflit en Ukraine mais Moscou s'est servi de son territoire pour conduire son offensive sur Kiev l'année dernière ou pour mener des frappes, selon les autorités ukrainiennes.

1600 tanks

Selon M. Poutine, cette décision a été motivée par la volonté de Londres d'envoyer des munitions à uranium appauvri à l'Ukraine, comme évoqué récemment par une responsable britannique.

M. Poutine a menacé de recourir également à ce type d'obus si Kiev venait à en recevoir. "La Russie, bien sûr, a de quoi répondre. Nous avons, sans exagérer, des centaines de milliers d'obus de ce type. Nous ne les utilisons pas pour le moment", a déclaré le président russe. Il a qualifié ce type d'obus d'arme parmi "les plus dangereuses" et qui "génère ce que l'on appelle des poussières de radiation".

La vice-ministre britannique de la Défense Annabel Goldie avait confirmé lundi que le Royaume-Uni fournirait à l'Ukraine des obus à uranium appauvri, efficaces contre les chars et les autres véhicules blindés.

M. Poutine a également dit samedi considérer que les livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, vitales l'effort de guerre de Kiev, étaient une "menace" pour la Russie.

Il s'est toutefois félicité des progrès de l'industrie de l'armement russe, qui sera selon lui capable de produire 1600 tanks dans les trois prochaines années, ce qui permettrait à l'armée russe d'en avoir "plus de trois fois plus" que son adversaire.

Menaces nucléaires

Lors de récentes négociations à Moscou entre Vladimir Poutine et Xi Jinping, les deux dirigeants avaient énoncé dans une déclaration commune qu'une guerre nucléaire "ne doit jamais être déclenchée", car "il ne peut y avoir de vainqueurs".

Plusieurs responsables russes, dont l'ancien président Dmitri Medvedev, ont toutefois menacé l'Ukraine et les Occidentaux de l'arme nucléaire depuis le début de l'offensive russe lancée le 24 février 2022.

La Russie a en outre suspendu le mois dernier l'important traité de désarmement nucléaire New Start signé avec les Etats-Unis, bien qu'elle ait promis de respecter la limitation de son arsenal nucléaire jusqu'à la fin effective de cet accord le 5 février 2026.

Pas d'utilisation préventive

Vladimir Poutine avait accusé l'année dernière l'Ukraine de vouloir se doter d'une "bombe sale", une arme constituée d'explosifs conventionnels entourés de matériaux radioactifs destinés à être disséminés en poussière au moment de l'explosion.

L'Ukraine et ses alliés occidentaux avaient condamné ces allégations et accusé la Russie de jouer l'escalade nucléaire.

La doctrine nucléaire russe ne prévoit pas l'utilisation préventive par la Russie de l'arme nucléaire, mais seulement en réponse à une attaque envers elle ou ses alliés, ou en cas de "menace sur l'existence même de l'Etat".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump en meeting à Waco, ex-fief d'une secte anti-fédérale

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Jusqu'à 15'000 personnes sont attendues samedi dans la ville texane de Waco pour le meeting de campagne de Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Ron Johnson)

Menacé d'inculpation, Donald Trump s'offre samedi son premier meeting de campagne en vue de la présidentielle dans un lieu hautement symbolique, la ville texane de Waco, théâtre il y a 30 ans d'un assaut meurtrier contre une secte opposée au pouvoir fédéral.

L'ancien président américain, qui avait clamé - à tort - qu'il serait "arrêté" le 21 mars à New York dans une affaire de paiement à l'actrice pornographique Stormy Daniels, montera sur scène à 17h00 locales (23h00 en Suisse), pour son "premier rassemblement pour l'élection de 2024". "Grosse foule au Texas - A plus tard!", a déclaré Donald Trump samedi sur son réseau social Truth Social.

La ville de Waco, 130'000 habitants, reste associée à la secte anti-gouvernementale des Davidiens. Au printemps 1993, le monde avait été suspendu durant 51 jours au siège par le FBI d'un ranch dans lequel s'étaient retranchés des adeptes armés du gourou David Koresh. Septante-six membres de la secte dont 20 enfants avaient été retrouvés morts après l'incendie du ranch. Quatre policiers avaient également péri.

L'équipe de campagne de Donald Trump n'a pas répondu aux sollicitations de l'AFP quant au choix de Waco pour le meeting.

L'ancien président, également sous la menace d'enquêtes sur ses pressions électorales en Géorgie en 2020 et la gestion d'archives classifiées de la Maison Blanche, se pose régulièrement en victime d'un mystérieux "Etat de l'ombre". La spectaculaire perquisition du FBI dans sa résidence en Floride? "Un abus de pouvoir choquant". Les deux infamantes procédures de destitution au Congrès dont il a fait l'objet? "Une chasse aux sorcières".

Petits pas de danse

En retrouvant sa base en meeting à Waco - où jusqu'à 15'000 personnes sont attendues -, Donald Trump renoue par ailleurs avec un exercice qu'il affectionne. Les scènes de l'ancien président, en train d'esquisser des petits pas de danse, ou de lancer ses célèbres casquettes rouges à la foule sont désormais cultes parmi ses adeptes.

Dans la ville texane, certains de ses fans trépignaient déjà d'impatience vendredi soir, visiblement peu préoccupés par les ennuis judiciaires de leur idole. "Tout est déformé pour lui donner une mauvaise image", a assuré à l'AFP Kelly Heath, 49 ans, y voyant une tentative de le "faire taire".

Ce meeting offre surtout au républicain l'opportunité d'insuffler un nouveau souffle à sa campagne, qui ne jouit pour l'instant pas de la dynamique espérée même si la plupart des sondages le donnent gagnant d'une primaire.

Le milliardaire, qui continue contre vents et marées d'évoquer de supposées "fraudes" jamais prouvées à l'élection de 2020, a aussi vu une partie de la droite - et notamment ses riches donateurs - se tourner vers le nouveau champion de la droite dure, Ron DeSantis, 44 ans. Le gouverneur de Floride n'est pas encore officiellement lancé dans la course, mais sera incontestablement un de ses plus grands rivaux pour l'investiture républicaine en 2024.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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